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santé - Page 177

  • Alcool et jeunes (21 05 2015)

    Nous proposons cet article publié dans le dernier numéro d’Equilibres (n° 114 avril-mai 2015), la revue de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.sante.fr/CFESBases/equilibre/numeros/114/ivresse-chez-les-jeunes.asp

    Les ivresses de plus en plus fréquentes chez les jeunes

    Les résultats du Baromètre santé Inpes 2014 indiquent qu’un nombre croissant de jeunes pratiquent l'alcoolisation massive. La hausse des consommations excessives d’alcool chez les 18-25 ans est une tendance relevée par les Baromètres santé depuis dix ans. Cette recherche d'ivresse, qui s'apparente aubinge drinking (alcoolisation massive rapide) des Anglo-saxons, est étudiée pour la première fois en France.

    Le Baromètre santé permet d’analyser l’évolution des comportements des Français vis-à-vis de l’alcool et de la représentation qu’ils s’en font. Les premiers résultats analysés concernent la manière de s'alcooliser des 18-25 ans : les jeunes ne boivent pas tous les jours (moins de 2 % ont une consommation quotidienne), mais « s'offrent » régulièrement une « cuite », prenant des risques inconsidérés à cette occasion. Cette alcoolisation ponctuelle importante (API) aussi nommée binge drinking correspond à plus de six verres d'alcool en une seule fois.

    Un phénomène générationnel qui touche de plus en plus les filles

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  • Etiquetage nutritionnel simplifié (20 04 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 2 avril 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ140612274.html

     

    Question écrite n° 12274 de Mme Catherine Morin-Desailly (sénateur de Seine-Maritime)

     

    Mme Catherine Morin-Desailly attire l'attention de Mme la secrétaire d'État, auprès du ministre de l'économie, du redressement productif et du numérique, chargée du commerce, de l'artisanat, de la consommation et de l'économie sociale et solidaire sur la nécessité de définir un modèle national d'étiquetage nutritionnel clair et intelligible afin de lutter contre les maladies chroniques, conséquences d'une alimentation non équilibrée.

    Le surpoids et l'obésité font sont, en effet, des phénomènes croissants, tant chez les adultes que chez les enfants. Trois millions de personnes sont diabétiques et le nombre de maladies cardiovasculaires ne cesse de s'aggraver, représentant désormais la deuxième cause de mortalité en France.

    L'observatoire de la qualité de l'alimentation (OQALI) a démontré que, sur les dix dernières années, l'industrie alimentaire n'avait pas été en mesure de diminuer les taux de matières grasses saturées, de sucre ou de sel dans les aliments transformés. C'est donc intégralement sur les consommateurs que repose la responsabilité de construire une alimentation équilibrée. 

    Or, de nombreuses études montrent leur incapacité à identifier la qualité nutritionnelle de ces aliments industriels. En effet, qu'il s'agisse de l'étiquetage défini par la réglementation européenne ou des étiquetages volontaires mis en œuvre par les professionnels, leurs formats restent tous particulièrement complexes et donc inutilisables en pratique.

     C'est dans cette optique qu'un rapport, remis en janvier 2014 à la ministre de la santé, propose une échelle nutritionnelle simple et compréhensible par tous, classant les aliments en cinq classes, sous la forme d'une échelle colorielle, afin de lui assurer une grande lisibilité. Alors que les divers formats nutritionnels existants nuisent, par leur diversité, à la compréhension et à la comparaison entre produits, cette proposition a pour ambition de fournir un modèle national unique pour les étiquetages que les professionnels pourront mettre en place à titre volontaire. Une telle mesure présente aussi un intérêt pour les industriels car elle incitera à l'amélioration de la composition des produits en valorisant leurs efforts au travers d'un positionnement plus favorable sur l'échelle nutritionnelle visible par les consommateurs.

    Il est aujourd'hui essentiel que la loi de santé publique, qui donnera les grandes orientations de santé pour les dix ans à venir, comporte un volet nutritionnel à la hauteur des enjeux que représente l'alimentation.

    Compte tenu de ces éléments, elle lui demande de bien vouloir lui indiquer comment le Gouvernement entend encadrer, sur le territoire national, les modalités de mise en œuvre de cet étiquetage nutritionnel nécessaire à la prévention de telles maladies et à l'information éclairée du consommateur.

