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société, cadre de vie - Page 245

  • Emploi des travailleurs handicapés (22 02 2019)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 31 janvier 2019 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2019/qSEQ190108538.html

     

    Question écrite n° 08538 de M. Éric Gold (sénateur du Puy-de-Dôme)

    Éric Gold attire l'attention de Mme la ministre du travail sur les inquiétudes formulées par les personnes handicapées travaillant en établissement d'aide par le travail (ESAT), en entreprise adaptée (EA) ou en tant que travailleur indépendant en situation de handicap (TIH), après l'adoption de la loi n° 2018-771 du 5 septembre 2018 pour la liberté de choisir son avenir professionnel. Si cette loi vise notamment à renforcer l'intégration professionnelle des personnes handicapées, elle suscite des craintes en raison des modifications apportées par l'article 67 au code du travail.

     

    Désormais, les contrats de sous-traitance passés par des entreprises ou collectivités avec des ESAT, EA ou TIH ne pourront plus être comptabilisés dans le cadre de l'obligation d'emploi. Les travailleurs nécessitant un accompagnement, et leurs familles, craignent ainsi une baisse d'activité et une fragilisation du système. Aussi, il lui demande quelles garanties peuvent être apportées à ces personnes qui désirent préserver leur équilibre personnel et professionnel grâce au travail adapté.

     

    Réponse du Ministère du travail publiée dans le JO Sénat du 31/01/2019 - page 602

     

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  • Risques numériques : arnaques (21 02 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 11 février 2019 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A13211?xtor=EPR-100.html

    Risques numériques : que faire en cas d'arnaque au faux support technique ?

    Publié le 11 février 2019 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

     

    La question : « On parle beaucoup de personnes se faisant soutirer de l'argent pour récupérer les données de leur ordinateur à la suite d'attaques informatiques. Que dois-je faire si cela m'arrive ? »

    La réponse de Service-public.fr : « L'arnaque au faux support technique est une des escroqueries auxquelles on peut être exposé lorsque l'on s'est rendu sur un site internet infecté ou suite à l'ouverture d'une pièce jointe malveillante dans un message. Cybermalveillance.gouv.fr vous explique. »

    L'arnaque au faux support technique est une escroquerie qui consiste à effrayer la victime afin de la pousser à contacter un prétendu support technique officiel. Un pseudo réparateur tente alors de la convaincre de le laisser prendre le contrôle de sa machine pour faire semblant de la lui dépanner alors qu'il lui installe des logiciels lui permettant d'accéder au contenu de l'ordinateur.

    La victime peut être contactée par SMS, téléphone, courriel, messagerie instantanée, ou voir apparaître un message sur l'écran de son ordinateur, tablette ou smartphone qui lui signale un problème grave (panne, virus, licence de logiciel expirée...) et qui lui demande de rappeler un numéro de support technique semblant officiel, sous peine de perdre toutes ses données ou de ne plus pouvoir utiliser son matériel.

    Comment se prémunir ?

    • Appliquez de manière régulière et systématique les mises à jour de sécurité du système et des logiciels installés sur votre machine ;
    • Tenez à jour votre antivirus et activez votre pare-feu. Vérifiez qu'il ne laisse passer que des applications et services légitimes ;
    • Évitez les sites non sûrs ou illicites (tels ceux qui hébergent des contrefaçons : musique, films, logiciels...) ou certains sites pornographiques qui peuvent infecter votre machine ou héberger des régies publicitaires douteuses ;
    • N'installez pas d'application ou de programme « piratés » ou dont l'origine ou la réputation sont suspectes ;
    • N'utilisez pas un compte avec des droits ″administrateur″ pour consulter vos messages ou naviguer sur internet ;
    • N'ouvrez pas les courriels, leurs pièces jointes et ne cliquez pas sur les liens provenant de chaînes de messages, d'expéditeurs inconnus, ou d'un expéditeur connu mais dont la structure du message est inhabituelle ou vide ;
    • Faites des sauvegardes régulières de vos données et de votre système pour pouvoir le réinstaller dans son état d'origine ;
    • Sachez qu'aucun support technique officiel ne vous contactera pour vous réclamer de l'argent.

    Que faire si l'on est victime ?

