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economie - Page 28

  • création d'entreprises : aout 2010 (20 09 2010)

    Création d’entreprises (août 2010)

    Extraits d’une note publiée le 15 septembre 2010 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=41&date=20100915.html

    Hausse du nombre de créations d’entreprises en août 2010

    Créations d’entreprises – Août 2010

    Avertissement : l'Insee publie, depuis août 2009, le nombre cumulé de demandes de créations d’entreprises réalisées sous le régime de l’auto-entrepreneur à compter de janvier 2009. Ce régime ayant été mis en place début 2009, les auto-entrepreneurs sont incorporés aux statistiques de créations d’entreprises depuis la publication portant sur janvier 2009. Toutefois, le modèle de désaisonnalisation de la série des créations est perturbé par le choc que constitue l’arrivée des auto-entrepreneurs, dont on ignore le profil saisonnier. Depuis le numéro d’octobre 2009, seule la composante « hors auto-entrepreneurs » est désaisonnalisée. On lui ajoute le nombre brut de créations sous le régime de l’auto-entrepreneur.

    En août 2010, le nombre de créations d'entreprises est en hausse par rapport au mois de juillet (+3,5 %). La baisse du nombre de créations d’auto-entrepreneurs est compensée par la hausse du nombre de créations hors auto-entrepreneurs (+22,3 %, en données corrigées des variations saisonnières et du nombre de jours ouvrables).

    Légère diminution en glissement annuel sur les trois derniers mois (T/T–4)

    Le nombre cumulé de créations des trois derniers mois est en légère baisse par rapport aux mêmes mois de 2009 (-0,7 %, T/T–4).

    Les secteurs qui contribuent le plus à cette baisse sont le commerce et les services aux ménages.

    +33 % sur les 12 derniers mois

    Le nombre de créations des 12 derniers mois dépasse de 33 % celui des 12 mois précédents, où l’on n’a enregistré des auto-entrepreneurs que sur 8 mois.

    Plus d’une demande de création sur deux sous le régime de l’auto-entrepreneur depuis début 2010

    Depuis janvier 2010, on enregistre 244 982 demandes de créations sous le régime de l’auto-entrepreneur.

  • transports et dével. durable b (09 09 2010)

    Transports et développement durable (b)

    Extraits d’un relevé de brèves réalisé par Christine Raynard, chargée de mission au Département Recherche, Technologies et Développement Durable (DRTDD) et publiées le 7 juillet 2010 sur le site du Centre d’Analyse Stratégique (cliquer ici pour accéder au site du CAS)

    http://www.strategie.gouv.fr/IMG/pdf/No_33-070710.pdf

     

    1) La région Poitou-Charentes et la SNCF ont lancé une expérimentation qui va s’étaler sur trois ans, d’un TER écomobile avec une toiture équipée de 20 m2 de panneaux photovoltaïques, permettant d’assurer l’éclairage du train. Les vitres sont recouvertes d’un film solaire, afin d’optimiser la  climatisation. Ce projet a coûté 450 000 €.

     

    2) Le gouvernement britannique a lancé la vente, sous forme de concession, de la ligne à grande vitesse reliant Londres St Pancras au Tunnel sous la Manche. Cette ligne appartient actuellement à la holding ferroviaire London and Continental Railways (LCR). …/…

    Cette acquisition pourrait permettre d’augmenter le trafic dans le tunnel sous la Manche, en développant la concurrence entre Eurostar et de nouveaux opérateurs.

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  • France :croissance et budget (19 08 2010)

    La croissance apporte une bouffée d'oxygène, l'ampleur de l'ajustement budgétaire fait débat

    Extraits d’un article de M. ÉTIENNE LEFEBVRE publié le 16 août 2010 sur le site des Echos (cliquer ici pour accéder au site des Echos)

    http://www.lesechos.fr/info/france/020721658983-la-croissance-apporte-une-bouffee-d-oxygene-l-ampleur-de-l-ajustement-budgetaire-fait-debat.htm

    La reprise des créations d'emplois va générer un surcroît de recettes sociales cette année et l'accélération de la croissance au deuxième trimestre conforte l'exécutif. Mais la probable révision à la baisse de la croissance pour 2011 pèsera en sens inverse.…./…

    Mais cela ne va pas exonérer le gouvernement d'une remise à plat de son scénario pour 2011 : la prévision d'une croissance accélérant à 2,5 % reste jugée trop optimiste par la plupart des économistes…./…

