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vie pratique - Page 241

  • Déclaration de revenus : correction (07 08 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 20 juillet 2017 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A11892?xtor=EPR-100.html

    Si vous voulez corriger en ligne votre déclaration sur vos revenus 2016...

    Publié le 20 juillet 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

     

    Vous pensez avoir sous-estimé (ou surestimé) le montant de vos revenus 2016 ? Pas de panique, si vous avez effectué votre déclaration 2017 en ligne, vous pourrez la corriger en ligne à partir du 1er août 2017.

    Pour accéder à ce service de télé-correction, il suffit de vous connecter sur impots.gouv.fr muni de vos identifiants (numéro fiscal et mot de passe), ce service étant ouvert jusqu'au 19 décembre 2017.

    Les éléments qui peuvent être corrigés concernent pratiquement toutes les informations en lien avec vos revenus et vos charges. Attention néanmoins, certaines informations sur l'état-civil, les changements d'adresse ou la situation de famille ne sont pas modifiables par le biais de ce service en ligne.

      À noter :

    Si vous avez effectué la déclaration de vos revenus sur papier, vous avez aussi une solution en adressant, dans les plus brefs délais, un courrier à votre service des impôts ou en déposant auprès de ce même service une nouvelle déclaration de revenus sur papier.

    Et aussi sur service-public.fr

    Pour en savoir plus

    Ministère chargé des finances

  • Vacances à l’étranger : bien assuré ? (05 08 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 13 juillet 2017 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A11888?xtor=EPR-100.html

    Vacances à l'étranger : en cas de maladie, êtes-vous bien assuré ?

    Publié le 19 juillet 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Avant de partir en vacances à l'étranger, vérifiez bien que vous êtes assuré en cas de maladie. Service-public.fr vous donne des conseils pratiques si vous partez en Europe ou dans un autre pays.

    Vous partez en Europe

    Dans l'Espace économique européen (EEE) et en Suisse, vous pouvez utiliser la carte européenne d'assurance maladie (CEAM) qui vous permettra une prise en charge des soins médicaux. La CEAM atteste vos droits à l'assurance maladie française. Service-public.fr vous rappelle tout ce qu'il faut savoir sur la CEAM :

    • demande de carte auprès de votre organisme d'assurance maladie ;
    • coût (gratuit) ;
    • durée de validité de la carte (2 ans au maximum) et modalités de renouvellement ;
    • droits ouverts par la carte ;
    • utilisation de la carte ;
    • en cas d'oubli (l'assuré doit régler en totalité les frais).

    Vous partez dans un autre pays

    Dans un pays hors EEE et hors Suisse, les soins ne sont pas toujours pris en charge. Vous devez donc vous renseigner au préalable sur les frais médicaux à votre charge en cas de maladie. Certains soins notamment en cas d'hospitalisation peuvent coûter très chers selon les pays. Pour être bien couvert, pensez à souscrire un contrat d'assurance ou d'assistance. Service-public.fr vous précise également certains éléments sur les :

    • soins reçus à l'étranger (le voyageur qui reçoit des soins à l'étranger doit en général régler ses frais médicaux sur place) ;
    • médecins à l'étranger (l'ambassade ou le consulat français du pays visité peut mettre le voyageur malade en relation avec un médecin agréé par ses services).

    Et aussi sur service-public.fr

    Pour en savoir plus

    Caisse nationale d'assurance maladie des travailleurs salariés (Cnamts)

    Ministère chargé des affaires étrangères

  • Transports par autocars (31 07 2017)

    Nous proposons aujourd’hui des extraits d'une note d’analyse publiée le 27 juillet 2017 sur le site France-stratégie (cliquer ici pour accéder au site France-stratégie)

    http://www.strategie.gouv.fr/note-danalyse/perspectives-de-developpement-autocars.html

    La libéralisation du transport par autocar longue distance a permis de proposer une nouvelle offre de mobilité, de qualité et à prix attractif, venant concurrencer la voiture particulière et le train. Toutefois, la France accuse un important retard en matière de qualité des gares routières.

    La loi pour la croissance, l’activité et l’égalité des chances économiques du 6 août 2015 a libéralisé le transport régulier interurbain de voyageurs par autocar en France pour toute liaison supérieure à 100 kilomètres. Sur les cinq compagnies qui se sont lancées sur ce marché, seules trois subsistaient un an plus tard. Le modèle économique reste en effet déficitaire, en raison de tarifs très bas. Cependant le trafic est en pleine expansion. Selon l’Autorité de régulation des activités ferroviaires et routières (Arafer), le nombre de passagers en 2016 dépasse les 6 millions. À la fin du premier trimestre 2017, le secteur comptait 2 100 emplois, en incluant les emplois créés par les opérateurs et par leurs sous-traitants ou partenaires.

