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retraiteshospitaliers64 - Page 938

  • prime de noël 2009 (23 12 2009)

    Prime de Noël 2009 : toutes les modalités pratiques

     

    Extraits d’un article de M. Bernard Le Court publié le 20 décembre 2009 sur le site des Echos (cliquer ici pour accéder au site des Echos)

    http://www.lesechos.fr/patrimoine/famille/300397495-prime-de-noel---toutes-les-modalites-pratiques.htm

     

    Décret n° 2009-1550 du 14 décembre 2009 (Journal Officiel du 15 décembre 2009 p. 21589) : « aide exceptionnelle de fin d’année »

    http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000021480801&dateTexte=&categorieLien=id.htm

     

    .../...

    Quels bénéficiaires ?

    La prime de Noël est une aide exceptionnelle attribuée aux bénéficiaires de l'allocation de solidarité spécifique, de la prime forfaitaire et de l'allocation équivalent retraite. Elle est versée aux bénéficiaires qui ont droit à une de ces allocations au cours du mois de novembre 2009 ou de décembre 2009. La prime de Noël n'est pas versée distinctement aux bénéficiaires lorsque cette aide exceptionnelle leur a été versée au titre du bénéfice du revenu minimum d'insertion ou du revenu de solidarité active ou de l'allocation parent isolé.

    Détails techniques

     

    montant prime

    conditions de bénéfice

     

    allocataire

    âge

    Activité salariée

    152.45 euros

    ASS taux normal / prime forfaitaire / allocation équivalent retraite

     

     

    219.53 euros

    ASS taux majoré

    55 ans et +

    20 ans

    219.53 euros

    ASS taux majoré

    57,5 ans et +

    10 ans

    219.53 euros

    ASS taux majoré

     

    160 sem. validés

    .../...

     

     

  • médecine en milieu rural (22 12 2009)

    Situation inquiétante de la médecine en milieu rural

     

    Question sénatoriale et réponse ministérielle  publiées le 10 novembre 2009 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ090709800&idtable=q218257&_nu=09800&rch=qs&de=20061213&au=20091213&dp=3+ans&radio=dp&aff=sep&tri=da&off=0&afd=ppr&afd=ppl&afd=pjl&afd=cvn.html

     

    Question écrite n° 09800 de M. Alain Fauconnier (sénateur socialiste de l’Aveyron)

     

    M. Alain Fauconnier attire l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur la situation inquiétante de la médecine générale en France, et plus particulièrement en milieu rural où les zones blanches tendent à se développer d'une manière alarmante. Or, non seulement la médecine générale n'attire plus guère les étudiants en médecine, mais encore les derniers à choisir cette voie s'installeront de préférence en ville et non à la campagne.

     

    Les efforts importants consentis par les collectivités locales et territoriales pour les accueillir ne servent à rien puisqu'il y a de moins en moins de médecins généralistes. Il résulte de cette situation que, d'ici peu d'années, après le départ en retraite des praticiens généralistes issus du « baby boom » de l'après guerre, on manquera immanquablement de médecins généralistes en zone rurale.

     

    C'est pourquoi il lui demande en conséquence de bien vouloir lui fait savoir ce que, à long terme, elle entend mettre en œuvre pour rendre plus attractive la profession de médecin généraliste en milieu rural et, à plus court terme, si elle compte, avec sa collègue ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche, augmenter le nombre de professeurs de médecine générale qui sont actuellement en sous-effectif, ce qui ne contribue pas moins à l'étiolement d'une filière pourtant indispensable au système de santé.

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  • performances économiques et progrès social (3/3)(21 12 2009)

    performances économiques et progrès social (3/3)

    Extraits du Rapport de la Commission sur la mesure des performances économiques et du progrès social  (Commission Stiglitz-Sen-Fitoussi) remis en novembre 2009 au président de la République (cliquer ici pour accéder au texte intégral du rapport : 324 p avec annexes)

     

    http://www.stiglitz-sen-fitoussi.fr/documents/rapport_francais.pdf

     

    Note de la rédaction du Blog : Ce rapport nous a paru particulièrement riche en pistes de réflexion pour évaluer les progrès économiques et sociaux

     

    3e volet

     

