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retraiteshospitaliers64 - Page 735

  • OGM : étiquetage « nourri sans OGM (15 04 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiée le 14 mars 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ130204536.html

     

    Question écrite n° 04536 de M. Alain Fauconnier  (sénateur socialiste de l’Aveyron)

    M. Alain Fauconnier attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt sur l'étiquetage « Nourri sans OGM ». L'UFC-Que Choisir vient de rendre public, un an jour pour jour après la publication du décret autorisant la mention « Nourri sans OGM » sur les produits d'origine animale, les résultats de son enquête épinglant la trop faible présence en magasin de cet étiquetage pourtant réclamé par les consommateurs.

    Ainsi, dans le sud du département de l'Aveyron, l'UFC-Que Choisir a diligenté une enquête dans cinq grandes surfaces pour vérifier la disponibilité et la valorisation des produits portant la mention « Nourri sans OGM ». Or force est de regretter que l'appétit pour des produits « Sans OGM » n'a pas été rassasié. En ce qui concerne les marques nationales, si les rayons de la grande distribution alignent des dizaines de références parmi les aliments recherchés, s'agissant en revanche du « Nourri sans OGM », les enquêteurs n'ont trouvé dans ces magasins que trois produits alimentaires : les volailles et les œufs des Fermiers de Loué, ainsi que le saumon fumé sous vide de Labeyrie.

    En outre, pour ce qui est des marques de distributeurs (MDD), sur les cinq enseignes visitées, pas moins de trois font l'impasse sur le « Sans OGM ». Dans ce triste palmarès, une seule enseigne se distingue en proposant des produits « Sans OGM » sous ses marques propres : Simply market du groupe Auchan pour les volailles. Si l'indisponibilité actuelle de produits laitiers « Sans OGM » peut s'expliquer par la longueur de la mise en place de cette filière, pour les autres aliments en revanche les professionnels ne peuvent arguer de la récente entrée en vigueur de la réglementation, puisque les contours des modalités de communication du « Sans OGM » étaient connus dès 2008.

    De plus, sur le « sans visibilité » du « Sans OGM », aucun magasin de Millau et Saint-Affrique n'aide les consommateurs à trouver les produits « Sans OGM » dans les rayons. Quant aux étiquetages figurant sur les produits eux-mêmes, si les produits de marque Auchan bénéficient d'un marquage bien visible, la mention « Nourri sans OGM » des Fermiers de Loué ou de Labeyrie se remarque à peine. En outre, l'enquête de l'UFC-Que Choisir Millau / Saint-Affrique souligne qu'il n'y a pas de différence de prix entre les deux filières. En effet, au niveau national, les prix du jambon et du saumon fumé sous vide « Nourris sans OGM » sont respectivement 4 % moins cher et 0,3 % plus cher que leurs homologues conventionnels !

    Par conséquent, il le remercie de bien vouloir lui indiquer la position du Gouvernement dans ce domaine.

    Réponse du Ministère de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt publiée dans le JO Sénat du 14/03/2013 p. 870


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  • Grand Prix de Champignac 2012 (1/8) (14 04 2013)

    Nous proposons ces prochains dimanches, avec humilité et gourmandise, la publication annuelle du palmarès (décembre 2012) de l’humour involontaire (articles ou déclarations en politique, sports, loisirs ou société) détecté par l’académie suisse du Grand Prix de Champignac (cliquer ici pour accéder au site du Grand Prix de Champignac)

    http://www.distinction.ch/LD.Champignac/LD.Champignac2012.html

    Champignac d’Or 2012

    Patrick Stoudmann, juge, pour:
    «Or l’article de M. Nordmann ne prétend pas qu’il faut coucher pour obtenir une patente de restaurateur, mais laisse entendre qu’il est utile d’être introduit

    Champignac d'Argent 2012
    Céline Amaudruz, présidente de l'UDC genevoise, pour:
    «Monsieur Maudet vomit sur l'UDC depuis beaucoup de temps: ça, c'était dur à faire avaler.»

    Mentions spéciales

    Mention Double Apnée
    Olivier Favre, plongeur loclois, pour:
    «Ils [les dauphins] arrivent à faire trois périlleux arrières et à retomber sur la queue. Il y a des trucs que nous n’arrivons pas à faire.»

    Mention Faites entrer l'accusé
    Olivier Piccard, préfet du district vaudois de la Broye-Vully, pour:
    «Si pour chaque sujet délicat, un huis clos est prononcé, c'est la porte ouverte à tout ! »

    Mention Fortalis
    Manuel Tornare, conseiller national (PS-GE), pour:
    «Je ne veux pas avoir un pied à Berne et un pied à Genève, sinon je vais finir avec un torticolis.»

    …/…

  • Inflation : mars 2013 (13 04 2013)

    Note d’analyse publiée le 11 avril 2013 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=29&date=20130411.html

    Hausse des prix à la consommation de 0,8 % en mars 2013 ; augmentation de 1,0 % sur un an

    Évolution mensuelle : +0,8 % ; variation sur un an : +1,0 %

    En mars 2013, l’indice des prix à la consommation (IPC) croît de 0,8 % après avoir augmenté de 0,3 % en février. Sur un an, il s’accroît de 1,0 % en mars, comme en février. Hors tabac, l’IPC est également en hausse de 0,8 % en mars (+0,9 % sur un an, comme en février). Corrigé des variations saisonnières, il augmente de 0,3 % en mars et de 1,0 % sur un an (après +1,1 % en février 2013). En mars 2013, la hausse des prix provient, pour l’essentiel, de celles des produits manufacturés après la fin des soldes d’hiver et, dans une moindre mesure, de celles de certains services liés aux vacances d’hiver ainsi que de l’augmentation saisonnière des prix des produits frais. A contrario, les prix de l’énergie, notamment ceux des produits pétroliers, se sont repliés en mars.

