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retraiteshospitaliers64 - Page 441

  • Etat actionnaire et libéralisation de l’économie (1/2) (29 08 2017)

    Nous proposons sur 2 jours cette note d’analyse publiée le 9 août 2017 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/dossier/economie/etat-actionnaire-son-adaptation-liberalisation-economie.html

    L’État actionnaire : son adaptation à la libéralisation de l’économie

    (Bercy, Ministère de l’économie et des finances © hassan bensliman - Fotolia.com)

    Le débat sur l’État actionnaire est relancé à l’été 2017 par la nationalisation des chantiers navals de Saint-Nazaire. Quel périmètre couvre réellement l’action l’État actionnaire ? Quelle est la stratégie affichée des pouvoirs publics ? Quelles sont les points faibles et les atouts de l’État actionnaire en France ?

    Sommaire

    1. Contexte et état des lieux

    2. L’ordonnance de 2014

    3. Les critiques contre l’État actionnaire

    4. L’État actionnaire, protecteur des entreprises en difficulté

    Contexte et état des lieux

    En France, l’État joue un rôle important dans un certain nombre de grandes entreprises. Cette situation résulte de l’histoire économique française au cours du XXe siècle qui a vu se succéder trois vagues de nationalisations.

    Une nationalisation est une opération juridique consistant à transférer à la collectivité la propriété d’une entreprise. La première série de nationalisations a eu lieu en 1936, après la victoire du Front populaire (SNCF, entreprises d’armement, aéronautique), la deuxième à la Libération, en 1945 (EDF, Renault, Banque de France, les grandes banques de dépôts) et la dernière, en 1982, au début du premier septennat de François Mitterrand (Saint-Gobain, Suez et Paribas, Rhône-Poulenc, Thomson, etc.).

    A partir des années 1986-1988, un mouvement inverse s’est déroulé et les entreprises publiques, qui ne remplissaient pas de missions de service public, ont toutes été privatisées. L’État a parfois gardé une partie du capital.

     

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  • Produit intérieur Brut : 2e trimestre (28 07 2017)

    Nous proposons aujourd’hui (hors tableaux et graphiques) cette note d’analyse publiée le 28 juillet 2017 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.insee.fr/fr/statistiques/29086900.html

    Le PIB progresse de 0,5 % au 2e trimestre 2017

    Comptes nationaux trimestriels - première estimation (PIB) - deuxième trimestre 2017

    Au 2e trimestre 2017, le produit intérieur brut (PIB) en volume* continue de progresser : +0,5 %, pour le 3e trimestre consécutif. Les dépenses de consommation des ménages accélèrent légèrement (+0,3 % après +0,1 %) tandis que la formation brute de capital fixe (FBCF) ralentit nettement (+0,5 % après +1,4 %). Au total, la demande intérieure finale hors stocks contribue à la croissance du PIB pour +0,4 point, comme au trimestre précédent.

    Les exportations rebondissent (+3,1 % après −0,7 %) tandis que les importations ralentissent nettement (+0,2 % après +1,2 %). Au total, le solde extérieur contribue positivement à la croissance du PIB : +0,8 point après −0,6 point au trimestre précédent. À l'inverse, les variations de stocks y contribuent négativement (−0,6 point après +0,7 point).

    Sommaire

    La production totale croît un peu plus vite

    La consommation des ménages accélère légèrement

    L'investissement des entreprises ralentit nettement

    Le commerce extérieur contribue positivement à la croissance du PIB

    Les variations de stocks ralentissent

    Révisions

    Au 2e trimestre 2017, le produit intérieur brut (PIB) en volume* continue de progresser : +0,5 %, pour le 3e trimestre consécutif. Les dépenses de consommation des ménages accélèrent légèrement (+0,3 % après +0,1 %) tandis que la formation brute de capital fixe (FBCF) ralentit nettement (+0,5 % après +1,4 %). Au total, la demande intérieure finale hors stocks contribue à la croissance du PIB pour +0,4 point, comme au trimestre précédent.

    Les exportations rebondissent (+3,1 % après −0,7 %) tandis que les importations ralentissent nettement (+0,2 % après +1,2 %). Au total, le solde extérieur contribue positivement à la croissance du PIB : +0,8 point après −0,6 point au trimestre précédent. À l'inverse, les variations de stocks y contribuent négativement (−0,6 point après +0,7 point).

    * Les volumes sont mesurés aux prix de l'année précédente chaînés et corrigés des variations saisonnières et des effets des jours ouvrables (CVS−CJO).