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  • Taxe d’habitation : enfants et parents (20 02 2019)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 31 janvier 2019 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2018/qSEQ181107787.html

     

    Question écrite n° 07787 de M. Jean-Marie Morisset (sénateur des Deux-Sèvres)

    Jean-Marie Morisset attire l'attention de M. le secrétaire d'État, auprès du ministre de l'action et des comptes publics, au sujet de la taxe d'habitation et des conditions d'exonération pour les enfants scolarisés en dehors de la résidence familiale. En effet, de très nombreux étudiants ou apprentis, bien que rattachés fiscalement au ménage parental, sont amenés à louer des logements afin de poursuivre leurs études. Les baux peuvent être signés par eux-mêmes et en leur nom. La taxe d'habitation est adressée en leur nom et non en celui de leurs parents. La très grande majorité d'entre eux n'ont que peu ou pas de ressources financières propres.

     

    Toutefois, il semblerait que la grande majorité d'entre eux continuent de payer leur taxe d'habitation, alors même que leurs parents en sont exonérés, sous prétexte qu'il ne pourrait y avoir qu'une exonération de taxe d'habitation par foyer fiscal, que leur logement serait considéré comme une résidence secondaire, réponse ainsi faite par les services fiscaux à de nombreuses familles. Il semble pourtant incongru de considérer un logement pleinement occupé, sinon peut-être en dehors de périodes de vacances scolaires ou pour des fins de semaine, comme une résidence secondaire et de solliciter de la part de jeunes étudiants le paiement de la taxe d'habitation.

     

    C'est pourquoi il souhaiterait que lui soit confirmée la règle applicable pour ces situations représentant des centaines de milliers de ménages et, si l'argument présenté ci-avant était à ce jour recevable, qu'il soit modifié au plus vite pour plus d'équité sociale.

     

    Réponse du Secrétariat d'État auprès du ministre de l'action et des comptes publics publiée dans le JO Sénat du 31/01/2019 - page 558

     

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  • Gaz : tarifs réglementés (19 02 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 12 février 2019 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A13214?xtor=EPR-100.html

     

    Tarifs réglementés du gaz : quels montants du 1er mars au 30 juin 2019 ?

    Publié le 12 février 2019 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

     

    Les tarifs réglementés de vente de gaz d'Engie sont fixés du 1er février au 30 juin 2019 suite à la publication d'un arrêté au Journal officiel du 31 janvier 2019.

    Du 1er février au 30 juin 2019, les tarifs réglementés vont globalement baisser.

    Évolution mensuelle entre le 1er février et le 30 juin 2019

    Tarifs

    01 02 19

    01 03 19

    01 04 19

    01 05 19

    01 06 19

    Base (cuisson)

    -0,3 %

    0 %

    -0,7 %

    -0,2 %

    -0,2 %

    B0 (cuisson et eau chaude)

    -0,5 %

    0 %

    -1,3 %

    -0,4 %

    -0,3 %

    B1 (chauffage)

    -0,8 %

    0 %

    -2,2 %

    -0,7 %

    -0,5 %

      Rappel :

    Les clients qui ont souscrit un contrat à prix de marché fixe ne sont concernés ni par les baisses, ni par les hausses du tarif réglementé pendant la durée de leur contrat.

    Textes de référence

    Et aussi

    Pour en savoir plus

    Commission de régulation de l'énergie (CRE)

  • Usufruit : déduction intérêt emprunt (15 02 2019)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 10 janvier 2019 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2017/qSEQ170901404.html

    Question écrite n° 01404 de M. Christophe-André Frassa (sénateur des Français établis hors de France)

    Christophe-André Frassa attire l'attention de M. le ministre de l'action et des comptes publics sur les charges financières déductibles en matière de revenus fonciers.

     

    En effet, les contribuables soumis au régime réel d'imposition peuvent déduire de leur revenu net foncier les intérêts des emprunts contractés pour la conservation, l'acquisition, la (re)construction, l'agrandissement, la réparation ou l'amélioration des immeubles donnés en location.

     

    À ce titre, il lui demande si la déductibilité de l'ensemble des intérêts d'emprunt est maintenue si le contribuable donne la nue-propriété de son immeuble, celui-ci s'étant réservé l'usufruit du bien et continuant de percevoir les loyers.

