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Europe - Page 5

  • Démunis : programme d'aide européen (22 03 2013)

    Programme européen d’aide aux plus démunis

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiée le 28 février 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ130204681.html

    Question écrite n° 04681 de M. Michel Doublet (Charente-Maritime - UMP)

    M. Michel Doublet attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt sur le programme européen d'aide aux plus démunis. Le projet de budget européen pour 2014-2020 fait apparaître une baisse de 30 % alors que la demande due à la crise économique est en constante augmentation.

    Depuis plusieurs années la France œuvre auprès de ses partenaires européens pour le maintien de ce dispositif qui permet de distribuer des repas à plus de 19 millions de personnes en Europe dont quatre en France. Si le maintien du dispositif est une satisfaction, il n'en demeure pas moins que les associations vont être confrontées à de réelles difficultés pour faire face à la demande de nos concitoyens les plus fragiles.

    En conséquence, il lui demande quelles mesures le Gouvernement compte mettre en œuvre pour accompagner les associations caritatives.

    Réponse du Ministère de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt publiée dans le JO Sénat du 28/02/2013 – p. 692

     

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  • Filière Viande (04 03 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 22 février 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ13020107G.html

     

    Question d'actualité au gouvernement n° 0107G de M. Jean-Jacques Mirassou (sénateur socialiste de la Haute-Garonne)

    M. Jean-Jacques Mirassou. Ma question s'adresse à M. le ministre de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt et concerne le dossier de la fraude à la viande, qui inquiète à juste titre nos compatriotes dans le contexte d'un fort emballement médiatique. 

    Je tiens d'abord à souligner et à saluer le fait que le Gouvernement a agi, tout particulièrement les ministres concernés, MM. Le Foll, Hamon et Garot, dans le cadre de leurs prérogatives respectives, avec rapidité, fermeté, discernement et transparence. (Applaudissements sur les travées du groupe socialiste et du groupe écologiste.) C'était indispensable pour démontrer au consommateur que sa confiance dans les pouvoirs publics français est pleinement justifiée.

    Parallèlement, il faut constater que les méandres européens empruntés par les viandes transformées sont extrêmement complexes. Ce dossier démontre, parce qu'il y a eu manifestement rupture de traçabilité, que les dispositifs de contrôle sont à améliorer. Il est absolument indispensable que le consommateur, dernier maillon de la chaîne, sache ce qu'il y a dans son assiette.

    Plus localement, il était également impératif de rassurer les salariés de la société Spanghero, la population de Castelnaudary, les élus locaux concernés et les parlementaires de l'Aude, et de répondre à leurs interrogations sur la pérennité des emplois de la société visée. De ce point de vue, la suspension de l'agrément, qui n'a pas dépassé quatre jours, était pleinement justifiée et s'inscrivait dans cette logique.

    Les enquêtes sanitaires, administratives et vétérinaires permettront quant à elles de savoir ce qui s'est passé, d'en tirer les conséquences et de prendre des sanctions contre les auteurs de cette fraude.

    Plus généralement, cette affaire s'inscrit dans le cadre d'un commerce alimentaire qui s'est lancé dans une recherche frénétique du profit et où des produits de base de l'alimentation humaine sont désignés par le terme tristement révélateur de « minerai ». C'est ainsi que, en six mois, la vente de 750 tonnes de viande de cheval à la place de viande de bœuf aurait dégagé un surprofit de 550 000 euros !

    Beaucoup reste donc à faire pour parvenir à une solution satisfaisante permettant de garantir non seulement les intérêts des salariés de la filière, mais aussi et surtout ceux des consommateurs. 

    Monsieur le ministre, pouvez-vous faire le point sur l'actualité de ce dossier compliqué, dont l'évolution est très rapide ? Quelles sont les pistes de travail que vous entendez privilégier pour qu'une telle affaire ne se reproduise pas ?

    Réponse du Ministère de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt publiée dans le JO Sénat du 22/02/2013 p. 1482

     

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  • Démunis : aide alimentaire (28 03 2012)

    Programme européen d'aide aux plus démunis

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 1er mars 2012 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2011/qSEQ110719333.html


    Question écrite n° 19333 de Mme Samia Ghali (Bouches-du-Rhône - SOC) publiée dans le JO Sénat du 07/07/2011 - page 1758

    Mme Samia Ghali attire l'attention de Mme la secrétaire d'État auprès de la ministre des solidarités et de la cohésion sociale sur le programme européen d'aide aux plus démunis (PEAD). Impulsé par le Gouvernement et les associations françaises en 1986 et mis en place en 1987 pour favoriser l'écoulement des stocks, le PEAD permet d'apporter une aide alimentaire à 13 millions de citoyens des 19 États membres de l'Union européenne. Dans notre pays, il est réparti principalement entre quatre associations en charge de l'aide alimentaire : les Restos du Cœur, les banques alimentaires, le Secours populaire et la Croix-Rouge. Pour chacune d'entre elles, le PEAD représente un apport décisif dans leur mission d'aide alimentaire et de promotion de l'insertion des publics en situation de précarité.

    Or, la Cour de justice de l'Union européenne vient d'accéder favorablement à la demande de l'Allemagne d'annuler le PEAD 2009, au motif que la Commission européenne avait outrepassé le règlement l'autorisant à n'utiliser que des stocks d'intervention pour alimenter le PEAD. La Cour de justice interdit à la Commission de compléter par une allocation financière le PEAD, lorsque les stocks d'intervention sont insuffisants. Alors que les stocks européens sont au plus bas, une telle décision fait peser de lourdes menaces sur le travail des associations avec un impact fort sur les populations concernées. L'enveloppe attribuée aux associations européennes pour 2012 ne devrait pas dépasser les 100 millions d'euros, couvrant à peine un cinquième de leurs besoins. Après 26 ans d'existence, l'utilité du PEAD n'est plus à démontrer. Dans cette période de rationalisation des politiques publiques et alors que le pouvoir d'achat des plus démunis est particulièrement mis à mal, son maintien et son développement doivent, au contraire, être favorisés pour assurer aux associations humanitaires leur capacité à poursuivre leurs actions.

