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finances - Page 171

  • Endettement et recours aux banques en 2008 (1/2) (19 05 2011)

    Extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note d’analyse de Mme Laurence Dauphin, division Revenus et patrimoine des ménages, Insee publiée le 17 mai 2011 sur le site de ‘INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?ref_id=ip1352

     

    Résumé

    En 2008, un ménage sur deux vivant en métropole est endetté, soit pour acheter un bien immobilier, soit pour consommer, les deux motifs étant également répartis. L’endettement immobilier concerne les ménages ayant un niveau de vie élevé et dont la personne de référence a entre 25 et 54 ans. En revanche, le crédit à la consommation concerne tous les ménages ; il s'adresse donc plus souvent aux ménages pauvres et aux jeunes que les crédits immobiliers.

    Les crédits immobiliers représentent une charge de remboursement plus lourde que les crédits à la consommation, mais ces derniers entraînent plus souvent des impayés et le dépôt d’un dossier de surendettement. En 2008, 11 % des ménages de France métropolitaine n’ont qu’un seul ou aucun moyen de paiement. Parmi ces ménages, 80 % ne disposent d'aucun crédit et un tiers est pauvre.

    Sommaire

    ·         Un ménage sur deux endetté

    ·         L’endettement immobilier : des ménages au niveau de vie élevé et en milieu de cycle de vie

    ·         Des charges de remboursement élevées pour l’acquisition de la résidence principale

    ·         Taux d’endettement élevé ne signifie pas surendettement

    ·         Le surendettement renvoie principalement au crédit à la consommation

    ·         Le faible recours aux services bancaires est lié à la pauvreté plus qu’au surendettement

    ·         Un faible recours aux services bancaires n’est pas toujours signe de difficultés financières

    Encadrés

    ·         1-Le surendettement

    ·         2-Droit au compte

     

    Note d’Analyse

    Un ménage sur deux endetté

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  • Prix à la consommation : point avril 2011 (16 05 2011)

    Extraits d’une note publiée le 12 avril 2011 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=29&date=20110512

    En avril 2011, hausse des prix à la consommation : +0,3 %

    Indice des prix à la consommation – Avril 2011 : Évolution mensuelle : +0,3 % ; variation annuelle : +2,1 %

    En avril 2011, l’indice des prix à la consommation (IPC) est en hausse de 0,3 %, après une augmentation de 0,8 % en mars. Sur un an, il s’accroît de 2,1 % (+2,0 % en mars). Hors tabac, l’indice est également en hausse de 0,3 % en avril (+2,0 % sur un an). Corrigé des variations saisonnières (CVS), l’IPC augmente de 0,2 % (+2,1 % sur un an).

    L’accroissement des prix au mois d’avril provient tout à la fois de l’augmentation des prix des produits manufacturés liée notamment à la fin progressive des soldes d’hiver et des fortes hausses de prix des produits énergétiques et alimentaires.

    Augmentation des prix des produits manufacturés

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  • TVA applicable aux opérations immobilières (15 05 2TVA applicable aux opérations immobilières (15 05 2011)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 5 mai 2011 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ100513521

    Question écrite n° 13521 de M. Jean Louis Masson (sénateur NI de la Moselle) publiée dans le JO Sénat du 20/05/2010 - page 1261

    M. Jean Louis Masson attire l'attention de M. le ministre du budget, des comptes publics et de la réforme de l'État sur le fait que l'article 16 de la loi n° 2010-237 du 9 mars 2010 de finances rectificative pour 2010 modifie les règles applicables en matière de taxe sur la valeur ajoutée (TVA) aux opérations immobilières à compter du 11 mars 2010.

    Il lui demande de préciser la fiscalité applicable lorsqu'une commune ayant opté pour l'assujettissement à la TVA procède, après les travaux de viabilisation, à la vente de terrains à bâtir à des particuliers, sachant que ces terrains n'avaient pas ouvert droit à la déduction lors de l'acquisition initiale.

    Curieusement, le notaire et le trésorier de la commune, en l'espèce Ancerville, n'ont pas réussi à obtenir une réponse claire des services fiscaux sur ce point, et de ce fait la signature des compromis de vente a dû être annulée.

    Réponse du Ministère du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l'État publiée dans le JO Sénat du 05/05/2011 p. 117

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  • Donations : réforme fiscale (10 05 2011)

    Extraits d’un article de Mme Mireille Weinberg publié le 6 avril 2011 sur le site des Echos (cliquer ici pour accéder au site des Echos)

    http://www.lesechos.fr/patrimoine/impots/0201342749611-donations-derniere-ligne-droite-pour-profiter-du-regime-de-faveur.htm

    …/… La fiscalité applicable aux donations va être sensiblement alourdie. Il est encore temps de faire le nécessaire. …/… les nouvelles règles doivent être confirmées lors de la présentation du projet de loi en Conseil des ministres, mercredi 11 mai, avant, pour être définitives, d'être votées en juillet par le Parlement…./… Pour les donations, …/… Il (ndlr : le gouvernement) va toucher à ses trois piliers : l'abattement, le tarif et les réductions…./…

    En fonction du degré de parenté entre le donateur et le bénéficiaire, ce dernier profite d'un abattement, une somme en deçà de laquelle aucun droit de mutation n'est à payer : 159.325 euros en ligne directe (aux enfants par exemple)…/… Actuellement, l'abattement se renouvelle tous les six ans…./… Le gouvernement envisage de porter ce délai à dix ans.