    …/…

    5 - Principaux messages et recommandations (pp. 240 à 242)

    L’argumentation du présent rapport peut se résumer aux points suivants :

     

    • La qualité de la vie est influencée par un large éventail de facteurs qui font que la vie vaut d’être vécue, y compris ceux qui ne sont pas échangés sur des marchés et que l’on ne peut comptabiliser monétairement. Certaines extensions de la comptabilité économique cherchent à introduire des éléments de qualité de la vie dans des mesures monétaires conventionnelles du bien-être économique, mais cette approche a des limites. Les indicateurs non monétaires ont un rôle important à jouer dans la mesure du progrès social, et certaines évolutions récentes dans le domaine de la recherche ont conduit à l’élaboration de nouvelles mesures crédibles concernant certains aspects au moins de la qualité de la vie. Ces mesures, qui ne se substituent pas aux indicateurs économiques traditionnels, donnent l’occasion d’enrichir le débat public et d’apporter à chacun des informations sur la situation de la communauté dans laquelle il vit ; elles peuvent aujourd’hui passer de la recherche à la pratique statistique standard.

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  • performances économiques et progrès social (2/3)(20 12 2009)

    performances économiques et progrès social (2/3)

    Extraits du Rapport de la Commission sur la mesure des performances économiques et du progrès social  (Commission Stiglitz-Sen-Fitoussi) remis en novembre 2009 au président de la République (cliquer ici pour accéder au texte intégral du rapport : 324 p avec annexes)

     

    http://www.stiglitz-sen-fitoussi.fr/documents/rapport_francais.pdf

     

    Note de la rédaction du Blog : Ce rapport nous a paru particulièrement riche en pistes de réflexion pour évaluer les progrès économiques et sociaux

     

    2e volet

     

    …/…

    Quelle est l’importance de ce rapport?

     

    7. Entre le moment où la Commission a engagé ses travaux et celui de l’achèvement de son rapport, le contexte économique a radicalement changé. Nous traversons à présent l’une des pires crises financières, économiques et sociales de l’après-guerre. Les réformes des instruments de mesure recommandées par la Commission seraient des plus souhaitables même en l’absence de cette crise. Cependant, certains membres de la Commission pensent que cette dernière leur confère une urgence accrue. Ils estiment que l’une des raisons pour lesquelles cette crise a pris de nombreuses personnes au dépourvu tient au fait que notre système de mesure a fait défaut et/ou que les acteurs des marchés et les responsables publics ne s’étaient pas attachés aux bons indicateurs statistiques. À leurs yeux, ni la comptabilité privée ni la comptabilité publique n’ont été en mesure de jouer un rôle d’alerte précoce : ils n’ont pu nous avertir à temps de ce que les performances apparemment brillantes de l’économie mondiale en termes de croissance entre 2004 et 2007 pouvaient être obtenues au détriment de la croissance à venir. Il est clair, également, que ces performances tenaient en partie à un « mirage », à des profits reposant sur des prix dont la hausse était due à une bulle spéculative. Sans doute serait-ce aller trop loin qu’espérer que si nous avions disposé d’un meilleur système statistique, les gouvernements auraient pu prendre assez tôt des mesures afin d’éviter, ou tout au moins d’atténuer, les désordres actuels. Il se peut toutefois que si l’on avait été plus conscient des limites des mesures classiques comme le PIB, l’euphorie liée aux performances économiques des années d’avant la crise aurait été moindre, et que des outils de mesure intégrant des évaluations de la soutenabilité (soutenabilité = capacité à se maintenir dans le temps) (endettement privé croissant, par exemple) nous auraient donné une vision plus prudente de ces performances. Cela dit, beaucoup de pays manquent d’un ensemble complet et à jour de comptes de patrimoine — de « bilans » de l’économie — susceptibles de fournir un tableau global de l’actif et du passif des grands acteurs économiques.

