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  • Limitation de vitesse à 80km/h : aménagements (07 07 2020)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 14 mai 2020 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2019/qSEQ190208964.html

     

    Question écrite n° 08964 de M. François Grosdidier (sénateur de Moselle)

    François Grosdidier attire l'attention de M. le ministre de l'intérieur au sujet de la limitation de vitesse à 80 km/h sur le réseau routier secondaire. Le comité interministériel de la sécurité routière, réuni le 9 janvier 2018 par le Premier ministre, avait décidé de l'abaissement de 90 à 80km/h de la vitesse maximale autorisée sur les routes bidirectionnelles à une seule voie par direction et sans séparateur central appartenant au réseau secondaire, géré par les départements. Cet abaissement a été acté par le décret n° 2018-487 du 15 juin 2018. Si l'objectif est de réduire le nombre de morts et d'accidents sur ces routes, souvent plus dangereuses que les autoroutes ou que les voies en agglomération, c'est bien la méthode et l'uniformité de la décision qui sont contestables. Un premier bilan de cette expérimentation doit intervenir au 1er juillet 2020.

     

    Or, lors du grand débat national impliquant les maires de l'Eure et le président de la République le 15 janvier 2019 à Grand-Bourghteroulde, ce dernier a annoncé de possibles aménagements à cette mesure très mal vécue tant par les Français (76 % d'entre eux y seraient opposés selon un sondage) que par les collectivités territoriales. Le ministre de l'intérieur a également déclaré, durant ce mois de janvier 2019, que le Gouvernement serait prêt à annuler la réforme s'il s'avérait qu'elle n'aurait servi à rien. La mission d'information du Sénat sur la sécurité routière appelait dès l'année 2018 à mieux cibler cette mesure particulièrement contestée dans les zones rurales, dans lesquelles particuliers et entreprises voient leurs trajets rallongés pour un bénéfice incertain. Aujourd'hui pas plus qu'hier un président de conseil départemental ou un maire pour les portions se trouvant sur sa commune ne peuvent moduler comme ils le souhaitent la vitesse maximale, que ce soit à la baisse sur des routes dangereuses, ou à la hausse quand la situation mériterait un 90 km/h.

     

    La mission proposait alors une mesure de bon sens : décentraliser plutôt que d'uniformiser la vitesse sur toutes les routes nationales et départementales, afin d'adapter les décisions nationales à la réalité des territoires. Cette modulation pourrait être concertée lors de conférences départementales de la sécurité routière réunissant les élus, le préfet et la gendarmerie.

     

    Il lui demande donc si une application en cas par cas de la réduction de la vitesse maximale est envisagée avant le terme de l'expérimentation le 1er juillet 2020 et, si oui, si le Gouvernement compte confier aux conseils départementaux et aux maires la modulation des vitesses, ce qui serait logique au regard du fait que ce sont ces collectivités à qui l'État a confié l'entretien des routes départementales, et une partie des routes nationales.

     

    Réponse du Ministère de l'intérieur publiée dans le JO Sénat du 14/05/2020 p. 2236

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  • Autorite parentale (06 07 2020)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 18 mars 2020 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

     

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A13928?xtor=EPR-100.html

     

    Autorité parentale : chaque parent doit veiller à présenter ses demandes au juge

    Publié le 18 mars 2020 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

     

    Le juge aux affaires familiales peut rendre une décision sur les droits de visite et d'hébergement d'un parent sur son enfant mineur même si un seul des parents a fait une proposition à ce sujet.

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  • Grand Prix du Maire de Champignac (palmarès annuel 2013 à 2019) (61/80) (05 07 2020)

    Après les séries précédentes (2005 à 2012), nous reprenons avec humilité et gourmandise, la publication (3 à 5 par dimanche, pour ne pas dépasser la dose prescrite) d’extraits d’articles ou de déclarations en politique, sports, loisirs ou société dont l’humour involontaire fleurit grâce à l’académie suisse du Grand Prix de Champignac dans son palmarès de 2013 à 2019 (cliquer ici pour accéder au site du Grand Prix de Champignac)

    http://www.distinction.ch/LD.Champignac/LD.Champignac.html

    Grand prix du maire de Champignac (2018)

    .../...