    Réponse du Secrétariat d'État, auprès du ministère de l'économie, de l'industrie et du numérique, chargé du commerce, de l'artisanat, de la consommation et de l'économie sociale et solidaire publiée dans le JO Sénat du 02/04/2015 p. 753

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  • Rappel de produits (mise à jour du 17 avril 2015) (18 04 2015)

    En fonction des alertes parues, nous proposons ici chaque semaine dorénavant (précédemment chaque mois depuis le 21 octobre 2011), une liste d’avis publiés ces jours récents, récapitulés avec ceux des trois semaines précédentes. Nous les avons trouvés sur le site de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) du Ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site du Ministère de l’Economie)

    http://www.economie.gouv.fr/dgccrf/Securite/Alertes/Avis-rappels-de-produits.html

    NDLR du Blog : Les avis de rappels de produits sur le site de la DGCCRF comportent un résumé (produit, société, nature du risque) et surtout un lien permettant d’ouvrir par simple clic une fiche avec photo, description, références du produit et la démarche proposée ; ce lien peut ne plus être opérationnel si la durée de l’alerte est dépassée

    14/04/2015 Avis de rappel d’un projecteur rechargeable rouge par la Société CMI
    Le produit peut présenter un éventuel risque d’éclatement

     

    Nom du produit : Projecteur rechargeable rouge

    Marque : Carrefour

    Référence :

    ·         DY029491

    Référence fournisseur :

    ·         HW607

    ·         Code EAN : 3610883138881

    Anomalie : Le produit peut présenter un éventuel risque d’éclatement.

     

    Mesure prise par le professionnel : RAPPEL du produit auprès du consommateur (communiqué de presse, destruction des produits en stock magasin, retours consommateurs et stock entrepôts, ligne téléphonique dédiée aux consommateurs, envoi d'un courrier ciblé aux détenteurs de carte Carrefour et mise de l'information sur le site internetwww.carrefour.fr.

     

    10/04/2015 Avis de rappel d’un costume de déguisement par la Société GIFI
    Des petits éléments peuvent se détacher (scratchs en plastique de la combinaison) - risque d’ingestion par les jeunes enfants

    Nom du produit : Déguisement Noël bébé Pains d’épices

    Marque : sans marque – vendu dans les magasins à enseigne GIFI

    Désignation ou modèle :

    ·         Code : 336318

    Anomalie : Des petits éléments peuvent se détacher (scratchs en plastique de la combinaison) - risque d’ingestion par les jeunes enfants.

    Mesure prise par le professionnel qui demande de ne plus utiliser ce déguisement et de le rapporter au point de vente.

      

     

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  • Cancer colo-rectal : dépistage (17 04 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 26 mars 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ140110098.html

     

    Question écrite n° 10098 de M. Thierry Foucaud (sénateur de Seine-Maritime)

     

    M. Thierry Foucaud interroge Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur la mise en place de nouveaux tests immunologiques visant au dépistage du cancer colorectal.

     
    Le cancer colorectal est la deuxième cause de mortalité par cancer en France, avec 18 000 décès annuels. Il touche, chaque année, 42 000 nouveaux patients, le plus souvent après cinquante ans. 
    Des représentants de la Société nationale française de gastro-entérologie (SNFGE) lui ont fait part de leur volonté d'accélérer la mise en place de nouveaux tests immunologiques.

     
    Ce test immunologique est plus fiable, plus rapide et plus simple d'utilisation que le test utilisé actuellement, et il n'est pas plus cher que l'actuel test « Hemoccult ». Dès 2008, la Haute autorité de santé avait, d'ailleurs, émis un avis favorable sur son usage et le plan « Cancer » 2009-2013 préconisait sa mise en place rapide.

     
    En mars 2012, la secrétaire d'État chargée de la santé sous le précédent Gouvernement annonçait même sa commercialisation pour mai 2013, sans que l'appel d'offres pour l'achat de ces tests ne soit aujourd'hui lancé.

     
    La mise en place de ce test permettrait de doubler le nombre de vies sauvées, avec 5 400 vies gagnées par an, contre 2 700 actuellement avec le test « Hemoccult », selon le président honoraire de la SNFGE. Le passage au test immunologique, plus simple, moins contraignant, devrait aussi permettre d'augmenter le nombre des personnes qui s'y soumettent.

     
    C'est pourquoi il lui demande de bien vouloir lui indiquer la position du Gouvernement sur cette question et, le cas échéant, le calendrier de la mise en place de ce nouveau test. 

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes publiée dans le JO Sénat du 26/03/2015 p. 670

     

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  • Pauvreté, insertion sociale : accès aux droits (13 04 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 6 mars 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2015/qSEQ15030469G.html

    Question d'actualité au gouvernement n° 0469G de Mme Aline Archimbaud (sénateur de Seine-Saint-Denis)

    http://www.senat.fr/questions/base/2015/qSEQ15030469G.html

     

    Mesdames, messieurs les ministres, vous avez présenté mardi la feuille de route du plan pluriannuel de lutte contre la pauvreté, pauvreté qui malheureusement continue à s'intensifier dans notre pays.

