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organisation - Page 4

  • Hôpitaux : situation des urgences (17 05 2013)

    Question orale de sénateur et réponse ministérielle publiées le 18 avril 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ13040097C.html

    Question crible thématique n° 0097C de M. René Teulade (député socialiste de la Corrèze)

    Malgré la mise en œuvre du plan « urgences » entre 2004 et 2008, nous constatons que la situation des services des urgences dans les hôpitaux publics demeure particulièrement inquiétante. 


    Les raisons de cette situation sont amplement connues. Le manque de moyens humains contraste avec la hausse constante du nombre de passages aux urgences, qui a doublé entre 1990 et 2004, passant de 7 millions à 14 millions. Parallèlement, les urgentistes ressentent de plus en plus un sentiment d'impuissance, dans la mesure où ils ne peuvent exercer leur métier dans des conditions propices aux soins et à l'accueil des patients, notamment des publics vulnérables, telles les personnes âgées, malgré la mise en place de filières gériatriques. 

    La dégradation visible et pernicieuse des services des urgences est d'autant plus préjudiciable qu'ils constituent une vitrine pour l'hôpital public. Ils jouissent en effet d'une excellente image auprès de la population, offrant vingt-quatre heures sur vingt-quatre à tout un chacun la possibilité d'être soigné par des professionnels qualifiés disposant d'un plateau technique parfois étendu.

    Afin de remédier aux difficultés auxquelles doivent faire face les services des urgences, ne devrait-on pas se focaliser avant tout sur l'organisation du système de soins ? Il conviendrait d'améliorer l'articulation entre médecine de ville et hôpital : une telle évolution, esquissée par le Gouvernement dans le cadre du précédent projet de loi de financement de la sécurité sociale, est préconisée dans le rapport de 2007 de la Cour des comptes.

    Dans cette même optique, il serait opportun de renforcer la permanence des soins en vue de désengorger les urgences. Dans son enquête sur l'état des lieux de la permanence des soins en médecine générale, le Conseil national de l'Ordre des médecins s'alarme de « la pénurie de médecins volontaires », de leur « vieillissement » et de « l'érosion du volontariat ». Il en résulte un affaiblissement notable de la permanence des soins, qui, aujourd'hui, n'est plus assurée à partir de minuit dans dix-neuf départements.

    L'égalité d'accès aux soins, droit constitutionnel qui découle du onzième alinéa du Préambule de la Constitution de 1946, n'est donc pas garantie. Pour lui redonner corps, il est fondamental d'envisager l'instauration d'une participation obligatoire des médecins libéraux à la permanence des soins, fondée sur un système de rotation.

    Par ailleurs, les maisons de garde ont contribué à décharger les services des urgences. Il apparaît donc nécessaire d'assurer leur déploiement et leur pérennisation sur le territoire. 

    En outre, il semble acquis qu'il faille rééquilibrer le financement, afin qu'il ne constitue pas une incitation à augmenter le nombre de passages aux urgences pour des raisons purement pécuniaires. 

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 18/04/2013 – p. 3490

     

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  • Vacances scolaires 2013 – 2014 (07 05 2013)

    A toutes fins utiles (agendas personnels, organisation familiale, réservations diverses,...) nous vous signalons les dates des vacances de l'année scolaire en cours et de la prochaine.

     

    Vacances scolaires 2013 – 2014

    Zone A : Caen, Clermont-Ferrand, Grenoble, Lyon, Montpellier, Nancy/Metz, Nantes, Rennes, Toulouse

    Zone B : Aix/Marseille, Amiens, Besançon, Dijon, Lille, Limoges, Nice, Orléans/Tours, Poitiers, Reims, Rouen, Strasbourg 

    Zone C : Bordeaux, Créteil, Paris, Versailles

                                        

     

    Vacances scolaires 2013-2014 (en jaune : zones A et C  idem  zone B)

     

     

    ZONE A

    ZONE B

    ZONE C

     

    Vacances d'hiver

    Samedi 23 février au Lundi 11 mars 2013

    Samedi 16 février au Lundi 4 mars 2013

    Samedi 2 mars au Lundi 18 mars

     

    Vacances de printemps

    Samedi 20 avril Lundi 6 mai

    Samedi 13 avril au   Lundi 29 avril

    Samedi 27 avril au Lundi 13 mai

     

    Vacances d'été

     

    Samedi 6 juillet 2013

     

     

    Rentrée de septembre des enseignants

     

    Lundi 2 septembre 2013

     

     

    Rentrée scolaire des élèves

     

    Mardi 3 septembre 2013

     

     

    Vacances de la Toussaint

     

    Samedi 19 octobre au Lundi 4 novembre 2013

     

     

    Vacances de Noël

     

    Samedi 21 décembre au Lundi 6 janvier 2014

     

     

    Vacances d'hiver

    Samedi 1er mars au Lundi 17 mars 2014

    Samedi 22 février au Lundi 10 mars 2014

    Samedi 15 février au Lundi 3 mars 2014

     

    Vacances de printemps

    Samedi 26 avril au Lundi 12 mai 2014

    Samedi 19 avril  au Lundi 5 mai 2014

    Samedi 12 avril au Lundi 28 avril 2014

     

    Vacances d'été

     

    Samedi 5 juillet 2014

     

     

    Source : Ministère de l'Education nationale

     

  • Permanence des soins : organisation en Meuse (02 03 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 17 janvier 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ120623701.html

    Question écrite n° 23701 de M. Christian Namy (Meuse - UCR)

    M. Christian Namy attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur la nouvelle organisation de la permanence des soins en Meuse, menée par l'agence régionale de santé (ARS) de Lorraine, qui suscite colère et indignation auprès des médecins.

