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vie pratique - Page 235

  • Permis de conduire étranger : échange (11 10 2017)

    Nous proposons cette fiche pratique publiée le 21 septembre 2017 sur le site Service public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A12031?xtor=EPR-100.html

    Échanger un permis de conduire étranger ou demander un permis international : comment faire ?

    Publié le 21 septembre 2017 - Direction de l'information légale et administrative (1er ministre)

    Vous souhaitez échanger votre permis de conduire obtenu à l'étranger contre un permis français équivalent ou vous voulez demander un permis international ? Toutes les demandes se font maintenant uniquement par courrier. Elles ne sont donc plus traitées au guichet des préfectures et des sous-préfectures. C'est ce que vient de confirmer le ministère de l'Intérieur dans un communiqué du 18 septembre 2017.

    Vous devez adresser votre dossier par courrier au Service national en charge des échanges de permis et des permis internationaux à l'adresse suivante :

    • Préfecture de la Loire-Atlantique
    • CERT PCI
    • 6 quai Ceineray
    • BP 33515
    • 44035 Nantes Cedex 1

    Attention, si vous habitez Paris, il faut contacter le Centre de ressources des échanges de permis de conduire étrangers et des permis internationaux de conduite :

    • Préfecture de Police de Paris
    • DPG / SDCLP
    • Centre de ressources des échanges de permis de conduire étrangers et des permis internationaux de conduite (Crepic)
    • 1 bis rue de Lutèce
    • 75 195 Paris Cedex 04

      À noter :

    Des règles spécifiques s'appliquent à certains ressortissants étrangers ayant passé et obtenu leur permis dans un pays hors Espace économique européen (EEE).

    Et aussi sur service-public.fr

    Pour en savoir plus

    Ministère chargé de l'intérieur

  • Médiation familiale (09 10 2017)

    Nous proposons cette fiche pratique publiée le 7 septembre 2017 sur le site Service public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A11983?xtor=EPR-100.html

    La médiation familiale : pour quoi faire ?

    Publié le 07 septembre 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Vous êtes en situation de rupture, de séparation ou de divorce ? Connaissez-vous le dispositif de médiation familiale ? À quoi sert-il exactement ? Service-public.fr fait le point sur la question.

    La fiche pratique sur la médiation familiale vous présente sous forme de questions-réponses :

    • le principe du dispositif (il s'agit d'un temps d'écoute, d'échanges et de négociation qui doit permettre de prendre en compte les besoins de chacun) ;
    • les personnes concernées (parents en situation de séparation, grands-parents souhaitant garder des liens avec leurs petits-enfants, jeune adulte en rupture de communication avec sa famille...) ;
    • le rôle du médiateur (c'est un professionnel doté de compétences en psychologie et en droit, il ne juge pas et n'a pas de pouvoir de décision mais il aide à trouver une solution au conflit) ;
    • la procédure à suivre pour bénéficier de cette aide (si c'est vous qui faites la demande, il faut vous adresser à la caisse d'allocations familiales ou au tribunal de grande instance dont dépend votre domicile) ;
    • le déroulement de la médiation en 3 étapes (avec entretien d'information, entretiens de médiation et éventuellement accord qui peut être homologué par le juge) ;
    • le coût (l'entretien d'information est gratuit mais une participation vous est ensuite demandée).

      À noter :

    À titre expérimental jusqu'au 31 décembre 2019, une tentative de médiation est obligatoire avant toute demande de modification des décisions et conventions homologuées fixant les modalités de l'exercice de l'autorité parentale dans les tribunaux de grande instance de Bayonne, Bordeaux, Cherbourg-en-Cotentin, Évry, Nantes, Nîmes, Montpellier, Pontoise, Rennes, Saint-Denis et Tours.

    Toutefois, cette obligation ne s'applique pas si des violences ont été commises sur un parent ou sur l'enfant.

    Et aussi sur service-public.fr

  • Activité physique et sédentarité : synthèse des recommandations (07 10 2017)

    Nous proposons des extraits d’une étude (conduite par Madame Hélène Escalon  et le groupe de travail  « Vulgarisation  des recommandations activité physique – Sédentarité ») publiée dans la revue La Santé en action (n° 441 de septembre 2017) de l’Institut National de Prévention et d’éducation pour la Santé (cliquer ici pour accéder au texte de l'article)

    http://inpes.santepubliquefrance.fr/SLH/pdf/articles/441/activite-physique-sante-nouvelles-recommandations-synthese-vulgarisee.pdf

    Activité physique et sédentarité de quoi parle‑t‑on ?

