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finances - Page 147

  • Prix agroalimentaires et pétroliers : point été 2012 (29 09 2012)

     

    Extraits (hors graphiques et tableaux d’une note d’analyse publiée le 28 septembre 2012 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=25&date=20120928.html

    Hausse des prix des produits pétroliers et agro-alimentaires cet été

    Indices de prix de production de l’industrie française

    MARCHÉ FRANÇAIS : +1,2 % en août après +0,4 % en juillet

    En août, les prix de production de l’industrie française pour le marché français progressent vivement (+1,2 %), après une hausse plus modérée en juillet (+0,4 %). Les prix des produits du raffinage et des denrées alimentaires augmentent les deux mois, tandis que ceux des « autres produits industriels » se redressent en août (+0,4 %), après un net repli en juillet (-0,6 %).

    Les prix des produits du raffinage augmentent en août comme en juillet…

    Les prix des produits du raffinage croissent en août (+7,8 %), comme en juillet (+5,8 %). En effet, le prix du pétrole de la mer du Nord (Brent) continue d’augmenter en dollars (+9,9 % après +6,6 %) comme en euros (+8,8 % après +8,2 %).

    … ainsi que les prix des denrées alimentaires

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  • Budget des départements (26 09 2012)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 18 juillet 2012 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ12070003S.html

     

    Question orale n° 0003S de M. Philippe Madrelle (sénateur socialiste de Gironde)

    En tant que président du conseil général de la Gironde, je tiens à exprimer l'inquiétude liée aux difficultés que les conseils généraux éprouvent à boucler le projet de budget primitif pour 2013. Je ne rappellerai pas le rôle essentiel joué par les départements dans les politiques de solidarité, qui représentent le cœur de métier de nos conseils généraux. Ces politiques sont mises à mal, d'une part, par l'insuffisance des mécanismes de compensation des dépenses liées aux transferts des compétences de l'État, et, d'autre part, par les conséquences négatives de la réforme fiscale, avec la suppression de la taxe d'habitation et de la taxe professionnelle.

    Nous avons bien noté la volonté du Président de la République de restaurer des relations de confiance entre l'État et des collectivités fortes, avec une décentralisation aboutie, au service des citoyens. Néanmoins, pour réussir cette troisième étape de la démocratie territoriale dans un contexte budgétaire tendu, il apparaît essentiel de restaurer les capacités financières locales.

    Comme chacun le sait, depuis plusieurs années, pour faire face aux compétences qui nous ont été confiées sans être pour autant financées, nous avons dû faire appel à la fiscalité locale. À titre d'exemple de ces transferts, vous me permettrez de rappeler la loi de 2001 créant l'allocation personnalisée d'autonomie, les lois de 2002 et 2004 départementalisant les services d'incendie et de secours et confiant aux départements le soin d'équilibrer leur budget, la loi de 2003 relative au transfert du RMI, devenu RSA en 2010, la loi de 2004 relative au transfert des routes nationales et des personnels chargés de l'entretien et de la restauration dans les collèges, la loi de 2005 créant la prestation de compensation du handicap.

    Traduite en coût global cumulé de la compensation, cette lourde énumération représente pour le conseil général de la Gironde la somme de 390 millions d'euros pour la seule année 2011. Ce montant est supérieur à celui que nous consacrons annuellement à nos investissements.

    Vous le savez, madame la ministre, cette politique d'accompagnement qui s'adresse aux plus vulnérables constitue le socle de notre pacte social républicain. Mon propos n'est pas de la remettre en question, mais elle concerne des dépenses soumises à une évolution soutenue : entre 2008 et 2011, le coût des trois allocations individuelles de solidarité a progressé de 31 %.

    Cette évolution est par nature impossible à maîtriser. Elle est aussi de plus en plus difficile à supporter si on lui ajoute les conséquences négatives de la réforme fiscale imposée par le gouvernement précédent, qui ampute considérablement notre autonomie financière. C'est ainsi que, en Gironde, notre liberté de décision en matière de mobilisation de ressources est passée à moins de 17 %, contre plus de 37 % auparavant.

    Dans de nombreux départements, cette situation se traduit par une équation budgétaire d'une limpidité inquiétante : le rythme d'augmentation de ces allocations de solidarité nationale est constamment plus élevé que celui des recettes pérennes de la fiscalité et des compensations.

    Dans un tel contexte d'effet de ciseaux budgétaire, l'alternative est simple : soit l'État transfère une nouvelle ressource pérenne ou indexée pour financer ces allocations, soit il les prend à sa charge, au nom de la solidarité nationale et de l'égalité des bénéficiaires, indépendamment de la diversité de fragilité financière des départements.

