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santé - Page 248

  • nanoparticules d'argent (10 avril 2010)

    Nanoparticules d’argent

    (NDLR : cette recommandation est signalée dans un but de sensibilisation et de vigilance face aux risques de produits nouveaux dont les composants sont mal évalués quant à leur diffusion ou leur toxicité à moyen ou long terme)

    Avis du Haut Conseil de la santé publique publié le 7 avril 2010 sur le site du HCSP (cliquer ici pour accéder au site du HCSP)

    http://www.hcsp.fr/explore.cgi/avisrapports?ae=avisrapports&menu=09&clefr=122&clef=158.html

    Haut Conseil de la santé publique

     Recommandation de vigilance relative à la sécurité

    des nanoparticules d’argent

    12 mars 2010

     

    Synthèse : Recommandation de vigilance relative à la sécurité des nanoparticules d’argent

    Sollicitée par le Groupe de veille sur les impacts sanitaires des nanotechnologies (groupe de travail permanent qui lui est rattaché), la  Commission spécialisée risques liés à l’environnement du HCSP a examiné la question de la sécurité d'emploi des nanoparticules d'argent.

    Un avis a été adopté afin attirer l'attention des autorités sanitaires sur un ensemble de mesures dont le HCSP estime qu'elles doivent être suivies avec attention. Ces recommandations ont trait au dispositif de surveillance, à l'étiquetage des produits et aux recherches qui mériteraient d'être approfondies.

     

     

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  • Recours aux soins (2/2) (8 avril 2010)

    Recours aux soins 2008 (2/2) suite et fin

    Extraits d’un rapport de M. Alexis Montaut publié dans le bulletin Etudes et Résultats n° 717 (février 2010) et paru le 19 février 2010 sur le site de la Direction de la Recherche, des Etudes, de l’Evaluation et des Statistiques (cliquer ici pour accéder au site de la DREES)

    http://www.sante-sports.gouv.fr/sante-et-recours-aux-soins-des-femmes-et-des-hommes.html

    Santé et recours aux soins des femmes et des hommes en 2008

     

    Synthèse : Premiers résultats de l’enquête Handicap-Santé 2008

    1 Une santé perçue positive, chez les hommes plus que chez les femmes

    2 Après 75 ans, une personne sur quatre se déclare fortement limitée dans les activités quotidiennes

    3 Un état de santé perçu en adéquation avec les maladies et les limitations d’activité déclarées

    4 Les personnes socialement moins favorisées se déclarent en moins bonne santé

    …../….

    5 Les femmes semblent plus attentives à leur santé…

    6 … et déclarent recourir aux médecins généralistes plus fréquemment que les hommes

    7 Les femmes déclarent aussi un plus grand nombre de consultations chez un généraliste

    8 Le recours au spécialiste augmente avec l’âge, notamment en cardiologie

    9 Les plus diplômés, les plus aisés et les mieux couverts déclarent davantage de recours aux spécialistes

    10 À partir de 65 ans les hommes sont plus souvent hospitalisés que les femmes

    Synthèse : Premiers résultats de l’enquête Handicap-Santé 2008 (rappel)

    En 2008, 67 % des femmes et 73 % des hommes âgés de 18 ans ou plus et vivant en France à leur domicile se considèrent en bonne ou très bonne santé, d’après l’enquête Handicap-Santé 2008 effectuée auprès des ménages. À partir de 75 ans, ils ne sont plus que 25 % à se déclarer en bonne ou très bonne santé et ils sont autant à se juger fortement limités dans leurs activités quotidiennes.

    Femmes et hommes ont des représentations différentes de la « bonne santé », mais quel que soit le sexe, se déclarer en bonne santé va de pair avec des conditions socioéconomiques ou professionnelles favorables. Tout au long de leur vie, les femmes sont plus attentives à leur état de santé et plus proches du système de soins que les hommes : elles sont plus nombreuses à déclarer consulter des médecins généralistes ou spécialistes et à recourir à la prévention. Elles sont également plus fréquemment hospitalisées avant 45 ans, notamment à l’occasion des grossesses et des accouchements. Après 65 ans en revanche, elles sont moins souvent hospitalisées que les hommes.

     

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  • recours aux soins (1/2) (7 avril 2010)

    Recours aux soins (1/2) (7 et 8 avril 2010)

    Extraits d’un rapport de M. Alexis Montaut publié dans le bulletin Etudes et Résultats n° 717 (février 2010) et paru le 19 février 2010 sur le site de la Direction de la Recherche, des Etudes, de l’Evaluation et des Statistiques (cliquer ici pour accéder au rapport complet sur le site de la DREES)

    http://www.sante-sports.gouv.fr/sante-et-recours-aux-soins-des-femmes-et-des-hommes.html

    Santé et recours aux soins des femmes et des hommes en 2008

     

    Synthèse : Premiers résultats de l’enquête Handicap-Santé 2008

    1 Une santé perçue positive, chez les hommes plus que chez les femmes

    2 Après 75 ans, une personne sur quatre se déclare fortement limitée dans les activités quotidiennes

    3 Un état de santé perçu en adéquation avec les maladies et les limitations d’activité déclarées

    4 Les personnes socialement moins favorisées se déclarent en moins bonne santé

    …../….

