Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

finances - Page 168

  • EHPAD : tarification, option (27 mars 2011)

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 22 février 2011 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-91874QE.htm

    Question n° 91874 de M. Lionel Tardy (député UMP de Haute-Savoie)

    M.  Lionel Tardy attire l'attention de M. le ministre du travail, de la solidarité et de la fonction publique sur la politique menée par les agences régionales de santé (ARS) visant à amener les établissements d'accueil pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) à préférer le tarif journalier global au tarif journalier partiel, pour les soins apportés à leurs résidents.

    Le code de l'action sociale des familles permet aux EHPAD d'opter pour l'un des deux systèmes. Actuellement, 80 % des EHPAD optent pour le tarif journalier partiel, moins lourd à gérer pour eux que le tarif journalier global.

    Dans la circulaire DGCS/5C/DSS/1A/2010/79 du 31 mai 2010, il est rappelé aux ARS que le passage des EHPAD au tarif journalier global constitue une priorité. Il semble que dans de nombreuses régions, les ARS appliquent rigoureusement cette instruction, notamment auprès des EHPAD ayant besoin d'un agrément, ou déposant des projets d'extensions. Ce choix n'est pourtant pas neutre pour les EHPAD, car le tarif journalier global leur donne un rôle de régulateurs de la dépense publique de soins et les chargent d'une responsabilité de maîtrise comptable.

    Le problème est d'autant plus aigu que dans certaines régions, les caisses d'assurance maladie refusent de fournir aux EHPAD l'ensemble des informations concernant les dépenses de santé de leur établissement. On se trouve ainsi avec des EHPAD très fortement incités à prendre une option, sans avoir tous les éléments leur permettant d'émettre un choix éclairé. Il souhaite donc connaître les mesures qu'il entend prendre pour que les EHPAD puissent choisir, de manière libre et éclairée, entre le tarif journalier global et le tarif journalier partiel.

    Réponse du Ministère des Solidarités et de la cohésion sociale publiée au JO le 22/02/2011 p. 1846

    Lire la suite

  • Sécurité sociale : coûts de gestion (24 03 2011)

    Extraits d’un article de Mme Sara Sampaio publié le 23 mars 2011 sur le site de la Tribune (cliquer ici pour accéder au site de La Tribune)

    http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20110323trib000610153/comment-la-securite-sociale-veut-reduire-ses-couts-de-gestion.html

    …/… Diminution des effectifs et dématérialisation des services sont les principaux leviers de l'effort d'efficacité poursuivi par la Sécurité sociale. L'enjeu étant dans le même temps d'améliorer les services rendus au public.

    Entre 2005 et 2010, le régime général a réduit ses coûts de gestion de 3,6% des dépenses à 3,07%,…/…

     

    La Sécurité sociale compte également sur la dématérialisation des services pour gagner en productivité. Avec quelques succès certains. Le site de l'Assurance-maladie (ameli.fr) comptabilise 6,8 millions de visites par mois et 200.000 assurés se connectent par jour à leur compte. La carte Vitale permet de dématérialiser 86% des feuilles de soins…/…

    En parallèle, les points d'accueil physiques diminuent…/…

    Tout n'est pas rose cependant. Le Médiateur de la république s'est à plusieurs reprises alarmé de la déshumanisation résultant du recours accru aux téléservices et de la difficulté, pour les publics les plus fragiles, d'y accéder…./…

  • Immobilier : hausse des prix (23 03 2011)

    Extraits d’un article de M. Charles Faugeron publié le 21 mars 2011 sur le site de La Tribune (cliquer ici pour accéder au site de La Tribune)

    http://www.latribune.fr/vos-finances/banques-credit/credit-immobilier/20110321trib000609549/immobilier-la-hausse-des-prix-ne-tient-plus-qu-a-trois-fils.html

    Flambée des prix, augmentation des taux de crédit, stagnation des salaires... les Français ont de plus en plus de mal à acheter un logement…/…

    D'abord parce que les taux de crédit immobilier ne cessent d'augmenter. Après 0,25% de hausse en février et 0,15% en mars, les taux à 20 ans atteignent entre 3,8% à 4,2%,…/…

    trois éléments permettent encore de soutenir (artificiellement ?) le marché.

