Grand Prix du Maire de Champignac (palmarès annuel 2013 à 2018) (45/60) (15 03 2020)
http://www.distinction.ch/LD.Champignac/LD.Champignac.html
Grand prix du maire de Champignac (2017)
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Grand Prix du Maire de Champignac (palmarès annuel 2013 à 2018) (45/60) (15 03 2020)
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Grand prix du maire de Champignac (2017)
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https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/securite/avis-rappels-produits.html
NDLR du Blog : Les avis de rappels de produits sur le site de la DGCCRF comportent une fiche (photo, produit, société, nature du risque) de l’article concerné
Nom du produit : Houmous Prestige Za'atar
Marque : YARDEN
Référence : EAN 7290008415439
Lots : 0055196504 – DDM 13/04/2020 et 0055196504 – DDM 15/04/2020
Risque : Suite à une suspicion de non-conformité portée sur le produit Houmous Prestige au Zaatar mis en vente entre le 9 Mars et le 11 Mars 2020, la société Yarden recommande aux personnes qui détiendraient des produits appartenant aux numéros de lots décrits ci-dessus de ne pas les consommer et de les détruire ou bien de les rapporter au point de vente où ils leur seront remboursés même sans présentation du ticket de caisse.
Liste des Rappels de la semaine précédente
Jean-Noël Guérini appelle l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la santé sur les risques sanitaires que pourrait faire courir une exposition prolongée à la lumière bleue des écrans.
En effet, s'il était déjà attesté que la lumière bleue affecte les yeux et le sommeil, il semblerait qu'elle endommage également les cellules nerveuses et réduit l'espérance de vie.
C'est ce que démontre une étude menée sur des mouches drosophiles par des chercheurs de l'Oregon State University, publiée le 23 octobre 2019 par la revue Nature. La drosophile est un animal dont la structure cellulaire et les mécanismes de développement sont proches de ceux des humains.
Or, chez les mouches exposées à la lumière bleue, les scientifiques ont constaté un vieillissement accéléré, des lésions rétiniennes (même pour celles ne possédant pas d'yeux), des difficultés de locomotion et de la neurodégénérescence.
En conséquence, il lui demande si elle compte diligenter des études, afin d'évaluer la dangerosité de la lumière bleue pour l'homme et de généraliser les solutions pour s'en prémunir au mieux (lunettes ou écrans adaptés).
https://www.vie-publique.fr/parole-dexpert/273617-cetait-en-1918-lepidemie-de-grippe-espagnole#xtor=EPR-696.html
C'était en 1918... l'épidémie de grippe espagnole
À la suite de l'émergence d'une épidémie de coronavirus depuis janvier 2020, il est souvent fait référence aux épidémies du passé, notamment à la grippe espagnole, pour tenter d'évaluer si de telles catastrophes sont aujourd'hui envisageables. Dans ce contexte, un article de Cahiers français sur les circonstances de la grippe espagnole.
Par Guillaume Lachenal - Maître de conférences en histoire des sciences
Publié le 27 février 2020 à 17h54
C'est le scénario qui fait frémir les autorités sanitaires des pays du monde entier. Un virus inconnu parcourt la planète en quelques semaines. Malgré les meilleurs outils de laboratoire, impossible d’identifier l’agent pathogène. Les médecins ne comprennent pas son mode de transmission et s’opposent entre eux sur les mesures à apporter. Les traitements qu’ils proposent ne font guère mieux que soulager les symptômes. Fièvre, toux, douleurs. Pour les cas les plus graves, les poumons s’infectent, la respiration devient difficile, le visage bleu. Au niveau mondial, les décès se comptent en dizaine de millions. Un tel scénario est-il possible ? La réponse est oui : il a déjà eu lieu, lors de l’épidémie de grippe dite "espagnole" de 1918-1919. Faut-il se préparer à ce qu’il se répète ? Oui, disent la plupart des biologistes et des experts internationaux en sécurité sanitaire. Pour les historiens, la réponse est plus nuancée.
Mme Marie-Françoise Perol-Dumont attire l'attention de Mme la ministre du travail sur les conditions de mise en place du télétravail, dont l'importance prendrait une ampleur nouvelle en période de grève dans les transports en commun.
Si la possibilité de solliciter un accord sur le télétravail entre salariés et employeurs existe, il n'en demeure pas moins que la première limite à laquelle cet aménagement est confronté est d'ordre culturel. Pour le directeur de l'observatoire du télétravail (Obergo), bien que les accords sur le télétravail existent dans de nombreuses entreprises, une grande partie d'entre elles y sont hostiles a priori.
L'enjeu est donc double : d'une part, il s'agit de développer le télétravail afin de permettre aux salariés de ne pas être pénalisés par des contraintes liées aux transports (distance, pannes, grèves...), tout en proposant un dispositif légal à même de garantir ce droit dans un cadre concerté. De fait, le télétravail ne peut ni s'improviser au gré des contingences - cela implique entre autres d'organiser la répartition du travail, la protection des données de l'entreprise, de maintenir du lien social et des plages horaires de disponibilité - ni être laissé à la seule volonté de l'employeur. Ainsi, si l'ordonnance n° 2017-1387 du 22 septembre 2017 relative à la prévisibilité et la sécurisation des relations de travail vise à favoriser le développement du télétravail, celle-ci ne présente pas de dimension contraignante ni sur la forme - l'accord peut être formalisé « par tout moyen », y compris oral - ni sur le respect de l'accord dans la mesure où de nombreuses entreprises en refusent l'application, obligeant les salariés dans l'impossibilité de se déplacer à prendre des jours de congés au lieu de profiter de dispositifs alternatifs. Elle considère que cette alerte émise par différents représentants syndicaux mérite d'être prise au sérieux.
Elle souhaiterait donc connaître les pistes possibles qui permettraient de concilier la garantie d'un droit pour le salarié tout en tenant compte des contraintes organisationnelles de l'entreprise.
https://www.preventionroutiere.asso.fr/2017/06/30/telephone-au-volant.html
Près d’1 accident sur 10 est lié à l’usage du téléphone ! Utiliser un téléphone n’est pas compatible avec la conduite.
Le danger provient du fait que l‘attention du conducteur au téléphone est détournée de la tâche de conduite. Et le kit main libre ? Un moindre mal, à condition d’être correctement utilisé…
Envoyer ou lire un texto ou un mail en conduisant est encore plus dangereux : dans ce cas, le conducteur est obligé de quitter la route des yeux pendant de longues secondes, le temps de parcourir plusieurs dizaines de mètres.
Discuter avec son passager ou écouter la radio distraient-ils autant que le téléphone ?
Téléphoner est l’activité qui augmente le plus fortement l’inattention, car elle demande une attention continue, un silence pouvant être mal compris par l’interlocuteur. À l’inverse, discuter avec un passager n’exige pas autant d’attention. Ce dernier peut également identifier les situations anormales, en s’arrêtant momentanément de parler par exemple.
Le port à l’oreille par le conducteur d’un véhicule en circulation (y compris deux-roues, vélo), de tout dispositif susceptible d’émettre du son (écouteurs, oreillettes, casques) est interdit.
Selon l’Observatoire Sanef des comportements sur autoroute 2019 :
En Europe, selon le baromètre européen de la conduite responsable Vinci 2019, tout en conduisant :
Quelques Données