    …/…

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  • performances économiques et progrès social (1/3) (19 12 2009)

    performances économiques et progrès social (1/3)

    Extraits du Rapport de la Commission sur la mesure des performances économiques et du progrès social  (Commission Stiglitz-Sen-Fitoussi) remis en novembre 2009 au président de la République (cliquer ici pour accéder au texte intégral du rapport : 324 p avec annexes)

     

    http://www.stiglitz-sen-fitoussi.fr/documents/rapport_francais.pdf

     

    Note de la rédaction du Blog : Ce rapport nous a paru particulièrement riche en pistes de réflexion pour évaluer les progrès économiques et sociaux

     

    1er volet

     

    SYNTHÈSE ET RECOMMANDATIONS (pp. 7 à 10) (pp. 240 à 242)

    Pourquoi ce rapport ?

    1. En février 2008, M. Nicolas Sarkozy, Président de la République française, insatisfait de l’état actuel des informations statistiques sur l’économie et la société, a demandé à MM. Joseph Stiglitz (Président de la Commission), Amartya Sen (conseiller) et Jean-Paul Fitoussi (coordinateur) de mettre en place une commission qui a pris le nom de Commission pour la Mesure des Performances Economiques et du Progrès Social (CMPEPS). Celle-ci a reçu pour mission de déterminer les limites du PIB en tant qu’indicateur des performances économiques et du progrès social, de réexaminer les problèmes relatifs à sa mesure, d’identifier les informations complémentaires qui pourraient être nécessaires pour aboutir à des indicateurs du progrès social plus pertinents, d’évaluer la faisabilité de nouveaux instruments de mesure et de débattre de la présentation appropriée des informations statistiques.

     

    2. Les indicateurs statistiques sont en effet importants pour concevoir et évaluer les politiques visant à assurer le progrès des sociétés, ainsi que pour évaluer le fonctionnement des marchés et influer sur celui-ci. Leur rôle s’est accru de manière significative au cours des vingt dernières années sous l’effet du niveau plus élevé d’éducation de la population, de la complexité accrue des économies modernes et de la large diffusion des technologies de l’information. Au sein de la « société de l’information », l’accès aux données, notamment statistiques, est devenu beaucoup plus facile. Un nombre croissant de personnes consultent des statistiques afin d’être mieux informées ou de prendre des décisions. Pour répondre à cette demande croissante d’information, l’offre de statistiques a, elle aussi considérablement augmenté, et couvre aujourd’hui de nouveaux domaines et des phénomènes nouveaux.

     

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  • pollution air intérieur (18 12 2009)

    Pollution de l'air intérieur par certains produits ménagers

     

    Question sénatoriale et réponse ministérielle publiées le 10 décembre 2009 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ090910002&idtable=q218829&_nu=10002&rch=qs&de=20061213&au=20091213&dp=3+ans&radio=dp&aff=sep&tri=da&off=0&afd=ppr&afd=ppl&afd=pjl&afd=cvn.html

     

    Question écrite n° 10002 de M. Roland Courteau (sénateur socialiste de l’Aude)

     

    M. Roland Courteau attire l'attention de M. le ministre d'État, ministre de l'écologie, de l'énergie, du développement durable et de la mer, en charge des technologies vertes et des négociations sur le climat sur une récente étude publiée par une association de consommateurs (UFC Que Choisir) qui révèle une longue liste de produits testés (déodorants d'intérieur, nettoyants ménagers, tapis, meubles, moquettes encollées…) dont les émissions de certains composés organiques volatils, induisent une pollution de l'air intérieur.

     

    Ainsi, selon cette même association, « l'air que nous respirons est 5 à 10 fois plus pollué à l'intérieur qu'à l'extérieur ». Il lui fait remarquer que des centaines de substances chimiques, dont le formaldéhyde feraient partie de notre quotidien. Certaines de ces substances pourraient même être particulièrement dangereuses, selon plusieurs études conduites par d'autres organismes, comme l'observatoire de la qualité de l'air.

     
    Il lui indique, qu'il est notamment réclamé l'interdiction des substances les plus dangereuses, ainsi qu'un étiquetage sur la composition et les substances émises par les produits, afin de permettre aux consommateurs de sélectionner les produits les moins nocifs…

    Il lui demande donc de bien vouloir lui faire connaître s'il est dans ses intentions de prendre en compte les inquiétudes, de plus en plus fortes, des consommateurs par le renforcement d'une réglementation considérée, justement, comme quelque peu lacunaire.

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