Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vie pratique - Page 204

  • Ampoules halogènes : fin (05 09 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 30 août 2018 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A12860?xtor=EPR-100.html

    Ampoules halogènes : c'est fini !

    Publié le 30 août 2018 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Trop gourmandes en énergie, les ampoules halogènes ne seront plus vendues à compter du 1er septembre 2018. Les stocks restant en magasin pourront néanmoins être écoulés.

    Six ans après la fin des ampoules à incandescence, les ampoules halogènes seront interdites à la vente à partir du 1er septembre 2018 en France et dans toute l'Europe, en raison de leur trop grande consommation en électricité et de leur durée de vie inférieure aux produits concurrents. Les distributeurs pourront néanmoins écouler leurs stocks. 2 modèles ne sont pas concernés : R7s et G9.

    Les consommateurs sont invités à s'orienter vers les ampoules LED (« light-emitting diode » signifiant ″diodes électroluminescentes″) et les ampoules fluocompactes (ou basse consommation).

    La durée des ampoules LED est communément estimée à 15 000 heures, mais elle peut aller jusqu'à 40 000 heures selon l'agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe), contre 2 000 heures pour les halogènes et 8 000 heures pour les fluocompactes. L'Ademe précise que ces ampoules sont rentabilisées en moins d'un an, avec une efficacité énergétique supérieure d'un tiers à celle des fluocompactes.

    L'éclairage LED a toutefois suscité des mises en garde. Ainsi, en janvier 2017, l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) alertait dans une étude sur les dangers de la lumière bleue sur la rétine . Le comité scientifique de la Commission européenne pour la santé a quant à lui appelé, en juin 2018, à « suivre attentivement » les effets à long terme de l'utilisation des ampoules LED dans la population, tout en indiquant qu'il n'y avait « pas d'évidence » d'effet néfaste direct des ampoules LED en utilisation normale.

    Et aussi

    Pour en savoir plus

    Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe)

  • Personnes handicapées : aide ménagère (04 09 2018)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 26 juillet 2018 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2017/qSEQ171101946.html

    Question écrite n° 01946 de M. Michel Dagbert (sénateur du Pas-de-Calais)

    Michel Dagbert attire l'attention de Mme la secrétaire d'État, auprès du Premier ministre, chargée des personnes handicapées sur l'accès aux services ménagers pour les personnes handicapées. L'article R. 241-1 du code de l'action sociale et des familles dispose, depuis le 26 octobre 2004, que les dispositions des articles R. 231-2, R. 231-4 et R.231-5 sont applicables aux personnes handicapées mentionnées à l'article L. 241-1.

     
    Ainsi, l'octroi des services ménagers peut être envisagé, dans les communes où un tel service est organisé, au profit des personnes ayant besoin, pour demeurer à leur domicile, d'une aide matérielle et ne disposant pas de ressources supérieures à celles prévues pour l'octroi de l'allocation simple (803,20 euros par mois) sans qu'il soit tenu compte des aides au logement. 

    Or, les personnes handicapées avec un taux d'invalidité de 80 % perçoivent l'allocation aux adultes handicapés (AAH) au taux plein (actuellement 810,89 euros par mois) ainsi que la majoration pour la vie autonome ( MVA), soit un total de 915,66 euros. Elles sont donc exclues du bénéfice des services ménagers.

     
    Au 31 décembre 2015, 214 000 personnes handicapées au taux d'invalidité de 80 % percevaient une AAH au taux plein. Elles se trouvent privées d'une aide fondamentale nécessaire pour accomplir les actes du quotidien.

     
    Aussi, il lui demande de bien vouloir lui préciser la position du Gouvernement sur cette question et si elle entend procéder à une modification des dispositions du code de l'action sociale et des familles afin de garantir l'accès de ces personnes handicapées aux services ménagers. 

