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société, cadre de vie - Page 206

  • Vulnérabilité : formes (08 07 2020)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 28 février 2020 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

     

    https://www.vie-publique.fr/en-bref/273537-le-credoc-analyse-les-differentes-formes-de-vulnerabilite#xtor=EPR-696.html

     

    Le Crédoc analyse les différentes formes de vulnérabilité

    Du handicap à la pauvreté, de la précarité professionnelle à la relégation territoriale, une étude du Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (Crédoc), publiée en février 2020, dresse un état des lieux des différentes fragilités. Deux Français sur trois souffrent d'au moins une source de vulnérabilité.

    Publié le 28 février 2020

    L’enquête sur les conditions de vie a permis de comprendre comment les différentes fragilités se combinent entre elles, aggravant alors le mal-être des populations.

    Dans un contexte de revendications et de mouvements sociaux (Gilets jaunes, réforme des retraites), l'étude du Crédoc "Tous autonomes et vulnérables à la fois" - État des lieux des publics fragiles(nouvelle fenêtre) mesure les difficultés vécues par la population française.

    Différentes causes de vulnérabilité

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  • Limitation de vitesse à 80km/h : aménagements (07 07 2020)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 14 mai 2020 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2019/qSEQ190208964.html

     

    Question écrite n° 08964 de M. François Grosdidier (sénateur de Moselle)

    François Grosdidier attire l'attention de M. le ministre de l'intérieur au sujet de la limitation de vitesse à 80 km/h sur le réseau routier secondaire. Le comité interministériel de la sécurité routière, réuni le 9 janvier 2018 par le Premier ministre, avait décidé de l'abaissement de 90 à 80km/h de la vitesse maximale autorisée sur les routes bidirectionnelles à une seule voie par direction et sans séparateur central appartenant au réseau secondaire, géré par les départements. Cet abaissement a été acté par le décret n° 2018-487 du 15 juin 2018. Si l'objectif est de réduire le nombre de morts et d'accidents sur ces routes, souvent plus dangereuses que les autoroutes ou que les voies en agglomération, c'est bien la méthode et l'uniformité de la décision qui sont contestables. Un premier bilan de cette expérimentation doit intervenir au 1er juillet 2020.

     

    Or, lors du grand débat national impliquant les maires de l'Eure et le président de la République le 15 janvier 2019 à Grand-Bourghteroulde, ce dernier a annoncé de possibles aménagements à cette mesure très mal vécue tant par les Français (76 % d'entre eux y seraient opposés selon un sondage) que par les collectivités territoriales. Le ministre de l'intérieur a également déclaré, durant ce mois de janvier 2019, que le Gouvernement serait prêt à annuler la réforme s'il s'avérait qu'elle n'aurait servi à rien. La mission d'information du Sénat sur la sécurité routière appelait dès l'année 2018 à mieux cibler cette mesure particulièrement contestée dans les zones rurales, dans lesquelles particuliers et entreprises voient leurs trajets rallongés pour un bénéfice incertain. Aujourd'hui pas plus qu'hier un président de conseil départemental ou un maire pour les portions se trouvant sur sa commune ne peuvent moduler comme ils le souhaitent la vitesse maximale, que ce soit à la baisse sur des routes dangereuses, ou à la hausse quand la situation mériterait un 90 km/h.

     

    La mission proposait alors une mesure de bon sens : décentraliser plutôt que d'uniformiser la vitesse sur toutes les routes nationales et départementales, afin d'adapter les décisions nationales à la réalité des territoires. Cette modulation pourrait être concertée lors de conférences départementales de la sécurité routière réunissant les élus, le préfet et la gendarmerie.

     

    Il lui demande donc si une application en cas par cas de la réduction de la vitesse maximale est envisagée avant le terme de l'expérimentation le 1er juillet 2020 et, si oui, si le Gouvernement compte confier aux conseils départementaux et aux maires la modulation des vitesses, ce qui serait logique au regard du fait que ce sont ces collectivités à qui l'État a confié l'entretien des routes départementales, et une partie des routes nationales.

     

    Réponse du Ministère de l'intérieur publiée dans le JO Sénat du 14/05/2020 p. 2236

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  • Autorite parentale (06 07 2020)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 18 mars 2020 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

     

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A13928?xtor=EPR-100.html

     

    Autorité parentale : chaque parent doit veiller à présenter ses demandes au juge

    Publié le 18 mars 2020 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

     

    Le juge aux affaires familiales peut rendre une décision sur les droits de visite et d'hébergement d'un parent sur son enfant mineur même si un seul des parents a fait une proposition à ce sujet.