    La production totale croît un peu plus vite

    La production totale de biens et services accélère un peu au 2e trimestre 2017 (+0,8 % après +0,6 %). Elle augmente à nouveau dans les biens (+1,0 % après 0,0 %) tandis qu'elle est à peine moins dynamique qu'au trimestre précédent dans les services (+0,7 % après +0,8 %).

    La production manufacturière se redresse (+0,9 % après 0,0 %), principalement du fait du rebond dans la cokéfaction-raffinage. La production de gaz et d'électricité progresse à nouveau. Dans la construction, la production accélère (+1,0 % après +0,6 %). À l'inverse, elle ralentit très légèrement dans les services marchands (+0,8 % après +0,9 %).

    La consommation des ménages accélère légèrement

    La consommation des ménages accélère légèrement au 2e trimestre 2017 (+0,3 % après +0,1 %). Les dépenses en biens rebondissent (+0,4 % après −0,4 %), tandis qu'elles ralentissent en services (+0,2 % après +0,6 %).

    La consommation d'énergie se redresse (+0,5 % après −3,2 %). Les achats de biens fabriqués accélèrent légèrement (+0,2 % après +0,1 %), de même que la consommation alimentaire (+0,6 % après +0,4 %). Dans les services, le ralentissement de la consommation provient notamment de l'hébergement-restauration.

    L'investissement des entreprises ralentit nettement

    Au 2e trimestre 2017, la FBCF totale ralentit nettement (+0,5 % après +1,4 %) avec l'investissement des entreprises (+0,5 % après +2,1 %). L'investissement des ménages demeure soutenu (+1,0 % après +1,2 %). La FBCF en construction accélère légèrement (+0,8 % après +0,6 %), grâce à un regain de vigueur dans le génie civil. En revanche, l'investissement en biens manufacturés se replie nettement (−0,8 % après +2,0 %), surtout du fait d'un recul en biens d'équipement et, dans une moindre mesure, d'une baisse accentuée en matériels de transport. La FBCF en services marchands ralentit de façon notable (+1,0 % après +2,0 %) en raison notamment d'un repli en services aux entreprises.

    Le commerce extérieur contribue positivement à la croissance du PIB

    Les exportations rebondissent au 2e trimestre 2017 (+3,1 % après −0,7 %), notamment en matériels de transport et en autres produits industriels. Dans le même temps, les importations ralentissent nettement (+0,2 % après +1,2 %). En particulier, les achats de produits pétroliers raffinés et de matériels de transport sont en repli. Au total, les échanges extérieurs contribuent à la croissance à hauteur de +0,8 point (après −0,6 point).

    Les variations de stocks ralentissent

    Au 2e trimestre 2017, les variations de stocks contribuent négativement à la croissance du PIB, pour −0,6 point (après +0,7 point début 2017). En particulier, elles diminuent fortement dans les matériels de transport (automobile et aéronautique).

    Révisions

    L'estimation de la croissance du PIB au 1er trimestre 2017 est confirmée à +0,5 %. De légères révisions des différents agrégats se compensent ; elles tiennent principalement à la révision des indicateurs et à l'actualisation des coefficients de correction des variations saisonnières.

  • Prix anti-Nobel (IG Nobel) 1991-2014 (27 08 2017)

    Nous soumettons à la curiosité amusée de nos lecteurs des extraits (un nouveau, cumulé chaque dimanche) du palmarès remarquable des Prix IG Nobel (ou anti-Nobel) décernés chaque année sous le patronage de la revue Annals of Improbable Research (cliquer ici pour accéder au site Improbable Research), et également classés sur le site Wikipedia

    http://improbable.com/

     

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Prix_Ig_Nobel

     

    Prix décernés en 2008

    Sciences physiques : Dorian Raymer, des observatoires océaniques de l'institution Scripps et Douglas Smith de l'université de Californie à San Diego, pour avoir prouvé mathématiquement que les tas de cheveux, de cordes ou autres finissaient inévitablement par s'emmêler en nœuds.

    Économie : Geoffrey Miller, Joshua Tybur et Brent Jordan de l'université de New Mexico pour avoir découvert que le cycle d'ovulation d'une danseuse de lap- dance pouvait avoir un effet sur le montant de ses pourboires.

    Sciences cognitives : Toshiyuki Nakagaki (université d’Hokkaïdo), Hiroyasu Yamada (Nagoya), Ryo Kobayashi (Hiroshima), Atsushi Tero de la Japan science and technology (JST/Presto), Akio Ishiguro de l'université Tohoku et Ágotá Tóth de l'université de Szeged en Hongrie, qui ont découvert que les mycétozoaires pouvaient trouver la sortie d'un labyrinthe.

