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pollution - Page 5

  • Vers la fin du plastique jetable (26 06 2020)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 4 juin 2020 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)  

    https://www.vie-publique.fr/eclairage/274413-vers-la-fin-du-plastique-jetable#xtor=EPR-696.html

    Vers la fin du plastique jetable ?

    La crise sanitaire provoquée par le coronavirus a relancé la consommation de produits à usage unique souvent fabriqués en matière plastique. Pourtant, face à l’urgence climatique, la France a fixé des objectifs pour faire disparaître le plastique à usage unique d'ci 20 ans.

    D'ici 2040, les plastiques à usage unique vont être interdits en France. C'est ce que prévoit la loi du 10 février 2020 relative à la lutte contre le gaspillage et à l'économie circulaire. Cette interdiction va induire des changements dans les modes de consommation et de production en France. Elle est l'aboutissement d'un long processus et d’une vaste prise de conscience relative aux enjeux environnementaux.

     

    Changer la façon de consommer et de produire : du plastique à usage unique au plastique recyclé

    Le plastique à usage unique se définit simplement : il ne peut être utilisé qu’une seule fois avant d’être jeté. La loi du 10 février 2020 met l’accent sur le traitement des déchets, notamment plastiques.

    Afin de favoriser la réduction, le réemploi, la réutilisation et le recyclage des emballages plastiques à usage unique, des mesures doivent être définies par décret avant le 1er janvier 2022. Précisons que d'après l'article L541-1-1 du code de l'environnement , le réemploi désigne "toute opération par laquelle des substances, matières ou produits qui ne sont pas des déchets sont utilisés de nouveau pour un usage identique à celui pour lequel ils avaient été conçus", et la réutilisation "toute opération par laquelle des produits qui sont devenus des déchets sont utilisés de nouveau". Centrées sur la production du plastique et sur le tri, les futures mesures auront pour but de :

    • mieux concevoir le matériau pour qu’il soit systématiquement recyclable ;
    • faciliter sa collecte grâce de nouveaux dispositifs (la consigne, par exemple) ;
    • favoriser l’incorporation du plastique recyclé dans les nouveaux objets produits.

    De multiples objets de la vie courante peuvent être fabriqués avec du plastique recyclé. Ainsi, les bouteilles et flacons en plastique transparent, une fois recyclés, peuvent fournir de la fibre textile servant au rembourrage des couettes, des sacs de couchage et des peluches. À partir de sept bidons de lessive, on peut confectionner un siège auto pour enfants, et avec six pots de yaourt, un cintre.

    Emmanuel Macron a pris l'engagement, durant la campagne présidentielle, de parvenir à 100% de plastiques recyclés d’ici 2025. Cependant, la France accuse un retard dans ce domaine. Avec un taux proche de 26% en 2016 – selon une étude de PlasticsEurope, association professionnelle des producteurs européens de plastiques –, elle se situe loin derrière ses voisins européens : l'Allemagne (50%), le Royaume-Uni (46%), l'Espagne (45,4%) et l'Italie (41%). Ce faible score s’explique à la fois par le coût élevé du recyclage comparé au coût de production initial, et par le taux trop bas d’emballages triés par les consommateurs. Un dispositif de consigne inspiré du modèle allemand est notamment envisagé : le consommateur ayant rapporté ses emballages à la borne de collecte se verrait récompensé par un bon d'achat ou la possibilité de faire un don à une association.

    Outre ses objectifs en matière de recyclage, la France a pris diverses mesures pour tenter de mettre fin au plastique à usage unique.

    Des interdictions effectives et d'autres à venir

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  • Economie circulaire, gaspillage (20 03 2020)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 12 février 2020 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

     

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A13849?xtor=EPR-100.html

     

    Contre le gaspillage et pour l'économie circulaire : ce que prévoit la loi

    Publié le 12 février 2020 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Développement de la vente en vrac, fourniture de contenants réutilisables, possibilité d'apporter ses propres récipients, interdiction de l'impression et de la distribution systématique des tickets de caisse, interdiction de produits plastiques à usage unique, fin des étiquettes sur les fruits et légumes... La loi relative à la lutte contre le gaspillage et à l'économie circulaire est parue au Journal officiel du 11 février 2020.

    La loi prévoit notamment que :

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  • Vignette Crit’air (16 10 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 18 février 2019 sur le site de l’Agence de l’Environnement et de la Maitrise de l’Energie (cliquer ici pour accéder au site de l’ADEME)

     

     https://www.ademe.fr/particuliers-eco-citoyens/deplacements/vignette-ecologique-critair.html

     

    La vignette écologique « Crit’Air » 

    Depuis le 1er juillet 2016, les particuliers peuvent commander la vignette écologique Crit’Air pour leur voiture ou leur deux-roues. Elle permet de bénéficier d’avantages de circulation et de stationnement.

