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santé - Page 175

  • Maladies neuro-dégénératives (30 10 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 1er octobre 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ141214012.html

    Question écrite n° 14012 de M. Daniel Laurent (sénateur de Charente-Maritime)

     

    M. Daniel Laurent attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes sur le plan pour les maladies neuro-dégénératives 2014-2019. Les familles et associations se réjouissent que les avancées apportées par les plans Alzheimer successifs puissent profiter aux personnes touchées par d'autres pathologies.

     

    Toutefois, en annonçant une liste de pathologies, non exhaustive et susceptible d'évoluer, le Gouvernement dévoile un plan sans pour autant en définir le périmètre. Si une approche commune peut être pertinente, et favoriser une compétence transversale à toutes ces pathologies, notamment en matière de recherche, les besoins des personnes malades, liés à leur âge ou à la prédominance des troubles moteurs ou cognitifs par exemple, ne peuvent être envisagés sous un seul et même angle.

     

    Le budget consacré à ce plan inquiète également : 470 millions d'euros, dont 270 millions d'euros seulement pour le volet sanitaire et médico-social, sont aujourd'hui censés répondre aux besoins de plus de 1 million de personnes malades, et de plus de 4 millions de personnes en y intégrant notamment leurs aidants familiaux. Cette somme apparaît insuffisante pour un plan de cette ampleur. Par ailleurs, aucune information n'a été apportée sur les sources du financement, le calendrier et les objectifs à court terme.

     

    En conséquence, il lui demande de bien vouloir lui apporter les précisions idoines sur la mise en œuvre du plan.

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes publiée dans le JO Sénat du 01/10/2015 p. 2299

     

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  • Arrêt cardiaque : prévention de la mortalité (26 10 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 1er octobre 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ131209796.html

    Question écrite n° 09796 de Mme Isabelle Debré (sénateur des Hauts-de-Seine)

     

    Mme Isabelle Debré attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur le nombre très préoccupant de décès survenant par arrêt cardiaque chaque année en France. Près de quarante-mille arrêts cardiaques, soit cent-dix par jour, se produisent. Le taux de survie est estimé à un peu plus de 5 %, ce qui est faible au regard des statistiques observées dans plusieurs pays européens. Le nombre de vies susceptibles d'être épargnées est évalué à quatre mille par an.

     

    Un meilleur maillage du territoire en défibrillateurs cardiaques, notamment dans les enceintes sportives, l'amélioration de la formation de la population, notamment en milieu scolaire, le renforcement de l'information du grand public au moyen de campagnes de sensibilisation et l'élaboration d'une cartographie nationale des défibrillateurs installés sur le territoire, exhaustive et directement accessible pour le grand public, contribueraient à cet objectif.

     

    Elle lui demande de bien vouloir lui préciser les intentions du Gouvernement en matière de prévention de la mortalité par arrêt cardiaque et les moyens qu'il entend consacrer à cette cause qui mobilise sur le terrain de nombreux partenaires, en particulier associatifs.

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes publiée dans le JO Sénat du 01/10/2015 p. 2298

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  • Rappel de produits (mise à jour du 23 octobre 2015) (24 10 2015)

    En fonction des alertes, nous proposons ici chaque samedi une liste d’avis publiés dernièrement sur le site de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) du Ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site du Ministère de l’Economie)

    http://www.economie.gouv.fr/dgccrf/Securite/Alertes/Avis-rappels-de-produits.html

    NDLR du Blog : Les avis de rappels de produits sur le site de la DGCCRF comportent un résumé (produit, société, nature du risque) et surtout un lien permettant d’ouvrir par simple clic une fiche avec photo, description, références du produit et la démarche proposée ; ce lien peut ne plus être opérationnel si la durée de l’alerte est dépassée

    15/10/2015 Avis de rappel d’un éthylotest électronique de marque MAXXTER
    Lecture incorrecte du taux d’alcoolémie.

    Marque : MAXXTER – vendu dans les magasins à enseigne ACTION

    Désignation ou modèle :

    ·         Ethylotest porteclés avec lampe de poche

    ·         Référence : GEMBIRD EUROPE BV – art. N° 2544381

    ·         Code-barres : 8716309084239

     

    15/10/2015 Avis de rappel de gants Leroy Merlin
    Certains de ces gants présentent un risque de sécurité pour l’utilisateur lors du contact avec la peau.

    Nom du produit : Gant DOCKER GEO 12

    Marque : GEOLIA

     

    15/10/2015 Avis de rappel de deux gants Weldom
    Certains de ces gants présentent un risque de sécurité pour l’utilisateur lors du contact avec la peau
    .

