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société, cadre de vie - Page 481

  • Tabac : l’envie d’arrêter ? (2/3) (07 06 2012)

    Nous vous proposons sur 3 jours de feuilleter la Note stratégique (avec de nombreux liens, mais sans les images ni les encarts) publiée le 30 mai 2012 sur le site de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.sante.fr/30000/actus2012/014-tabac-31-mai.asp

    …/…

    Tabac Info Service aux côtés des fumeurs

    Pour accompagner les fumeurs dans leur envie d’arrêter, l’Inpes leur propose une solution : Tabac Info Service (TIS), service d’information et d’aide accessible au 39 89 (0,15 euro/min depuis un poste fixe) du lundi au samedi de 8h à 20h et sur tabac-info-service.fr. L’aide à l’arrêt du tabac par téléphone est efficace pour les fumeurs motivés. Les études montrent en effet que parmi les fumeurs ayant contacté eux-mêmes une ligne d’aide à l’arrêt, les taux d’arrêt sont plus élevés pour ceux à qui on propose plusieurs entretiens téléphoniques. Au 39 89, les équipes de TIS répondent à toutes les questions que les fumeurs peuvent se poser sur le tabac, l’arrêt, les aides disponibles et proposent la possibilité d’un suivi personnalisé gratuit par des tabacologues fonctionnant sur un système de rendez-vous.

    www.tabac-info-service.fr délivre de l’information mais également de nombreux outils et tests pour faire le point, pas à pas, sur son niveau dépendance au tabac, ses freins à l’arrêt, ses motivations, etc. Le site propose également un service de « coaching » (ou « guidance ») par courrier électronique personnalisé qui accompagne le fumeur tout au long de son arrêt, depuis sa préparation jusqu’au sevrage. À l’occasion du 31 mai 2012, le site a été entièrement revu pour laisser place à de nouveaux contenus sur l’arrêt et à une nouvelle charte graphique.

    À destination des professionnels de santé

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  • dépassements d'honoraires (06 06 2012)

    Attentifs à la situation anormale que créent les dépassements d'honoraires quant à l'égalité pour l'accès aux soins, nous relayons volontiers cet appel à témoignages diffusé ce jour par le Collectif Interassociatif Sur la Santé.

    "Bonjour à toutes et à tous,   

    Une journaliste de la rédaction de France 3 prépare un reportage sur les dépassements d’honoraires, tout particulièrement sur des situations de personnes qui ont été dans l’obligation d’emprunter (auprès de leur famille et/ou d’une banque), pour pouvoir se faire opérer.   

    La journaliste de France 3 recherche ainsi le témoignage d’une ou deux personne(s) qui ont été contraintes d’emprunter de l’argent afin de pouvoir payer une intervention chirurgicale incontournable (une pose d’une prothèse de hanche, par exemple) -  hors opérations chirurgicales d’ordre esthétique. 
    Les personnes qui souhaiteraient apporter leur témoignage peuvent me répondre par mail (creuilly@leciss.org) ou me contacter par téléphone (01 53 62 40 37) afin que je les mette en relation avec la journaliste.
    Je reste à votre disposition pour toute informationcomplémentaire.   

    Bien cordialement,   

    Céline REUILLY
    Assistante Communication - Extranet/Internet
    Tél. : 01 53 62 40 37
    CISS - Collectif Interassociatif sur la Santé
     
    10, Villa Bosquet 75007 Paris - www.leciss.org

  • Tabac : l’envie d’arrêter ? (1/3) (05 06 2012)

    Nous vous proposons sur 3 jours de feuilleter la Note stratégique (avec de nombreux liens, mais sans les images ni les encarts) publiée le 30 mai 2012 sur le site de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.sante.fr/30000/actus2012/014-tabac-31-mai.asp

     Laissez-vous gagner par l'envie d'arrêter !

