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société, cadre de vie - Page 336

  • Parents et Ressources des jeunes (11 08 2016)

    Nous proposons cette note de synthèse publiée le 28 juin 2016 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/ressources-18-24-ans-role-essentiel-parents-20160628.html?xtor=EPR-56.html

    Ressources des 18-24 ans : le rôle essentiel des parents

    le 28 06 2016

    Les premiers résultats de l’enquête nationale sur les ressources des jeunes (ENRJ) sont publiés par l’Institut national de la statistique des études économiques (Insee). Cette enquête inédite, menée conjointement avec la direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees), a recueilli du 1er octobre au 31 décembre 2014, les réponses de 5 800 jeunes de 18 à 24 ans et de 6 300 parents.

    L’étude révèle que 57% des jeunes de 18 à 24 ans habitent de façon permanente chez leurs parents. Cette proportion monte à 75% lorsqu’ils sont sans emploi et ne font pas d’études. 70% des jeunes sont aidés financièrement de façon régulière par les parents. Ce sont les jeunes en cours d’études qui en bénéficient le plus (330 euros par mois en moyenne), ceux qui sont sortis du système éducatif sont plus rarement et moins soutenus. L’aide des parents varie aussi selon le milieu social. Les enfants de cadres sont 2,5 fois plus aidés que les enfants d’ouvriers. L’enquête observe toutefois que le soutien parental ne se limite pas à un apport financier : 46% des jeunes sont affiliés à la complémentaire santé de leurs parents, 20% assurent leur véhicule sur le contrat de leurs parents. Les jeunes bénéficient aussi d’aides ponctuelles de la part de leurs parents, notamment pour le financement de leur permis de conduire, financés par les parents pour 84% des titulaires.

    Les 30% des jeunes qui déclarent occuper un emploi gagnent en moyenne 1 245 euros par mois. Les jeunes adultes en cours d’études peuvent aussi exercer des activités rémunérées, en parallèle ou dans le cadre de leur formation. Ils sont 23% dans ce cas.

    S’agissant des revenus sociaux (bourses d’étude, aides au logement, minima sociaux, etc.), dernier pan de l’enquête, ils concernent 38% des 18-24 ans. Cette proportion passe à 63% pour les jeunes qui n’habitent plus chez leurs parents.

  • Economies d’énergie et aides de l’Etat (10 08 2016)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 7 juillet 2016 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ141214237.html

     

    Question écrite n° 14237 de M. Alain Marc (sénateur de l’Aveyron)

    Alain Marc attire l'attention de Mme la secrétaire d'État, auprès du ministre de l'économie, de l'industrie et du numérique, chargée du commerce, de l'artisanat, de la consommation et de l'économie sociale et solidaire sur les difficultés rencontrées par les artisans et entreprises du bâtiment en matière de travaux d'amélioration thermique des bâtiments existants auprès des particuliers.

     

    Tous ces professionnels sont soumis à l'éco-conditionnalité qui sélectionne les entreprises qui ont signé une charte de conseil et de bonne conduite en vue de faire bénéficier leurs clients des aides de l'État et des collectivités locales. Mais ces aides sont soumises à la gestion d'organismes divers et à des passages devant diverses commissions, ce qui entraîne des délais importants pour la réalisation des travaux, au point qu'aujourd'hui, même de grands industriels voient leurs volumes de fabrication baisser de 30 % dans les domaines concernés et les carnets de commandes des artisans fondre par renvoi des projets dans l'attente de ces aides.

     

    Enfin, lorsque les particuliers ont reçu leur accord pour lancer les travaux, ils ne perçoivent pas tout de suite leur aide et pour les artisans, obtenir un premier acompte est difficile ; il en est de même à la fin des travaux pour le solde.

     

    Il lui demande donc si le Gouvernement entend prendre des mesures afin de faciliter les démarches pour que les entreprises et artisans du bâtiment puissent travailler dans des conditions plus sereines en réduisant les délais des commandes et des règlements qui leur sont faits.

