http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=25&date=20131031.html
En septembre, stabilité des prix des produits manufacturés sur tous les marchés : Indices de prix de production de l’industrie française
MARCHÉ FRANÇAIS : +0,3 % en septembre
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En septembre, stabilité des prix des produits manufacturés sur tous les marchés : Indices de prix de production de l’industrie française
MARCHÉ FRANÇAIS : +0,3 % en septembre
http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ130204515.html
Question écrite n° 04515 de M. Yves Détraigne (Marne - UDI-UC)
M. Yves Détraigne attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur la pression de la grande distribution qui souhaite être autorisée à vendre des médicaments sans ordonnance.
Dans une réponse à une question publiée dans le Journal officiel du Sénat du 8 novembre 2012, elle précisait que le développement de l'automédication, pour être « encadré et responsable », devait être « assuré par un environnement sécurisé et contrôlé », à savoir par la pharmacie d'officine, par la présence de pharmaciens diplômés qui délivrent les conseils appropriés lors de la dispensation de ces médicaments, ainsi que par une évaluation de ces médicaments par l'Agence nationale de sécurité des médicaments (ANSM) en vue de leur inscription sur une liste positive ».
Pour l'heure, notre système de santé, en impliquant que les médicaments sont vendus exclusivement en pharmacies d'officine, protège nos concitoyens d'une surconsommation systématique ainsi que de mésusage.
Considérant qu'il paraît donc risqué – sous prétexte de prix plus avantageux – de libéraliser la distribution des médicaments vendus sans ordonnance, il lui demande de bien vouloir lui faire connaître sa position sur le sujet et les intentions du Gouvernement.
Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 31/10/2013 p. 3145
http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ120700757.html
Question écrite n° 00757 de Mme Frédérique Espagnac (sénateur socialiste des Pyrénées-Atlantiques)
Mme Frédérique Espagnac attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur la question des dépassements d'honoraires.
Le volume actuel des dépassements d'honoraires dans les dépenses de santé représente environ 2,5 milliards d'euros supportés pour les deux tiers par les assurés alors qu'à l'origine ces dépassements ne devaient être, en théorie, que l'exception. Ainsi, Mme la ministre a récemment annoncé vouloir « s'attaquer aux dépassements d'honoraires ».
Ces dépassements ont, par ailleurs, évolué de manière plus que conséquente puisque, s'ils étaient en moyenne supérieurs de 25 % au tarif de responsabilité de l'assurance maladie en 1990, ils sont supérieurs de 35 % en 2010.
L'accès aux soins étant la pierre angulaire d'un système de santé juste, il est, en effet, inadmissible que celui-ci se détériore. Les négociations sur ce sujet qui vont bientôt être ouvertes sont l'occasion pour maîtriser, encadrer et plafonner des dépassements devenus inconsidérés.
Elle lui demande donc quelles mesures le Gouvernement entend mettre en place de manière à atténuer ce phénomène.
En outre, afin de maintenir une égalité des Français devant le remboursement, elle souhaite connaître ses intentions pour prendre en compte les différentes pratiques des mutuelles et complémentaires et mettre en œuvre des règles en conformité avec la réalité sociale.
Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 29/08/2013 - p 2481
http://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-28318QE.htm
Question n° 28318 de M. Sébastien Huyghe (député UMP du Nord)
M. Sébastien Huyghe appelle l'attention de Mme la ministre déléguée auprès de la ministre des affaires sociales et de la santé, chargée des personnes handicapées et de la lutte contre l'exclusion, sur le versement de l'allocation d'éducation de l'enfant handicapé (AEEH) en cas de garde alternée faisant suite à une procédure de divorce.
En effet, il apparaît qu'aucun partage du montant de cette allocation n'est prévu, alors même que les dépenses liées à l'éducation de l'enfant handicapé sont, dans cette situation, également à la charge des deux parents. L'AEEH est donc intégralement versée à un seul des deux parents, sa juste répartition étant entièrement tributaire de la bonne volonté de ce dernier.
Au regard de cette situation anormale, il souhaite qu'elle puisse lui indiquer les démarches que le Gouvernement compte entreprendre afin d'établir une juste répartition du versement aux deux parents en situation de garde alternée de leur enfant handicapé.
Réponse du Ministère chargé des Handicapés publiée au JO le 23/07/2013 p. 7880
Décote de l'impôt sur le revenu, 15 milliards d'économies... ce que prévoit le projet de Budget 2014
Les économies budgétaires prévues par le gouvernement devraient atteindre 15 milliards d'euros,…/…
Deux milliards viendront de la lutte contre la fraude fiscale. Les nouvelles hausses d'impôts proprement dites atteindront donc 7 milliards, …/…
le chef du gouvernement a confirmé qu'il n'y aurait pas de hausse de la CSG. Quant à la TVA, elle ne devrait subir que les hausses déjà prévues pour financer le crédit d'impôt compétitivité. Qui représentent tout de même 6,5 milliards d'euros d'impôt en plus...
· Décote sur les plus modestes : il s'agirait de réindexer du barème de l'impôt sur le revenu sur l'inflation, afin "d'éviter à des personnes d'entrer dans l'impôt sur le revenu".
· Croissance revue à la baisse (0,9%)
· En 2014, l'impôt sur le revenu augmentera pour la quatrième année consécutive
· Le diesel épargné
Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 1er août 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)
http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ130204831.html
Question écrite n° 04831 de M. Jean Louis Masson (sénateur non Inscrit de la Moselle)
M. Jean Louis Masson attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur le cas d'une personne qui perçoit le RSA (revenu de solidarité active) et qui, compte tenu de sa situation familiale, est aidée ponctuellement par ses parents.
Il lui demande s'il lui semble équitable que la caisse d'allocations familiales (CAF) déduise du montant du RSA les aides de ses parents. Une telle situation conduit en effet à aggraver encore la précarité des personnes concernées.
Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 01/08/2013 - page 2255