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  • Rappel de produits (mise à jour du 03 07 2020) (04 07 2020)

    Comme chaque samedi, nous proposons ici la liste des avis de rappel  publiés récemment (semaines n et n-1) sur le site de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) du Ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site de la DGCCRF)

    https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/securite/avis-rappels-produits.html

    NDLR du Blog : Les avis de rappels de produits sur le site de la DGCCRF comportent une fiche (photo, produit, société, nature du risque) de l’article concerné

     

    Nom du produit : Gloop noise putty
    Fournisseur : RMS / Référence RMS 05-0207
    Marque indiquée sur le produit : TOY HUB
    Référence La Foirfouille : 10000210561
    Lot : 224424-1
    Risque : Migration de l'élément bore supérieure à la limite normative entraînant un risque d'intoxication pour l'utilisateur.
    Commentaire : L'utilisateur est invité à cesser d'utiliser ce produit et à le rapporter en magasin (avec la preuve d'achat) pour obtenir son remboursement.

     

    Nom du produit : Brioche bio Bonneterre 500g et Brioche tressée bio Bonneterre 300g
    Marque : BONNETERRE
    Référence :

    • Brioche bio  Bonneterre  500g - DDM : 23/06/2020
    • Brioche bio  Bonneterre  500g - DDM : 21/06/2020
    • Brioche bio  Bonneterre  500g - DDM : 28/06/2020
    • Brioche bio  Bonneterre  500g - DDM : 04/07/2020
    • Brioche bio  Bonneterre  500g - DDM : 06/07/2020
    • Brioche tressée bio Bonneterre 300g - DDM : 21/06/2020 
    • Brioche tressée bio Bonneterre 300g - DDM : 23/06/2020
    • Brioche tressée bio Bonneterre 300g - DDM : 04/07/2020

    Risque : La société Bonneterre&Cie procède au rappel des produits  "Brioche bio Bonneterre 500g" et" Brioche tressée bio Bonneterre 300g" suite à l'absence d'indication de l'ingrédient beurre contenant l'allergène LAIT dans la liste des ingrédients.
    Commentaire : Il est demandé aux personnes allergiques au LAIT qui détiendraient ce produit de ne pas le consommer et de le rapporter sur le lieu d'achat

     

    • Avis de rappel de Gel pour les mains hygiénisant sans eau hydrolalcohico de marque ON DERMO 29 juin 2020
    • Nom du produit :Gel pour les mains hygiénisant sans eau hydrolalcohico
    • Marque :ON DERMO
    • Référence :Flacon de 500 ml
    • Lot :0162020294
    • Risque :En raison d'une teneur combinée en éthanol et isopropanol  insuffisante, ce produit n'a pas d'efficacité antibactérienne et antivirale.
    • Commentaire :Il est demandé aux utilisateurs de ce produit de cesser toute utilisation et de le rapporter au lieu d'achat.

     

    • Avis de rappel des thermomètres de piscine surmontés d'animaux marins 26 juin 2020
    • om du produit: thermomètre de piscine agrémenté de têtes d'animaux (requin, grenouille, pieuvre, poisson bleu ou rose, crabe avec un tuba)
    • Marque: NATERIAL - produit vendu par l'enseigne Leroy Merlin
    • Code barre: 3276000245896
    • Risque:  strangulation et régurgitation pour un très jeune enfant.
    • Commentaire: Le consommateur est invité à cesser toute utilisation et à retourner le produit contre remboursement.
    • Affiche du professionnel- PDF, 120 Ko

     

    Liste des Rappels de la semaine précédente

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  • Numérique et Santé (03 03 2020)

    Nous proposons aujourd’hui la synthèse d’un rapport réalisé par le Conseil National du Numérique et publié le 11 juin 2020 (cliquer ci-dessous pour accéder au site du CNN ou au texte pdf du communiqué de presse)

    https://cnnumerique.fr/

    https://cnnumerique.fr/files/uploads/2020/Communiqu%C3%A9%20de%20sortie%20-%20Rapport%20Sant%C3%A9.pdf

    Le Conseil national du numérique remet son rapport relatif à la transformation numérique du système de santé

    Paris, le 11 juin 2020

    Au pied du mur.

