Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

société, cadre de vie - Page 337

  • Déclaration des revenus : calendrier 2017 (06 04 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 28 mars 2017 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A11514?xtor=EPR-100

    Publié le 28 mars 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Dates d'ouverture et de fermeture du service de déclaration en ligne... Quelles sont les dates à retenir pour votre prochaine déclaration des revenus ? Rendez-vous sur le site impots.gouv.fr.

    Le service de déclaration en ligne ouvre à partir du mercredi 12 avril 2017. Les dates limites de déclaration en ligne varient en fonction du département de résidence des contribuables :

    • départements  01 à 19, date fixée au mardi 23 mai (minuit) ;
    • départements 20 à 49, date fixée au mardi 30 mai (minuit) ;
    • départements 50 à 974/976, date fixée au mardi 6 juin (minuit).

    Attention, en 2017, les contribuables dont le revenu fiscal de référence en 2015 est supérieur à 28 000 € doivent effectuer leur déclaration de revenus par voie électronique sur le site www.impots.gouv.fr (sauf s'ils ne disposent pas d'un accès à internet ou s'ils sont domiciliés dans un territoire avec une desserte numérique insuffisante).

      À noter :

    Pour les déclarations au format papier, la date limite de déclaration est fixée au mercredi 17 mai dans tous les départements.

    Et aussi sur service-public.fr

    Pour en savoir plus

  • Activités périscolaires : bénévoles (03 04 2017)

     

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 2 mars 2017 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2015/qSEQ151018087.html

    Question écrite n° 18087 de Mme Chantal Deseyne (sénatrice d’Eure-et-Loir)

    Mme Chantal Deseyne attire l'attention de Mme la ministre de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche sur le statut des bénévoles organisant des activités périscolaires dans le cadre des temps d'activités périscolaires (TAP). En effet, les collectivités font souvent appel aux associations locales ou à des particuliers volontaires susceptibles de proposer des activités pendant les TAP.

     

    Or, encadrer un groupe d'enfants ne s'improvise pas ; des compétences semblent indispensables. De plus, dans le cas de bénévoles, se pose le problème des responsabilités. Elle lui demande si un particulier doit avoir une assurance spécifique pour ces activités ou si l'assurance de la collectivité suffit. Elle souhaiterait donc connaître précisément, d'une part les qualifications nécessaires requises pour organiser ces activités et, d'autre part, les limites des responsabilités de chacun lors de ces activités.

     

    Réponse du Ministère de la ville, de la jeunesse et des sports publiée dans le JO Sénat du 02/03/2017 p. 926

     

    Lire la suite

  • Chèque énergie (31 03 2017)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 9 février 2017 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2016/qSEQ161224210.html

    Question écrite n° 24210 de M. Jean-Noël Guérini (sénateur des Bouches-du-Rhône)

    Jean-Noël Guérini appelle l'attention de Mme la ministre de l'environnement, de l'énergie et de la mer, chargée des relations internationales sur le climat sur les conséquences de la généralisation du chèque énergie.

     
    La deuxième édition des chiffres-clés de la précarité énergétique, publiée en novembre 2016 par l'Observatoire national de la précarité énergétique, indique qu'en 2013 près de six millions de ménages (20,4 %) éprouvaient des difficultés à s'acquitter de factures énergétiques pesant lourd dans leur budget. C'est pourquoi le chèque énergie a été conçu pour se substituer aux tarifs sociaux et permettre aux ménages modestes de régler tout ou partie de leurs dépenses d'énergie. Instauré par l'article 201 de la loi n° 2015-992 du 17 août 2015 relative à la transition énergétique pour la croissance verte, ses conditions d'application sont définies par le décret n° 2016-555 du 6 mai 2016 relatif au chèque énergie, qui prévoit son expérimentation dans les départements de l'Ardèche, de l'Aveyron, des Côtes-d'Armor et du Pas-de-Calais, avant sa généralisation prévue au 1er janvier 2018.

     

    Or des voix convergent pour affirmer que ce déploiement sur l'ensemble du territoire pourrait pénaliser de nombreux Français. En effet, ceux qui bénéficiaient jusqu'alors du tarif de première nécessité (TPN) pour l'électricité et du tarif spécial de solidarité (TSS) pour se chauffer au gaz touchaient chaque année plus de 200€ par an (montant moyen du TSS de 110€ et du TPN de 95€ selon les chiffres du rapport d'activité 2015 du Médiateur national de l'énergie), quand le montant du chèque énergie ne sera que de 150€.

     
    Sachant que, depuis 2008, les prix de l'énergie en France ont augmenté de 35 % et que cette hausse devrait se poursuivre, il souhaiterait s'assurer que la généralisation du chèque énergie ne va pas s'effectuer au détriment de populations déjà vulnérables. 

     

    Réponse du Ministère de l'environnement, de l'énergie et de la mer, chargé des relations internationales sur le climat publiée dans le JO Sénat du 09/02/2017 p. 529

     

    Lire la suite

  • Justice : loi de modernisation (30 03 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 7 février 2017 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public) 

    http://www.justice.gouv.fr/modernisation-de-la-justice-du-21e-siecle-12563/j21-la-loi-de-modernisation-de-la-justice-entre-en-vigueur-29468.html

    J21 : La loi de modernisation de la Justice entre en vigueur

    La loi de modernisation de la Justice du 21e siècle (J21) a été publiée au Journal Officiel du 19 novembre 2016.

