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retraiteshospitaliers64 - Page 916

  • Mission « Vivre chez soi » (03 05 2010)

    Article publié le 30 avril 2010 dans la brochure Au Fil des Jours sur le Site Part’Ages promu par la Fédération Nationale des Associations de Retraités et l’Union des Fédérations de Retraités (cliquer ici pour accéder au site Part’Ages de la FNAR et de l’UFR )

    http://www.part-ages.com/index_fr.php.html

     

     

    LE 19/4, MISSION « VIVRE CHEZ SOI », AUTONOMIE, INCLUSION ET PROJET DE VIE

     

    Un nouveau défi de notre société est que nos aînés continuent à vivre chez eux le plus longtemps possible. Tel est le plus souvent leur souhait.

    Mme Nora Berra, secrétaire d’Etat en charge des Aînés a lancé en février la mission « Vivre Chez Soi », Autonomie, Inclusion et Projet de vie parce qu’il est urgent de prendre en compte ces questions, comme choix individuel et aussi collectif, lorsque le maintien à domicile n’est plus adapté à la situation.

    Ce questionnement constitue également un enjeu politique important qui aura des répercussions financières, économiques et sociétales.

    La mission comprend 6 volets d’action qui sont :

    • Diagnostic autonomie habitat ;
    • Technologies et services pour l’autonomie ;
    • Mobilité et urbanisme ;
    • Métiers, compétences et formations ;
    • Inclusion et prévention des discriminations ;
    • Optimisation de gestion des services.

    Les objectifs étant :

    -          établir une cartographie des métiers du « Vivre chez Soi » et leur évolution

    -          définir une méthodologie et un plan d’action pour créer un référentiel des métiers et des formations.

    Une large consultation réunit les acteurs médicaux et paramédicaux ainsi que les associations compétentes. Michel Riquier a été nommé Rapporteur du Volet Inclusion et prévention des discriminations. Nos Fédérations ont été sollicitées pour travailler sur ce projet et dans ce but, Michel Riquier a été nommé rapporteur dans le groupe discrimination, Marie-Claire Galibert a intégré le groupe Métier, compétence et formations animé par le Pr Yves Matillon, chargé de mission auprès de la ministre et Sylvain Denis le groupe Optimisation de gestion des services.

    Plusieurs réunions sont prévues afin de dégager des propositions innovantes.
    Mme Berra présentera les conclusions et propositions de la mission en juin 2010.

  • hausse des prix industriels : mars 2010 (02 05 2010)

    Hausse des prix industriels en mars 2010

    Information publiée le 30 avril 2010 sur le site de l’Institut National de la Statistique et des Etudes Economiques (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=25&date=20100430.html

    En mars, nouvelle hausse des prix industriels sur l’ensemble des marchés

    Indices de prix de production de l’industrie française

    MARCHÉ FRANÇAIS : +0,6%

    Les prix de production de l’industrie française pour le marché intérieur augmentent à nouveau en mars (+0,6 %), après une quasi-stabilité en février (+0,1 %). Cette hausse, tirée par le renchérissement des prix du pétrole et des matières premières industrielles, est particulièrement concentrée sur les produits du raffinage.

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  • complément de retraite : conseils (01 05 2010)

    Complément de retraite : conseils

    Extraits d’un article de M. Eric Leroux publié le 30 octobre 2009 sur le site de La Tribune (cliquer ici pour accéder au site de La Tribune)

    http://www.latribune.fr/vos-finances/dossier/20091027trib000437601/retraite-faites-vos-jeux.html

    L'avenir des régimes de retraite par répartition n'est pas brillant, et les pensions devraient en toute logique continuer à diminuer. Pour ne pas être pris au dépourvu, mieux vaut donc constituer un complément de retraite en s'y prenant le plus tôt possible, car les sommes à mobiliser sont importantes : 30.000 euros environ pour disposer de 100 euros de plus par mois. …/…

    Reste à choisir parmi les différents instruments proposés, notamment entre les purs produits de retraite (Plan d'épargne retraite populaire, contrats Madelin, Préfon, Corem, etc.) et l'assurance-vie, véhicule très adapté à un tel objectif. Le grand arbitre, c'est d'abord le fisc ! .../…

    « Attention, prévient Patrick Ganansia, président de la société Initiatives Financières, car les sommes versées dans ces produits deviennent indisponibles, et seule une sortie sous forme de rente viagère est possible ; rente qui sera à son tour fiscalisée. » …/…

    Avec l'assurance-vie, ou avec un plan d'épargne en actions, aucun avantage fiscal à l'entrée. Mais les revenus tirés de ces placements sont totalement ou partiellement exonérés d'impôt à la sortie. …/… Il est aussi envisageable de transformer vos capitaux en rente viagère : elle est imposable, mais dans des proportions restreintes, puisque seul 40 % du montant est ajouté à l'ensemble des revenus si la transformation du capital a lieu avant 70 ans, et 30 % après 70 ans.…./…

    Côté prélèvements sociaux, l'avantage va à l'assurance-vie ou au PEA. …/…

  • petites retraites : minimum contributif (30 04 2010)