    La transformation numérique du système de santé, promise depuis des années - d’aucuns diraient des décennies ? -, n’est plus un lointain horizon, un mirage insaisissable dont on se rapprocherait chaque année de quelques mètres paresseux, nous permettant de contempler, satisfaits, le chemin qu’il reste à parcourir.

    La crise sanitaire que nous traversons nous a mis face aux réalités : nous avons trop tardé ! “Nous sommes en guerre” nous annonçait le 16 mars le Président de la République. Comment pouvait-on espérer, sans portage politique du numérique en santé, sans vision stratégique de l’Etat depuis des décennies, aborder cette épreuve suffisamment armés ? De la difficulté à fournir des outils interopérables et souverains à la trop légère formation au numérique en santé, en passant par la fragile confiance des usagers et des professionnels dans ce domaine, la situation de stress à laquelle fait face le numérique en santé français est apparue de façon indéniable.

    Le tableau n’est naturellement pas si sombre, et ces temps troublés ont aussi permis de mettre en lumière les forces profondes de notre pays : un usage croissant de certains outils mis à la disposition des citoyens et des professionnels dont la télémédecine est la meilleure illustration : plafonnant à 10.000 consultations par semaine en février 2020, son utilisation a été multipliée par 100 en à peine 1 mois ! Ce sursaut numérique citoyen, nous le devons aussi à un écosystème innovant qui a su apporter des réponses en un temps record, débarrassé des lenteurs administratives ; autant de preuves que, même au pied du mur, nous ne sommes pas rentré dedans.

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  • Fausses nouvelles ou vidéos (02 07 2020)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 11 juin 2020 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2019/qSEQ190711327.html

    Question écrite n° 11327 de Mme Colette Mélot (sénatrice de Seine-et-Marne)

     

    Mme Colette Mélot attire l'attention de M. le secrétaire d'État auprès du ministre de l'économie et des finances et du ministre de l'action et des comptes publics, chargé du numérique sur les conséquences produites par un nouveau phénomène : les ″deepfakes″.

     

    On les appelle deepfakes, et ce sont, non plus des détournements, mais des fausses vidéos forgées de toutes pièces à l'aide de l'intelligence artificielle, à partir de simples images et d'échantillons de voix, qui ont toutes les apparences du vrai. Avec un effet potentiellement dévastateur, à tel point que les agences de renseignement américaines redoutent que ces fausses vidéos plus vraies que nature, ne perturbent l'élection présidentielle de 2020.


    En France, contrairement aux États-Unis où le problème est déjà sur le bureau des membres de la commission de renseignement de la Chambre des représentants, le Gouvernement ne semble pas se positionner sur ce nouveau type de désinformation et la loi sur la manipulation de l'information dite ″anti-fake news″ votée en décembre 2018 ne l'évoque pas directement.


    Le sujet est particulièrement inquiétant si l'on imagine les conséquences que ce nouveau phénomène peut produire dans l'esprit de nos concitoyens. Cette arme de manipulation peut nuire à la réputation de quelqu'un, berner l'opinion publique, leurrer des assurances et même des banques et l'on peut craindre des opérations de chantage ou des campagnes de ″désinformation″ pouvant menacer la sécurité nationale.

     

    Elle lui demande donc quelles mesures le Gouvernement compte prendre pour empêcher la propagation de ce type de contenus, et si des échanges sont déjà intervenus auprès des instances de Facebook afin d'influer sur la politique de la plateforme en matière de modération des deepfakes.

     

    Réponse du Ministère de la culture publiée dans le JO Sénat du 11/06/2020 p. 2703

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