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société, cadre de vie - Page 209

  • Covid 19 : 1e vague, hospitalisations (04 11 2020)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note de synthèse publiée le 8 octobre 2020 sur le site Vie publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

     

    https://www.vie-publique.fr/en-bref/276569-premiere-vague-de-covid-19-le-parcours-des-patients-hospitalises.html

     

    Première vague de Covid-19 : le profil des patients hospitalisés

    La France a enregistré plus de 100 000 hospitalisations pour Covid-19 au plus fort de l’épidémie, entre le 1er mars et le 15 juin 2020 selon une étude statistique récente. Le 27 mars a connu un pic avec 3 634 hospitalisations. Le point sur le profil des patients, leurs parcours à l'hôpital et les taux de mortalité enregistrés.

    Le taux de mortalité s'élève à 19% trois mois après l’hospitalisation et augmente avec l’âge (2% chez les moins de 40 ans et 33% chez les plus de 80 ans).

    La durée médiane d’hospitalisation des patients passés par les soins critiques (19% du total) est de 20 jours. Elle est de 8 jours pour les autres. La durée du séjour augmente avec l’âge.

    Une étude publiée en octobre 2020 par la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) analyse le parcours de 90 778 personnes admises à l’hôpital pour Covid-19 entre le 1er mars et le 15 juin 2020.

     

    Le profil des patients

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  • Situation des ménages fragiles : factures (03 11 2020)

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 27 octobre 2020 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q15/15-28149QE.htm

    Question N° 28149 de M. Hubert Wulfranc (député de Seine-Maritime)

    Hubert Wulfranc interroge M. le ministre de l'économie et des finances sur la situation de nombreuses familles modestes touchées par les baisses de revenus liées en particulier au chômage partiel qui ampute 16 % de leur revenu, hors situation des salariés payés au SMIC ou en formation si celle-ci est maintenue. Au 29 mars 2020, 2,2 millions de salariés étaient déjà en chômage partiel, un chiffre encore appelé à augmenter ces prochaines semaines en raison des ruptures d'approvisionnements et du tarissement des carnets de commandes à venir du fait des mesures de confinement.

    Les familles des salariés indemnisés au titre du chômage partiel font toujours face à des dépenses contraintes qui ne se verront ni réduites, ni différées, notamment les loyers pour les locataires ou les mensualités de remboursement d'emprunt pour les accédants à la propriété, ainsi que les dépenses énergétiques (gaz, électricité, fuel domestique...) ou encore les factures d'eau. À l'initiative du Gouvernement, le Parlement a adopté la loi d'urgence pour faire face à l'épidémie de covid-19, dont l'article 11 dispose que les petites entreprises impactées par la crise du covid-19 pourront demander des reports de loyers, de factures d'eau et d'énergie. Cette disposition a depuis été complétée par une ordonnance adoptée par le Gouvernement pour en assurer l'application. À l'instar de nombreuses petites entreprises et d'autoentrepreneurs qui font face à de graves difficultés dans cette période, de nombreux ménages connaissent ou vont connaître prochainement d'importantes difficultés pour honorer le paiement de ces mêmes dépenses auxquelles ils ne peuvent se soustraire, et ce d'autant plus que nombre d'entre eux ont également des enfants confinés à domicile qui, jusqu'à présent, bénéficiaient de tarifs de restauration scolaire attractifs.

    C'est pourquoi il lui demande s'il est envisageable que les ménages aux ressources modestes, selon le barème de plafond de ressources défini par l'Agence nationale de l'habitat (19 074 euros pour une personne vivant seule en province), et dont les revenus sont directement affectés en raison d'un récent licenciement ou du chômage partiel, puissent également bénéficier, de la part des fournisseurs d'eau et d'énergie, de reports et d'étalements de paiement de ces factures sur une durée minimale d'un an, sans préjudice de pénalités financières ou de réduction de service.

     

    Réponse du ministère du Logement publiée au JO le 27/10/2020 page : 7505

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  • Changement d’heure : 5 questions (02 11 2020)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 24 octobre 2020 sur le site Vie publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

     

    https://www.vie-publique.fr/questions-reponses/271194-5-questions-sur-le-changement-dheure-saisonnier#xtor=EPR-696.html

     

    Cinq questions sur le changement d'heure saisonnier

    Le passage à l'heure d'hiver a eu lieu le dimanche 25 octobre 2020 à 3 heures du matin (il faut alors enlever 60 minutes à l'heure légale, il est alors 2 heures du matin). Le changement d'heure est en vigueur en France depuis 1976.

