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retraiteshospitaliers64 - Page 966

  • développement durable : indicateurs (10 07 2009)

    Les indicateurs du développement durable et l’empreinte écologique

    Etude de M. Philippe Le Clézio, membre du Conseil Economique, Social et Environnemental (CESE) : note de Présentation publiée le 2 juin 2009 sur le site du CESE (cliquer ici pour accéder au site du CESE et pour lire l’étude complète)

    http://www.conseil-economique-et-social.fr/ces_dat2/2-3based/base.htm

    Aux termes de la loi de programme relative à la mise en œuvre du Grenelle de l’environnement adoptée par le Parlement en février 2009, l’État se fixe pour objectif de disposer, en 2010, d’indicateurs à l’échelle nationale. Dans cette perspective, le Premier ministre, par lettre du 20 janvier 2009, a soumis au Conseil économique, social et environnemental les trois questions suivantes : «  De quelle information les hommes politiques, les citoyens et les acteurs économiques doivent-ils disposer pour prendre des décisions ou adopter des comportements favorables à un développement durable ? Quels indicateurs phares doit-on retenir pour envoyer les signaux les plus lisibles ? L’empreinte écologique doit-elle en faire partie ?  » .

    Notre assemblée a articulé sa réflexion selon trois parties :

    - la première, une fois rappelées les limites du PIB et des indicateurs économiques traditionnels, examine les enjeux de l’intégration de l’impératif de la durabilité dans nos représentations statistiques. Il s’agit d’orienter les décisions publiques et les comportements des agents économiques dans un sens favorable au développement durable, c’est-à-dire qui respecte l’environnement, conforte la cohésion sociale, assure toujours plus largement la satisfaction des besoins de la population, en préservant celle des générations futures. Cela suppose une meilleure association des citoyens au débat sur le développement ;

    - la deuxième analyse la problématique de la mise en place d’indicateurs du développement durable pour répondre aux besoins des décideurs et des observateurs spécialisés mais aussi pour l’information du plus grand nombre ;

    - la dernière évalue la pertinence de l’empreinte écologique, en mettant en évidence ses apports et ses limites.

    Cette réflexion, conduite en parallèle de celle de la «  commission sur la mesure de la performance économique et du progrès social  » mise en place par le Président de la République et présidée par Joseph Stiglitz, débouche sur un ensemble de sept recommandations visant à enrichir la statistique publique et développer son usage par les citoyens. L’avis insiste tout particulièrement sur la nécessité de les associer à la définition des indicateurs à même de fournir une appréhension globale des évolutions de notre société puisqu’à travers leur choix ce sont, en réalité, des choix de société, des choix politiques au sens le plus profond du terme, qui sont opérés.

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  • prix pétrole et matières premières (09 07 2009)

    La hausse du prix du pétrole s’est de nouveau accentuée en juin

    Prix du pétrole et des matières premières importées – Juin 2009

    Note lue le 8 juillet 2009 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=79&date=20090708

     

    Avertissement : le prix du minerai de fer est déterminé une fois par an par des contrats d’approvisionnement annuels, à l’issue de négociations entre sidérurgistes et sociétés minières. Pour 2009, la baisse du prix a été fixée à -28,2 %. Une révision de la série et des indices associés a été effectuée depuis le début de l’année.

    En juin, la hausse du prix du pétrole s’est de nouveau accentuée, celui-ci atteignant 68,5 $ le baril en moyenne. Les prix des matières premières hors énergie importées par la France ont également accéléré : +4,9 % après +3,1 % en mai.

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  • toxicodépendance (2) (08 07 2009)

    La toxicodépendance : législation (1e partie) et dangers (2e partie)

     

    2e partie d’une Fiche technique lue le 6 juillet 2009 sur le site du Ministère de la Justice (cliquer ici pour accéder au site du Ministère de la Justice)

    http://www.vos-droits.justice.gouv.fr/index.php?rubrique=10062&ssrubrique=10192&article=11143

     

    La toxicodépendance est le fait de ne plus pouvoir se passer d'une substance psychoactive, c'est-à-dire d'une substance ou d'un produit qui agit sur le cerveau et donc sur le comportement de l'individu.

    Si le terme de "drogue" est le plus souvent utilisé pour désigner les produits stupéfiants, il n'en demeure pas moins que peut être qualifié de "drogue", tout produit susceptible de provoquer un état de dépendance psychique, ce qui inclut donc le tabac et l'alcool.

    Quelle que soit la dénomination de ces produits, le législateur, conscient des dangers qu'ils représentent pour le consommateur lui-même et la société en général, a entendu strictement interdire leur usage (stupéfiants) ou en réglementer la consommation (tabac, alcool).

     

    2 ème partie : les dangers (voir 1ere partie publiée le 7 juillet 2009)

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  • toxicodépendance (1) : législation (07 07 2009)

    La toxicodépendance : législation (1e partie) et dangers (2e partie)

    Fiche technique lue le 6 juillet 2009 sur le site du Ministère de la Justice (cliquer ci-dessous pour accéder au site du Ministère de la Justice)

    http://www.vos-droits.justice.gouv.fr/index.php?rubrique=10062&ssrubrique=10192&article=11143

     

    La toxicodépendance est le fait de ne plus pouvoir se passer d'une substance psychoactive, c'est-à-dire d'une substance ou d'un produit qui agit sur le cerveau et donc sur le comportement de l'individu.