    Nom du produit : Gant DOCKER et Gant SOUDEUR

    Marque : GEOLIA (DOCKER) et DEXTER (SOUDEUR)

    Désignation ou modèle :

    ·         Référence DOCKER : DOCKER GEO12

    ·         Code-barres DOCKER : 3351840380263 / 3351840380270 / 3351840380287

    ·         Référence SOUDEUR : DX408BC

    ·         Code-barres SOUDEUR : 8424019633776

     

    Liste des rappels des 30 jours précédents :

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  • Alcoolisation fœtale (23 10 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 15 octobre 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ130506514.html

    Question écrite n° 06514 de M. Jean-Claude Lenoir (sénateur de l’Orne)

     

    M. Jean-Claude Lenoir attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur l'intérêt qu'il y aurait à diagnostiquer très tôt les enfants atteints de syndrome d'alcoolisation fœtale (SAF), à l'instar de ce qui se pratique au Canada. En effet, l'association « Vivre avec le SAF » estime que l'alcoolisation fœtale touche plus de 7 000 enfants par an en France et que 500 000 personnes de toutes classes sociales vivraient avec ce handicap sans le savoir.

     

    L'association rappelle en outre que le SAF provoque des lésions cérébrales entraînant de graves séquelles et qu'il est, dans sa forme grave, la première cause de déficience mentale non-génétique. Elle souligne également que 80 % des séquelles ne sont pas visibles mais sont à l'origine de troubles de l'apprentissage ou du comportement qui se traduisent souvent par l'échec scolaire, voire la délinquance. Sans diagnostic précoce, les enfants atteints du SAF risquent ainsi de développer des troubles secondaires graves. L'association « Vivre avec le SAF » estime à neuf milliards d'euros le coût du non-diagnostic des personnes atteintes de troubles consécutifs à l'alcoolisation fœtale (TCAF) dans notre pays.

     

    C'est la raison pour laquelle elle plaide pour la reconnaissance de ce fléau et pour le développement de centres de diagnostics. Il souhaiterait connaître les mesures que les pouvoirs publics envisagent de prendre pour limiter les conséquences du syndrome d'alcoolisation fœtale et pour lutter contre ses causes.

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes publiée dans le JO Sénat du 15/10/2015 p. 2429

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  • Intoxication au monoxyde de carbone (22 10 2015)

    Extrait d’une note d’information publiée dans le n° 119 d’octobre 2015 de la brochure EQUILIBRES de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.sante.fr/CFESBases/equilibre/numeros/119/intoxication-monoxyde-carbone.asp

    Les intoxications au monoxyde de carbone (CO) figurent parmi les risques graves de l’hiver. Selon les données de l’Institut de veille sanitaire (InVS), entre le 1er septembre 2014 et le 31 mars 2015, près de 3 500 personnes ont été exposées à des émanations de ce gaz, plus de 2 000 ont été prises en charge par un service d’urgence hospitalière et 34 en sont mortes. A l’approche de l’hiver, l’Inpes renouvelle donc ses messages de prévention.

    Le monoxyde de carbone est un gaz dangereux, invisible et inodore. Il entraine fatigue, nausées, malaises et peut être mortel.

    L’hiver est la période d’utilisation des appareils de chauffage, qui peuvent causer des intoxications au monoxyde de carbone. En effet, celles-ci sont le plus souvent dues à un mauvais fonctionnement ou mauvais usage d’un appareil à combustion (chaudière, cuisinière, etc.) ou à une absence d’aération et/ou de ventilation. Les causes d’intoxications récurrentes sont également : l’usage prolongé d’appareils de chauffage d’appoint et l’utilisation inappropriée de groupes électrogènes, de braseros ou de barbecues (à l’intérieur des locaux, par exemple), tout particulièrement en période de grand froid ou de coupure d’électricité.

    Des documents d’information accessibles à tous

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  • Maladie de Parkinson : plan (21 10 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 1er octobre 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ130807729.html

    Question écrite n° 07729 de M. Louis Nègre (sénateur des Alpes-Maritimes)

     

    M. Louis Nègre attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur le retard de la mise en place des vingt propositions du plan Parkinson. 

    En effet, sur les vingt propositions établies dans un livre blanc en 2009, à la suite des états généraux de la maladie, seulement deux d'entre elles ont été mises en place. 

    De plus, il est important de rappeler qu'aujourd'hui, la maladie de Parkinson touche 150 000 personnes en France, et frappe 14 000 nouveaux foyers chaque année. La moitié d'entre eux ont moins de 50 ans, et un sur dix a moins de 40 ans. 

    Selon l'étude « Parkinson et souffrances de vie », établie par le cabinet A+A, les personnes atteintes de cette maladie se plaignent, à 83 %, d'une fatigue excessive, à 79 %, de rencontrer des difficultés à écrire et, à 59 %, de souffrir d'une élocution difficile. 

    En outre, les situations décrites par les associations sont préoccupantes. Les 24 centres régionaux se partagent un budget de trois millions d'euros et ne disposent pas de consignes directes, émanant d'un plan Parkinson globalisé. 

    Il souhaite donc savoir quelles mesures le Gouvernement compte prendre pour accompagner et aider ces personnes atteintes de la maladie de Parkinson. 

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes publiée dans le JO Sénat du 01/10/2015 p. 2298

     

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