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mesures - Page 7

  • Covid-19 : port du masque (27 07 2020)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 22 juillet 2020 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

     

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A14182?xtor=EPR-100.html

     

    Obligation du port du masque dans les espaces publics clos : quels sont les lieux concernés ?

    Publié le 22 juillet 2020 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

     

    Afin d'éviter un rebond de l'épidémie, de nouveaux lieux viennent compléter à compter du 20 juillet 2020 la liste des espaces publics où le port du masque est obligatoire. Quels sont-ils ? Qui est concerné ? Y aura-t-il des sanctions ?

    Les indicateurs de suivi de l'épidémie traduisent aujourd'hui une légère détérioration de la situation sanitaire.

    Par ailleurs, des scientifiques ont fait part à l'Organisation mondiale de la santé (OMS) de constatations sur la transmission du virus dans l'air. Ils ont notamment remarqué que les contaminations avaient lieu fréquemment en milieu clos, particulièrement en cas de brassage d'air, et même en l'absence de projection directe. C'est pourquoi, de manière préventive, des recommandations ont été émises sur le port du masque en intérieur.

    Ainsi, toute personne de 11 ans et plus doit porter un masque dans les lieux publics clos, en complément de l'application des gestes barrières.

    Les lieux déjà concernés par l'obligation du port du masque

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  • Animaux domestiques : abandon (23 10 2019)

     

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 10 octobre 2019 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2019/qSEQ190912223.html

    Question écrite n° 12223 de M. Hervé Maurey (sénateur de l’Eure)

    Hervé Maurey attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture et de l'alimentation sur la question des abandons d'animaux domestiques.


    Selon la société protectrice des animaux (SPA), 100 000 animaux domestiques seraient abandonnés chaque année, dont 60 000 l'été. Depuis janvier 2019, l'association estime que le nombre d'abandon a augmenté de 28 % par rapport à l'année dernière. Ce phénomène conduit à la saturation des fourrières, gérées par les collectivités locales, et des refuges pour animaux. Leurs missions est de plus en plus difficile à assumer et requièrent des moyens toujours plus importants pour les mener.


    Si des dispositions existent pour combattre ce phénomène (obligation de marquage des chiens et des chats, sensibilisation des futurs propriétaires, sanctions pénales,…), il semble qu'elles soient encore insuffisantes.


    Aussi, il lui demande les mesures qu'il compte prendre afin de remédier à cette situation.

     

    Réponse du Ministère de l'agriculture et de l'alimentation publiée dans le JO Sénat du 10/10/2019 p. 5143

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  • Maisons de santé : règles (16 mai 2019)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 25 avril 2019 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2019/qSEQ190209106.html

    Question écrite n° 09106 de M. Jean Louis Masson (sénateur de la Moselle)

    Jean Louis Masson expose à M. le ministre de l'intérieur le cas d'un groupement de communes ayant construit et aménagé une maison de santé et avec pour projet de mettre celle-ci à disposition de professionnels de santé exerçant en libéral. Il lui demande si l'installation de ces professionnels de santé est assujettie aux dispositions de l'ordonnance n° 2017-562 du 19 avril 2017 relative à la propriété des personnes publiques précisant et organisant les modalités de l'occupation ou de l'utilisation privative du domaine public par les opérateurs économiques.

     

    Réponse du Ministère de l'économie et des finances publiée dans le JO Sénat du 25/04/2019 p. 2262

     

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  • Prévention routière (14 03 2019)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 7 mars 2019 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2017/qSEQ170700032.html

    Question écrite n° 00032 de M. Antoine Lefèvre (sénateur de l’Aisne)

    Antoine Lefèvre attire l'attention de M. le ministre d'État, ministre de l'intérieur sur le récent libre blanc « Zéro enfant tué sur nos routes », publié par l'association Prévention Routière. Arguant de plus de 20 000 signatures, l'association y présente cinq propositions concrètes sur lesquelles elle souhaite que le Gouvernement se penche, à savoir : un taux de TVA à 5,5 % pour les sièges auto - contre 20 % - aujourd'hui, la mise en place des systèmes anticollision piéton sur tous les véhicules neufs, la limitation de vitesse à 30 km/h généralisée à l'ensemble des zones de vie des enfants (écoles, gymnases, conservatoires, parcs et jardins publics, lotissements, etc..), l'aménagement sécurisé de la totalité des passages piétons (ligne d'arrêt cinq mètres avant le passage) et enfin l'obligation d'inclure des bandes réfléchissantes sur tous les cartables et sacs à dos scolaires.

     

    Alors que chaque jour douze enfants sont victimes de la route, et que ce lourd bilan reste inchangé depuis dix ans, il lui demande donc ses intentions en la matière. 