    Rebond des prix des produits manufacturés après les soldes d’hiver

     

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  • Hygiène bucco-dentaire : politique (12 04 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 14 mars 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ121102860.html

     

    Question écrite n° 02860 de Mme Michelle Demessine (sénateur CRC du Nord)

    Mme Michelle Demessine attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur la politique du Gouvernement en matière d'hygiène bucco-dentaire.

    En effet, dans un rapport en date de juillet 2010, l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS) indique que « les pathologies dentaires non soignées entraînent des conséquences sanitaires collectives : pathologies générales aggravées, difficultés d'insertion, problèmes esthétiques d'où perte d'image de soi et relations sociales difficiles, dégradation de l'état général des personnes âgées dépendantes ». 

    L'IGAS pointe du doigt « un retard français en matière de prévention et d'hygiène bucco-dentaire flagrant malgré les actions menées par l'assurance maladie et les chirurgiens-dentistes ». Elle souligne « qu'il existe des gains de santé potentiels importants dans l'amélioration du comportement des personnes en matière d'hygiène bucco-dentaire ». 

    Elle souhaiterait donc savoir quelles mesures entend prendre le Gouvernement pour que l'État s'investisse pleinement dans une politique d'hygiène bucco-dentaire.

    Réponse du <ministère des Affaires Sociales et de la Santé publiée dans le JO Sénat du 14 03 2013, p. 868

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  • Economie France : ventes en janvier 2013 (11 04 2013)

    Note d’analyse (hors tableaux et graphiques) publiée le 3 avril 2013 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=94&date=20130403.html

    En janvier 2013, le volume des ventes diminue dans le commerce et réparation d’automobiles et motocycles, l’hébergement et restauration et les services aux ménages

    Avertissement : à partir de la campagne de janvier 2013, les indices de chiffre d’affaires et de volume des ventes sont calculés en base et référence 100 en 2010.

    Les indices commentés dans ce numéro d’Informations Rapides sont corrigés des variations saisonnières et des effets de calendrier (CVS-CJO). Hormis les indices issus de l’enquête Emagsa, ils sont « en volume », c'est-à-dire calculés en éliminant l'impact des variations de prix.

    En janvier 2013, le volume des ventes diminue par rapport au mois précédent dans le commerce et réparation d’automobiles et de motocycles (–1,6 %), l’hébergement et restauration (–1,6 %) et les services aux ménages (–1,0 %). À l’inverse, il progresse très légèrement dans le commerce de détail hors automobiles et motocycles (+0,2 %).

    Légère hausse du commerce de détail hors automobiles et motocycles

     

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  • Avenir de la filière solaire (10 04 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiée le 28 février 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ12100149S.html

    Question orale sans débat n° 0149S de M. Michel Teston (sénateur socialiste de l’Ardèche)

    Selon les préconisations de la feuille de route pour la transition écologique issue des travaux de la Conférence environnementale, le Gouvernement a annoncé, le 7 janvier dernier, des mesures d'urgence pour la relance de la filière photovoltaïque.

    Outre le doublement à 1 000 mégawatts de l'objectif annuel de développement, ces mesures intègrent, notamment, des critères environnementaux et des systèmes de bonification qui expriment clairement la volonté de relancer le développement de la production d'énergie solaire en France.

    Ces mesures étaient attendues par la filière. Cependant, de nombreuses entreprises porteuses de projets photovoltaïques, qu'ils concernent de grandes installations, au-delà de 250 kilowatts, ou des installations de taille moyenne, entre 100 et 250 kilowatts, sont dans l'expectative, car elles sont inquiètes des délais de mise en œuvre des prochains appels d'offres et de l'abaissement de 20 % du tarif de rachat T5, lequel est destiné aux installations ne remplissant pas les conditions de taille ou d'intégration définies.

    C'est notamment le cas en Ardèche où beaucoup de projets de petites installations et d'installations de taille moyenne ont été bloqués à la suite du moratoire de décembre 2010 et où aucun des projets de grandes installations, soutenus ou engagés par les collectivités territoriales, n'a été retenu dans le cadre des appels d'offres de 2012.

    La plupart de ces projets, conçus dans un objectif de développement économique local maîtrisé, sont aujourd'hui en attente et les délais jusqu'aux prochains appels d'offres - début 2014 pour les grandes installations et fin 2013 pour les installations de taille moyenne - risquent de mettre en difficulté les entreprises concernées, avec le préjudice que cela impliquerait pour la filière photovoltaïque française.

    Quelles réponses pouvez-vous apporter pour apaiser les inquiétudes sur l'avenir qu'expriment tant les porteurs de projet que les collectivités territoriales impliquées ?

    Réponse du Ministère chargé des transports, de la mer et de la pêche publiée dans le JO Sénat du 20/02/2013 – p. 1341

     

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