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santé - Page 28

  • Santé, retraite, famille : nouveautés 2017 (26 01 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note de synthèse publiée le 5 janvier 2017 sur le site Service public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

     

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A11247?xtor=EPR-100.html

     

    LFSS 2017 : santé, retraite et famille, quoi de neuf ?

    Publié le 05 janvier 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

     

    Prévention bucco-dentaire, lutte contre le tabagisme, salariés multi-employeurs, liquidation unique des pensions de retraite, particuliers employeurs, loueurs de meublés... La loi de financement de la sécurité sociale (LFSS) pour 2017, publiée au Journal officiel du 24 décembre 2016 prévoit de nombreuses nouveautés.

    Santé

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  • EHPAD : suivi nutritionnel (12 12 2016)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 17 novembre 2016 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2016/qSEQ160220232.html

    Question écrite n° 20232 de M. Maurice Antiste (sénateur de Martinique)

    Maurice Antiste attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur la prévention, le traitement et la lutte contre la dénutrition, notamment à travers le suivi nutritionnel des établissements d'hébergement pour les personnes âgées dépendantes.

    En effet, il est nécessaire selon lui d'inscrire la prévention de la dénutrition comme priorité de la politique de santé publique et le suivi nutritionnel des établissements d'hébergement des personnes âgées comme principe législatif. Le principe législatif d'équilibre alimentaire et les recommandations pour un suivi nutritionnel dans les établissements doivent faire l'objet d'obligations réglementaires précises et un contrôle régulier du respect de ces obligations doit être mis en place pour que soit assurée une réelle mission de veille et de sécurité sanitaire.

    D'après un rapport de 2005 du conseil de l'alimentation, jusqu'à 38 % des résidents seraient touchés par la dénutrition alors même que ces établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) disposent d'axes de recommandations définis par les autorités sanitaires et les groupes d'experts qui permettent d'éviter la dénutrition en veillant au respect des rythmes alimentaires, de l'équilibre alimentaire, ainsi qu'au suivi de l'état de santé nutritionnel des résidents. De plus, une récente étude de l'UFC-Que choisir pointe du doigt une qualité nutritionnelle aléatoire, des rythmes de repas trop resserrés sur la journée et un suivi nutritionnel insuffisant.

     
    Il estime utile d'inciter les professionnels, dans les établissements, à mieux respecter le principe législatif d'équilibre alimentaire, prévu par l'article D. 230-29 du code rural et de la pêche maritime, ainsi que les recommandations de suivi nutritionnel reposant sur trois axes essentiels à la prévention de la dénutrition : respecter les rythmes alimentaires particuliers des personnes âgées, fournir une alimentation de bonne qualité (nutritionnelle et gustative) et suivre l'état nutritionnel de chaque pensionnaire.

     
    C'est pourquoi il souhaiterait savoir, d'une part, quelles mesures peuvent être envisagées par le Gouvernement afin d'intervenir sur ce thème et, d'autre part, s'il est envisagé par le Gouvernement de donner compétence et pouvoir aux agences régionales de santé pour contrôler chaque année le respect du suivi nutritionnel des établissements d'hébergement pour les personnes âgées dépendantes et tout manquement éventuel.

     

    Réponse du Secrétariat d'État, auprès du ministère des affaires sociales et de la santé, chargé des personnes âgées et de l'autonomie publiée dans le JO Sénat du 17/11/2016 p. 5016

     

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  • Consommations nocives d’alcool : plan de lutte (30 11 2016)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 10 novembre 2016 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2016/qSEQ160722655.html

    Question écrite n° 22655 de M. Alain Dufaut (sénateur du Vaucluse)

    Alain Dufaut attire l'attention de M. le Premier ministre sur le rapport que vient de publier la Cour des comptes sur les politiques de lutte contre les consommations nocives d'alcool.

    Ce rapport semble remettre en cause les fondements des politiques de santé publique qui reposent jusqu'à maintenant sur la lutte contre les consommations excessives. Le rapport recommande de mettre en œuvre des actions ciblant l'ensemble de la population en souhaitant non plus lutter contre les excès de consommation d'alcool mais en faisant baisser la consommation moyenne. Une telle approche remet ainsi en cause toute idée de consommation modérée. La disparition annoncée des repères de consommation soulève par ailleurs des interrogations quant à la diffusion d'une information utile et efficace pour les consommateurs. L'éventail des mesures proposées par la Cour des comptes, sans priorisation ni ciblage des populations à risque, est source de profondes préoccupations, notamment en termes de fiscalité et d'encadrement de la publicité.

