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alimentation - Page 4

  • Alimentation durable et locale (04 06 2021)

    Nous vous proposons aujourd’hui des extraits (Présentation et Sommaire) d’un rapport d’information du Sénat publié le 19 mai 2021 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    https://www.vie-publique.fr/rapport/280006-rapport-dinformation-sur-l-alimentation-durable-et-locale#xtor=EPR-526.html

     

    cliquer ci-dessous pour accéder au texte (pdf) du Rapport (105p.)

    http://www.senat.fr/rap/r20-620/r20-6201.pdf

     

    PRESENTATION

    Avec la crise sanitaire, les sujets de la souveraineté alimentaire et de l’approvisionnement local de l’alimentation des Français sont redevenus une priorité en matière de politique publique. Ces questions essentielles ne constituent pas une nouvelle problématique, jusqu’alors inconnue des acteurs : la mobilisation du Sénat depuis plusieurs années, et plus récemment depuis l’adoption de l’article 44 de la loi Egalim visant à lutter contre les importations de denrées alimentaires ne respectant pas les normes minimales requises en France, le démontre. Toutefois, l’actualité les a éclairées d’un jour nouveau, en démontrant qu’une alimentation plus locale et plus souveraine était justement une réponse afin d’accroître la durabilité du modèle alimentaire français.

    Traiter ces sujets multifacettes, à la croisée des problématiques économiques, écologiques et sociales, et embrassant un public d’acteurs très large, allant de l’amont agricole au consommateur à la recherche de denrées saines, sûres et accessibles à tous, a été considéré comme un impératif pour tenter d’apporter des réponses opérationnelles à une volonté citoyenne indéniablement croissante. C’est pourquoi la commission de l’aménagement du territoire et du développement durable s’était dotée d’une cellule de veille spécifique sur le sujet de l’alimentation durable et locale dès le mois de mars 2020. 

    Synthèse de réflexions nées d’échanges fructueux menés lors d’une trentaine d’auditions, le rapport appelle à la mise en œuvre de 25 recommandations concernant à la fois l’offre agricole et la demande des consommateurs. Renforcer la souveraineté alimentaire, consolider les initiatives locales en matière alimentaire, maîtriser l’empreinte environnementale de l’agriculture et de l’alimentation, renforcer les transitions dans un laps de temps compatible avec le temps des cultures et mettre en œuvre une réelle transparence sur l’étiquetage de l’origine des produits, tels sont les objectifs poursuivis.

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  • Confinement : comportements alimentaires (11 05 2021)

    Nous vous proposons aujourd’hui ce résumé d’une étude publiée par le Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire n° 7 du 4 mai 2021 sur le site Santé-Publique France (cliquer ici pour accéder au site Santé-publique)

    http://beh.santepubliquefrance.fr/beh/2021/Cov_7/2021_Cov_7_1.html

     

    Comportements alimentaires et déterminants de la prise de poids des adultes en France pendant le confinement lié à la Covid-19: évolutions perçues (CoviPrev, 2020)

    Par Corinne Delamaire (corinne.delamaire@santepubliquefrance.fr), Barthélémy Sarda, Pauline  Ducrot, Charlotte Verdot, Valérie Deschamps, Anne-Juliette Serry, Santé publique France, Saint-Maurice). Bull EpidémiolHebd.2021;(Cov_7):2-11 Soumis le 19.03.2021

    RÉSUMÉ

    Introduction 

     

    Pour freiner la pandémie de Covid-19, un confinement strict a été institué en France du 17 mars au 11 mai 2020, bouleversant la vie quotidienne de la population. Dès le début du confinement, une enquête répétée de Santé publique France (enquête CoviPrev) a permis de suivre différents comportements de santé. Cet article présente l’évolution perçue des comportements alimentaires pendant le confinement et les déterminants de la prise de poids.

     

    Méthodes

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  • Alimentation : légumes et fruits en hausse (19 04 2021)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 1er avril 2021 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    https://www.vie-publique.fr/en-bref/279249-enquete-credoc-plus-de-fruits-et-de-legumes-dans-lalimentation#xtor=EPR-696.html

    L'enquête du Crédoc sur les comportements alimentaires en France en 2019 montre une augmentation de la consommation de fruits et légumes. Après des années de baisse, la végétalisation des repas est plus présente chez les adultes et les enfants.

    Les cinq fruits et légumes par jour du Programme national nutrition santé (PNNS)  gagnent du terrain. En dix ans, le nombre de personnes se conformant à cette recommandation a augmenté de 4 points (autant chez les enfants que chez les adultes). 

    Publiée en mars 2021, l'enquête du Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (Crédoc) sur les "Comportements et consommations alimentaires en France en 2019" révèle un renversement de tendance. Si tous les âges sont concernés, le changement d'alimentation est plus sensible chez les jeunes adultes, davantage préoccupés par la prévention sur la santé et l’environnement.

    L'étude précise que la végétalisation des repas semble se poursuivre dans un contexte de télétravail et de confinements, les Français se faisant plus souvent la cuisine.  Les ventes de légumes en conserve, surgelés ou frais, ont très fortement augmenté en 2020.

    Une alimentation végétale en hausse

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  • Grande distribution : gaspillage (12 01 2021)

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 5 janvier 2021 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    https://questions.assemblee-nationale.fr/q15/15-35116QE.htm

     

    Question n° 35116 de M. Éric Pauget (député des Alpes-Maritimes)

    Éric Pauget attire l'attention de Mme la ministre de la transition écologique sur le besoin impérieux d'une mesure effective du gaspillage alimentaire. Depuis ces dernières années, des évolutions législatives ont permis de fixer des objectifs quantifiés notables puisqu'il est question de diviser de moitié le gaspillage alimentaire d'ici à 2025 dans la distribution et la restauration collective, et d'ici à 2030 dans la consommation, la production, la transformation et la restauration commerciale.