     

    Réponse du Ministère de l'économie et des finances publiée dans le JO Sénat du 10/01/2019 p. 133

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  • Retraite et droits conjugaux : pistes de réflexion (14 02 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note de synthèse d’une séance plénière du 31 janvier 2019 du Conseil d’Orientation des Retraites publiée sur le site du COR (cliquer ici pour accéder au site du COR)

    http://www.cor-retraites.fr/ 

    Cliquer ci-dessous pour accéder au texte de la synthèse du rapport du COR :

    http://www.cor-retraites.fr/IMG/pdf/doc-4398.pdf

     

    CONSEIL D’ORIENTATION DES RETRAITES

    Séance plénière du 31 janvier 2019 Retraite et droits conjugaux : panorama et perspectives

    Pourquoi ce sujet ?

    S’interroger sur l’avenir des droits conjugaux dans le futur système de retraite universel suppose de revenir sur le fondement historique de la réversion qui s’inscrivait dans un contexte où le mariage précoce et durable était le mode de conjugalité dominant et où l’homme était l’apporteur principal de ressources au sein du couple. Les évolutions sociales et économiques sont susceptibles de remettre en question cette construction. La première partie du dossier documente ces évolutions, ainsi que les inégalités économiques entre les femmes et les hommes, pendant la vie active et à la retraite. La deuxième partie propose un panorama statistique et juridique de la réversion en France. Après avoir exposé un aperçu de la réversion à l’étranger, la troisième partie présente des scénarios d’évolution possible de la réversion dans le cadre du futur système universel.

     

    I – Modes de conjugalité, parcours de vie et inégalités économiques entre femmes et hommes

    • Combien de personnes mariées, pacsées ou en union libre ? 73 % des couples sont mariés, 7 % sont pacsés et 20 % en union libre en 2011. Au sein des couples, l’homme a en moyenne 2,5 ans de plus que sa conjointe. En 2018, 235 000 mariages et 194 000 Pacs ont été conclus, soit quatre Pacs pour cinq mariages.
    • Combien de divorces ? Les divorces sont devenus plus fréquents au fil du temps : 33 % des mariages contractés en 1980 ont été dissous avant 30 ans de mariage (contre 26 % des mariages contractés en 1970). Le nombre de divorces augmente tendanciellement depuis 1970, mais reformer un couple après un divorce prend légèrement moins de temps.
    • Comment ont évolué les parcours conjugaux au fil des générations ? Vivre en couple au moins une fois dans sa vie n’est pas moins fréquent qu’auparavant. Mais les couples se forment de plus en plus tard et se séparent davantage au fil des générations. Ainsi est-il de plus en plus fréquent qu’une personne vive seule après une union rompue ou s’unisse plusieurs fois dans sa vie.
    • Quels liens entre couple et niveau de diplôme ? Plus un homme est diplômé, plus il vit fréquemment en couple. Par le passé, les femmes les plus diplômées vivaient moins souvent en couple, mais la situation semble s’inverser pour les générations récentes. Par ailleurs le Pacs est plus répandu parmi les plus diplômés.
    • Les carrières des femmes se rapprochent-elles de celles des hommes ? Les femmes sont de plus en plus souvent actives (au sens du BIT) et le taux de chômage des femmes a rejoint celui des hommes, mais de multiples sources d’écarts entre femmes et hommes perdurent : interruptions d’activité suite aux naissances, travail à temps partiel (30 % des femmes contre 8 % des hommes), écarts de salaire horaire (14 % dont 6 % ″expliqués″ par les caractéristiques des emplois et des personnes), et travail non salarié plus fréquent chez les hommes. Compte tenu de tous ces écarts, les femmes en couple ne contribuent qu’à hauteur de 36 % aux revenus de leur couple. Ces écarts vont de pair avec une dissymétrie persistante des rôles conjugaux, les femmes consacrant environ 4 h par jour au travail domestique contre 2 h pour les hommes.
    • Quelles inégalités entre femmes et hommes au moment de la retraite ? Malgré les droits familiaux et les minima de pension, les femmes à la retraite en 2016 perçoivent une pension de droit direct inférieure de 39 % à celle des hommes. Cet écart se réduit au fil des générations. Néanmoins, les écarts de niveau de vie moyen entre femmes et hommes retraités demeurent limités (moins de 5 %), grâce à la mutualisation des revenus au sein du couple et à la réversion, qui permet en moyenne aux veuves de maintenir leur niveau de vie.

     

    II – La réversion en France

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