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aides - Page 28

  • Dépendance : aidants et aidés (2/3) (04 05 2012)

    Nous proposons sur 3 jours des extraits (hors tableaux et graphiques) du rapport de Mmes C. Bonnet, E. Cambois, C. Cases, et J. Gaymu publié dans la revue Population et sociétés (n°483 de novembre 2011, 1,50 €. n° ISSN 0184 77 83) et sur le site de l’Institut National d’Etudes Démographiques (cliquer ici pour accéder au site de l’INED)

    La dépendance : aujourd’hui l’affaire des femmes, demain davantage celle des hommes ?

    http://www.ined.fr/fr/ressources_documentation/publications/pop_soc/bdd/publication/1564/.html

    http://www.ined.fr/fichier/t_publication/1564/publi_pdf1_483.pdf

    SOMMAIRE :

    Résumé

    Introduction

    Les femmes principales bénéficiaires de l’aide à domicile…

    …mais aussi principales pourvoyeuses d’aide

    Des conséquences sur la vie professionnelle et la santé des aidants

    Demain, plus d’hommes parmi les aidants potentiels

    Le rôle d’aidant mieux partagé à l’avenir entre hommes et femmes ?

    Perspectives

     

    …mais aussi principales pourvoyeuses d’aide

    Comme partout en Europe, les femmes sont en France plus souvent en position d’aidantes que les hommes. Pour 80 % des personnes âgées vivant à domicile, l’aide provient de l’entourage (pour 48 % uniquement de l’en­tourage, pour 32 % avec une aide professionnelle asso­ciée). Dans le cas d’une aide familiale reposant sur une seule personne, il s’agit majoritairement d’une femme : en 2000, il s’agissait d’une fille pour les trois quarts des cas d’aide à un parent, une femme dans 70 % des cas d’aide au conjoint. Au sein des couples, les femmes assument davantage ce rôle d’aidant que leurs conjoints : à niveau de dépendance équivalent, les hommes ont plus souvent leur épouse placée en établissement que l’inverse. D’une façon générale, ceux-ci font davantage appel à des professionnels pour fournir une aide associée.

    Lorsqu’ils aident, hommes et femmes n’apportent pas le même soutien. Les femmes y consacrent en moyenne plus de temps, environ 2 heures de plus par jour lorsqu’elles interviennent seules auprès des parents ou du conjoint. Dans ce dernier cas, il s’agit d’une activité effectuée quasiment à plein temps : elles s’occupent quotidiennement de leur mari durant en moyenne 9h45 (7h20 pour les époux), l’implication des enfants étant moins soutenue (4h30 pour les filles et 2h40 pour les fils). L’aide d’un proche est fournie majoritairement pour les courses, puis pour les tâches ménagères, une compagnie et un soutien moral, les tâches administra­tives, le suivi médical, et enfin les soins personnels. Si les conjoints – hommes comme femmes – et les filles des bénéficiaires de l’APA interviennent dans tous les champs de la vie quotidienne, les fils s’investissent sur­tout dans les tâches administratives et les courses.

     

    Des conséquences sur la vie professionnelle et la santé des aidants

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  • Prothèses auditives : coût (05 09 2011)

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 2 aout 2011 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-103392QE.htm

    Question n° 103392 de Mme Geneviève Fioraso (député Socialiste, radical, citoyen et divers gauche de l’Isère)

    Mme Geneviève Fioraso attire l'attention de Mme la secrétaire d'État auprès du ministre du travail, de l'emploi et de la santé, chargée de la santé, sur les inquiétudes des personnes sourdes et malentendantes qui portent ou devraient porter un appareil de correction auditive. En effet, elles craignent que le remboursement de la sécurité sociale ne diminue et passe de 65 % à 60 % à partir du 15 avril 2011.

    Toutes ne sont pas équipées, même si elles en auraient besoin, car nombreuses sont celles qui hésitent devant le coût d'un appareillage et le très faible niveau de remboursement. En effet, l'investissement représente un coût de 1 400 à 2 000 euros par oreille (moyenne de 1 750 euros), soit 2 800 à 4 000 euros pour deux oreilles, alors que le tarif de base de remboursement de la sécurité sociale est de 199,71 euros par oreille !

    Le remboursement actuel à 65 % de cette base est déjà très bas ; aussi, il serait incompréhensible de pénaliser encore plus les personnes atteintes de surdité, souvent âgées, à revenus modestes. Des études récentes montrent que l'absence de compensation de la surdité conduit la personne atteinte à l'isolement, facteur d'accélération de la dépendance.

    Elle lui demande d'envisager une très nette revalorisation du tarif et du taux de prise en charge de ces appareils qui sont indispensables à la vie de bon nombre de nos concitoyens.