    Cette croissance rapide a deux conséquences. D’une part, l’opérateur ferroviaire historique — la SNCF, avec quelque 150 millions de passagers en 2015 — voit sa part de marché grignotée puisqu’une partie du trafic par autocar se faisait hier en train. Également attaquée par le covoiturage, la SNCF réplique par une stratégie de baisse des prix et de services low cost, qui tend à réduire sa rentabilité. D’autre part, les autocars longue distance ont connu un essor si rapide qu’il n’a pas été possible d’anticiper l’aménagement, voire la création de gares routières ou de points d’arrêt pour accueillir les passagers dans de bonnes conditions. Ce chantier devient une priorité.

    Ces deux enjeux sont d’autant plus importants que le marché des autocars devrait poursuivre sa forte expansion dans les années à venir. Selon le scénario le plus favorable, le nombre de passagers annuels pourrait atteindre 25 millions d’ici à 2030, soit 12 % du trafic ferroviaire longue distance en voyageurs-km (TGV et Intercités). Le nombre d’emplois total du secteur pourrait dépasser les 5 000 à cette date.

    .../...

    CONCLUSION

    Plus accessible aux catégories de population peu aisées, le nouveau service de transport par autocar longue distance a trouvé son public. L’exemple allemand laisse à penser que ce secteur devrait poursuivre sa croissance dans les années à venir, même si les différences entre les deux pays, notamment géographiques, peuvent engendrer une progression plus modérée en France.

    Pour poursuivre son expansion, le marché du transport longue distance par autocar doit faire face à d’importants enjeux. Premièrement, il ne pourra se développer que si les opérateurs deviennent rentables en proposant un prix adapté. On pourrait assister à une situation de monopole si le nombre d’opérateurs diminue encore faute de rentabilité. Le covoiturage et le ferroviaire n’en resteront pas moins des alternatives pour les voyageurs.

    Deuxièmement, le maillon faible demeure la qualité des points d’arrêt et des gares routières. Les villes doivent considérer ce sujet comme un facteur d’attractivité et concevoir de véritables pôles d’échanges multimodaux à haut niveau de services. La création de gares routières pourrait ainsi faire partie d’un appel à projets des transports collectifs en site propre (TCSP).

    Enfin, la montée en puissance du trafic longue distance par autocar pourrait entraîner une baisse du trafic ferroviaire et des recettes de la SNCF. Aujourd’hui, celle-ci tend à positionner son produit TGV en haut de gamme tout en misant sur les offres low cost pour maintenir sa part de marché. Face à la concurrence de l’autocar, le groupe SNCF pourrait être amené à améliorer sa productivité. La clientèle dispose de son côté d’un choix de mobilités étendu, y compris pour la population la moins aisée.

  • Tiques, maladie de Lyme : application smartphone (29 07 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 18 juillet 2017 sur le site de l’Agence nationale de sécurité sanitaire, de l’alimentation, de l’environnement et du travail (cliquer ici pour accéder au site de l’ANSES)

    https://www.anses.fr/fr/content/une-application-smartphone-pour-pr%C3%A9venir-la-maladie-de-lyme-et-les-autres-maladies.html

    Une application smartphone pour prévenir la maladie de Lyme et les autres maladies transmissibles par les tiques

    Signalement-Tique ! Cette application est disponible dès maintenant par téléchargement gratuit pour les smartphones iOS et Android. L’Inra et l’Anses, avec le ministère des Solidarités et de la Santé, font appel aux volontaires qui souhaitent participer aux recherches pour la lutte contre les tiques et les maladies qu’elles transmettent. 

    Comment ? En permettant une collecte d’informations sans précédent : déclarer sa piqûre ou celle de son animal domestique, la géolocaliser, transmettre une photo et même envoyer les tiques aux équipes scientifiques... Les citoyens et les chercheurs se mobilisent ensemble pour collecter des données indispensables à l’acquisition des connaissances, pour mieux comprendre et prévenir la maladie de Lyme et les autres maladies transmissibles par les tiques. 

    Les tiques sont le premier vecteur de maladies animales dans le monde, le deuxième pour les maladies humaines après le moustique. Chez l’homme, elles transmettent notamment les bactéries responsables de la maladie de Lyme, provoquant environ 27 000 nouveaux cas par an en France.

    Depuis les années 2000, l’Anses, l’Inra et l’Ecole nationale vétérinaire d’Alfort mènent des travaux de recherche sur les tiques, au sein du Laboratoire de Santé animale de Maisons-Alfort de l’Anses et du Laboratoire Tous Chercheurs du Centre Inra Grand Est Nancy. Cette recherche, allie études fondamentales et recherche participative impliquant les citoyens. Les études développées permettent de mieux connaître les agents pathogènes transmissibles par les tiques et donc de mieux les combattre. 