    « On a tous une bonne raison d’arrêter de fumer, quelle que soit la vôtre, il existe une solution, appelez Tabac Info Service. » C’est cette signature qu’ont choisi l’Inpes et le ministère chargé de la santé pour leur nouvelle campagne nationale de lutte contre le tabagisme. Après la démystification des craintes liées au sevrage et le rappel des risques du tabagisme les années précédentes, l’Inpes souhaite relancer la motivation des fumeurs à écraser leur dernière cigarette. Parce qu’une motivation profonde est un des facteurs clé de la réussite dans l’arrêt du tabac, l’Inpes invite chaque fumeur à trouver ses bonnes raisons d’arrêter de fumer et propose, pour les aider, le soutien de Tabac Info Service.

    Le tabac tue, le tabac rend dépendant, le tabac est le premier facteur de risque pour de nombreuses maladies, il fait vieillir la peau, jaunir les dents, il détériore l’haleine… Les risques et effets néfastes du tabac sont aujourd’hui connus par la plupart des Français. Mesures législatives et règlementaires, campagnes de communication menées par l’Inpes, travail des acteurs de terrain… depuis plus de 40 ans, la stratégie de dénormalisation du tabac est soutenue en France par la dénonciation régulière des risques du tabagisme, qu’il soit actif ou passif. Ce travail a porté ses fruits puisque d'après les enseignements des récentes études menées par l'Inpes auprès des fumeurs, l'augmentation de la crainte des maladies dues au tabac pour eux-mêmes est conséquente. Ainsi, en 2010, chez les fumeurs de 20 à 54 ans, cette crainte est passée au 1er rang (76 %) très loin devant les accidents de la route et le cancer qui arrivaient jusqu'alors en tête. Ce haut niveau de connaissance a par ailleurs été renforcé depuis par l'apposition des avertissements sanitaires graphiques sur les paquets (voir tabac : la législation).

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  • Personnes âgées : Journée de solidarité, résultats (26 05 2012)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiée le 10 mai 2012 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2010/qSEQ100613971.html


    Question écrite n° 13971 de M. Roland Courteau (Aude - SOC)

    M. Roland Courteau attire l'attention de M. le ministre du travail, de la solidarité et de la fonction publique sur la mise en place de la journée de solidarité instituée afin de contribuer au financement des actions en faveur de l'autonomie des personnes âgées ou handicapées.

    Il lui demande de bien vouloir lui faire connaître le montant, année après année, des financements recueillis ainsi que l'affectation détaillée de ces fonds.

    Réponse du Ministère des solidarités et de la cohésion sociale publiée dans le JO Sénat du 10/05/2012 - page 1173

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  • Industrie manufacturière : enquête de conjoncture (mai 2012) (25 05 2012)

    Extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note d’analyse mensuelle publiée le 24 mai 2012 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=11&date=20120524.html

    En mai 2012, le climat des affaires se dégrade dans l’industrie manufacturière

    Industrie manufacturière

    Selon les chefs d'entreprise interrogés en mai 2012, la conjoncture dans l’industrie s’est détériorée par rapport au mois précédent : l'indicateur synthétique du climat des affaires se replie de deux points. Il se situe à un niveau nettement inférieur à sa moyenne de longue période.

    Les entrepreneurs de l’industrie manufacturière restent pessimistes sur l’évolution passée de leur activité. Les stocks de produits finis progressent légèrement et atteignent leur moyenne de longue période. Les carnets de commandes globaux se dégarnissent nettement et sont jugés très peu étoffés ; les carnets de commandes étrangers sont stables : le solde correspondant se situe très en deçà de son niveau de long terme.

    Les perspectives personnelles restent dégradées

    Au vu des perspectives personnelles de production, quasi stables par rapport au mois précédent, l’activité resterait peu dynamique dans les prochains mois. Les perspectives générales, qui représentent l’opinion des industriels sur l’activité de l’industrie dans son ensemble, se replient très fortement par rapport au mois précédent et se situent très en deçà de leur moyenne de longue période.