    Médecine : Dan Ariely (université Duke) qui a démontré qu'un placebo au tarif très élevé était plus efficace qu’un placebo au prix peu élevé.

    Biologie : Marie-Christine Cadiergues, Christel Joubert et Michel Franc de l'École nationale vétérinaire de Toulouse pour avoir découvert que les puces qui vivent sur un chien peuvent sauter plus haut que les puces qui vivent sur un chat.

     

    Archéologie : Astolfo G. Mello Araujo et José Carlos Marcelino de l'université de São Paulo, pour avoir mesuré les effets nocifs du tatou sur le contenu des sites de fouilles archéologiques.

    Paix : au comité d'éthique sur la biotechnologie non-humaine de la Confédération suisse pour avoir établi légalement que les plantes avaient une dignité.

    Nutrition : Massimiliano Zampini, de l'université de Trente et Charles Spence de l'université d’Oxford pour leurs recherches sur la sonorité de la nourriture.

     

    Prix décernés en 2007

    Aviation : Patricia V. Agostino, Santiago A. Plano et Diego A. Golombek de l'université nationale de Quilmes, en Argentine, pour avoir découvert que le Viagra aidait les hamsters à se remettre d'un décalage horaire.

    Économie : Kuo Cheng Hsieh, de Taïwan, pour avoir breveté en 2001 un appareil qui capture les braqueurs de banque en leur jetant un filet dessus.

    Nutrition : Brian Wansink de l'université Cornell pour ses recherches sur l'appétit des êtres humains, en les nourrissant à l'aide d'un bol sans fond à remplissage automatique.

    Littérature : Glenda Browne, de Blaxland (Blue MountainsAustralie) pour son étude sur le mot The, et sur les nombreux problèmes qu'il pose pour le classement alphabétique.

    Linguistique : Juan Manuel Toro, Josep B. Trobalon et Núria Sebastián-Gallés de l'université de Barcelone, pour avoir montré que les rats sont le plus souvent incapables de reconnaître la langue japonaise de la langue néerlandaise dans un discours diffusé à l'envers.

    Chimie : Mayu Yamamoto de l'International Medical Center of Japan, pour avoir développé une méthode d'extraction de la vanilline (arôme et parfum de vanille) à partir de bouse de vache.

    Biologie : Pr Johanna E.M.H. van Bronswijk, de l'université technique d'Eindhoven (Pays-Bas), pour son recensement de tous les acariens, insectes, araignées, pseudo-scorpions, crustacés, bactéries, algues, fougères et champignons avec lesquels l'humain partage son lit.

  • Baccalauréat : résultats juin 2017 (26 08 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 31 juillet 2017 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/baccalaureat-87-9-admis-session-juin-2017.html?xtor=EPR-56.html

    Baccalauréat : 87,9% d’admis à la session de juin 2017

    Le ministère de l’Éducation nationale a publié les chiffres du baccalauréat 2017 (session de juin). Avec 87,9% d’admis, le taux de réussite global de la session de juin 2017 est en légère baisse par rapport à celui de la session de juin 2016 (88,5%).

    729 600 candidats se sont présentés aux épreuves du baccalauréat en juin 2017, 641 700 ont été reçus.

    Dans les séries générales, le taux de réussite global est en baisse par rapport à 2016 et s’établit à 90,7%. La baisse la plus marquée est celle de la série ES qui passe sous la barre des 90% (89% de réussite).

    Dans les séries technologiques, le taux de réussite atteint 90,5% soit un niveau quasi identique à 2016 (-0,2 point). Le taux de réussite est de 91,2% dans le secteur de la production (STI2D, STL, STAV), de 89,9% dans le secteur des services (ST2S, STMG, Hôtellerie) et de 96,7% dans le secteur "disciplinaire" (STD2A et TMD).

    Dans les séries professionnelles, le taux de réussite global baisse légèrement (-0,7 point) rapport à 2016 pour s’établir à 81,5%. Le taux de réussite est de 79,4% dans le secteur de la production et de 83,4% dans le secteur des services.

    A l’issue de la session de juin 2017, 47,5% des candidats ont obtenu une mention. Au baccalauréat général, 53,4% des candidats sont admis avec mention (13% mention très bien, 16,9% mention bien, 23,5% mention assez bien).

    En 2017, la part des bacheliers dans une génération atteint 78,9% (+0,1 point par rapport à 2016).

    Mots clés : Enseignement

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    Sur la toile publique

  • Carte grise : démarches en ligne (25 08 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 8 août 2017 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A11924?xtor=EPR-100.html

    Carte grise : certaines démarches désormais accessibles exclusivement en ligne

    Publié le 08 août 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Depuis le 7 août 2017, certaines démarches concernant le certificat d'immatriculation d'un véhicule (carte grise) doivent obligatoirement être effectuées en ligne.