    Réponse du Ministère de la Santé publiée au JO le 02/08/2011 p. 8434

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  • Aider ses enfants (23 06 2011)

    Extraits d’un article de Mme Annabelle Pando publié le 17 juin 2011 sur le site de La Tribune (cliquer ici pour accéder au site de La Tribune)

    http://www.latribune.fr/vos-finances/impots/donation-succession/20110617trib000630269/aider-ses-enfants-oui-mais-jusqu-ou-.html

     

    Les jeunes majeurs n'ont jamais eu autant besoin du soutien financier familial. D'où l'importance pour les parents de connaître les limites juridiques de leur contribution et leur marge de manœuvre…./…

    Etudes supérieures, achat du premier véhicule, coups de mains ponctuels en fin de mois, apport de fonds pour financer le premier appartement, stages à l'étranger... la solidarité parentale joue à plein régime, mais pas forcément de façon égalitaire entre les différents enfants. …/… Le Code civil réserve en effet à l'enfant une quotité du patrimoine de ses parents dont il ne peut pas être déshérité, la réserve héréditaire. "Dans ce cadre, tout acte d'appauvrissement des parents, comme une donation, doit être examiné à la loupe afin de savoir s'il empiète sur la réserve des autres enfants, avertit Olivier Hernnbeger, notaire à Issy-les-Moulineaux …/… et d'écarter tout risque de remise en cause à leur décès…./…

    La loi ne traite pas toutes ces aides de la même façon. …/… obligatoires, quand elles correspondent à l'obligation alimentaire et à l'obligation d'entretien des enfants, lesquelles ne s'arrêtent pas à la majorité de l'enfant. …/… "l'obligation d'entretien dure ainsi jusqu'au moment où l'enfant a un emploi régulier. …/…D'autres aides sont considérées comme apportant des donations indirectes et, à ce titre, elles entreront dans les comptes…/… Les formaliser par écrit pour plus de sécurité et aborder la question du partage, essentielle en présence d'un enfant vulnérable, écartera les risques de conflits …/… lors d'une succession non préparée…./…

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  • Pauvreté, lutte et prévention (23 04 2011)

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 5 avril 2011 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-96614QE.htm

    Question n° 96614 de M. Jean-Pierre Kucheida (député Socialiste, radical, citoyen et divers gauche du Pas-de-Calais)

    M. Jean-Pierre Kucheida attire l'attention de Mme la ministre de l'économie, des finances et de l'industrie sur la baisse du pouvoir d'achat des ménages. En un an, le pouvoir d'achat a reculé de 0,4 %, ce qui se traduit par une perte moyenne de 15 euros mensuels pour les foyers. L'inflation, elle, a continué sa hausse en 2009 et poursuit sur cette tendance en 2010.

    Ce constat est dramatique car il signifie que les ménages français s'appauvrissent et subissent une pression budgétaire de plus en plus forte, mois après mois. Cette dégradation du niveau de vie de nos concitoyens est plus marquée encore dans les ménages sans ressources ou à très faibles revenus. Le renchérissement de toutes les denrées et de l'ensemble des besoins que les foyers doivent assumer pour pouvoir subsister dans des conditions décentes (électricité, eau, gaz, loyers, alimentation, habillement...) devient insoutenable pour les familles les plus fragiles. Exposées à la précarité, elles s'enfoncent dans la pauvreté.

    La récente annonce du gel des dépenses publiques est une nouvelle catastrophique pour ces foyers, car les aides sociales ou les bas salaires sont directement concernés par un choix qui interdira leur revalorisation. À défaut de soutenir financièrement les ménages en difficultés, il serait intéressant que l'État puisse s'engager sur le gel des prix des produits de première nécessité ainsi que des dépenses incompressibles des foyers les plus exposés.

    En conséquence, il lui demande de lui préciser sa position et les dispositions qu'elle envisage d'adopter pour protéger les familles en situation de précarité.

    Réponse  du Ministère de l’Économie, des finances et de l’industrie publiée au JO le 05/04/2011 p. 3406

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  • maintien à domicile : travaux (06 02 2011)

    Maintien à domicile : accessibilité, adaptation

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 25 janvier 2011 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-86160QE.htm

    Question n° 86160 de Mme Anne Grommerch (député UMP de Moselle)

    Mme Anne Grommerch attire l'attention de M. le secrétaire d'État chargé du logement et de l'urbanisme sur le maintien à domicile des personnes handicapées ou dépendantes. Le contact familial est une véritable source d'enrichissement et un moyen pour éviter l'isolement des personnes handicapées.

    Elle souhaiterait connaître toutes les modalités et les aides mises en place pour faciliter le maintien à domicile des personnes handicapées.

    Réponse du Ministère du Logement publiée au JO le 25/01/2011 p. 749

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  • Aide au logement : ANAH (29 01 2011)

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 18 janvier 2011 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-92438QE.htm

    Question n° 92438 de M. Jean Grenet (député UMP des Pyrénées-Atlantiques) 

    M. Jean Grenet attire l'attention de M. le secrétaire d'État chargé du logement et de l'urbanisme sur les conditions et les moyens d'intervention de l'Agence nationale de l'habitat (ANAH). En particulier, il lui demande de bien vouloir lui préciser les orientations nouvelles de cette politique en direction des propriétaires occupants et des propriétaires bailleurs.

    Réponse du Ministère du Logement publiée au JO le 18/01/2011 p. 560

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