    5 Les femmes semblent plus attentives à leur santé…

    6 … et déclarent recourir aux médecins généralistes plus fréquemment que les hommes

    7 Les femmes déclarent aussi un plus grand nombre de consultations chez un généraliste

    8 Le recours au spécialiste augmente avec l’âge, notamment en cardiologie

    9 Les plus diplômés, les plus aisés et les mieux couverts déclarent davantage de recours aux spécialistes

    10 À partir de 65 ans les hommes sont plus souvent hospitalisés que les femmes

    Synthèse : Premiers résultats de l’enquête Handicap-Santé 2008

    En 2008, 67 % des femmes et 73 % des hommes âgés de 18 ans ou plus et vivant en France à leur domicile se considèrent en bonne ou très bonne santé, d’après l’enquête Handicap-Santé 2008 effectuée auprès des ménages. À partir de 75 ans, ils ne sont plus que 25 % à se déclarer en bonne ou très bonne santé et ils sont autant à se juger fortement limités dans leurs activités quotidiennes.

    Femmes et hommes ont des représentations différentes de la « bonne santé », mais quel que soit le sexe, se déclarer en bonne santé va de pair avec des conditions socioéconomiques ou professionnelles favorables. Tout au long de leur vie, les femmes sont plus attentives à leur état de santé et plus proches du système de soins que les hommes : elles sont plus nombreuses à déclarer consulter des médecins généralistes ou spécialistes et à recourir à la prévention. Elles sont également plus fréquemment hospitalisées avant 45 ans, notamment à l’occasion des grossesses et des accouchements. Après 65 ans en revanche, elles sont moins souvent hospitalisées que les hommes.

     

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  • vaccination DTP : obligation (02 04 2010)

    Vaccination obligatoire DTP

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 9 mars 2010 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-64807QE.htm

    Question n° 64807 de M. Jean-Claude Mathis (député UMP de l’Aube)

    M.  Jean-Claude Mathis attire l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur le maintien de l'obligation vaccinale pour trois vaccins : diphtérie, tétanos et poliomyélite. En effet, la France est un des derniers pays d'Europe à maintenir cette obligation.

    Or il se trouve que, depuis le 12 juin 2008, l'AFSSAPS a suspendu le DTP en raison d'une augmentation importante de réactions allergiques imputables à ce vaccin. Les parents se trouvent dans une situation délicate puisque la loi rend obligatoire un vaccin désormais introuvable en officine.

    En conséquence, il demande quelle disposition elle entend mettre en place pour remédier à cette situation et si elle envisage une levée de l'obligation vaccinale.

     

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  • cancer de la prostate : dépistage (1er avril 2010)

    Extraits d’un note d’opinion du professeur Michaël Peyromaure, chirurgien urologue à l'hôpital Cochin, à Paris, publiée sur le site du Monde le 27 mars 2010 (cliquer ici pour accéder au site du Monde)

    http://www.lemonde.fr/opinions/article/2010/03/27/le-depistage-du-cancer-de-la-prostate-un-debat-de-sante-publique-aux-accents-ideologiques-par-michael-peyromaure_1324701_3232.html#xtor=AL-32280340

    Dans les pays occidentaux, le cancer de la prostate pose un véritable problème de santé publique : il est au 1er rang des cancers chez l'homme et représente la 2e cause de mortalité par cancer. La maladie peut être détectée par l'examen clinique ou par un marqueur sanguin, le PSA (prostate specific antigen). Le dosage du PSA est simple, peu coûteux, et plus précis que l'examen clinique pour la détection du cancer. En effet, le cancer de la prostate n'induit pas de symptômes, et il est révélé dans plus de 80% des cas par une simple élévation du PSA. …/…

    Or, contrairement au dépistage du cancer du sein ou du col utérin chez la femme, celui du cancer de la prostate reste un sujet très controversé. …/…Les raisons de la controverse sont avant tout médicales et économiques. Il faut savoir que certains cancers de la prostate sont peu agressifs et vont présenter une évolution lente qui n'affectera pas forcément la survie du patient…./…

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  • cancer du sein : dépistage (29 03 2010)

    Cancer du sein : dépistage

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 9 mars 2010 sur le site de l’ Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale) 

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-60195QE.htm

    Question n° 60195 de M. Jean-Paul Dupré (député Socialiste, radical, citoyen et divers gauche  de l’Aude) 

    M. Jean-Paul Dupré attire l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur le dépistage du cancer du sein. Le dépistage automatique du cancer du sein s'adresse aux femmes de 50 à 74 ans. Il est organisé dans tous les départements et cible 40 % des Françaises dans la tranche d'âge la plus à risques.

    Or de nombreuses études semblent montrer que 30 % des cancers se déclarent avant l'âge de 50 ans, d'où la nécessité qu'il y aurait, de l'avis de certains spécialistes, d'avancer l'âge du dépistage automatique et gratuit d'une dizaine d'années et le faire courir, non plus de 50 à 74 ans, mais dès 40 ans. Ainsi, grâce au dépistage précoce, ce sont 3 500 vies qui pourraient être sauvées chaque année. Il lui demande si, comme cela paraît donc fortement nécessaire, elle compte prendre des mesures en ce sens.

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