    Avant les vacances, le ministre du Budget, François Baroin, avait indiqué qu'il faudrait réaliser 8,5 à 10 milliards d'euros d'économies dès l'an prochain sur les niches fiscales et sociales,../…

    Mais le gouvernement veut aussi éviter d'accumuler des mesures qui freineraient la reprise. Exemple : il ne relèvera pas le taux réduit de TVA (5,5 %) sur la restauration ou les travaux à domicile.../…

    Sur l'évolution des recettes, le gouvernement est assez confiant. Les rentrées d'impôt sur les sociétés sont conformes à la prévision pour cette année, et celles de 2011 seront soutenues par les bons résultats des grandes entreprises…./…

    …/… En résumé : le gouvernement pourrait afficher une prévision de croissance 2011 moins élevée, mais avec une baisse limitée des recettes anticipées.

  • croissance européenne : mesures (3/3) (13 08 2010)

    Extraits d’un important article publié le 4 juillet 2010 sur le site de La Tribune (cliquer ici pour accéder au site de la Tribune)

    http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20100704trib000527080/aix-2010-dix-mesures-pour-une-croissance-europeenne.html

    dix mesures pour une croissance européenne : déclaration des Rencontres d'Aix du Cercle des économistes.

    Introduction

    I.         Les risques pour l’Europe du nouvel ordre mondial

    II.       Inventer la croissance de demain

    III.      Dix mesures pour bâtir une croissance européenne

    Conclusion

    …/…

    III. Dix mesures pour bâtir une croissance européenne

    Nos pays ontils encore un avenir ? Résolument oui. L’Europe n’a pas une vision objective ni de sa puissance ni de sa réalité. Première puissance commerciale du monde, elle a réussi à développer un marché unique de 500 millions de consommateurs, ce qui est une force incomparable. L’Europe est également une source d’innovation exceptionnelle, aujourd’hui insuffisamment utilisée, et possède des structures sociales exemplaires. …/… Nous souhaitons conserver une base productive extrêmement solide. Ceci ne signifie pas une réindustrialisation uniforme, mais concentrée sur certains pays, et notamment la France qui a connu un des rythmes de désindustrialisation les plus forts. Sept thèmes apparaissent centraux, qui chacun suppose une vraie stratégie de rupture :

    Innovation et politique industrielle

    Education et qualification

    Financement de la croissance et régulation financière

    Croissance verte

    Politique macroéconomique

    Pacte social

    Coopération multilatérale.

    Bien entendu, il serait irréaliste et peu efficace de détailler un catalogue de mesures, mais il est cependant indispensable d’illustrer l’absolue nécessité de changement radical dans les politiques européennes. C’est la raison pour laquelle le Cercle des économistes formule dix mesures pour permettre à l’Europe d’être un acteur clé de la croissance de demain :

     

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  • croissance européenne : mesures (2/3) (12 08 2010)

    Extraits d’un important article publié le 4 juillet 2010 sur le site de La Tribune (cliquer ici pour accéder au site de la Tribune)

    http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20100704trib000527080/aix-2010-dix-mesures-pour-une-croissance-europeenne.html

    dix mesures pour une croissance européenne : déclaration des Rencontres d'Aix du Cercle des économistes.

    Introduction

    I.         Les risques pour l’Europe du nouvel ordre mondial

    II.       Inventer la croissance de demain

    III.      Dix mesures pour bâtir une croissance européenne

    Conclusion

    II. Inventer la croissance de demain

    Une fois affirmé notre espoir dans une croissance forte en Europe, tout reste à faire. Il y a en premier lieu un enjeu méthodologique. Les vocables croissance durable, croissance équitable sont si usités qu’ils ont perdu leur sens et sont devenus des concepts vides. Et puis, malgré les enjeux environnementaux et du réchauffement climatique, nous ne pouvons nous satisfaire d’une croissance "low cost". Une économie trop tertiarisée se développe principalement
    sur des emplois peu qualifiés aux salaires moyens faibles.

    En fait, il nous faut déterminer les secteurs et les acteurs porteurs de cette nouvelle croissance.

