Risques d’ingestion de piles bouton par les jeunes enfants : adoptez les bons réflexes en cas d’accident
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Risques d’ingestion de piles bouton par les jeunes enfants : adoptez les bons réflexes en cas d’accident
https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A12223?xtor=EPR-100.html
Laits infantiles 1er âge contaminés : vérifier les boîtes que vous avez chez vous
Publié le 04 décembre 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)
Suite à la contamination par des salmonelles de 20 bébés de moins de 6 mois dans 8 régions différentes, il a été procédé au retrait et au rappel de 12 lots de laits infantiles 1er âge.
Il s'agit des lots suivants :
Lait Picot SL sans lactose, 1er âge 350g :
Lait Pepti Junior sans lactose, 1er âge 460g :
Lait Milumel, Bio 1er âge 900g, sans huile de palme :
Attention :
Il est demandé aux parents qui disposeraient encore de boîtes appartenant à ces lots de ne pas les utiliser, qu'elles soient neuves ou déjà entamées.
https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A12105?xtor=EPR-100.html
Publié le 18 octobre 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)
À l'heure où les nouvelles technologies ne cessent d'évoluer, votre enfant regarde souvent la télévision ou réclame régulièrement la tablette pour visionner ses programmes favoris ? Quelle attitude adopter en tant que parents ? Le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) vous répond.
Selon le CSA, la télévision n'est pas adaptée aux enfants de moins de 3 ans qui doivent se construire en agissant sur le monde. En effet, le développement d'un jeune enfant passe par la motricité et la capacité à interagir avec les objets (jouets, par exemple) qu'il rencontre et les adultes qui l'entourent (parents, frères et sœurs par exemple). Il doit donc utiliser activement ses 5 sens. Or, la télévision risque d'enfermer l'enfant de moins de 3 ans dans un statut de spectateur à un moment où il doit apprendre à devenir acteur du monde qui l'entoure.
Le CSA précise également que lorsque l'enfant de moins de 3 ans regarde la télévision, il reçoit plusieurs informations (image et son) qu'il ne comprend pas et qui peuvent nuire à son développement et contribuer à son agitation.
Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA)
Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA)
Publié le 19 septembre 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)
En présence d'enfants en résidence alternée (parfois encore appelée garde alternée), chaque parent peut faire prendre en compte l'enfant pour la détermination de ses droits à l'APL, mais seulement pour la période pendant laquelle il accueille l'enfant à son domicile au cours de l'année. C'est ce qu'a jugé le Conseil d'État le 21 juillet 2017.
La caisse d'allocations familiales avait refusé le bénéfice de l'APL à l'un des parents. Le tribunal administratif avait fait droit à la demande d'aide et annulé la décision de la Caf au motif que celle-ci ne pouvait se fonder sur le fait que l'enfant résidait alternativement chez ses deux parents séparés pour refuser de le prendre en compte pour l'application du barème.
Le ministre du Logement demandait l'annulation de ce jugement. Il faisait valoir que « le principe d'unicité de l'allocataire » s'opposait à la prise en compte par chaque parent de ces enfants pour déterminer le montant de l'APL.
Son pourvoi est rejeté. Pour le Conseil d'État, les enfants en situation de résidence alternée doivent être considérés comme vivant habituellement au foyer de chacun de leurs deux parents. Ils doivent donc être pris en compte pour le calcul de l'APL sollicitée, le cas échéant, par chacun des deux parents. Mais ceux-ci ne peuvent prétendre à une aide déterminée sur cette base qu'au titre de la période cumulée pendant laquelle il accueille effectivement l'enfant à son domicile au cours de l'année.
Jean-Noël Guérini appelle l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur le manque de transparence concernant la composition des couches pour bébé.
En effet, une étude du magazine 60 millions de consommateurs a mis en évidence des « substances potentiellement toxiques » dans dix des douze produits testés. On y trouve ainsi des résidus de pesticides, comme le glyphosate — récemment classé cancérogène probable par le centre international de recherche sur le cancer (Circ) —, des dioxines, des hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) et des traces de composés organiques volatils, lesquels sont connus pour créer des irritations de la peau, des muqueuses mais aussi des parois pulmonaires. Cela concerne non seulement les couches jetables conventionnelles, conçues avec de la cellulose et différentes matières plastiques, mais également les modèles dits écologiques. Or, si les seuils réglementaires ne sont pas dépassés, aucune évaluation des risques n'a été faite concernant une exposition toute la journée, toute la nuit, pendant deux ans, sachant que les muqueuses génitales sont plus sensibles que l'épiderme. De surcroît, les tout-petits sont exposés à d'autres résidus potentiellement toxiques via d'autres produits de consommation courante, comme les produits d'hygiène, les jouets, l'alimentation.
En conséquence, il lui demande ce qu'elle compte mettre en œuvre pour évaluer scientifiquement les risques et s'il ne serait pas opportun, par principe de précaution, comme le préconise l'étude, d'instaurer une réglementation spécifique qui prévoie des contrôles plus stricts et oblige les fabricants à détailler la composition de leurs produits sur les emballages.
Alain Marc attire l'attention de Mme la ministre des familles, de l'enfance et des droits des femmes sur le versement des prestations familiales en cas de garde alternée d'un enfant.Selon les textes en vigueur, en cas de résidence alternée d'un enfant au domicile de chacun des parents à la suite d'une séparation ou d'un divorce, les parents peuvent désigner un allocataire unique pour les allocations familiales ou demander qu'elles soient partagées.
Cependant, la caisse d'allocations familiales continue, aujourd'hui, de privilégier l'unicité de l'allocataire, alors que de nombreux parents ont la garde alternée de leur enfant. Cette unicité de l'allocataire a pour effet d'exclure du droit aux prestations familiales certains parents qui assument pourtant la charge effective et permanente dans les mêmes conditions que le parent désigné comme allocataire principal. L'unicité de l'allocataire entraîne ainsi une véritable discrimination à l'égard des familles recomposées.
En conséquence il lui demande de lui indiquer les mesures qu'elle envisage de prendre afin de rétablir une juste répartition du versement des prestations familiales aux deux parents en situation de garde alternée de leur enfant.