    Il s'agit des démarches suivantes :

    • changer le titulaire du certificat (immatriculation d'un véhicule d'occasion en France) ;
    • déclarer la vente de son véhicule (déclaration de cession d'un véhicule) ;
    • modifier son adresse sur la carte grise.

    Ces démarches s'effectuent gratuitement sur le site de l'agence nationale des titres sécurisés (ANTS).

    La demande pour refaire son certificat d’immatriculation (demande de duplicata de carte grise en cas de vol, de perte ou de détérioration de la carte originale) s'effectue également en ligne depuis le 2 juin 2017. L'ANTS offre aussi la possibilité de suivre en ligne le traitement de votre demande de carte grise via un téléservice "où en est ma carte grise".

    Pour effectuer ces démarches, il faut disposer d'un équipement numérique (ordinateur, tablette, smartphone) muni d'une connexion internet et d'un dispositif de copie numérique (scanner, appareil photo numérique, smartphone ou tablette équipé d'une fonction photo).

    Des points numériques (avec ordinateurs, imprimantes et scanners) sont mis à disposition dans toutes les préfectures et de nombreuses sous-préfectures pour les personnes ne disposant pas chez elles de tels équipements. Les coordonnées des points numériques sont accessibles sur les sites internet des préfectures. Des médiateurs peuvent également accompagner les usagers peu familiers avec l'utilisation d'internet pour réaliser leur démarche.

    Et aussi sur service-public.fr

    Pour en savoir plus

    https://ants.gouv.fr/

  • Déserts médicaux : propositions du Sénat (24 08 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 8 août 2017 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/sante-propositions-du-senat-pour-reduire-deserts-medicaux.html

    Santé : les propositions du Sénat pour réduire les déserts médicaux

    le 8 08 2017

    La question des inégalités territoriales dans l’accès aux soins est le thème du rapport d’information présenté, le 26 juillet 2017, par les sénateurs Jean-Noël Cardoux et Yves Daudigny. Ces derniers préconisent différentes mesures pour lutter plus efficacement contre les déserts médicaux.

    L’état des lieux

    Les effectifs des professionnels de santé ont augmenté à un rythme plus élevé que celui de la population lors des 40 dernières années. Pourtant, l’accès aux soins peut être difficile car les médecins sont répartis de façon très inégale sur le territoire. D’un département à l’autre, la densité des médecins généralistes varie du simple au double. Les écarts de densité pour les infirmiers vont de 1 à 7. Ces écarts sont encore plus importants à un échelon territorial plus fin.

    Ces disparités sanitaires vont encore s’accroître dans les années à venir en raison de plusieurs phénomènes : crise démographique des médecins, façon de travailler des jeunes praticiens qui impacte sur le temps médical disponible (il faut parfois aujourd’hui 1,5 médecin pour remplacer un départ en retraite), vieillissement de la population française.

    Depuis plus de dix ans, l’État, l’assurance maladie et les collectivités territoriales ont mis en place de nombreux dispositifs pour améliorer l’offre sanitaire dans les zones sous-dotées (aides à l’installation, bourses d’étude, mesures fiscales, etc.). Toutefois, selon le rapport, ces dispositifs se sont superposés et manquent d’une stratégie globale.

    Une diversité d’outils à mobiliser pour améliorer l’accès géographique aux soins

    Les sénateurs formulent 19 propositions. Ils préconisent notamment de :

    • généraliser les guichets uniques auprès des agences régionales de santé pour informer les médecins des aides financières à l’installation ;
    • favoriser des modes d’exercice plus souples et diversifiés du métier susceptibles d’inciter les jeunes médecins à s’installer (par exemple en valorisant des statuts intermédiaires comme celui d’adjoint ou de collaborateur) ;
    • soutenir la création des maisons de santé et la structuration de nouveaux réseaux entre praticiens ;
    • déployer la télémédecine, en adaptant son cadre de financement ;
    • créer l’ancrage géographique des praticiens dès le stade de la formation initiale, notamment en développant les stages en ambulatoire pour les futurs médecins dans les zones désertées.

    Dans sa déclaration de politique générale du 4 juillet 2017, le Premier ministre a précisé que la ministre en charge de la santé, Agnès Buzyn, préparait un plan de lutte contre les déserts médicaux pour septembre 2017.

    Sur la toile publique

    Qu’est-ce qu’un désert médical ? - Découverte des institutions, Vie-publique.fr