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société, cadre de vie - Page 479

  • Assistante de vie : emploi (17 11 2012)

    Nous relayons volontiers cette information diffusée par nos amis du CIAPA (Centre d’Information et d’Action en faveur des Personnes Agées)(cliquer ici pour accéder au site du CIAPA)

    www.ciapa.com

    INFORMATION SENIORS : Le CIAPA et « le Relais Particulier-Emploi » de la FEPEM organisentune Conférence Débat :  « L’emploi entre particuliers »

     

    Employeurs à domicile : Vos droits et vos obligations.

    -       Payer en CESU (Chèque Emploi Service Universel) ;

    -       Etablir un contrat de travail pour mon employée familiale ;

    -       Combien rémunérer mon assistante de vie…

     

    Vendredi 23 Novembre 2012 de 10h30 à 12h00

    A la Communauté des Communes, Salle la Flamme à MOURENX.

    Entrée gratuite et ouverte à tous.

     

    CIAPA - 100 avenue du Loup 64000 PAU - Tél : 05 59 80 16 37 - Site : www.ciapa.com - Email : ciapa@ciapa.com

    « Particulier Emploi : Les Relais » - 15 avenue du Général de Gaulle 64000 PAU

    Tél : 05 59 12 23 36 - Email : aslemaire@fepem.fr

  • Industrie manufacturière : prévisions d’investissement (15 11 2012)

    Note d’analyse publiée le 9 novembre 2012 sur le site de l’INSEE (cliquer ci-dessous pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=15&date=20121109.html

    Dans l’industrie manufacturière, les chefs d’entreprise prévoient une baisse de l’investissement en 2013 après une faible progression en 2012 : enquête sur les investissements dans l’industrie – Octobre 2012

    Pour 2012, les prévisions d’investissement ont été revues à la baisse

    Interrogés en octobre 2012, les chefs d’entreprise des industries manufacturières prévoient désormais une faible progression (+1%) de leur investissement en 2012. Ils ont abaissé de quatre points leurs précédentes prévisions recueillies en juillet 2012. Cette révision à la baisse ne touche pas le secteur des industries agricoles et alimentaires (+6%).

    En 2012, la hausse des dépenses d’équipement reste soutenue dans le secteur du matériel de transport (+9 %) avec une forte accélération dans le secteur automobile (+25%).

    Les industriels confirment une baisse de leur investissement au 2e semestre 2012

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  • frelon asiatique (14 11 2012)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 1er novembre 2012 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ120901707.html


    Classer le frelon asiatique comme organisme nuisible

    Question écrite n° 01707 de Mme Michelle Meunier (sénateur socialiste de Loire-Atlantique)

    Mme Michelle Meunier attire l'attention de Mme la ministre de l'écologie, du développement durable et de l'énergie au sujet de l'inexorable prolifération du « frelon asiatique » dans notre pays.

    Depuis 2005, le « vespa velutina » n'a cessé de proliférer en France jusqu'à être présent aujourd'hui dans plus de la moitié des départements métropolitains. Cette invasion ne semble pas près de s'arrêter car il semble impossible en l'état actuel d'éradiquer l'insecte. À ce jour, 113 nids ont ainsi été authentifiés dans le département de la Loire-Atlantique sur les six premiers mois de 2012 contre zéro il y a trois ans seulement… Il est donc urgent d'agir.

    Prédateur d'insectes, et notamment d'abeilles, le « frelon à pattes jaunes » vient encore modifier le fragile équilibre de la filière apicole, déjà mis à mal depuis les 20 dernières années du fait de choix humains (utilisation des pesticides notamment). Les abeilles sont dans l'incapacité de se défendre face à un tel prédateur. Il constitue donc un immense fléau pour l'ensemble de la filière apicole allant jusqu'à menacer son avenir. Il constitue également un risque majeur pour la biodiversité, du fait du rôle de pollinisateur tenu par l'abeille.