    C'est pourquoi, en lui rappelant la priorité des crédits affectés à la subsistance des citoyens, elle lui demande les engagements qu'elle compte prendre pour soutenir le PEAD en créant un dispositif renouvelé et pérenne, conforme aux exigences de la Cour de justice de l'Union européenne, inscrivant durablement l'objectif de sécurité alimentaire des populations.

    Réponse du Secrétariat d'État auprès de la ministre des solidarités et de la cohésion sociale publiée dans le JO Sénat du 01/03/2012 - page 591

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  • Nouveau traité européen ? (08 12 2011)

    Extraits d’un article de M. Romaric Godin publié le 5 décembre sur le site de La Tribune (cliquer ici pour accéder au site de la Tribune)

    http://www.latribune.fr/actualites/economie/union-europeenne/20111204trib000668741/sarkozy-merkel-les-details-du-nouveau-traite-europeen.html

    Sarkozy-Merkel : les détails du nouveau traité européen

    Dans le discours de ce lundi 5 décembre 2011, à 15 heures, Les deux chefs d'Etat ont enfin parlé d'une même voix…./…

    Rappel des principaux points de ce traité à l'initiative du couple franco-allemand :

    - L'accord devrait entrer en vigueur en mars prochain

    - Jeudi, si aucun accord n'est trouvé à 27, la France et l'Allemagne iront "à marche forcée" vers un traité à 17. Il pourra donc être approuvé avec une majorité de 85%.

    - Le principe des euro-obligations (emprunts communs des pays de la zone euro) est rejeté

    - Sanctions automatiques pour des déficits supérieurs à 3%

    - Mise en place d'une réunion tous les mois durant la crise

    - Mise en place d'une règle d'or

    - Rôle de la Banque Centrale Européenne : "confiance dans la BCE et indépendance".

    - Pérenniser le Fonds Européen de Stabilité Financière (FESF), le mettre en place dès 2012 avec une majorité de 85% pour les décisions importantes.

    - La cour de justice de l'Union européenne vérifiera si les budgets respectent la règle d'or.

  • Dette Française (28 07 2011)

    Extraits d’un article de M. Samuel Laurent publié le 20 juillet 2011 sur le site du Monde (cliquer ici pour accéder au site du Monde)

    http://www.lemonde.fr/politique/article/2011/07/20/la-france-face-a-la-dette-mode-d-emploi_1550580_823448.html#ens_id=1550914

    1/ Dans quelle situation budgétaire se trouve la France ?

    …/… depuis 1974, le pays présente des budgets en déficit, qu'il s'agisse de ceux du gouvernement ou des administrations publiques comme la sécurité sociale. Pour financer la différence entre recettes et dépenses, la France emprunte donc sur les marchés financiers.

    …/… La dette française …/… représente actuellement 1 646,11 milliards d'euros environ, soit 84,5 % du produit intérieur brut…./… en 2007, la dette n'était "que" de 1211 milliards, soit 64,2 % du PIB, vingt points de moins…/… Selon …/… la Cour des comptes, 60 % de la hausse est due aux mesures anti-crise, le reste provenant de la politique générale menée depuis 2007. …/… Le déficit est passé de 50,3 milliards fin 2007, soit 2,7 % du PIB, à 148,8 milliards d'euros fin 2010, soit 7,1 % du produit intérieur brut en 2010.

    2/ A quoi sert la note triple A ?

    Plus la France s'endette, plus les intérêts payés par la France …/… augmentent. Cette somme, que l'on nomme charge de la dette, devrait atteindre 45,4 milliards d'euros en 2011, et 50 milliards l'année suivant, soit l'équivalent de ce que rapporte l'impôt sur le revenu…./…

    Les agences de notation ../…font ce travail d'évaluation de la confiance accordée à un Etat, qu'on nomme "risque pays". Elles attribuent des notes, qui vont servir à calculer à quel taux l'Etat en question peut emprunter de l'argent sur les marchés.

    3/ En quoi la crise grecque concerne-t-elle la France ?

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  • allemagne : rigueur (07 05 2010)

    Réduction du déficit : Berlin privilégierait la baisse des dépenses

    Extraits d’un article publié le 6 juin 2010 sur le site de La Tribune (cliquer ici pour accéder au site de La Tribune)

    http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20100606trib000516719/reduction-du-deficit-berlin-privilegierait-la-baisse-des-depenses.html

    …/… Il est question de mettre l'accent sur le front des dépenses", a prévenu Angela Merkel ce dimanche avant de réunir son gouvernement pour décider des mesures concrètes à prendre pour assainir les finances publiques allemandes. Elle a laissé entendre que les domaines de la formation et de la recherche, considérés comme des "points capitaux" qu'il faut "bien développer", seraient exemptés de coupes budgétaires.

    La chancelière chrétienne-démocrate a éludé la question d'éventuelles hausses d'impôts réclamées dans son propre camp chrétien-démocrate et rejetées par le parti libéral, partenaire des conservateurs dans le gouvernement.

    …/… Selon le magazine Der Spiegel, le gouvernement veut supprimer 15.000 postes dans l'administration fédérale d'ici à 2014 pour économiser "à partir de l'an prochain 800 millions d'euros" dans les dépenses administratives.

    …/… L'Allemagne, qui prône l'orthodoxie budgétaire, s'est contrainte à réduire dès 2011 son déficit structurel de 10 milliards d'euros par an jusqu'en 2016.