    Analyse par sous-secteurs

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  • Alimentation : qualité et sécurité sanitaire (24 05 2012)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 10 mai 2012 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2011/qSEQ111020421.html

     

    Programme relatif à la sécurité et la qualité sanitaires de l'alimentation dans le budget pour 2012

    Question écrite n° 20421 de M. René Beaumont (sénateur UMP de Saône-et-Loire)

    M. René Beaumont attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire, au moment de la préparation du budget pour 2012, sur le programme 206 relatif à la “sécurité et la qualité sanitaires de l'alimentation”, et sur les missions sanitaires de ce programme qui ont toujours été considérées comme une priorité de l'État. Elles sont souvent d'ailleurs fortement médiatisées lors des crises et font l'objet d'une attente unanime de la part de nos concitoyens. Les emplois de ce programme 206 sont consacrés notamment :

    À la surveillance et à la lutte contre les maladies animales, notamment celles transmissibles à l'homme ; ainsi près de 75 % des maladies infectieuses humaines sont d'origine animale ;

    Aux contrôles sanitaires sur l'ensemble de la chaîne alimentaire, du producteur au consommateur, notamment l'inspection sanitaire des animaux et de leur viande dans les abattoirs ;

    À veiller au bon usage du médicament vétérinaire, afin de limiter les risques pour la santé du consommateur, notamment ceux de l'anti-biorésistance ;

    À la gestion des risques phytosanitaires et au contrôle de l'utilisation des pesticides ;

    Au contrôle du respect des règles relatives à la protection animale et à la protection de l'environnement (installations classées pour la protection de l'environnement et faune sauvage détenue en captivité).

    Il semblerait aujourd'hui que certaines de ces missions ne sont plus assurées, ou de manière très incomplète. Cette situation est confirmée par de nombreux rapports de l'Office alimentaire et vétérinaire (OAV) de l'Union européenne, qui mettent régulièrement en évidence l'insuffisance des contrôles et le non respect de ses engagements communautaires par notre pays. La Cour des comptes a par ailleurs repris les observations sévères de l'OAV à la suite d'une mission effectuée en novembre 2008 sur les abattoirs de volailles français.

    Déjà interrogé sur ce sujet, le ministère a mis en avant le développement de la délégation de la mission de contrôle des agents publics vers des opérateurs privés pour pallier la diminution des effectifs. De telles délégations doivent faire l'objet d'une supervision de l'État afin de garantir la sécurité des contrôles.

    Dans son rapport provisoire, la Cour des comptes met précisément l'accent sur la faiblesse de cette supervision et elle recommande au ministère de porter une attention particulière aux projections relatives à leur recrutement.

    Entre 2007 et 2012, ce sont plus de 600 emplois (inspecteurs de la santé publique vétérinaire, ingénieurs, techniciens supérieurs, contrôleurs sanitaires…) qui auront été supprimés, soit 13 % de ces emplois consacrés aux missions sanitaires, et il semblerait, à la lecture du projet de budget pour 2012, que les suppressions d'emplois du programme 206 sont, pour la sixième année consécutive, du même niveau que celui des départs à la retraite prévus dans ce programme, c'est-à-dire non pas un pour deux comme c'est la règle dans la révision générale des politiques publiques, mais un pour un.

    Se pose dès lors la question de savoir quel est le coût de la délégation de service public d'inspection chaque année et quel est le montant des économies réalisées par les suppressions d'emplois sur le programme 206 ? Ce dernier coût devant être comparé à l'impact de crises sanitaires graves mal maîtrisées, qui peut atteindre plusieurs dizaines de milliards d'euros (20 à 30 milliards d'euros pour les crises de l'encéphalopathie spongiforme bovine et de la fièvre aphteuse au Royaume-Uni).

    Il est aujourd'hui désormais établi, dans ce domaine comme dans d'autres, que le coût de la prévention en « temps de paix » est dérisoire comparé à celui de la gestion de crises sanitaires graves.

    La dernière interrogation porte sur les solutions qu'il entend mettre en place pour assurer une véritable sécurité alimentaire vétérinaire et phytosanitaire dans notre pays.

    Réponse du Ministère de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire publiée dans le JO Sénat du 10/05/2012 - page 1146

     

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