    1) Des nouveaux secteurs

    En termes sectoriels, nous pouvons énumérer certains moteurs de cette croissance, étant bien
    entendu que le contenu s’entend aussi bien en termes industriels qu’en termes de services :
    a. "Green business" : énergie dé
    carbonée, transports et bâtiments verts.
    b. Economie des seniors : la bio
    ingénierie au service de la santé, sciences du vivant.
    c. Société numérique, les nanotechnologies, la robotique.
    d. Repenser aussi les processus de production pour les rendre plus économes en
    matières premières.

    e. Agronomie et hydraulique pour répondre à la limitation des terres arables.
    Mais les premières estimations quantitatives du potentiel en croissance et en emploi de ces
    nouveaux secteurs indiquent qu’ils sont trop limités et pauvres en emploi pour suffire à tirer la
    croissance mondiale de demain. Des ruptures technologiques sont donc indispensables dans tous ces domaines pour concilier croissance durable et de qualité.

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  • croissance européenne : mesures (1/3) (11 08 2010)

    croissance européenne : mesures (1/3) (10 08 2010)

    Extraits d’un important article publié le 4 juillet 2010 sur le site de La Tribune (cliquer ici pour accéder au site de la Tribune)

    http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20100704trib000527080/aix-2010-dix-mesures-pour-une-croissance-europeenne.html

    dix mesures pour une croissance européenne : déclaration des Rencontres d'Aix du Cercle des économistes.

    Introduction

    I.         Les risques pour l’Europe du nouvel ordre mondial

    II.       Inventer la croissance de demain

    III.      Dix mesures pour bâtir une croissance européenne

    Conclusion

    L’objet de cette Déclaration est de décrire et proposer les conditions dans lesquelles les pays de l’OCDE, et d’abord le continent européen, peuvent retrouver une place majeure dans l’économie mondiale dans les cinq prochaines années. Notre perspective résolument optimiste sur l’avenir de l’Europe ne va pas de soi. Pour atteindre cet objectif, il faudra bien plus que des déclarations, il faudra un investissement humain et capitalistique sans précédent. Et puis, sans tomber dans une vision simpliste du développement durable, il est évident que l’Europe doit concentrer une partie de ses efforts sur des domaines qui, minoritaires aujourd’hui, ne le resteront pas et dans lesquels ses atouts de compétitivité de départ sont forts, les technologies et marchés du "green business".

    Ne perdons pas cet avantage d’avoir perçu les premiers le poids de ces nouvelles contraintes environnementales et d’en avoir tiré un véritable leadership…./…

    les trois prochaines années sont, d’abord et avant tout, les premiers maillons d’une nouvelle forme de croissance. Nous sommes confrontés à la plus forte rupture historique depuis un siècle, et les choix de politique économique définiront radicalement et durablement le chemin de la croissance…./…

    Le monde vit aujourd’hui d’illusions et d’idées reçues qui, prises au pied de la lettre, laissent entrevoir un avenir sombre :

    l’Europe se serait engagée sur la voie d’une marginalisation, nettement plus marquée au Sud qu’au Nord, liée à son vieillissement et à son impossibilité de trouver sa place dans la nouvelle division internationale du travail, et au fait que les niveaux d’immigration auraient atteint le seuil de tolérance ;

    l’orientation vers le court terme d’une part croissante de la finance serait inéluctable ;
    le monde se dirigerait vers une société où les innovations de biens et services ne joueraient plus le même rôle qu’au cours de deux derniers siècles ;

    les inégalités demeureraient à un niveau insupportable, conduisant à des difficultés sociales majeures dans les pays développés, aggravées par l’angoisse de la rigueur ;
    le continent africain, laissé pour compte de la croissance mondiale, n’aurait que peu d’avenir ;
    les grandes zones monétaires seraient condamnées à vivre avec la persistance des déséquilibres globaux sur le long terme, notamment commerciaux, synonyme d’une difficulté à gérer l’explosion des liquidités monétaires à l’échelle mondiale, dont on sait qu’elle est à l’origine de la crise ; les taux de change ne seraient que des variables de second ordre, idée renforcée par le silence jusqu’à présent du G20 sur ce sujet ;

    on ne peut rien faire contre la volatilité des flux de capitaux et contre la succession de bulles financières ;
    le progrès technique et la prise en compte de l’environnement sont contradictoires et la solution choisie ne peut finalement qu’être un compromis médiocre.

    la zone euro ne fonctionnerait que dans une vision uniforme des modèles socioéconomiques tant sur les plans des secteurs d’activité que sur les plans des institutions. .../…

     

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