     

    Dans le cadre d’un projet appelé CITIQUE, les chercheurs ont développé avec les partenaires scientifiques, notamment le centre national d’expertise des vecteurs et le centre national de référence de Borrélia, ainsi que le ministère des Solidarités et de la Santé, un site web et une application smartphone appelés Signalement-Tique. L’application peut être téléchargée sur les plateformes AppStore et PlayStore. 

     

    Avec l’appli Signalement-Tique, un outil pratique et interactif, les promeneurs peuvent disposer d’informations sur la prévention ou comment enlever une tique où qu’ils soient. Elle permettra de fournir des cartes de présence de tiques qui serviront aux actions de prévention. 

     

    Grâce à l’appli Signalement-Tique, une collecte de données sans précédent attendue

    Les données collectées serviront à l’avancée des connaissances scientifiques nécessaires pour mieux comprendre et donc mieux prévenir les maladies transmissibles par les tiques, notamment par la mise au point de modèles d’estimation des risques. Les citoyens participants au projet joueront un rôle décisif et permettront d’apporter des éléments de réponse à de nombreuses questions : peut-on se faire piquer en hiver et en été alors que les périodes propices sont le printemps et l’automne ? Y a-t-il des heures où les tiques sont plus actives et piquent davantage ? Est-ce qu’on se fait plutôt piquer dans les forêts, dans les parcs urbains ou dans nos jardins ? Quels sont les agents pathogènes les plus présents chez les tiques ? Dans quelles régions ? Les utilisateurs auront ainsi accès à des informations pratiques et à des conseils sur la conduite à tenir lors d’une piqûre de tique.

     

    L’appli Signalement-Tique, c’est permettre aux citoyens d’être mieux informés des risques de contamination par les tiques, tout en les impliquant activement dans la recherche.

     

    EN SAVOIR PLUS

  • Compteurs Linky : nouvelle étude de l’ANSES (25 07 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 20 juin 2017 sur le site de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (cliquer ici pour accéder au site de l’ANSES)

    https://www.anses.fr/fr/content/compteurs-communicants-de-nouvelles-donn%C3%A9es-qui-ne-remettent-pas-en-cause-les-conclusions-de.html

    Compteurs communicants : de nouvelles données qui ne remettent pas en cause les conclusions de l’Anses

    L’Anses publie ce jour un nouvel avis relatif à l’évaluation de l’exposition de la population aux champs électromagnétiques émis par les compteurs communicants, sur la base de nouvelles données scientifiques. Au mois de décembre 2016, au vu des données disponibles, l’Agence concluait à une faible probabilité que l’exposition aux champs électromagnétiques émis par les compteurs communicants engendre des effets sanitaires à court ou long terme, dans la configuration de déploiement actuelle. Elle sollicitait également une campagne de mesures auprès du Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB) afin de mieux caractériser les expositions au domicile engendrées par le compteur d’électricité Linky. Les résultats de cette campagne de mesure, désormais disponibles, mettent en évidence des durées d’exposition plus longues que celles initialement attendues, sans que les niveaux de champ électromagnétique ne soient cependant plus élevés. Ces niveaux d’exposition restent faibles et inférieurs aux valeurs limites réglementaires et ne remettent pas en cause les conclusions initiales de l’Anses.

    Lire la suite

  • Bicyclettes : marquage (21 07 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 13 juillet 2017 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A11869?xtor=EPR-100.html

    Bicycode : le seul dispositif reconnu pour faire marquer votre vélo

    Publié le 13 juillet 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

     

    Pour faire graver un numéro d'identification sur son vélo. Il faut se rendre chez un opérateur agréé, muni de sa pièce d'identité et de sa facture. Une fois le numéro gravé, il convient d'enregistrer son vélo dans un fichier national accessible en ligne.

    Le marquage Bicycode, qui doit être visible, a été créé en 2004 par la Fédération française des usagers de la bicyclette.

    Il s'agit d'un dispositif reconnu par l'État qui permet de lutter contre le vol et le recel. Les services de police et de gendarmerie nationale ont accès au fichier des vélos marqués. Ainsi, en cas de vol, les forces de police peuvent restituer le vélo volé à son propriétaire.

    Le marquage Bicycode constitue donc une sécurité supplémentaire pour les conducteurs de vélos. Une sécurité, qui se traduit d'ailleurs de plusieurs autres façons. Pour rappel, le port du casque est devenu obligatoire pour les enfants de moins de 12 ans depuis le 22 mars 2017.

    Et aussi sur service-public.fr

    Pour en savoir plus

    Ministère chargé de l'intérieur