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  • Numérique et Santé (03 03 2020)

    Nous proposons aujourd’hui la synthèse d’un rapport réalisé par le Conseil National du Numérique et publié le 11 juin 2020 (cliquer ci-dessous pour accéder au site du CNN ou au texte pdf du communiqué de presse)

    https://cnnumerique.fr/

    https://cnnumerique.fr/files/uploads/2020/Communiqu%C3%A9%20de%20sortie%20-%20Rapport%20Sant%C3%A9.pdf

    Le Conseil national du numérique remet son rapport relatif à la transformation numérique du système de santé

    Paris, le 11 juin 2020

    Au pied du mur.

    La transformation numérique du système de santé, promise depuis des années - d’aucuns diraient des décennies ? -, n’est plus un lointain horizon, un mirage insaisissable dont on se rapprocherait chaque année de quelques mètres paresseux, nous permettant de contempler, satisfaits, le chemin qu’il reste à parcourir.

    La crise sanitaire que nous traversons nous a mis face aux réalités : nous avons trop tardé ! “Nous sommes en guerre” nous annonçait le 16 mars le Président de la République. Comment pouvait-on espérer, sans portage politique du numérique en santé, sans vision stratégique de l’Etat depuis des décennies, aborder cette épreuve suffisamment armés ? De la difficulté à fournir des outils interopérables et souverains à la trop légère formation au numérique en santé, en passant par la fragile confiance des usagers et des professionnels dans ce domaine, la situation de stress à laquelle fait face le numérique en santé français est apparue de façon indéniable.

    Le tableau n’est naturellement pas si sombre, et ces temps troublés ont aussi permis de mettre en lumière les forces profondes de notre pays : un usage croissant de certains outils mis à la disposition des citoyens et des professionnels dont la télémédecine est la meilleure illustration : plafonnant à 10.000 consultations par semaine en février 2020, son utilisation a été multipliée par 100 en à peine 1 mois ! Ce sursaut numérique citoyen, nous le devons aussi à un écosystème innovant qui a su apporter des réponses en un temps record, débarrassé des lenteurs administratives ; autant de preuves que, même au pied du mur, nous ne sommes pas rentré dedans.

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  • Fausses nouvelles ou vidéos (02 07 2020)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 11 juin 2020 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2019/qSEQ190711327.html

    Question écrite n° 11327 de Mme Colette Mélot (sénatrice de Seine-et-Marne)

     

    Mme Colette Mélot attire l'attention de M. le secrétaire d'État auprès du ministre de l'économie et des finances et du ministre de l'action et des comptes publics, chargé du numérique sur les conséquences produites par un nouveau phénomène : les ″deepfakes″.

     

    On les appelle deepfakes, et ce sont, non plus des détournements, mais des fausses vidéos forgées de toutes pièces à l'aide de l'intelligence artificielle, à partir de simples images et d'échantillons de voix, qui ont toutes les apparences du vrai. Avec un effet potentiellement dévastateur, à tel point que les agences de renseignement américaines redoutent que ces fausses vidéos plus vraies que nature, ne perturbent l'élection présidentielle de 2020.


    En France, contrairement aux États-Unis où le problème est déjà sur le bureau des membres de la commission de renseignement de la Chambre des représentants, le Gouvernement ne semble pas se positionner sur ce nouveau type de désinformation et la loi sur la manipulation de l'information dite ″anti-fake news″ votée en décembre 2018 ne l'évoque pas directement.


    Le sujet est particulièrement inquiétant si l'on imagine les conséquences que ce nouveau phénomène peut produire dans l'esprit de nos concitoyens. Cette arme de manipulation peut nuire à la réputation de quelqu'un, berner l'opinion publique, leurrer des assurances et même des banques et l'on peut craindre des opérations de chantage ou des campagnes de ″désinformation″ pouvant menacer la sécurité nationale.

     

    Elle lui demande donc quelles mesures le Gouvernement compte prendre pour empêcher la propagation de ce type de contenus, et si des échanges sont déjà intervenus auprès des instances de Facebook afin d'influer sur la politique de la plateforme en matière de modération des deepfakes.

     

    Réponse du Ministère de la culture publiée dans le JO Sénat du 11/06/2020 p. 2703

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  • Impôts : mode de paiement (30 06 2020)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 14 mai 2020 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2020/qSEQ200314870.html

     

    Question écrite n° 14870 de M. Jean Louis Masson (sénateur de Moselle)

    Jean Louis Masson attire l'attention de M. le ministre de l'économie et des finances sur le fait qu'il est dorénavant obligatoire de payer ses impôts de manière informatisée ou par prélèvement. Plus précisément, les paiements en liquide et même les paiements par chèque ne sont plus autorisés. Il en résulte d'importants problèmes pour les personnes âgées qui sont confrontées à des difficultés tout à fait injustifiées. Il lui demande donc s'il serait possible de rétablir les anciens modes de paiement.

     

    Réponse du Ministère de l'action et des comptes publics publiée dans le JO Sénat du 14/05/2020 p. 2233

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