     
    Les seules politiques publiques en matière de lutte contre l'alcoolisme qui sont efficaces sont celles qui sont basées sur la lutte contre les excès et dont les moyens sont orientés vers la prévention et la protection des publics à risque dont les jeunes. 


    À la différence, les politiques qui visent à faire diminuer la consommation globale, y compris des consommateurs modérés, ont démontré leur inefficacité. Il souligne d'ailleurs que la consommation de vin a baissé de 66 % en cinquante ans et de 20 % ces dix dernières années. 

    Il souhaite connaitre la vision du Premier ministre sur les fondements des politiques publiques en matière de lutte contre l'alcoolisme et savoir quelles suites le Gouvernement entend donner à ce rapport et aux propositions qui sont faites.

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 10/11/2016 p. 4932

     

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  • Grippe saisonnière : vaccination (22 10 2016)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 7 octobre 2016 sur le site de Santé Publique France (cliquer ici pour accéder au site Santé publique)

    http://www.santepubliquefrance.fr/Actualites/Lancement-de-la-campagne-de-vaccination-contre-la-grippe-saisonniere?html

    Chaque hiver, la grippe saisonnière touche en moyenne 2,5 millions de personnes en France. Afin d’inciter les personnes à risque à se faire vacciner contre la grippe, une nouvelle campagne de vaccination se déroule du 6 octobre 2016 au 31 janvier 2017.

    A cette occasion, 11 millions de personnes à risque reçoivent un bon de prise en charge de l’Assurance maladie afin de les inciter à se faire vacciner en retirant gratuitement le vaccin en pharmacie. Le vaccin grippal demeure le moyen le plus sûr et le plus efficace pour protéger les personnes les plus à risque. Moins d’une personne sur deux pour lesquelles la grippe représente un danger est vaccinée.

    Bilan de la saison 2015-2016

    La saison hivernale a été marquée en France métropolitaine par une épidémie de grippe tardive, longue mais d’ampleur et de gravité modérées.

    Près de 3 000 hospitalisations ont été rapportées par les services d’urgence. 48,3 % des personnes invitées à se faire vacciner ont eu recours au vaccin grippal, soit une hausse de 2,2 points en un an. Malgré ce taux qui remonte, la couverture vaccinale reste encore largement insuffisante.
    L’épidémie a duré 11 semaines au lieu des 9 observées en moyenne. Au total, 2,3 millions de personnes ont consulté pour syndrome grippal, dont 42 % étaient des enfants de moins de 15 ans. 1 109 cas graves de grippe ont été signalés à Santé publique France par les services de réanimation en France métropolitaine.

    Comment s’organise la surveillance de la grippe en France ?

    Santé publique France coordonne la surveillance de la grippe en France. L’agence analyse chaque semaine, tant au niveau national que régional, les données issues de son réseau de partenaires. Elle publie les indicateurs résultant de l’analyse de ces données dans un bulletin mis en ligne chaque semaine du mois d’octobre au mois d’avril. Le 1er bulletin sera publié semaine 41.

    « Grippe : pour éviter l’hospitalisation, passez à la vaccination »

    Cette année, l’Assurance maladie reconduit le slogan de l’an dernier car l’épidémie de grippe 2015-2016, pourtant plus modérée que la précédente, a entraîné un nombre d’hospitalisation élevé. 
    La campagne d’information grand public est à nouveau déployée en télévision afin de toucher le plus grand nombre. Elle sera diffusée du 7 au 28 octobre sur les chaînes du groupe France Télévisions. 
    Pour compléter les messages de prévention présents dans les spots tv, des articles complets et pédagogiques seront publiés dans la presse quotidienne régionale et ce, afin que chacun puisse prendre une décision éclairée en matière de vaccination antigrippale.

    Par ailleurs, chacun pourra soutenir la mobilisation en relayant sur twitter sa volonté de faire barrage au virus de la grippe par le biais du hashtag #lagrippejedisnon.

    En savoir plus :

    Rappels sur la grippe

    La grippe est une infection respiratoire qui peut entraîner chez les personnes à risque des complications graves, telles qu’une pneumonie ou l’aggravation d’une maladie chronique déjà existante (diabète, insuffisance cardiaque ou respiratoire, etc.). La campagne de vaccination antigrippale a pour objectif de protéger des populations pour lesquelles la grippe représente un risque pour leur santé.

    Le vaccin grippal est recommandé, par le Haut conseil de la santé publique, pour toutes les personnes de 65 ans et plus et pour certaines catégories de personnes considérées comme fragiles. C’est le cas des patients souffrant de certaines pathologies chroniques (affections respiratoires, cardiovasculaires, diabète, etc.), des femmes enceintes pour se protéger elles-mêmes mais aussi pour protéger leurs nourrissons, et des personnes en situation d’obésité morbide ainsi que l’entourage familial des nourrissons âgés de moins de 6 mois présentant des facteurs de risque graves.