     

    Depuis quand le changement d’heure a-t-il été instauré en France ?

     

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  • Grippe : vaccination (30 10 2020)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 8 octobre 2020 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

     

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A14356?xtor=EPR-100.html

     

    Vaccination contre la grippe : c'est en ce moment !

    Publié le 08 octobre 2020 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

     

    Selon l'avis de la Haute Autorité de santé, la campagne 2020-2021 de vaccination contre la grippe saisonnière débute le 13 octobre 2020 et se poursuit jusqu'au 31 janvier 2021 dans le contexte de crise sanitaire lié au Covid-19. L'Assurance maladie recommande de se faire vacciner au début de l'automne, avant la circulation active des virus grippaux.

     

    Qui est concerné ?

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  • Particules ultra-fines : dangers (29 10 2020)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 22 octobre 2020 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2019/qSEQ190811830.html

     

    Question écrite n° 11830 de M. Jean-Noël Guérini (sénateur des Bouches-du-Rhône)

    Jean-Noël Guérini appelle l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la santé sur la nocivité des particules ultrafines.


    Ces particules sont des poussières émises par l'industrie, le chauffage au bois, les gaz d'échappement, mais également le frottement des pneus sur la route. Le 16 juillet 2019, l'agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) a publié les résultats de son expertise relative à l'état de ses connaissances sur les particules de l'air ambiant. Elle alerte sur la dangerosité de ces particules ultrafines, qui passent les barrières pulmonaires pour atteindre la circulation sanguine et ont de graves conséquences pour l'organisme : asthme, cancer du poumon, troubles du rythme cardiaque, accident vasculaire cérébral (AVC)... Or, à ce jour, elles ne sont pas mesurées et ne sont donc pas prises en compte lors des alertes pollution.


    En conséquence, il lui demande sa position sur cette recommandation de l'Anses : cibler en priorité, dans les politiques publiques concernant l'air, trois indicateurs particulaires actuellement non réglementés : les particules ultrafines, le carbone suie et le carbone organique, en complément des indicateurs de particules PM2,5 et PM10 actuellement en vigueur.

     

    Réponse du Ministère de la transition écologique publiée dans le JO Sénat du 22/10/2020 - page 4856

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  • Confinement : animaux domestiques (27 10 2020)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 22 octobre 2020 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2020/qSEQ200414949.html

    Question écrite n° 14949 de Mme Brigitte Lherbier (sénatrice du Nord)

    Mme Brigitte Lherbier attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture et de l'alimentation sur les difficultés qu'éprouvent certains administrés pour s'occuper de leurs animaux domestiques de plein air en période de confinement.

     

    Sur l'ensemble du territoire national - et plus particulièrement dans les zones rurales – nombre de Français éprouvent des difficultés pour aller s'occuper de leurs animaux domestiques de plein air (chevaux, moutons, chèvres, poules, cochons…) dans la mesure où, n'étant pas agriculteurs de profession, ils se retrouvent dans l'incapacité de justifier leurs déplacements via les attestations de déplacement dérogatoire et s'exposent donc à des sanctions de la part des autorités.

    De telles sanctions ont d'ailleurs déjà été mises en place pour des individus s'étant déplacés brièvement pour aller nourrir ou abreuver leurs animaux. Ces contraventions sont perçues comme une véritable injustice par nombre de nos concitoyens qui refusent, malgré le confinement, d'abandonner des bêtes qu'ils soignent dans certains cas depuis de nombreuses années.

     

    Elle lui demande par conséquent si des mesures vont être prises pour permettre des déplacements brefs d'au-delà d'un kilomètre pour les individus souhaitant nourrir ou abreuver leurs animaux domestiques, par exemple en ajoutant une case à cocher sur les attestations de déplacement dérogatoire.

     

    Réponse du Ministère de l'agriculture et de l'alimentation publiée dans le JO Sénat du 22/10/2020 - page 4817

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