    Le tarif ensuite. Les donations supérieures à l'abattement sont taxées en fonction de leur montant, de 5 % à 40 %. Les deux dernières tranches d'imposition vont être majorées, passant de 35 % à 40 % et de 40 % à 45 %.

    …/… Quelqu'un qui donne avant 70 ans bénéficie d'une réduction de l'impôt à payer de... 50 %, celui qui le fait entre 70 et 80 ans, de 30 %. Le gouvernement veut purement et simplement supprimer ces réductions…./…

    Ces mesures devraient entrer en vigueur à la date de la publication du texte du « Journal officiel » …/… soit pas avant mi-juillet…./… comme les droits sont payables au moment de la réalisation de la donation, celles qui sont faites avant la publication de la loi le sont au tarif préférentiel actuel…./…

  • Matières premières : prix avril 2011 (08 05 2011)

    Note publiée le 6 mai 2011 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=79&date=20110506

    Prix du pétrole et des matières premières importées – avril 2011

    En avril, le prix du pétrole en dollars a de nouveau crû fortement (+7,9 %, après +10,6 % en mars) pour atteindre 123,6 $ le baril de Brent. Les prix en devises des matières premières hors énergie importées en France ont continué de reculer légèrement (–0,2 % après –0,4 % en mars).

    Le prix du pétrole continue de croître

    En avril, le prix en dollars du pétrole de la mer du Nord (Brent) a poursuivi sa hausse (+7,9 % après +10,6 %). En euros, la hausse du prix du baril a été moindre (+4,7 %), du fait de l’appréciation de la monnaie européenne vis-à-vis du dollar (+3,1 %). Sur les trois derniers mois, le prix du pétrole a augmenté de 28,2 % en dollars et de 18,6 % en euros.

    Les prix des matières premières industrielles importées se stabilisent

    En avril, les prix en devises des matières premières industrielles se sont stabilisés (+0,1 % après –0,4 %). Les prix des matières premières minérales ont rebondi (+0,7 % après –0,3 %). D’une part, les prix des métaux précieux ont de nouveau augmenté (+9,4 % après +7,5 %), du fait du rebond des cours du palladium (+1,3 % après –7,3 %) et du platine (+1,4 % après –3,2 %) et de l’accélération des cours de l’argent (+17,2 % après +16,4 %). D’autre part, les cours des métaux non ferreux sont repartis à la hausse (+1,7 % après –1,4 %), notamment le plomb (+4,5 %) et l’aluminium (+4,3 %).

    En revanche, la baisse des prix des matières premières agro-industrielles s’est accentuée (–1,5 % après –0,7 %). Le prix des bois sciés de conifères s’est fortement replié (–10,7 %) de même que les cours des fibres textiles naturelles (–6,1 %), notamment ceux du coton (–6,9 %).

    La baisse des prix des matières premières alimentaires se poursuit

    En avril, les prix des matières premières alimentaires en devises ont de nouveau reculé (–0,7 % après –0,4 %). La baisse des cours du sucre s’est poursuivie (–9,7 % après –11,4 %) et les cours des denrées tropicales se sont repliés (–3,0 % après +0,8 %), notamment le cacao (–7,8 %), avec la reprise des exportations en Côte d’Ivoire, qui représente environ un tiers du marché mondial du cacao. Les cours des céréales ont rebondi (+2,3 % après –3,6 %), principalement du fait du renchérissement du maïs (+10,2 %). La baisse des stocks aux États-Unis et les mauvaises perspectives de récoltes (aux États-Unis, en Argentine et au Mexique notamment) laissent attendre un ralentissement de l’offre mondiale de maïs, tandis que la demande reste dynamique.

  • Produits industriels et pétroliers : prix (mars 2011) (03 05 2011)

    Extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note publiée le 28 avril 2011 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=25&date=20110429

    Indices de prix de production de l’industrie française

    MARCHÉ FRANÇAIS : +0,9 % en mars

    En mars, les prix de production de l’industrie française pour le marché intérieur croissent de nouveau : +0,9 %, après +0,8 % en février. Ces hausses sensibles s’observent pour le sixième mois consécutif. Elles résultent principalement ce mois-ci de la forte accélération des prix des produits pétroliers.

    Les prix des produits pétroliers raffinés tirent fortement l’ensemble…

    Les prix de la cokéfaction et du raffinage augmentent en effet de 7,2 %, après +4,0 % en février. L’accélération des prix des produits pétroliers est notable pour tous les produits, notamment le Super sans plomb (+6,2 % après +1,4 %) et le gazole (+7,0 % après +3,9 %), dans un contexte de hausses continues et fortes du prix du pétrole de la mer du Nord (+5,1 % et +3,9 % respectivement en mars et février pour le Brent en euro).

    … suivis de loin par les prix des denrées alimentaires…

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