    Depuis 2016, les lois successives en la matière ont instauré puis élargi l'obligation de don des invendus à des associations humanitaires habilitées pour les commerces de détail de plus de 400 m2, aux opérateurs de la restauration collective préparant plus de 3 000 repas par jour, aux opérateurs de l'industrie agroalimentaire dont le chiffre d'affaires annuel est supérieur à 50 millions d'euros et aux commerces de gros alimentaires. L'objectif est certes louable, mais encore faut-il pouvoir mesurer les véritables progrès réalisés ou les manquements persistants.

    L'évaluation de l'efficacité d'une politique publique, sans données à son appui, prend le risque de rester vaine. Pour parvenir à cette indispensable mesure, il importe que tous les acteurs concernés soient au rendez-vous de la transparence et que les producteurs, les distributeurs, les opérateurs agroalimentaires, acceptent de rendre compte de leurs engagements à moins gaspiller, par la publication de données officielles. À ce titre, la création de l'obligation d'inscription de l'inventaire des invendus, donnés et jetés dans les rapports de responsabilité sociale des entreprises de la grande distribution permettrait de gagner en transparence et en efficacité.

    Sans compromettre le secret commercial, l'activation de ce levier de communication aurait pour avantage de vérifier si les engagements collectifs pris pour la quantification des pertes et pour l'amélioration de la gestion des invendus sont bien respectés, tout en offrant la possibilité aux partenaires de valoriser leur engagement dans cette lutte essentielle. Alors qu'on traverse une crise sanitaire et économique sans précédent qui plonge un grand nombre de citoyens dans une dramatique spirale de précarité, la demande d'aide alimentaire explose.

    Face aux enjeux sociaux, économiques et environnementaux que pose la lutte contre le gaspillage alimentaire et parce qu'il est urgent de soutenir l'aide alimentaire, il lui demande quelle stratégie elle compte mettre en place afin de renforcer les dispositifs d'évaluation et de contrôle des dons des acteurs de la chaîne alimentaire et de la grande distribution en particulier.

    Réponse du ministère de la Transition Ecologique publiée au JO le 05/01/2021 p. 109

     

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  • Enfants : surconsommation de sucre (17 09 2020)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 30 juillet 2020 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2019/qSEQ191113255.html

    Question écrite n° 13255 de Mme Marie-Françoise Perol-Dumont (sénatrice de la Haute-Vienne)

     

    Mme Marie-Françoise Perol-Dumont attire l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la santé sur la surconsommation de sucre par les enfants.


    L'agence nationale de sécurité sanitaire et de l'alimentation, de l'environnement et du travail (ANSES) a publié un rapport le 25 juin 2019 sur l'apport excessif de sucre chez les enfants. Celui-ci indique que 75 % des enfants de 4 à 7 ans et 60 % de ceux entre 8 et 12 ans en consommeraient de façon excessive. Cette situation s'explique, pour partie, par la consommation régulière de gâteaux-biscuits et de jus de fruits industriels, alors que ces aliments sont le plus souvent jugés trop sucrés par les associations de consommateurs.


    Au moment où les scientifiques confirment que la surconsommation de sucre favorise notamment l'obésité et le diabète, elle lui demande quelles mesures elle compte prendre face à cet enjeu de santé publique.

     

    Réponse du Ministère des solidarités et de la santé publiée dans le JO Sénat du 30/07/2020 p. 3390

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  • Miel : étiquetage (06 02 2020)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 30 janvier 2020 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2019/qSEQ190409767.html

     

    Question écrite n° 09767 de M. Philippe Mouiller (sénateur des Deux-Sèvres)

    Philippe Mouiller attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture et de l'alimentation sur l'urgence à mettre en place un meilleur étiquetage des miels.


    Face à l'augmentation des pratiques frauduleuses d'adultération, la transparence sur l'origine du miel est devenue une nécessité pour les consommateurs et pour les apiculteurs français.


    Nécessité pour les consommateurs qui ne satisfont plus de l'étiquetage indiquant une origine « Union européenne (UE) / non UE » et pour les producteurs qui ne peuvent concurrencer les miels étrangers qui entrent en France à moins de 3 euros le kg.


    Quand ils trouvent des acheteurs pour leurs miels monofloraux, les producteurs français de miel se voient proposer des prix nettement à la baisse. Quant aux miels toutes fleurs, ils n'ont reçu aucune offre.


    Les mielleries de certains professionnels sont encore pleines et leurs trésoreries sont en berne.


    En Europe, on constate que de nombreux pays ont fait évoluer leur législation. Ainsi, l'Italie, la Grèce et Chypre vont entériner un nouvel étiquetage. La réglementation espagnole va même plus loin en imposant que soit clairement indiqué sur l'étiquette le pourcentage de chaque miel et sa provenance.

    Le consommateur doit être informé sur la proportion de chaque miel composant les miels de mélange.

    Il lui demande de bien vouloir lui indiquer les mesures qu'il entend prendre pour répondre aux préoccupations des apiculteurs français.

     

    Réponse du Ministère de l'économie et des finances publiée dans le JO Sénat du 30/01/2020 p. 577

     

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