     Il est indispensable de mettre en place un plan d'action à l'échelle nationale (voire internationale) pour mieux connaître le « vespa velutina » et organiser des actions coordonnées visant, sinon à l'éradiquer, au moins à en ralentir la progression. Le classement de cet insecte comme organisme nuisible permettrait d'associer les différents acteurs susceptibles d'agir (museums d'histoire naturelle, fédérations départementales de groupements de défense contre les organismes nuisibles, apiculteurs, collectivités, État, chambre d'agricultures, bénévoles, etc). Le classement permettrait surtout de mettre en œuvre une destruction systématique des départs de nids en début d'année, seul moyen efficace de lutter contre l'expansion du frelon.

    En dépit de la mobilisation du monde apicole et des élu(e)s, les précédents gouvernements sont restés passifs laissant ainsi la prolifération du « frelon asiatique » gagner du terrain.

    L'ampleur du problème n'étant plus maintenant à démontrer, elle lui demande dès lors, d'inscrire rapidement le « vespa velutina » en tant qu'organisme nuisible dans le code rural afin de permettre de déployer un plan d'action concerté pour le début 2013, au regard de l'urgence de la situation. Elle souhaiterait également connaître les mesures concrètes qui seront mises en œuvre afin d'engager ce plan de lutte collective efficace à grande échelle et ainsi limiter la prolifération de ce prédateur.

    Réponse du Ministère de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt publiée dans le JO Sénat du 01/11/2012 - page 2470

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  • normes et collectivités territoriales (12 11 2012)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 17 octobre 2012 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ12080098S.html

     

    Question orale sans débat n° 0098S de M. Alain Néri (Puy-de-Dôme - SOC)

    M. Alain Néri. Je souhaite attirer l'attention du Gouvernement sur les problèmes quotidiens que rencontrent les élus des collectivités locales dans l'application des normes, notamment avec les commissions de contrôle et de sécurité.

    De nombreux élus constatent avec regret et inquiétude l'accumulation des contraintes législatives et réglementaires, qui rend la gestion des collectivités locales de plus en plus lourde et compliquée. Face à une véritable frénésie normative, ils sont même parfois désespérés, voire exaspérés par des règles tatillonnes, excessives et peu réalistes qui freinent la réalisation des investissements, perturbent la bonne gestion des collectivités territoriales et imposent souvent de fait une tutelle inacceptable des administrations, en contradiction avec la loi du 2 mars 1982 relative aux droits et libertés des communes, des départements et des régions.

    Quelles que soient les normes imposées, les principales difficultés sont de trois ordres : le coût, la complexité technique et le délai de mise en œuvre. Cela se vérifie au moment des travaux mais aussi lors des diagnostics et études préalables, ainsi que des contrôles techniques et de sécurité.

    Les élus reprochent également à juste titre une trop grande profusion de textes et leur évolution constante, qui est source d'insécurité juridique. En outre, l'application qui en est faite soit est trop rigoureuse, soit varie en fonction des autorités chargées d'interpréter les textes ; cela se vérifie notamment pour les normes de sécurité.

    Les élus souhaitent que le système normatif évolue réellement dans le sens d'une meilleure adaptation des textes aux situations locales, soit lors de la définition des normes, soit lors de leur application, en laissant une certaine souplesse en fonction de la taille de la collectivité, de son caractère urbain ou rural ou encore de ses capacités financières. Ils réclament également une évaluation plus précise des conséquences financières de ces normes et un allongement des délais de mise en application, ainsi qu'une plus grande stabilité des textes.

    Il y a urgence. Je souhaite donc connaître les suites que le Gouvernement entend donner à ces légitimes demandes.