    Si le terme de "drogue" est le plus souvent utilisé pour désigner les produits stupéfiants, il n'en demeure pas moins que peut être qualifié de "drogue", tout produit susceptible de provoquer un état de dépendance psychique, ce qui inclut donc le tabac et l'alcool.

    Quelle que soit la dénomination de ces produits, le législateur, conscient des dangers qu'ils représentent pour le consommateur lui-même et la société en général, a entendu strictement interdire leur usage (stupéfiants) ou en réglementer la consommation (tabac, alcool).

    1 ère Partie : La législation en vigueur

     

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  • défibrillateurs (installation) (06 07 2009)

    Défibrillateurs

    Question sénatoriale et réponse ministérielle publiée sur le site du Sénat le 26 juin 2009 (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ09060340G&idtable=q217212|q217213|q217214|q217215|q217216|q217217|q217218|q217219|q217220|q217221&&rch=qs&de=20090615&au=20090703&dp=3+ans&radio=deau&aff=ar&tri=da&off=0&afd=ppr&afd=ppl&afd=pjl&afd=cvn

     

    Question d'actualité au gouvernement n° 0340G de M. Alex Türk (sénateur non-inscrit du Nord)

    Depuis trois ans, avec ma collègue Sylvie Desmarescaux, nous avons pris l'initiative de développer, dans le département du Nord, un projet d'installation de défibrillateurs cardiaques dans les communes. Nous menons ce projet en liaison avec les maires, et nous fêterons, dans quelques jours, l'installation du millième appareil, dans un territoire qui compte un peu moins de 400 communes.

     
    Vous connaissez cette initiative, madame la ministre, puisque vous êtes venue dans notre département, voilà un an et demi environ, pour lancer le plan de développement de ces appareils dans le milieu sportif.

     
    Si tout se passe bien dans l'ensemble, nous rencontrons cependant deux difficultés.

    Tout d'abord, l'article 1er du décret du 4 mai 2007, qui libéralise l'usage du défibrillateur, n'est pas encore totalement appliqué, notamment s'agissant de deux dispositions très importantes.

    La première concerne la localisation en amont des appareils, qui permet aux pompiers et aux services de secours du SAMU, dans les situations d'urgence, de gagner un temps précieux en se rendant directement sur les lieux.

     
    La seconde mesure concerne la collecte des informations sur la survenance de ce type d'accidents et l'usage de l'appareil, ce qui doit permettre aux chercheurs de développer des recherches épidémiologiques afin de mieux comprendre les causes de cette affection, la défibrillation cardiaque, et favoriser la mise en place d'une véritable politique de prévention.

    Aujourd'hui, comme vous le savez, nous nous heurtons à une vraie difficulté puisque le dispositif n'est pas encore en place. Ce sont à la fois la bonne volonté du SAMU et de nos permanences parlementaires, celle de Sylvie Desmarescaux et la mienne, qui permettent d'assurer la centralisation de manière artisanale. Il est donc urgent de mettre en application ce dispositif.

    Se pose ensuite le problème de la signalisation. Alors que, dans une situation d'urgence, chacun peut facilement reconnaître un extincteur, car cet appareil bénéficie d'une signalétique uniforme, ce n'est pas le cas pour les défibrillateurs cardiaques qui, dans notre département, arborent des couleurs – rouge, vert, jaune, etc – et des symboles divers.

     
    Il faut donc absolument uniformiser cette signalétique, probablement sur le plan européen, afin de faire naître des réflexes civiques. Je vous rappelle que, grâce à ce dispositif, nous avons déjà sauvé plusieurs personnes dans le Nord. Il serait intéressant de réfléchir à une généralisation de ce système.

     

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  • portage de repas (04 07 2009)

    Aide sociale aux personnes âgées : portage de repas

     

    Note technique lue le 3 juillet 2009 sur le site Service Public (cliquer ici pour accéder au site Service Public)

    http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/F249.xhtml

     

     

    Ce service peut être mis en place par certaines collectivités locales 

    Il est réservé aux personnes ne pouvant sortir de chez elles en fonction de leur état physique, pour une courte durée, en principe dans des situations exceptionnelles. 

    Ils sont organisés à partir de foyers restaurant, de maisons de retraite ou de toute autre structure de restauration collective. 

     

    Coût 

    Il est partagé entre la collectivité locale et le bénéficiaire, en fonction de ses revenus. 

    Une partie peut être prise en charge par l'aide sociale. L'organisme doit être pour cela habilité, et le prix du service modéré. 

     

    Pour toute information, adressez-vous: 

    ·                         soit au centre communal d'action sociale (ex bureau d'aide sociale) de votre commune, 

    ·                         soit à l'assistante sociale du secteur dont dépend votre domicile. 

     

     

    Pour plus d'information, les services à contacter :

     [ Choisissez votre commune]