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analyse - Page 4

  • Fonction Publique (07 04 2021)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 25 mars 2021 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    https://www.vie-publique.fr/en-bref/279134-fonction-publique-france-566-millions-dagents-1-salarie-sur-5#xtor=EPR-696.html

     

    Fonction publique : 5,66 millions d'agents publics fin 2019, soit un salarié sur cinq

    Les données annuelles de l'Insee indiquent que la France compte 5,66 millions d'agents publics employés fin 2019 avec 18 300 agents de plus par rapport à 2018 (+0,3%). Parmi eux, 67,4% ont le statut de fonctionnaire. Sur l'ensemble des trois fonctions publiques (État, hospitalière et territoriale), l’âge moyen des agents est de 43 ans et 7 mois.

    Fin 2019 en France, un salarié sur cinq travaille dans la fonction publique.

    Les derniers chiffres de l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) sur l'emploi dans la fonction publique en 2019 ont été publiés le 15 mars 2021. Hors contrats aidés, l'emploi a augmenté de 0,8% sur l'ensemble des trois versants de la fonction publique en 2019, cette hausse étant de 0,3% en prenant en compte les contrats aidés.

    Ces chiffres viennent compléter les données annuelles des effectifs dans la fonction publique par versant et par ministère de 2011 à 2019.

     

    Augmentation du nombre de contractuels de 5,2%

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  • Covid 19 : avis du Conseil Scientifique (05 04 2021)

    Nous vous proposons aujourd’hui la synthèse longue (7 pages) mais tellement importante de l’avis du Conseil scientifique (94 pages) publié le 11 mars 2021 sur le site Vie-publique  (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

     

    https://www.vie-publique.fr/rapport/279104-avis-du-conseil-scientifique-covid-110321sur-une-sortie-de-l-epidemie#xtor=EPR-526.html

    Avis du Conseil scientifique COVID-19 du 11 mars 2021 - Anticiper et différencier les stratégies pour sortir des phases aigues de l’épidémie

     

    SYNTHESE

     

    Un an après le début de l’épidémie de COVID-19 en France, le Conseil scientifique dresse un état des lieux et fait le point sur les avancées scientifiques. Il examine plusieurs stratégies de gestion de la suite de l’épidémie et plaide pour une réponse anticipée, régionale, ajustée et ciblée.

     

    1. ETAT DES LIEUX ET MESURES SPECIFIQUES

     

    Une population peu immunisée, des variants plus dangereux et des indicateurs signalant une reprise de l’épidémie.

     

    Au 1 er mars 2021, 17% des français auraient été infectés par le SARS-CoV-2 en métropole, avec deux fois plus d’infections chez les moins de 50 ans que chez les plus de 50 ans. L’âge est le facteur de risque écrasant de morbidité grave et décès lié au SARS-CoV-2, très fréquemment aggravé par les comorbidités, et les plus de 50 ans sont ainsi très touchés. Les territoires sont, eux, très diversement atteints : environ 30% des adultes en Ile-de-France contre 6% en Bretagne auraient été infectés par SARS-CoV-2.

     

    La situation actuelle s'aggrave du fait de l'apparition de variants susceptibles de dégrader l’efficacité du dispositif sanitaire : le virus historique est remplacé par le variant UK (variant B.1.1.7 dit « britannique »), plus transmissible et plus létal. Ce variant UK constitue le problème majeur actuellement en métropole. Le variant SA (variant B.1.351 dit « sud-africain »), a été détecté de manière majoritaire en Moselle (54.3%) et semble désormais diminuer (45,1%). Il est également détecté à plus de 30% dans le Grand Est et aussi à Mayotte et à la Réunion. Dans tous ces territoires, il baisse progressivement. Il est plus transmissible et sa sensibilité aux vaccins est moins bien évaluée.

     

    L’enjeu consiste toujours à faire baisser le nombre d’infections, la mortalité et la pression sur le système de santé dans un contexte où la crise devient de moins en moins supportable du fait de la dureté des mesures restrictives sur la vie quotidienne. 36 000 décès sont survenus depuis le 1 er décembre 2020. En 2021, en dépit d’un couvre-feu à 18h00 étendu à l’ensemble du territoire national, et d’une incidence stable autour de 20-25 000 nouveaux cas diagnostiqués par jour, le nombre de patients en réanimation est passé de 2 582 le 7 janvier 2021 à 3 743 le 7 mars 2021 (+45%). Nice et Dunkerque ont connu des épidémies fortes, obligeant à des évacuations sanitaires de patients en état critique, et la région Ile-de-France est fortement menacée.

     

    Des symptômes persistants pour une part importante de patients.

     

    Entre un tiers et deux tiers des patients, quel que soit leur âge, ont encore des symptômes quatre mois après leur contamination par le virus, principalement la fatigue, une dyspnée, des palpitations, des maux de tête et des troubles cognitifs. 69% de ceux qui connaissent des

    symptômes persistants considèrent que cela a un impact durable sur leur vie quotidienne. Cela montre que, même pour les personnes peu à risque de développer des formes graves, et singulièrement chez les jeunes, il existe un véritable enjeu en termes de santé personnelle à éviter une infection.

     

    Des traitements précoces des personnes à haut risque peu concluants.

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  • Fiscalité des Retraités (2/2) (14 12 2017)

    Nous vous proposons sur deux jours cette note de synthèse adoptée le 6 décembre 2017 et publiée sur le site du Conseil d’Orientation des Retraites (cliquer ici pour accéder au site du C.O.R.)

    https://webmail1e.orange.fr/webmail/fr_FR/read.html?IDMSG=90706&FOLDER=SF_INBOX&ORIGIN=&SORTBY=1&PAGE_RETURN=1.html

     

    Sommaire :

    Pourquoi ce sujet ?