    L’activité physique correspond à tous les mouvements de notre corps produits par la contraction des muscles et qui entraînent une dépense en énergie supérieure à celle du repos.

    Elle peut être effectuée dans le cadre du travail, des transports, des activités domestiques − à l’intérieur et à l’extérieur de chez soi − et des loisirs − incluant le sport et les exercices physiques réalisés sans encadrement. La sédentarité correspond aux situations passées en position assise ou allongée (en dehors de la période de sommeil et de repas), dans lesquelles les mouvements du corps sont réduits à leur minimum: regarder la télévision, travailler sur un ordinateur, jouer aux jeux vidéo, lire, téléphoner, être passager dans un véhicule, etc.

    Effets sur la santé de l’augmentation de l’activité physique et de la réduction de la sédentarité

    Les effets favorables sur la santé d’une pratique d’activité physique régulière permettant d’atteindre les recommandations ne compensent pas forcément les effets délétères de la sédentarité. C’est pourquoi il est recommandé à la fois de faire plus d’activité physique et de réduire son temps assis ou allongé.

    Cela permet d’améliorer la qualité de vie; la santé mentale, en prévenant les états d’anxiété et de dépression; le bien‑être ; le sommeil et, à plus long terme, de réduire le risque de maladies cardio‑vasculaires, de cancers : côlon, sein, poumon, endomètre; de diabète de type 2 ; d’obésité et de bronchopneumopathie chronique obstructive (insuffisance respiratoire). Enfin, la pratique régulière d’activité physique permet de diminuer le nombre de nouveaux cas par an des maladies d’Alzheimer et de Parkinson. En outre, chez les adultes, l’activité physique permet de réduire certains effets liés au vieillissement et de maintenir l’autonomie au cours de l’avancée en âge. Chez les enfants et les adolescents, la pratique régulière d’activité physique à impact (course, sauts) assure une bonne qualité osseuse, particulièrement lorsqu’elle est pratiquée lors de la pré‑puberté et de la puberté. D’une façon générale, l’activité physique et la réduction de la sédentarité préviennent la survenue du surpoids chez les enfants.

    Recommandations générales sur l’activité physique et la sédentarité

    Adopter un mode de vie actif, en augmentant son activité physique et en limitant sa sédentarité est recommandé, quel que soit l’âge. Différents types d’activité physique sont recommandés pour développer l’endurance, renforcer les muscles, améliorer la souplesse et l’équilibre. L’activité ne doit surtout pas se limiter au sport : se déplacer à pied ou à vélo, porter une charge, monter ou descendre les escaliers, être actif à son domicile sont des pratiques d’activité physique. Les repères de pratique présentés ci‑dessous représentent un idéal vers lequel il faut tendre. Toute quantité d’activité physique, même inférieure aux repères, procure un bénéfice pour la santé, et le dépassement des recom‑ mandations permet le plus souvent d’augmenter ce bénéfice.

    Recommandations pour les adultes

    • Activité physique d’endurance : pratiquer au moins 30 minutes d’activité physique d’endurance (intensité modérée et élevée), au moins cinq jours par semaine. Ces activités peuvent facilement s’intégrer dans la vie quotidienne lors de déplacements actifs : marche, vélo, ou dans le cadre d’activités de loisirs : promenades, footing, cyclisme, sport collectif, danse, natation, fitness, etc.
    • Activités de renforcement musculaire : en complément des activités physiques d’endurance, il est recommandé de réaliser une à deux fois par semaine des activités qui renforcent les muscles des bras, des jambes, des abdominaux, du dos. Elles peuvent être réalisées au cours de la vie quotidienne (montées et descentes d’escaliers, port de charges) ou en faisant des exercices.
    • Exercices de souplesse : faire des exercices développant la souplesse et la capacité à faire des mouvements amples de deux à trois fois par semaine, sous forme d’étirements maintenus de 10 à 30 secondes et répétés de deux à trois fois.
    • Limitation de la sédentarité: au travail, dans les transports, à la maison ou dans le cadre de loisirs, réduire son temps total quotidien passé assis ou allongé; marcher quelques minutes et s’étirer au bout de deux heures d’affilée en position assise ou allongée et faire quelques mouvements (rotation des épaules, du bassin, des chevilles, des poignets, des mains, de la tête).
  • Téléphonie mobile : couverture réseau (06 10 2017)

    Nous proposons cette fiche pratique publiée le 18 septembre 2017 sur le site Service public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A12025?xtor=EPR-100.html

    Téléphonie mobile : quelle couverture de réseau près de chez vous ?