    J'ajoute que ces derniers engagent par ailleurs des dépenses non obligatoires de solidarité et de péréquation territoriale, qu'il serait particulièrement hasardeux de considérer comme des variables d'ajustement au lendemain d'élections présidentielle et législatives ayant révélé les inquiétudes et le désarroi d'un monde rural que les conseils généraux tiennent à bout de bras depuis que l'on a renoncé à toute politique rurale et d'aménagement du territoire sur le plan national.

    Dès lors, madame la ministre, une question se pose : quelle est la solution pour boucler un budget constitué de dépenses qui augmentent fortement sans pouvoir être maîtrisées et de recettes qu'il n'est plus possible de faire évoluer suffisamment pour couvrir les dépenses ?

    Sachez que nous sommes déterminés à réussir avec vous un nouvel acte fort de la décentralisation : l'approfondissement du rôle et des compétences du département, lequel doit être au service des citoyens qui y vivent.

    Réponse du Ministère de la réforme de l'État, de la décentralisation et de la fonction publique publiée dans le JO Sénat du 18/07/2012 - page 2173 .

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  • Retraites agricoles : revalorisation (17 09 2012)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 13 aout 2012 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ120700679.html


    Question écrite n° 00679 de M. Robert Tropeano (Hérault - RDSE) publiée dans le JO Sénat du 12/07/2012 - page 1526

    M. Robert Tropeano attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt sur le faible niveau des retraites agricoles. Actuellement, la moyenne des pensions des retraités agricoles pour une carrière complète est de 680 euros par mois, c'est-à-dire un revenu en dessous du seuil de pauvreté qui est de 954 euros par mois.

    Les organisations représentatives du monde agricole demandent donc une revalorisation des plus faibles retraites. Elles réclament également l'accès aux mesures de majorations des plus faibles retraites pour tous les non-salariés agricoles ayant une carrière complète, sans avoir à justifier de 17,5 ans d'activité non salariée. Enfin, elles demandent que les retraites des agriculteurs soient calculées sur les 25 meilleures années, comme pour le régime général.

    Aussi, il lui demande de bien vouloir lui indiquer les mesures que le Gouvernement entend mettre en œuvre en faveur des retraités agricoles.

    Réponse du Ministère de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt publiée dans le JO Sénat du 23/08/2012 - page 1874

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  • Finances Publiques : Cour des Comptes (08 09 2012)

     

    Extraits (Sommaire et CONCLUSION) du document de synthèse publié en juillet 2012 sur le site de la Cour des Comptes (cliquer ici pour accéder au site de la Cour des Comptes)

    http://www.ccomptes.fr/fr/Publications/Recherche-publications.html

    La situation et les perspectives des finances publiques(COUR DES COMPTES Juillet 2012)

     

    SOMMAIRE :

    Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ……………. . . ………... .5

    1 - La situation en 2011 . . . . . . . . . . . . . . . . …………………..……..7

    2 - La situation et les perspectives en 2012 . ……………………12

    3 - Les perspectives en 2013 et au-delà . . . ……………………...20

    4 - Les conséquences des nouvelles règles européennes . .29

    Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . …………………………. 33

    CONCLUSION

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  • Prix agricoles : juillet 2012 (06 09 2012)

    Extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note d’analyse publiée le 31 août 2012 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=80&date=20120831.html

    Les prix agricoles à la production augmentent en juillet 2012

    Indices des prix agricoles - Juillet 2012

    En juillet, les prix de production des produits agricoles augmentent de 3 % par rapport à juin ; sur un an ils croissent de 5,8 %.

    Le prix des céréales bondit entre juin et juillet (+14,2 %) sous l’effet d’une baisse de la production mondiale cette saison, causée par la sécheresse sévissant depuis trois mois aux États-Unis et autour de la mer Noire.

    Prix de production des céréales, fruits, etc

     

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  • Prix alimentaires mondiaux : flambée (29 08 2012)

    Prix alimentaires mondiaux : flambée

    Extraits d’un article de Monsieur Eric de La Chesnais publié le 9 août 2012 sur le site du Figaro (cliquer ci-dessous pour accéder au site du Figaro)

    http://bourse.lefigaro.fr/devises-matieres-premieres/actu-conseils/les-prix-alimentaires-flambent-dans-le-monde-259993.html

    Après trois mois de fléchissement, l’indice FAO des prix des produits alimentaires a bondi de 6% en juillet 2012. En cause : la sécheresse qui sévit aux Etats-Unis et en Russie…/…

     

    Les méfaits de la sécheresse affectant les récoltes de maïs aux États-Unis et celles de blé en Russie ont fait grimper les prix de ces deux céréales respectivement de 23% et de 19% le mois dernier…/… Les pluies intempestives au Brésil, premier exportateur mondial de sucre, ont entravé la récolte de canne à sucre,…/…

    Enfin, la viande, pour le troisième mois d’affilée enregistre une diminution des cours à 168 points en juillet, soit une baisse de 1,7%.