    Une vignette pour lutter contre la pollution de l’air

    critair-gamme.jpg

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  • Circulation et vignette Crit’air (17 09 2019)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 12 septembre 2019 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2019/qSEQ190610945.html

     

    Question écrite n° 10945 de Mme Catherine Dumas (sénatrice de Paris)

    Mme Catherine Dumas interroge M. le ministre de l'intérieur sur les mesures mises en place par la préfecture pour accompagner l'interdiction de circuler dans la capitale pour les véhicules porteurs de la vignette crit'air 4.


    Elle rappelle que les véhicules porteurs de cette vignette crit'air 4 seront interdits de circuler dans Paris, à compter du 1er juillet 2019. Elle souligne que, rien qu'en Île-de-France, plus d'un million de véhicules seront concernés par cette interdiction de circuler en semaine, entre 8 heures et 20 heures. Elle note qu'à deux semaines de la mise en place de cette mesure d'interdiction, aucune communication au grand public, ni même l'envoi d'un courrier aux propriétaires des véhicules concernés en Île-de-France n'ont, à ce jour, été engagé par les autorités.

     

     Elle souhaite donc connaitre les moyens envisagés pour que cette information puisse parvenir, dans les délais, aux très nombreuses personnes concernées, qu'il s'agisse de professionnels ou de particuliers.

     

    Réponse du Ministère de l'intérieur publiée dans le JO Sénat du 12/09/2019 p. 4673

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  • Pollution de l’air : particules, trafic routier (19 08 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 16 juillet 2019 sur le site de l’Agence Nationale de Sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (cliquer ici pour accéder au site de l’ANSES)

    https://www.anses.fr/fr/content/pollution-de-l%E2%80%99air-nouvelles-connaissances-sur-les-particules-de-l%E2%80%99air-ambiant-et-l%E2%80%99impact.html

    Pollution de l’air : nouvelles connaissances sur les particules de l’air ambiant et l’impact du trafic routier

    L’Anses publie ce jour les résultats de son expertise relative aux particules de l’air ambiant. A partir d’une revue méthodique de la littérature scientifique, l’Anses confirme avec des niveaux de preuve forts, les effets sur la santé (atteintes respiratoires et cardiovasculaires et décès anticipés) liés à certaines composantes des particules de l’air ambiant dont les particules ultrafines, le carbone suie et le carbone organique. Aussi, l’Agence recommande de prendre en compte en priorité ces trois indicateurs particulaires dans les politiques publiques relatives à l’air. L’Anses confirme également avec des niveaux de preuve forts, les effets sur la santé de l’exposition à différentes sources d’émission en particulier le trafic routier, la combustion de charbon, de produits pétroliers et de biomasse et insiste donc sur la nécessité d’agir sur ces sources d’émission. Par ailleurs, au vu de la rareté des données, l’Anses recommande de poursuivre les efforts de recherche sur les effets sur la santé associés à d’autres sources de particules telles que l’agriculture, le transport maritime, l’activité aéroportuaire. Concernant les émissions de polluants issues du trafic routier, l’Agence conclut que les évolutions de technologies du parc de véhicules permettront une diminution plus ou moins marquée de la pollution de l’air ambiant selon les scénarios, mais qu’elles seront insuffisantes pour améliorer, à elles seules, la qualité de l’air ambiant dans les agglomérations. L’Anses recommande ainsi d’encourager la promotion des technologies alternatives et surtout la réduction du trafic, à travers notamment le renforcement des autres modes de mobilité, dans le cadre des politiques d’amélioration de la qualité de l’air.

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  • Microplastiques (19 07 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 12 juillet 2019 depuis le site du Commissariat général au développement durable (cliquer ici pour accéder au n° de juillet-aout 2019 de Savoirs pour l’action)

    http://r.assets.developpement-durable.gouv.fr/mk/mr/v5cx6oVxyo45IyYDiGymUGrM3Nusx80fgSgj_CpeP4kr2iQTQqDtSEkMT9YEU93spDZfdV6rDSGNU39URS_fY1pXYPOPxmJjdyGZ99V1MDWszFFFOOwuJCcG7ZA3mU-9.html

     

    Les microplastiques, présents dans tous les milieux

    D’où viennent-ils ?

    Les microplastiques sont des particules de 0,1 à 5 mm (fragments, fibres, granules, perles ou paillettes), issues de l’abrasion ou la dégradation des plastiques d’emballages, d’objets, de vêtements en fibres synthétiques, des microbilles des cosmétiques. Les recherches scientifiques ont montré la présence de ces microparticules dans les sols, les rivières, l’atmosphère et même l’alimentation.

     

    Où vont-ils ?

     

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