    Ce texte fondateur contient de nombreuses réformes structurelles qui renforceront le service public de la Justice et simplifieront le quotidien des citoyens. Ces réformes permettront aux juges de se recentrer sur leur mission essentielle : trancher des litiges. Il est l’aboutissement d’un processus qui a donné lieu à une consultation de l’ensemble des professionnels et acteurs de la Justice, et bénéficié des apports des parlementaires.

    Une justice plus accessible

    Un service d’accueil unique du justiciable (SAUJ) sera mis en place dans 348 juridictions d’ici fin 2017. Il permettra aux justiciables d’obtenir une information générale ou sur une procédure les concernant partout en France.

    Des actions de groupe pourront désormais être menées en matière de discriminations, de questions environnementales ou de protection des données personnelles, autour d’un socle procédural commun.

    Une justice plus efficace

     

    Lire la suite

  • Insectes comestibles : réglementation (29 03 2017)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 2 mars 2017 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2016/qSEQ160521626.html

    Question écrite n° 21626 de M. Rachel Mazuir (sénateur de l’Ain)

     

    1. Rachel Mazuir appelle l'attention de Mme la secrétaire d'État, auprès du ministre de l'économie, de l'industrie et du numérique, chargée du commerce, de l'artisanat, de la consommation et de l'économie sociale et solidaire sur la réglementation applicable en France à l'élevage et à la vente d'insectes comestibles.

     
    Aujourd'hui, 2,5 milliards de personnes consomment régulièrement des insectes dans le monde. Leur qualité nutritionnelle mais aussi les faibles incidences environnementales de leur élevage ont régulièrement été soulignées par des études scientifiques.

     
    De nombreuses sociétés françaises se sont investies dans ce marché prometteur. Or la commercialisation d'insectes en France reste délicate car aucun cadre juridique n'a jusqu'ici clairement été défini.

     
    L'administration française interdit donc parfois cette vente. Elle se fonde sur le règlement (CE) n° 258/97 du Parlement européen et du Conseil du 27 janvier 1997 relatif aux nouveaux aliments et aux nouveaux ingrédients alimentaires, entré en vigueur le 15 mai 1997. En l'espèce, ce texte est inapplicable car l'insecte en lui-même n'est pas nommément désigné comme pouvant constituer une nouvelle denrée alimentaire.

     
    Or, depuis lors, un nouveau règlement (UE) 2015/2283 du Parlement européen et du Conseil du 25 novembre 2015 relatif aux nouveaux aliments reconnaît explicitement les insectes (qu'ils soient entiers ou non) et permet aux entreprises de les commercialiser plus facilement. Toutefois, sa mise en application ne serait prévue que fin 2017.

     
    Il aimerait par conséquent connaître la position du Gouvernement sur cette problématique ainsi que les mesures qu'il envisage pour permettre aux entreprises françaises de poursuivre leur activité dans ce secteur en plein essor.

     

    Réponse du Secrétariat d'État, auprès du ministère de l'économie et des finances, chargé du commerce, de l'artisanat, de la consommation et de l'économie sociale et solidaire publiée dans le JO Sénat du 02/03/2017 p. 846

     

    Lire la suite

  • Rentrée scolaire 2017 : nouveautés (28 03 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 15 mars 2017 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A11477?xtor=EPR-100.html

    Écoles, collèges, lycées : quelles nouveautés pour la rentrée 2017 ?

    Publié le 15 mars 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Écoles, collèges, lycées : quels sont les grands axes prévus pour la rentrée 2017 ? Alors que la circulaire de rentrée 2017 vient d'être publiée au Bulletin officiel de l'Éducation nationale du 9 mars 2017, le ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche met en avant les principales mesures entrant en vigueur à la prochaine rentrée.

    Les priorités à retenir :

    • l'égalité des territoires (efforts de scolarisation des enfants de moins de 3 ans dans certains quartiers, affectation dans plus de 5 000 écoles d'un maître supplémentaire en CP et CE1 en particulier...) ;
    • le plan numérique pour l'éducation (équipement des élèves...) ;
    • l'apprentissage des langues vivantes (langue vivante 1 à partir du CP, langue vivante 2 à partir de la 5e, passage des enseignements de langue et culture d'origine dans le cadre des enseignements internationaux de langues étrangères...) ;
    • les parcours éducatifs « avenir », « éducation artistique et culturelle », « éducatif de santé », « citoyen » (mis en place progressivement afin de suivre le travail des élèves tout au long de leur scolarité) ;
    • l'enseignement professionnel (nouvelles formations professionnelles, places supplémentaires en BTS, orientation réversible, meilleure connaissance de l'alternance...) ;
    • les élèves en situation de handicap (développement de dispositifs spécifiques) ;
    • le décrochage scolaire (droit de repréparer un examen dans l'établissement d'origine en conservant les notes obtenues au-dessus de la moyenne, utilisation du compte personnel d'activité...) ;
    • la transmission des valeurs de la République (charte de la laïcité, enseignement moral et civique, semaine de la presse et des médias dans l'école, semaine d'éducation et d'actions contre le racisme et l'antisémitisme...) ;
    • la sécurité des écoles, des collèges et des lycées (réalisation d'exercices, formation aux premiers secours...) ;
    • le statut du parent délégué (participation aux instances et à la vie des écoles et des établissements scolaires...) ;
    • la lutte contre le harcèlement et les violences à l'école (augmentation du nombre de référents harcèlements pour une meilleure prise en charge des victimes...).