     

    Réponse du Ministère du logement et de l'habitat durable publiée dans le JO Sénat du 07/07/2016 p. 3098

     

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  • Emploi des femmes (09 08 2016)

    Nous proposons cette note d’information publiée le 15 juillet 2016 sur le site Vie publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/emploi-femmes-impact-vie-familiale-20160715.html?xtor=EPR-56.html

    Emploi des femmes : l’impact de la vie familiale

    La Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares) a publié, le 8 juillet 2016, une étude sur le taux d’emploi des femmes. Exploitant les résultats de l’enquête "Santé et Itinéraire professionnel" de 2006-2007 et 2010, l’étude porte sur les histoires professionnelles et familiales pour les personnes nées entre 1935 et 1979. Selon la Dares, au cours des dernières décennies, les femmes se sont rapprochées des hommes en termes de taux d’emploi. Elles conservent cependant des comportements d’activité spécifiques qui intègrent une dimension familiale forte et affectent leur progression sur le marché du travail.

    L’étude montre la progression constante des femmes sur le marché du travail au fil des générations : elles sont 6 sur 10 à travailler pour celles nées entre 1940 et 1944, 7 sur 10 pour celles nées entre 1945 et 1954, et près de 8 femmes sur 10 pour celles nées à partir des années 1960. Sur les mêmes périodes, les hommes ont des taux d’emploi toujours supérieurs à 80%.

    Si les taux d’emploi des femmes se rapprochent de ceux des hommes, les déterminants et la forme de l’emploi restent différents. Les femmes en couple nées avant les années 1960 sont moins souvent en emploi que les femmes seules, mais la situation s’inverse pour les générations suivantes (croissance de l’activité plus modérée et montée du chômage notamment pour les plus jeunes). Au fil des générations, la proportion des femmes en couple inactives se réduit et les faibles taux d’activité se concentrent sur la tranche d’âge 25-30 ans. Les femmes en couple cessent de moins en moins leur activité mais elles ont de plus en plus recours au temps partiel. Pour les femmes, plus longue est la durée passée en couple, plus grande est la distance à l’emploi à temps complet. Ce lien négatif entre vie en couple et emploi s’ajoute à d’autres critères relevant de la sphère familiale (nombre d’enfants, déménagement pour suivre le conjoint, etc.). Pour les hommes, les durées hors de l’emploi, au chômage ou en inactivité diminuent avec la durée de vie en couple. Si la part du temps partiel s’accroît également pour eux, elle reste près de six fois moins élevée que pour les femmes

    Texte du Rapport :

    http://dares.travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/2016-037_-2.pdf

  • Travailleurs détachés : directive européenne (08 08 2016)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 8 juillet 2016 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2016/qSEQ16070938G.html

     

    Question d'actualité au gouvernement n° 0938G de Mme Frédérique Espagnac (sénatrice des Pyrénées-Atlantiques)

     

    Ma question s'adresse à Mme la ministre du travail, de l'emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social.

     
    Le Premier ministre a fait, ce week-end, de nouvelles déclarations à propos des travailleurs détachés. Ce mécanisme européen permet à des travailleurs européens de travailler dans un autre pays, mais en étant soumis aux cotisations sociales de leur pays d'origine. Il s'agit d'un dispositif qui fait l'objet de nombreuses contestations depuis sa création, notamment au regard d'une concurrence jugée déloyale.

     
    Depuis plusieurs mois, les contrôles liés aux travailleurs détachés ont augmenté pour combattre les fraudes. Il est en effet intolérable qu'un travailleur, quel qu'il soit, détaché ou non, travaille 50 heures payées 35. Il existe des règles, il faut les respecter.


    La lutte contre la fraude revêt d'autant plus d'importance au regard des nouvelles données publiées récemment. Les salariés rémunérés au SMIC de notre pays coûtent aujourd'hui moins en cotisations patronales que les salariés de nombreux autres pays européens bénéficiant des mêmes niveaux de salaire, grâce principalement au crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi, le CICE, qui permet à notre pays d'avoir un marché de l'emploi plus compétitif. 

    Pourtant, ces efforts sont ruinés par les fraudes au détachement de travailleurs. Ce n'est plus alors une concurrence déloyale, mais une concurrence illégale !

     
    Nous avons bien entendu les propositions du Premier ministre pour éviter le dumping social européen, tout en préservant le droit au détachement des travailleurs. L'harmonisation sociale et fiscale doit par ailleurs faire partie des évolutions de l'Union européenne, car elle est très attendue par les Français.