     

    Réponse du Ministère de l'intérieur publiée dans le JO Sénat du 07/03/2019 p. 1284

     

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  • Déchets plastiques (14 08 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 13 juin 2018 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/dechets-plastiques-commission-europeenne-propose-interdiction-produits-usage-unique.html?xtor=EPR-56.html

    Déchets plastiques : la Commission européenne propose l’interdiction de produits à usage unique

    Dans sa proposition de directive du 28 mai 2018, la Commission européenne présente un ensemble de mesures pour tenter de réduire drastiquement l’utilisation de produits en plastique à usage unique. Ils représentent à eux seuls 70% de la pollution des océans et des plages en Europe.

    Cette nouvelle initiative répond à l’engagement pris dans le cadre de la stratégie de l’Union sur les matières plastiques du 16 janvier 2018 pour la transition vers une économie circulaire.

    Une approche similaire à celle adoptée à propos des sacs en plastique en 2015

    Face à la pollution toujours plus importante liée au rejet dans l’environnement de déchets plastiques, l’Union européenne a renforcé en 2015 sa législation pour réduire l’utilisation quotidienne de sacs en plastique. Selon l’Eurobaromètre, 72% des Européens ont déclaré en avoir réduit leur consommation à la suite de cette démarche.

    L’Union porte à présent son attention sur dix produits en plastique à usage unique et les engins de pêche abandonnés avec l’objectif de provoquer également un changement rapide des comportements des consommateurs.

    Les propositions de la Commission

    Les nouvelles règles proposées comprennent :

    • une interdiction frappant certains produits (bâtonnets de coton-tige, couverts, assiettes, pailles, bâtonnets mélangeurs pour boissons et tiges pour ballons en plastique) ;
    • la fixation pour les États membres de l’UE d’objectifs nationaux pour réduire l’utilisation des récipients alimentaires et gobelets pour boissons en plastique ;
    • des campagnes de sensibilisation sur les effets néfastes des dépôts sauvages de déchets de produits en plastique à usage unique et des engins de pêche ainsi que sur les possibilités de recyclage de ces produits ;
    • l’obligation pour les États membres de parvenir à ramasser 90% des bouteilles en plastique à usage unique d’ici 2025 en mettant en place, par exemple, des systèmes de consigne ;
    • un étiquetage clair indiquant le mode d’élimination des déchets, les effets néfastes du produit sur l’environnement et la présence de matières plastiques dans les produits (serviettes hygiéniques, lingettes humides, ballons) ;
    • s’agissant des engins de pêche qui représentent 27% de l’ensemble des déchets qui jonchent les plages, la Commission entend compléter le cadre d’action existant avec des régimes de responsabilité des producteurs applicables aux engins de pêche contenant du plastique (prise en charge des coûts de collecte, traitement, et transformation des déchets) ;
    • quant à l’industrie du plastique, elle aurait à payer une partie des coûts de gestion et de nettoyage des déchets et à financer des campagnes de sensibilisation sur des produits comme les sachets de chips et de sucrerie, les gobelets et les mégots de cigarette.

    Sur la toile publique

  • Compteurs électriques (05 06 2018)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 10 mai 2018 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2017/qSEQ171202653.html

    Question écrite n° 02653 de M. Pascal Allizard (Calvados - Les Républicains)

    Pascal Allizard attire l'attention de M. le ministre d'État, ministre de la transition écologique et solidaire, à propos des compteurs d'électricité de nouvelle génération. Il constate que, d'ici à 2021, ERDF devrait remplacer 35 millions de compteurs par des compteurs communicants pouvant recevoir des ordres et envoyer des données sans l'intervention physique d'un technicien. Il rappelle que cette nouvelle génération de compteurs dits « intelligents » fait appel aux dernières technologies et procurerait divers avantages pour les clients et l'opérateur.

     

    Toutefois, des doutes existeraient toujours sur sa fiabilité et son innocuité pour les utilisateurs bien qu'il soit délicat de disposer d'informations objectives à cet égard. De son côté, ERDF affirme que la technologie du courant porteur en ligne utilisée est « fiable et sûre » et « éprouvée depuis plusieurs années ». Plus de 400 000 nouveaux compteurs seraient actuellement en fonction.

     

    Quant aux associations de consommateurs, certaines considèrent que le courant porteur en ligne ne présente pas de danger particulier, l'exposition aux ondes étant plus importante avec l'usage de téléphones portables et de réseaux sans fils de type wifi. Il est néanmoins signalé des cas d'incendie, rares mais bien réels, des compteurs. Dans la mesure où les polémiques continuent, ciblant notamment les élus locaux, il lui demande si le Gouvernement dispose d'informations récentes sur la fiabilité et l'innocuité de ces nouveaux compteurs, après les premiers retours d'expérience.

    Réponse du Ministère de la transition écologique et solidaire publiée dans le JO Sénat du 10/05/2018 p. 2275

     

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