    Publié le 18 septembre 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

     

    Vous avez un téléphone mobile et vous voulez connaître précisément la couverture du réseau offerte par les différents opérateurs près de chez vous ? Retrouvez en ligne les cartes de l'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep) avec monreseaumobile.fr.

    Pour cela, il vous suffit de rentrer une adresse sur www.monreseaumobile.fr et, en quelques clics, vous connaissez le niveau de couverture du réseau près de chez vous. L'outil cartographique de l'Arcep vous permet alors de comparer localement le niveau de couverture proposé par les différents opérateurs mobiles :

    • pas de couverture, on parle alors de « zone blanche » (très improbable que vous puissiez établir une communication à l'intérieur ou à l'extérieur des bâtiments) ;
    • couverture limitée (possibilité a priori de téléphoner et d'échanger des SMS à l'extérieur des bâtiments mais probablement pas à l'intérieur des bâtiments) ;
    • bonne couverture (possibilité a priori de téléphoner et d'échanger des SMS à l'extérieur des bâtiments mais aussi, dans certains cas, à l'intérieur des bâtiments) ;
    • très bonne couverture (possibilité a priori de téléphoner et d'échanger des SMS à l'extérieur des bâtiments et , dans la plupart des cas, à l'intérieur des bâtiments).

      À savoir :

    Cet outil cartographique est construit à la fois à partir des cartes de couverture des opérateurs réalisées à partir de simulations mais aussi à partir des mesures de qualité de service réalisées en conditions réelles par l'Arcep.

    Et aussi sur service-public.fr

    Pour en savoir plus

    Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep)

  • Champignons : précautions (30 09 2017)

     

     

    Nous proposons cette fiche pratique publiée le 13 septembre 2017 sur le site Service public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A12036?xtor=EPR-100.html

    Champignons : cueillette et consommation, soyez prudents !

    Publié le 21 septembre 2017 - Direction de l'information légale et administrative (1er ministre)

    Comme chaque année en France, on dénombre un millier de cas d'intoxications dues aux champignons (troubles digestifs, complications rénales ou encore atteintes graves du foie). Certaines intoxications peuvent nécessiter une hospitalisation et conduire à un décès.

    L'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) fait le point sur la question en publiant une liste de recommandations :

    • ne pas ramasser un champignon en cas de doute sur son état ou son identification ;
    • éviter les sites pollués (bords de routes, aires industrielles, décharges), les champignons concentrant les polluants ;
    • déposer les champignons dans une caisse ou un carton, les sacs plastiques accélérant le pourrissement ;
    • séparer les champignons récoltés par espèce, un champignon vénéneux pouvant contaminer les autres ;
    • ne pas consommer les récoltes avant de les avoir fait contrôler par un spécialiste, les pharmaciens ou les associations et sociétés de mycologie pouvant être consultés ;
    • les conserver au réfrigérateur et les manger 2 jours au maximum après la cueillette ;
    • les consommer en quantité raisonnable et après une cuisson suffisante.

      À savoir :

    En cas d'apparition d'un ou de plusieurs symptômes (tremblements, vertiges, nausées, vomissements, diarrhées ou douleurs abdominales...), il convient de contacter le 15 ou le centre antipoison le plus proche. En règle générale, les symptômes apparaissent dans les 12 heures après leur consommation.

    Pour en savoir plus

    Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses)

    Association des Centres Antipoison et de Toxicovigilance

  • Vaccination : 8 vaccins supplémentaires bientôt obligatoires (28 09 2017)

    Nous proposons cette fiche pratique publiée sur le site Service public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A11852.html

    Vaccination : 8 vaccins supplémentaires bientôt obligatoires

    Publié le 06 juillet 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    À partir de 2018, 8 vaccins supplémentaires devraient être rendus obligatoires pour les enfants de moins de 2 ans. Un texte de loi sera présenté en ce sens au Parlement. C'est ce qu'a annoncé le ministère des Solidarités et de la Santé mercredi 5 juillet 2017.

    Les vaccins qui deviendraient obligatoires (et qui sont, à ce jour, recommandés pour la petite enfance) seraient les 8 vaccins contre :

    • l'haemophilius influenzae B (bactérie provoquant notamment des pneumopathies et des méningites),
    • la coqueluche ;
    • l'hépatite B ;
    • la rougeole ;
    • les oreillons ;
    • la rubéole ;
    • le méningocoque C (bactérie provoquant des méningites) ;
    • le pneumocoque (bactérie provoquant notamment des pneumopathies et des méningites).

      Rappel :

    Actuellement, les seules vaccinations obligatoires sont celles contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite (DTP).

    Et aussi sur service-public.fr

    Pour en savoir plus

    Ministère chargé de la santé