     

    Réponse du Secrétariat d'État, auprès du Premier ministre, chargé des personnes handicapées publiée dans le JO Sénat du 26/07/2018 p. 3893

     

    Lire la suite

  • Rappel de produits (mise à jour du 31 08 2018) (01 09 2018)

    En fonction des alertes, nous proposons ici chaque samedi une liste d’avis publiés dernièrement sur le site de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) du Ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site de la DGCCRF)

    https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/Securite/Alertes/Avis-rappels-de-produits.html

    NDLR du Blog : Les avis de rappels de produits sur le site de la DGCCRF comportent un résumé (produit, société, nature du risque) et surtout un lien permettant d’ouvrir par simple clic une fiche avec photo, description, références du produit et la démarche proposée ; ce lien peut ne plus être opérationnel si la durée de l’alerte est dépassée

    29/08/2018 - Avis de rappel de Barres céréales (choco-banane et chocolat au lait) de la marque Crownfield

    Nom du produit : Barres céréales (assortiment choco-banane et chocolat au lait)

    Marque : Crownfield

    Référence :

    Barres de céréales : Chocolat au lait sans sucre ajoutés 200g

    Barres de céréales : Choco et Banane 200g

    Lot : Toutes DDMDate de commercialisation : du 21/12/2017 au 21/08/2018

    Risque : Erreur d’étiquetage ne mentionnant pas la présence de l’allergène Arachides.

    Commentaire : Il est recommandé aux personnes allergiques aux arachides qui détiendraient des produits appartenant aux lots décrits ci-dessus de ne pas les consommer et de les rapporter au point de vente où ils seront remboursés.

     

    Liste des rappels des 30 jours précédents

     

    Lire la suite

  • Vacances scolaires : dates 2018-2019 (31 08 2018)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 28 juin 2018 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A12731?xtor=EPR-100.html

    Quelles sont les dates des vacances scolaires 2018-2019 ?

    Publié le 28 juin 2018 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Les dates des vacances scolaires dépendent de la zone où se situe l'établissement scolaire. La France métropolitaine est divisée en 3 zones académiques auxquelles il faut ajouter l'académie de Corse :

    • la zone A comprend les académies de Besançon, Bordeaux, Clermont-Ferrand, Dijon, Grenoble, Limoges, Lyon, Poitiers ;
    • la zone B comprend les académies d'Aix-Marseille, Amiens, Caen, Lille, Nancy-Metz, Nantes, Nice, Orléans-Tours, Reims, Rennes, Rouen, Strasbourg ;
    • la zone C comprend les académies de Créteil, Montpellier, Paris, Toulouse, Versailles.

    Année scolaire 2018-2019 :

     

    Zone A

    Zone B

    Zone C

    Corse

    Rentrée des élèves

    Lundi 3 septembre

    Mercredi 5 septembre : école maternelle ou élémentaire

    Jeudi 6 septembre : collège ou lycée

    Vacances de Toussaint

    Du samedi 20 octobre au lundi 5 novembre

    Du mardi 23 octobre au lundi 5 novembre

    Vacances de Noël

    Du samedi 22 décembre au lundi 7 janvier

    Du samedi 22 décembre au lundi 7 janvier

    Vacances d'hiver

    Du samedi 16 au lundi 4 mars

    Du samedi 9 février au lundi 25 février

    Du samedi 23 février au lundi 11 mars

    Du samedi 23 février 2019 au lundi 11 mars

    Vacances de printemps

    Du samedi 13 au lundi 29 avril

    Du samedi 6 au mardi 23 avril

    Du samedi 20 avril au lundi 6 mai

    Du samedi 20 avril au lundi 6 mai

    Ascension

    Jeudi 30 mai, vendredi 31 mai et samedi 1er juin

    Vendredi 31 mai et samedi 1e juin

    Vacances d'été

    Samedi 6 juillet

    Samedi 6 juillet

    Les calendriers scolaires en outre-mer sont spécifiques à chaque académie. Renseignez-vous directement sur leurs sites internet.

      À savoir :

    Le départ en vacances a lieu après la classe et la reprise des cours le matin des jours indiqués. Les élèves qui n'ont pas cours le samedi sont en congés le vendredi soir après les cours.

    Pour l'année 2018-2019, il n'y aura pas classe le vendredi 31 mai 2019 et le samedi 1er juin 2019.

    Des aménagements peuvent intervenir, notamment en raison des examens de fin d'année au collège ou au lycée.