    Petites retraites : minimum contributif. revalorisation

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 30 mars 2010 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-28684QE.htm

    Question de M. Jean-Michel Clément (député Socialiste, radical, citoyen et divers gauche de la Vienne )

    M. Jean-Michel Clément attire l'attention de M. le ministre du travail, des relations sociales, de la famille et de la solidarité sur le minimum contributif instauré en avril 1983 pour garantir aux bas salaires un minimum de pension. En 2003, ce minimum mensuel était de 542,28 euros. La loi de réforme des retraites de 2003 prévoyait une amélioration de ce minimum en instituant un minimum contributif majoré avec pour objectif d'amener les petites pensions à hauteur de 85 % du SMIC en janvier 2008. En 2004, une augmentation de 3 % a été appliquée à la totalité des pensions mais par la suite, en 2006 et en 2008, seuls les trimestres cotisés personnellement par l'assuré ont bénéficié de deux revalorisations de 3 % à nouveau.

    La part de la pension relative à des trimestres non cotisés (chômage, maladie, maternité, accidents du travail, service militaire, majoration de trimestres pour les enfants élevés etc.) n'a pas été revalorisée. Ainsi les petites pensions n'ont pas toutes évolué de la même façon et on est encore loin d'atteindre les 85 % du SMIC. Ce sont les plus petites retraites prises en 2003, et avant, qui sont le plus pénalisées en ne bénéficiant pas des revalorisations.

    C'est pourquoi il lui est demandé de bien vouloir corriger cette situation, particulièrement injuste, et d'instaurer un seul niveau de minimum contributif, harmonisation identique à ce qui s'est passé avec les différents taux du SMIC.

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  • dehors les vieux ! (29 04 2010)

    Dehors, les vieux !

    par Christophe Trivalle (gériatre, hôpital Paul-Brousse (Villejuif). Auteur de "Vieux et malades, la double peine", L'Harmattan.)

    Extraits d’une opinion publiée sur le site du Monde le 23 avril 2010 (cliquer ici pour accéder au texte complet sur le site du Monde)

    http://www.lemonde.fr/opinions/article/2010/04/23/dehors-les-vieux-par-christophe-trivalle_1341713_3232.html#xtor=AL-32280340.html

    Ce titre reflète bien la politique actuelle à l'égard des personnes âgées malades et dépendantes. Aujourd'hui, l'économie domine tout, y compris la médecine et le médico-social. Car, où est-il le plus facile de récupérer de l'argent si ce n'est en s'attaquant aux plus fragiles et aux plus démunis ?.../…

    Voici quelques exemples parmi d'autres de ce rejet des vieux. Le dernier en date : pour faire suite à la loi "Hôpital, patients, santé et territoires" (HPST), l'Assistance Publique-Hôpitaux de Paris a décidé de regrouper ses hôpitaux dans le but de faire des économies en fermant si possible des services. …/… Pour l'instant, les lits ferment et il n'y a pas de créations à côté, ou très peu, ce qui entraîne un blocage de la filière gériatrique. …/…

    Les malades restent plusieurs mois en soins (moyen séjour) avant de trouver une place en long séjour ou en maison de retraite (EHPAD). Le moyen séjour étant bloqué, il ne peut pas accueillir les malades du court séjour qui, lui-même, ne peut pas prendre les malades des urgences. Au final, faute de places, les urgences renvoient à domicile des malades âgés qui devraient être hospitalisés. Encore une fois, on rejette les vieux. …/…

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  • liquidation de pension (28 04 2010)

    Liquidation des pensions

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 23 mars 2010 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-59092QE.htm

    Question écrite de Mme Jacqueline Fraysse ( député Gauche démocrate et républicaine des Hauts-de-Seine)

     Mme Jacqueline Fraysse interroge M. le ministre du travail, des relations sociales, de la famille, de la solidarité et de la ville sur le manque d'information dont disposent les salariés qui approchent de l'âge légal de départ à la retraite. Le 23 mars dernier, il a ainsi été convenu entre les partenaires sociaux de reconduire jusqu'au 31 décembre 2010 l'accord concernant les retraites complémentaires qui peuvent représenter jusqu'à deux tiers des pensions de retraites de certains salariés. Face à cette situation transitoire, les salariés en fin de carrière sont dans l'expectative, et ce d'autant plus qu'ils ne parviennent pas à obtenir de la caisse nationale d'assurance vieillesse des réponses aux questions légitimes qu'ils se posent. Ainsi, une incertitude persiste pendant le délai compris entre le moment où un salarié fait part de son souhait de faire valoir ses droits à la retraite et la liquidation effective de celle-ci. Dans l'hypothèse où les partenaires sociaux parviendraient à un accord, elle lui demande de bien vouloir lui préciser quelle serait la réglementation qui s'appliquerait à ce salarié, celle en vigueur au moment où il a manifesté formellement son intention de faire valoir ses droits, ou celle s'appliquant au moment de la liquidation effective. Dans la seconde hypothèse, elle souhaite savoir s'il sera possible pour ce salarié de revenir sur sa demande initiale.

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