    1) Les prélèvements obligatoires pesant sur les retraités

    • Quels sont les prélèvements fiscaux et sociaux pesant sur les retraités ?
    • Quel est le coût des dépenses fiscales en faveur des retraités ?
    • Comment évolue la pension nette au cours de la retraite ?
    • Les seniors paient-ils autant d’impôt sur la consommation que les plus jeunes ?
    • Les prélèvements obligatoires sur les prestations vieillesse en France sont-ils plus élevés que dans les autres pays européens ?

    2) Prélèvements obligatoires, redistribution et niveau de vie

    • Quelles sont les redistributions opérées par le système fiscal et social parmi les actifs et les retraités et quels sont leurs effets sur le niveau de vie relatif des retraités ?
    • Le système de protection sociale profite-t-il davantage aux plus âgés, ou aux générations les plus anciennes ?
    • Les redistributions opérées par le système fiscal et social sont-elles de plus grande ampleur en France que dans les autres pays européens ?

     

    • Les seniors paient-ils autant d’impôt sur la consommation que les plus jeunes ?

     

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  • Fiscalité des Retraités (1/2) (14 12 2017)

    Nous vous proposons sur deux jours cette note de synthèse adoptée le 6 décembre 2017 et publiée sur le site du Conseil d’Orientation des Retraites (cliquer ici pour accéder au site du C.O.R.)

    https://webmail1e.orange.fr/webmail/fr_FR/read.html?IDMSG=90706&FOLDER=SF_INBOX&ORIGIN=&SORTBY=1&PAGE_RETURN=1.html

    Sommaire :

    Pourquoi ce sujet ?

    1) Les prélèvements obligatoires pesant sur les retraités

    • Quels sont les prélèvements fiscaux et sociaux pesant sur les retraités ?
    • Quel est le coût des dépenses fiscales en faveur des retraités ?
    • Comment évolue la pension nette au cours de la retraite ?
    • Les seniors paient-ils autant d’impôt sur la consommation que les plus jeunes ?
    • Les prélèvements obligatoires sur les prestations vieillesse en France sont-ils plus élevés que dans les autres pays européens ?

    2) Prélèvements obligatoires, redistribution et niveau de vie

    • Quelles sont les redistributions opérées par le système fiscal et social parmi les actifs et les retraités et quels sont leurs effets sur le niveau de vie relatif des retraités ?
    • Le système de protection sociale profite-t-il davantage aux plus âgés, ou aux générations les plus anciennes ?
    • Les redistributions opérées par le système fiscal et social sont-elles de plus grande ampleur en France que dans les autres pays européens ?

     

    CONSEIL D’ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 6 décembre 2017 à 9 h30 « La fiscalité des retraités » (dossier en bref préparé par le secrétariat général du Conseil, sous la direction du président du COR)

    Pourquoi ce sujet ?

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  • EHPAD : composantes du coût journalier (données 2015) (11 09 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 14 juin 2017 sur le site de la CNSA (Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie) (cliquer ici pour accéder au texte du rapport)

    http://www.cnsa.fr/documentation/dossier_de_presse_etude_couts_ehpad_def.pdf

    Une étude présente la composition du coût d’une journée de prise en charge en EHPAD selon le profil des résidents

    La Direction générale de la cohésion sociale (DGCS), la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA), l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation (ATIH) et l’Assurance maladie ont présenté hier les premiers résultats de l’étude nationale de coûts (ENC) des établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) aux représentants du secteur.

    Cette étude permet de connaître le coût moyen d’une journée de prise en charge en EHPAD en fonction du profil des résidents accueillis. Il varie entre 80 € et 143 € par jour selon l’état de santé et le degré d’autonomie des résidents (soins de ville inclus, mais hors charges financières et de structure immobilière). Il ne s’agit pas du coût facturé aux résidents.

    L’étude objective la part de chaque composante du coût (soins dispensés, accompagnement dans les actes de la vie quotidienne, organisation du lien social, restauration, blanchisserie, hôtellerie générale) selon les groupes de résidents.

    L’étude a été réalisée à partir de 20 000 coûts de journée de prise en charge collectés auprès de 69 établissements volontaires. Les données collectées ont été redressées de façon à représenter les caractéristiques des résidents des 3 084 EHPAD tarifiés au GMPS (Groupe Iso Ressources (GIR) Moyen Pondéré Soins) ayant réalisé une coupe Pathos en 2013, 2014 ou 2015 (population de référence).

    L’intégralité des résultats de l’étude, prenant en compte les données 2015, sera éditée dans une publication de l’ATIH courant juillet 2017.

    Le financement des EHPAD

    Il repose sur :

    - l'assurance maladie pour les prestations de soins délivrées par l’EHPAD aux résidents, via la CNSA et les agences régionales de santé ;

    - les conseils départementaux pour les dépenses liées à la perte d’autonomie et éventuellement les dépenses d’hébergement, via l’allocation personnalisée d’autonomie (APA) et le cas échéant, l’aide sociale à l’hébergement (ASH) ;

    - le résident ou sa famille pour les dépenses d’hébergement et pour une partie des dé- penses de dépendance (coût du ticket modérateur) ; ces deux catégories pouvant être couvertes par l’aide sociale à l’hébergement (ASH).

    La construction du budget d’un EHPAD reflète la participation financière de ces trois acteurs au travers de trois sections tarifaires soins / hébergement / dépendance, mais celle-ci ne permet pas de connaître précisément le coût de chaque activité (ex : blanchisserie, soins…).