     
    La révision de la directive sur les travailleurs détachés présentée au printemps, que nous appelions depuis longtemps de nos vœux, entérinerait enfin le principe « à travail égal, salaire égal ». L'instauration de cette règle nouvelle répondrait en partie au problème du dumping et irait dans le sens du mieux-disant social. Seulement, le Brexit ralentit actuellement le processus… 

    Madame la ministre, pourriez-vous faire un point rapide sur l'action du Gouvernement contre la fraude aux travailleurs détachés et nous préciser comment la France entend agir pour faire évoluer la directive européenne ?

     

    Réponse du Ministère du travail, de l'emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social publiée dans le JO Sénat du 08/07/2016 p. 12450

     

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  • Rappel de produits (mise à jour du 5 août 2016) (06 08 2016)

    En fonction des alertes, nous proposons ici chaque samedi une liste d’avis publiés dernièrement sur le site de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) du Ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site du Ministère de l’Economie)

    http://www.economie.gouv.fr/dgccrf/Securite/Alertes/Avis-rappels-de-produits.html

    NDLR du Blog : Les avis de rappels de produits sur le site de la DGCCRF comportent un résumé (produit, société, nature du risque) et surtout un lien permettant d’ouvrir par simple clic une fiche avec photo, description, références du produit et la démarche proposée ; ce lien peut ne plus être opérationnel si la durée de l’alerte est dépassée

     

    04/08/2016 - Avis de rappel de peignoirs pour enfant de marque COTON ET LIN
    Risque de coincement dans un élément extérieur en raison de la présence d’une boucle extérieure au vêtement.

    Dénomination : peignoir KIDS uni
    Taille 8/10 ans

    Coloris/référence :
    Rouge / 270    Fuchia / 133    Nature / 123    Bleu / 129
    Rose / 132      Blanc / 120      Anis / 374        Turquoise / 174

     

    01/08/2016 Avis de rappel d’un coffret de pots de Gouache au doigt marque GIOTTO BEBE
    Des petits éléments peuvent se détacher (queue de l’éponge baleine) - risque d’ingestion par les jeunes enfants.

    DESIGNATION OU MODELE : coffret contenant 3 pots de 100 ml (1 rouge, 1 jaune et 1 bleu), 3 éponges

    (baleine, papillon, chien) et 1 tablier.

    . Code-barres : 8000825460708

     

    01/08/2016 - Avis de rappel de boucles d’oreilles pendentifs dorées marque DTM Loisirs Créatifs
    Risque chimique (teneur excessive en nickel)

    DESIGNATION OU MODELE :  Référence : 268404   Code-barres : 3471052684048 

    Liste des rappels des 30 jours précédents

     

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  • Service universel postal (05 08 2016)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 14 juillet 2016 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2016/qSEQ160421500.html

     

    Question écrite n° 21500 de M. François Marc (sénateur du Finistère - Socialiste et républicain)

    François Marc attire l'attention de M. le ministre de l'économie, de l'industrie et du numérique sur les tarifs et la qualité du service universel postal.

     
    Alors que les tarifs du courrier ont augmenté le 1er janvier 2016, une association de consommateurs a étudié en novembre 2015 le traitement différencié par l'opérateur postal des consommateurs et des professionnels. L'étude révèle à cet égard que les tarifs appliqués aux particuliers ont augmenté de près de 40 % en huit ans (soit cinq fois plus que l'inflation). S'agissant des usagers industriels, le tarif du courrier relationnel a au global augmenté de 15,4 %. Pour le courrier publicitaire, la hausse a été de 6,9 %.

     
    L'étude pointe en outre un manque de transparence sur les coûts réels ainsi qu'une qualité de service en-deçà des attentes des clients (enquête colissimo).

     
    Au vu de ces divers éléments de critiques, l'État a été saisi afin de relever le niveau d'exigence vis-à-vis de La Poste. En contrepartie des hausses tarifaires déjà pratiquées, les consommateurs attendent en effet une amélioration effective de la qualité du service.

     

    À travers la présente question, il souhaiterait pouvoir connaître sa position sur ces différents aspects et les actions qui sont éventuellement envisagées. 

     

    Réponse du Ministère de l'économie, de l'industrie et du numérique publiée dans le JO Sénat du 14/07/2016 p. 3219

     

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