     
    Le Gouvernement engage de réelles avancées, et je m'en félicite : il s'agit, par exemple, de l'élargissement du champ de la « Garantie jeunes », du renforcement de l'accompagnement, de la mise en place de la prime d'activité, à condition que celle-ci soit aussi accessible aux jeunes. Il a également tout notre soutien pour la généralisation du tiers payant.

     
    Par ailleurs, un simulateur des droits sera prochainement disponible. Ce dispositif peut certes permettre à des personnes ayant accès à des moyens informatiques de se renseigner sur leurs droits, mais il est largement insuffisant pour diminuer l'extrême complexité des démarches administratives, pour simplifier l'extraordinaire parcours du combattant que doit accomplir celui qui veut faire valoir ses droits et qui explique les taux impressionnants et persistants de non-recours à certains dispositifs. Ainsi, en 2011, 35 % des personnes éligibles au RSA-socle n'en bénéficiaient pas, et, en 2013, 20 % des personnes légalement éligibles à la CMU complémentaire, soit près d'un million de personnes, n'avaient pas ouvert leurs droits !

     
    J'ai remis il y a un an et demi à M. Jean-Marc Ayrault un rapport comportant des propositions simples pour lutter contre le non-recours aux droits et préconisant notamment un choc de simplification. Je ne comprends pas pourquoi ces propositions ont été si peu prises en compte par le Gouvernement depuis lors.

     
    Je ne peux imaginer que l'État table sur un non-recours aux prestations prévues par la loi pour faire des économies. Il est impossible de penser que l'on spécule sur le fait que beaucoup, découragés, perdus dans les méandres administratifs, renoncent à accéder à leurs droits. 

    Cela a fait « économiser » plus de 6 milliards d'euros au budget de l'État, mais ce serait une grave erreur de penser que ces non-dépenses sont de véritables économies, car les dégâts sanitaires, sociaux engendrent des dépenses bien plus importantes et le non-accès aux droits suscite une désespérance qui brouille les repères républicains et favorise la montée des extrémismes. 

    Pourquoi ne mettez-vous pas en place dès maintenant des mesures de simplification drastiques pour l'accès aux droits sociaux ? Pourquoi, par exemple, refuser de rendre automatique l'attribution de la CMU complémentaire aux bénéficiaires du RSA-socle, alors que les plafonds sont strictement les mêmes pour les deux dispositifs ?

     

    Réponse du Secrétariat d'État, auprès du ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes, chargé de la famille, des personnes âgées et de l'autonomie

    publiée dans le JO Sénat du 06/03/2015 p. 2339

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  • Assurances et Cancer : anciens malades, droit à l’oubli (09 04 2015)

    Nous proposons cette note d’information publiée le 26 mars 2015 sur le site SERVICE PUBLIC (cliquer ici pour accéder au site Service Public)

    http://www.service-public.fr/actualites/007690.html?xtor=EPR-140.html

    Convention Aeras* : Anciens malades du cancer et « droit à l’oubli » : bientôt un accès plus facile au crédit

    Publié le 26.03.2015 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Les représentants des sociétés et mutuelles d’assurance ont cosigné, mardi 24 mars 2015, un protocole d’accord concernant le droit à l’oubli pour les anciens malades du cancer qui souhaiteraient contracter un crédit.

    Les dispositions contenues dans cet accord impliquent :

    ·         un droit à l’oubli pour les cancers survenus avant l’âge de 15 ans, 5 ans après la date de fin du traitement (sans déclaration spécifique à effectuer auprès de l’assureur),

    ·         un droit à l’oubli pour toutes les pathologies cancéreuses 15 ans après la date de fin du traitement (sans déclaration spécifique à effectuer auprès de l’assureur),

    ·         une grille de référence permettant d’assurer au tarif normal des personnes ayant contracté certains cancers dès lors que la date de fin du protocole thérapeutique a cessé depuis un certain nombre d’années inférieur à 15 ans.

    Ces dispositions doivent être intégrées dans un délai de trois mois à la convention Aeras (Assurer et emprunter avec un risque aggravé de santé) signée par les pouvoirs publics, les fédérations professionnelles de la banque, de l’assurance et de la mutualité et les associations de malades et de consommateurs. Cette convention a pour objet de faciliter l’accès à l’assurance et à l’emprunt des personnes ayant ou ayant eu un problème grave de santé.

    * convention Aeras (Assurer et emprunter avec un risque aggravé de santé)

     

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