    D'abord, le prêt à taux zéro amélioré (PTZ+), entré en vigueur en janvier, qui rencontre un vif succès…/…

    Ensuite, les emprunteurs négocient beaucoup plus qu'avant l'assurance de prêt. La récente loi Lagarde interdit en effet au banquier de refuser qu'un emprunteur souscrive son assurance chez un concurrent.

    Enfin, le recours le plus logique de l'emprunteur face à la hausse conjuguée des prix et des taux consiste à allonger la durée de remboursement de son crédit…./…

  • Prix consommation : hausse février 2011 (22 03 2011)

    Extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note publiée le 18 mars 2011 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=29&date=20110315.html

    En février 2011, hausse des prix à la consommation : +0,5 %

    Évolution mensuelle : +0,5 % ; variation annuelle : +1,7 %

    En février 2011, l’indice des prix à la consommation (IPC) est en hausse de 0,5 %, après une baisse de 0,2 % au mois de janvier. Sur un an, il s’accroît de 1,7 % (+1,8 % en janvier). Hors tabac, l’indice est également en hausse de 0,5 % en février (+1,6 % sur un an). Corrigé des variations saisonnières (CVS), l’IPC augmente de 0,1 % (+1,7 % sur un an).

    La hausse des prix au mois de février provient essentiellement de l’accroissement des prix des produits pétroliers et de ceux des services dus à des augmentations saisonnières ou tarifaires, tandis que les prix des produits manufacturés sont stables.

    Poursuite du renchérissement de l’énergie

    En février 2011, l’énergie renchérit de nouveau (+1,1 %, après +3,7 % en janvier ; +15,0 % sur un an), dans le sillage de la hausse des prix du pétrole brut. Ce renchérissement est visible à la fois sur les prix des carburants (+1,4 % ; 17,3 % sur un an) et sur ceux des combustibles liquides (+3,9 % ; +29,4 % sur un an).

    Forte hausse des prix des services

    Lire la suite

  • Pétrole : hausse structurelle (11 03 2011)

    Extraits d’un article de Mme Audrey Garric publié le 8 mars 2011 sur le site du Monde (cliquer ici pour accéder au site du Monde)

    http://www.lemonde.fr/economie/article/2011/03/08/la-hausse-du-petrole-plus-structurelle-que-conjoncturelle_1489901_3234.html#ens_id=1466125.html

     

    …/… Une raison structurelle explique ces envolées : le jeu de l'offre et de la demande. "En 2010, la consommation mondiale de pétrole a fortement augmenté, tirée par la demande des pays émergents. Or, comme l'offre ne suit pas, du fait des quotas de production, les prix finissent pas augmenter",…/… Principaux pays concernés : la Chine, deuxième consommateur mondial de brut, dont la demande s'est envolée de 12 % en 2010, le Brésil, avec une hausse de 6 %, ou encore les Etats-Unis…/…

    Les crises tunisienne, égyptienne et libyenne et le risque de contagion à l'ensemble du Moyen-Orient ont renforcé un marché déjà tendu. Car s'il y a bien une chose que les marchés abhorrent, c'est l'incertitude…./…

    "Tant que la situation en Libye ne sera pas réglée, il n'y aura pas de baisse du prix du pétrole. Au mieux, il se stabilisera au cours du prochain trimestre. Mais il peut encore augmenter en cas de révolte dans d'autres pays du Moyen-Orient",…/…

    Au niveau macroéconomique, chaque hausse du pétrole se fait sentir sur le pouvoir d'achat, via les factures des transports et du chauffage, mais aussi de l'inflation des prix des biens de consommation, qu'entraîne la hausse des coûts de production pour les entreprises…./…