  • Permanence des soins : numéro d’appel (07 10 2016)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 15 septembre 2016 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ140712654.html

    Question écrite n° 12654 de M. Daniel Reiner (sénateur de Meurthe-et-Moselle)

    Daniel Reiner attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur la mise en œuvre d'un numéro d'appel unique pour la permanence des soins.

     
    Le 19 juin 2014, lors de la présentation des orientations du projet de loi de santé aux professionnels du secteur, neuf mois après le lancement de la stratégie nationale de santé, elle a présenté plusieurs dispositions garantissant l'accès de tous aux soins.

     
    Parmi ces dispositions figure la mise en place d'un numéro d'appel unique, dans chaque département pour la garde en ville, notamment les week-ends ou les nuits.

     
    Si les objectifs à la fois d'une meilleure compréhension par nos concitoyens du système de permanence des soins et de désengorgement des services d'urgence des hôpitaux pour des soins pouvant être pris en charge par des médecins de ville sont partagés, cette annonce a suscité de l'inquiétude dans les associations, au premier rang desquelles SOS Médecins France, qui agissent en application de l'article L. 6314-1 du code de santé publique.

     
    Cette association, qui regroupe nationalement plus de 1 000 médecins, dans plus de soixante départements, assure une présence essentielle. Dans le département de la Meurthe-et-Moselle, celle-ci couvre tous les jours, de minuit à 8 heures, 95 % de la population, les samedis, de midi à 20 heures et les dimanches, de 8 heures à minuit, 70 % de la population. Ce réseau vient par ailleurs en soutien aux médecins de secteurs ruraux et aux centres hospitaliers de Lunéville et Toul, afin d'harmoniser la réponse médicale en permanence de soins ambulatoires.

     
    Il souhaiterait connaître les intentions du Gouvernement pour que les objectifs de la loi de santé prennent en compte le fonctionnement de ces associations, particulièrement identifiées par nos concitoyens, dans l'objectif d'un système de soins accessible à tous.

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 15/09/2016 p. 3910

     

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  • Obésité : coût social (4 octobre 2016)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 7 septembre 2016 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

     

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/obesite-cout-social-equivalent-celui-du-tabac-ou-alcool-20160907.html

     

    Obésité : un coût social équivalent à celui du tabac ou de l’alcool

    Dans sa lettre « Trésor- Éco » du 1er septembre 2016, la direction générale du Trésor analyse les conséquences de l’obésité et du surpoids sur l’économie et propose de nouvelles mesures afin de lutter contre ce phénomène.

    D’après une enquête épidémiologique sur le surpoids et l’obésité réalisée en 2012 par l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), 15% de la population était obèse et 32,3% en surpoids. Près d’une personne sur deux aurait donc des problèmes de surcharge pondérale. Différents facteurs peuvent expliquer ces chiffres comme des causes génétiques ou la modification des comportements alimentaires et une plus grande sédentarité ou encore l’environnement familial. La prévalence de l’obésité est moindre en France que dans les autres pays de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Néanmoins, le Trésor évalue le coût social de l’obésité et du surpoids (dépenses de santé, absentéisme, etc.) à 20,4 milliards d’euros en 2012, soit un montant comparable à celui du tabac et de l’alcool.

    Si différentes actions ont déjà été conduites pour lutter contre l’obésité, la direction générale du Trésor les considère insuffisantes compte tenu de l’augmentation prévisionnelle de l’obésité et du surpoids qui toucheraient 33 millions de personnes en 2030 (contre 24,6 en 2012). Elle propose de nouvelles pistes, notamment :

    • recourir à une nouvelle taxe sur les produits au-delà d’un certain niveau de calories ou en fonction de leur qualité nutritionnelle ou augmenter le taux de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) pour les produits jugés néfastes pour la santé ;
    • donner aux médecins les moyens de se consacrer davantage à la prévention de l’obésité ;
    • réaliser des campagnes de prévention plus ciblées ;
    • limiter voir interdire les publicités destinées aux enfants vantant des aliments trop sucrés, trop salés ou trop gras en sanctionnant financièrement les industriels ;
    • renforcer l’étiquetage nutritionnel.

    Le 2 septembre 2016, le ministre en charge de l’économie et des finances et le secrétaire d’État chargé du budget ont, tous deux, écarté la proposition d’une nouvelle taxe.