    Textes de référence

    Et aussi

    Pour en savoir plus

    Ministère chargé de l'éducation

    Ministère chargé de l'éducation

     

  • Isolation thermique des bâtiments (30 08 2018)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 9 août 2018 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2017/qSEQ170800896.html

    Question écrite n° 00896 de M. Philippe Bas (sénateur de la Manche)

    Philippe Bas appelle l'attention de M. le ministre de la cohésion des territoires sur le décret n° 2016-711 du 30 mai 2016 relatif aux travaux d'isolation en cas de travaux de ravalement de façade, de réfection de toiture ou d'aménagement de locaux en vue de les rendre habitables pris en application de l'article 14 de la loi n° 2015-992 du 17 août 2015 relative à la transition énergétique pour la croissance verte, et en particulier sur les conséquences pour le bâti ancien non protégé de l'obligation d'isolation thermique par l'extérieur en cas de ravalement de façade ou de réfection de toiture.

     
    Cette nouvelle obligation risque d'impacter la qualité architecturale, notamment en dénaturant les façades d'origine, et induit des coûts importants pour les propriétaires. En effet, si ces derniers souhaitent être exonérés de cette obligation, ils devront présenter une note argumentée rédigée par un professionnel justifiant de la valeur patrimoniale ou architecturale de la façade.

     
    Par ailleurs, cette mesure ne semble pas être utile pour le bâti antérieur à 1948. La circulaire du 22 juillet 2013 précise que « l'année 1948 est usuellement la date qui marque le début de l'utilisation massive des matériaux industriels. Les bâtiments « anciens » sont justement définis comme les bâtiments construits avant 1948. Ils représentent environ le tiers du parc de logements. Ces bâtiments bénéficient de performances énergétiques relativement bonnes, proches des constructions du début des années 1990. »

     
    Dans ce contexte, il lui demande si le Gouvernement entend modifier rapidement les dispositions de ce décret afin d'en assouplir le contenu en supprimant les contraintes excessives et coûteuses inutilement imposées aux propriétaires.

     

    Réponse du Ministère de la cohésion des territoires publiée dans le JO Sénat du 09/08/2018 – p. 4142

     

    Lire la suite

  • Cartes grises et permis (28 08 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 31 mai 2018 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2018/qSEQ180203100.html

    Question écrite n° 03100 de M. Éric Bocquet (sénateur du Nord)

    Éric Bocquet appelle l'attention de M. le ministre d'État, ministre de l'intérieur, sur les problématiques récurrentes liées à la délivrance des cartes grises et des permis de conduire. Depuis la mise en place de la dématérialisation, le 6 novembre 2017, et l'obligation d'effectuer les démarches sur le site internet de l'agence nationale des titres sécurisés ou par un prestataire privé habilité contre paiement, plusieurs usagers, particuliers comme professionnels, l'ont alerté sur les nombreux problèmes qu'ils ont pu rencontrer.

     
    Ces derniers ont les pires difficultés à se voir délivrer leur carte grise ou leur permis de conduire, malgré d'ailleurs les annonces des services de l'État quant à l'amélioration du dispositif. 


    En effet, au-delà du fait que cette dématérialisation met de côté un pan entier de nombreux administrés qui n'ont malheureusement pas accès à internet, beaucoup d'autres rencontrent d'énormes difficultés à faire aboutir leurs demandes.

     
    La plateforme est saturée et il y a de trop nombreux dysfonctionnements liés au serveur, sans compter la lenteur dans le suivi de dossier, la difficulté à avoir un interlocuteur, la non-délivrance du code de cession ou encore l'impossibilité de procéder au paiement.

     
    Alors même que le ministère justifiait cette dématérialisation par une facilitation des démarches administratives, celle-ci est surtout devenue un vrai calvaire et un véritable parcours du combattant pour des usagers désemparés. Là encore, le « tout informatisé » ne remplace pas le contact humain direct.

     
    Aussi, il lui demande si des améliorations du service sont envisagées et si des procédures adaptées, notamment d'accompagnement, seront mises en place pour mettre fin à ces difficultés.

     

    Réponse du Ministère de l'intérieur publiée dans le JO Sénat du 31/05/2018 p. 2696

     

    Lire la suite