    Ainsi, le 16 avril 2012 a été mise en place la nouvelle sectorisation dans le cadre de la loi n° 2009-879 du 21 juillet 2009 portant réforme de l'hôpital et relative aux patients, à la santé et aux territoires (HPST), l'ARS faisant fi des propositions du CDOM 55 (Conseil départemental de l'ordre des médecins) proposant de confier la nuit profonde aux services d'urgence comme dans 50 % des départements.

    Jusqu'alors divisée en dix-neuf secteurs géographiques de garde de nuit (de minuit à 7 h 30), la Meuse, département rural de 152 généralistes dont l'âge moyen est de 52 ans, n'en compte plus aujourd'hui que sept ; l'augmentation de la taille des secteurs conduit inévitablement à un accroissement de la distance d'accès aux soins et/ou des délais d'intervention (des déplacements pouvant aller au-delà de 100 km aller-retour avec un risque d'accidents sur les routes de campagne), à une efficience diminuée, sans coordination avec les pharmacies, à une qualité des soins dégradée.

    En outre, cette nouvelle organisation, provoquant l'explosion des demandes d'exemption de garde pour raison d'âge ou pour raisons médicales, aggrave la désertification médicale de notre département rural à la fois en décourageant d'éventuelles installations mais aussi en poussant les médecins installés à cesser leur activité de garde, et même libérale pour certains.

    Enfin, dans le cadre de cette nouvelle sectorisation, les praticiens déplorent le non-respect du « volontariat et du non-volontariat », base sur laquelle sont fondées la permanence des soins libérale et les réquisitions par le préfet. Par conséquent, il lui demande quelles sont ses intentions pour remédier à cette situation qui ne peut perdurer.

    Réponse du Ministère des Affaires Sociales et de la Santé publiée dans le JO du Sénat du 17 janvier 2013, p. 134

     

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  • Réforme de la biologie médicale (18 04 2012)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 3 novembre 2011 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ110819779.html

    Question écrite n° 19779 de Mme Maryvonne Blondin (sénateur socialiste du Finistère)

    Mme Maryvonne Blondin attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur les vives inquiétudes suscitées par les amendements adoptés à la proposition de loi Fourcade, modifiant la loi n° 2009-879 du 21 juillet 2009, portant réforme de l'hôpital et relative aux patients, à la santé et aux territoires (HPST).

    L'article L. 6213-2-1 du code de la santé publique constitue un point d'achoppement dans la réforme de la biologie médicale. Selon cette disposition, issue d'un amendement à la proposition de loi Fourcade, « des professionnels médecins ou pharmaciens, non titulaires du diplôme d'études spécialisées de biologie médicale et justifiant d'un exercice effectif d'une durée de trois ans dans un laboratoire de biologie » pourront être recrutés dans les centres hospitaliers et universitaires (CHU). Les conditions de recrutement de ces professionnels et le contrôle des années d'exercice restent à préciser. La crainte de voir nommer des personnes non qualifiées sur des postes de biologie médicale en CHU est réelle.

    Afin de dissiper toute inquiétude chez les internes et jeunes biologistes, elle lui demande, en conséquence, quelles sont les dispositions que le Gouvernement entend prendre pour remédier à cette situation.

    Réponse du Ministère du travail, de l'emploi et de la santé publiée dans le JO Sénat du 03/11/2011 – p. 2808

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  • réorganisation de l'Hôpital : point (12 02 2009)

    « Trop d'éléphants blancs à l'hôpital »

     

    Entretien avec Mme Roselyne Bachelot, ministre chargé de la Santé par Mme Véronique Chocron et M. Ivan Best, lu le 11 février 2009 sur le site de La Tribune (cliquer ici pour accéder au site de La Tribune)

     

    http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20090210trib000342046/trop-delephants-blancs-a-lhopital.html

     

     

    Alors que les députés s'apprêtent à examiner le projet de loi réformant l'hôpital, la ministre de la Santé dénonce des investissements non adaptés

     

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  • temps modernes hospitaliers ? (17 07 2008)

    Les temps modernes ne sont pas très hospitaliers

     

    Point de vue par M.Michel Strobel, professeur de médecine maladies infectieuses et tropicales, Vientiane, Laos, signalé par une fidèle lectrice et vu sur le site du Monde, le 13 juillet 2008 (cliquer ici pour accéder au texte original)

     

    http://www.lemonde.fr/opinions/article/2008/07/11/les-temps-modernes-ne-sont-pas-tres-hospitaliers-par-michel-strobel_1072555_3232.html#xtor=EPR-32280123

     

    Je ne m'y attendais pas. Médecin chef de service pendant vingt ans, j'ai pour la première fois de ma vie franchi comme malade la porte de l'hôpital. Celle d'un service de cardiologie coté d'un CHU français que je ne nommerai pas, car je serai amené à y retourner : hôpital prudence...

     

    De l'hôpital public, on a longuement débattu : de ses crises fatidiques, ses coûts abyssaux, le malaise de ses personnels, et sa gestion impossible qu'on rêve être celle d'une entreprise. De longs trains bruyants de réformes sont passés en vain. On a entendu la voix des gestionnaires, des stratèges de tout poil, des politiques et des professionnels. Pourquoi, ou si rarement celle des usagers malades ? M'étant trouvé des deux côtés à la fois, j'apporte ici ma contribution modeste et forcément subjective.

     

     

     

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