    Réponse du Ministère chargé de la décentralisation publiée dans le JO Sénat du 17/10/2012 - page 3858

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  • Transports et développement durable : brèves n°28 (09 11 2012)

    (Relevé publié dans ce blog, le 9 ou 10 de chaque mois depuis septembre 2010)

    Panorama inédit n° 59 (06 09 2012) réalisé par Mme Christine Raynard, chargée de mission au Département Développement Durable (DDD) du Centre d’Analyse Stratégique (cliquer ci-dessous pour accéder au site du CAS)

    http://www.strategie.gouv.fr/content/panorama-des-transports-n%C2%B0-59.html

    1) La société américaine Boxx Corp commercialise un scooter cargo électrique. Il se présente comme une boite ultracompacte et intègre deux espaces à bagages pouvant contenir des marchandises volumineuses.

    Le « Boxx », destiné à un usage utilitaire, mesure un mètre de long et pèse 55 kg à vide. Il est équipé d'un moteur électrique intégré à sa roue arrière et peut atteindre la vitesse de 56 km/h. Sa batterie dispose d’une autonomie de 32 kilomètres, voire 64 selon le modèle et se recharge en moins de quatre heures sur une prise secteur. Un mode « éco » permet de doubler l'autonomie en réduisant la vitesse maximum à environ 30 km/h. Le modèle de base est vendu 3 995 dollars (soit 3 200 euros). Une série de 100 exemplaires est disponible cette année, mais pour l’instant il n’est pas commercialisé en Europe.

    2) « Wehicles », plate-forme communautaire d'information et d'accès aux services de mobilité devrait être présentée lors du prochain Mondial de l’automobile à Paris, fin septembre 2012.

    Tous les acteurs, privés ou publics, du secteur des transports, pourront s'inscrire en ligne pour proposer leurs services sur une page dédiée et accessible à l'ensemble de la communauté Wehicles. L’objectif de cette plate-forme est de promouvoir auprès des particuliers les modes de transport durables proposés par les entreprises et les collectivités.

    3) Lunar Europe, Green City et l’université de Wuppertal ont mis en place à Munich un nouveau système de mobilité, « mo ».

    Avec une application accessible depuis un smartphone, les membres ont accès à des services d’autopartage, de location de vélos classiques ou électriques ou utilitaires, ainsi qu’aux transports collectifs. Le paiement s’effectue avec une carte unique pour tous les modes et permet de cumuler des « momiles », à dépenser sur des trajets en bus, métro ou voiture.

  • redevance audiovisuelle 2013 (08 11 2012)

    Extraits d’un article de Mme Nathalie Silbert publié le 5 novembre 2012 sur le site des Echos (cliquer ci-dessous pour accéder au site des Echos)

    http://www.lesechos.fr/opinions/analyses/0202355348466-incontournable-redevance-audiovisuelle-507183.php.html

    Régulièrement…/…, la polémique enfle sur la question de savoir s'il faut, ou pas, augmenter cette taxe (contribution à l'audiovisuel public (CAP), ex-redevance audiovisuelle) acquittée par les foyers possédant un téléviseur et affectée au financement de France Télévisions - destinataire bon an mal an de 60 % à deux tiers de la ressource -, Radio France, Arte France, l'Audiovisuel extérieur de la France et l'INA…/…

    Le gouvernement Ayrault …/… est prêt aujourd'hui à relever de 2 voire 4 euros le montant de la redevance, en plus de l'indexer sur l'inflation, ce qui l'augmentera encore de 2 euros supplémentaires. En redonnant à cet outil un rôle central dans le financement de la télé et la radio publiques, il fixe le contour dans lequel devra s'inscrire la réflexion pour la nouvelle loi audiovisuelle, promise par l'exécutif en 2013…/… il a ainsi prévu dans son projet de budget pour 2013 de ne plus verser que 250 millions d'euros, contre 450 millions jusque-là…/…

    Le montant de la taxe acquittée en France (125€) est bien moins élevé que celui de la plupart des pays européens. En 2012, il s'est élevé à 175 euros au Royaume-Uni - où la BBC n'a pas le droit de diffuser de la publicité -et à 216 euros en Allemagne…/…

    Dans ce contexte, le gouvernement va devoir définir quel service public audiovisuel il veut, tant du point de vue des missions que le groupe doit acquitter que des efforts de gestion à engager ou même de son périmètre d'activité…/…