    Mais sur le long terme, la volatilité des cours du pétrole, n'étant pas conjoncturelle, n'est pas près de cesser. "Dans le sillage de ce qui a été entrepris à partir de 1973, il faut donc diminuer notre dépendance au pétrole, continuer à investir dans les autres sources d'énergie. La pire des attitudes serait d'attendre des jours meilleurs pour faire 'comme avant' !", conclut un éditorial du Monde…./…

  • Cour des comptes : rapport 2011 (3/3) (08 03 2011)

     

    logoCour.jpg

    Extraits (sommaire général, avant-propos, rapport et réponses sur les comptes publics) du Rapport 2011 de la Cour des Comptes publié en février 2011 sur le site de la Cour des Comptes et des juridictions financières (cliquer ici pour accéder au site de la Cour des Comptes ou aux textes relatifs aux comptes publics)

     

    http://www.ccomptes.fr/fr/CC/Sommaire-25.html

    http://www.ccomptes.fr/fr/CC/documents/RPA/RapportPublicAnnuel2011Tome1.pdf

    http://www.ccomptes.fr/fr/CC/documents/RPA/1_finances_publiques_situation_ensemble.pdf

     

    Nous proposons aux lecteurs de ce blog soit de lire un 3e volet des extraits de l’important Rapport annuel de la Cour des Comptes, soit d’accéder au site de la Cour des Comptes ou au texte complet (716 pages) du Rapport 2011.

     

    Avant-Propos et Sommaire détaillé (1/3)

    Finances Publiques : situation d’ensemble (extraits du rapport) (2/3)

    Finances Publiques : situation d’ensemble (… réponse) (3/3)

     

    REPONSE CONJOINTE DU MINISTRE DE L’ECONOMIE, DES FINANCES ET DE L’INDUSTRIE ET DU MINISTRE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS, DE LA FONCTION PUBLIQUE ET DE LA REFORME DE L’ETAT, PORTE-PAROLE DU GOUVERNEMENT

     

    1. Nous constatons avec satisfaction que !a Cour considère la loi de programmation des finances publiques pour les années 2011 à 2014 comme l'outil adéquat pour la programmation de l'effort structurel de réduction des déficits.

     

    Nous notons que la Cour souligne que l'établissement de nouvelles règles budgétaires, notamment dans le cadre de la nouvelle loi du 28 décembre 2010 de programmation des finances publiques (LPFP) pour les années 2011 à 2014, répond aux recommandations qu'elle a formulées dans ses précédents rapports. Nous considérons comme la Cour qu'elles améliorent efficacement le dispositif mis en place par la précédente loi de programmation et qu'elles constituent un point d'équilibre satisfaisant. En particulier, la règle d'interdiction de l'endettement des ODAC permettra de répondre à une dispersion et une insuffisante maîtrise des sources d'émission d'emprunt au sein des administrations publiques.

    La loi de programmation, en ce qu'elle fixe des plafonds de dépenses sur les champs des lois de finances et financement de la sécurité sociale, ainsi qu'un niveau minimal de mesures nouvelles en prélèvements obligatoires, préfigure la << loi-cadre de programmation des finances publiques » telle que l'a préconisée le groupe de travail présidé en 2010 par M. Camdessus.

    Comme la Cour, nous estimons que la mise en oeuvre des propositions du groupe Camdessus constituerait une avancée majeure par rapport aux programmations existantes et que ces propositions méritent d'être soutenues. Ainsi que le signale la Cour, cette réforme ne pourra avoir toute sa portée que si la loi-cadre s'impose juridiquement aux lois financières.

    Le Président de la République et le Premier ministre ont réaffirmé récemment leur engagement en faveur d'une réforme constitutionnelle. Le Gouvernement engagera prochainement une large consultation sur la question.

     

    2. Alors même que les prévisions du Gouvernement sont jugées plausibles pour 2010, les estimations de la Cour nous semblent trop pessimistes sur les prévisions de croissance, de croissance potentielle et de déficit public pour 2011.

    Lire la suite