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finances - Page 189

  • Finances Publiques : situation (24 05 2010)

    Situation des Finances Publiques (2e volet)

    Extraits (synthèse, sommaire, introduction-conclusion) d’un rapport de MM. Paul CHAMPSAUR, président de l’Autorité de la statistique publique, et M. Jean-Philippe COTIS, directeur général de l’Institut de la statistique et des études économiques (Insee) publié le 20 mars 2010 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au texte pdf complet du rapport et au site de l’INSEE)

     

    http://www.insee.fr/fr/publications-et-services/dossiers_web/finances-publiques/rapport-finances-publiques.pdf

    http://www.insee.fr/fr/publications-et-services/default.asp?page=dossiers_web/finances-publiques/finances-publiques.htm

    SYNTHÈSE (23 mai 2010)

    SOMMAIRE du RAPPORT (24 mai 2010)

    INTRODUCTION et CONCLUSION (25 mai 2010)

     

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  • Finances Publiques : situation (23 05 2010)

    Situation des Finances Publiques (1er volet)

    Extraits (synthèse, sommaire, introduction-conclusion) d’un rapport de MM. Paul CHAMPSAUR, président de l’Autorité de la statistique publique, et M. Jean-Philippe COTIS, directeur général de l’Institut de la statistique et des études économiques (Insee) publié le 20 mars 2010 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au texte pdf complet du rapport et au site de l’INSEE)

     

    http://www.insee.fr/fr/publications-et-services/dossiers_web/finances-publiques/rapport-finances-publiques.pdf

    http://www.insee.fr/fr/publications-et-services/default.asp?page=dossiers_web/finances-publiques/finances-publiques.htm

    SYNTHÈSE (23 mai 2010)

    SOMMAIRE (24 mai 2010)

    INTRODUCTION-CONCLUSION (25 mai 2010)

    SYNTHÈSE

    La France se trouve aujourd’hui confrontée à des déséquilibres budgétaires de grande ampleur. L’intensité de la récession mondiale explique pour une large part l’ampleur de ces déficits. Elle ne laisse augurer qu’un retour très progressif à des conditions économiques plus normales, associé à une certaine atonie des recettes sociales et fiscales.

     

     

     

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  • Déficits : principales mesures (21 05 2010)

    Déficits : principales mesures annoncées par le Président Sarkozy

    Extraits d’un article publié le 20 mai 2010 sur le site des Echos (cliquer ici pour accéder au site des Echos)

    http://www.lesechos.fr/info/france/020553306907-deficits-les-principales-mesures-annoncees-par-sarkozy.htm

    .../...

    REFORME CONSTITUTIONNELLE

    Nicolas Sarkozy propose que la Constitution contraigne en début de législature tout gouvernement issu des urnes à s'engager juridiquement pour cinq ans sur une « trajectoire impérative de solde structurel des finances publiques »…./…

    DEPENSES DE L'ETAT

    « Les dépenses de l'Etat ne progresseront pas en valeur sur les trois prochaines années, hors pensions et charge de la dette », a déclaré Nicolas Sarkozy, selon qui 34.000 postes de fonctionnaires continueront par ailleurs à être supprimés en moyenne chaque année…./… Il a également confirmé la suppression de cinq milliards d'euros de niches fiscales et sociales en deux ans. …/…

    DEPENSES D'ASSURANCE MALADIE

    L'objectif de progression des dépenses d'assurance maladie (Ondam) sera abaissé à 2,9% en 2011 et 2,8% en 2012 après 3,3% en 2009 et 3,0% en 2010. …/…

     

    DEPENSES DES COLLECTIVITES LOCALES

    …/…

    -Gel en valeur (sans correction de l'inflation) à partir de 2011 des transferts de l'Etat aux collectivités locales (plus de 70 milliards d'euros par an)…/….

    -Renforcement de la péréquation des dotations de l'Etat pour soutenir les collectivités les moins aisées.

    -Modulation de ces dotations selon des critères de bonne gestion …/…

    -Moratoire immédiat sur les normes règlementaires concernant les collectivités locales, sources d'augmentation de dépenses, en dehors des normes internationales obligatoires.

  • handicapés, cumul emploi-retraite

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 30 mars 2010 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’ Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-46474QE.htm

    Question écrite de M. Philippe Tourtelier (député socialiste, radical, citoyen et divers gauche d’Ille-et-Vilaine)

    M. Philippe Tourtelier interroge Mme la secrétaire d'État chargée de la solidarité sur la discrimination à l'égard des personnes handicapées dans le cadre du cumul emploi-retraite. Le Parlement a voté, dans le cadre de la loi de financement de la sécurité sociale 2009, la libéralisation du cumul emploi-retraite. Lorsqu'elles atteignent 60 ans, les personnes handicapées titulaires d'une pension d'invalidité voient le versement de leur pension d'invalidité arrêté et il lui est substitué une pension de retraite. Mais, le paiement de cette retraite est suspendu si les revenus professionnels trimestriels dépassent 50 % du salaire minimum interprofessionnel de croissance, soit 2 264,60 euros par trimestre au 1er juillet 2008. Pourtant la pension d'invalidité est un revenu de substitution visant à compenser la limitation des capacités d'activités, puisqu'elle est calculée et limitée par les revenus de la dernière année avant son attribution. D'autre part, il s'agit d'un revenu à part entière, fiscalement et socialement (CSG, CRDS), imposable et saisissable. Le revenu d'un titulaire de pension d'invalidité ouvrant droit au maintien d'une activité est donc composé à la fois de la pension mais aussi du revenu des activités maintenues. Cette situation représente donc une discrimination à l'encontre des personnes handicapées. Elles devraient, comme toute personne arrivant à l'âge la retraite, avoir droit à un revenu de retraite calculé au prorata de l'ensemble de ses revenus (salaire et revenu de substitution) et pouvoir compléter ses revenus de retraite par une activité partielle comme la loi le permet aujourd'hui à toute autre personne. Il lui demande donc les solutions qu'elle compte mettre en oeuvre afin que le droit commun de la retraite et du cumul emploi-retraite s'applique également aux personnes handicapées.

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  • aide à la personne : associations (15 05 2010)

    Difficultés budgétaires des associations d'aide à la personne

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 28 avril 2010 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2010/qSEQ10020822S.html

    Question orale sans débat n° 0822S de M. Rachel Mazuir (sénateur socialiste de l’Ain)

    M. Rachel Mazuir appelle l'attention de M. le ministre du travail, des relations sociales, de la famille, de la solidarité et de la ville sur l'état des finances des associations d'aide à la personne.

    Depuis 2002, le Gouvernement a mis en œuvre une politique sociale pertinente tendant à la professionnalisation des services d'aide à domicile face à la dépendance, érigés en institutions sociales reconnues par les conseils généraux, compétents en matière d'aide sociale. De nombreuses associations ont ainsi été autorisées et tarifées par les présidents de conseils généraux avec lesquels elles ont conclu des conventions partenariales.

    Pour les bénéficiaires de l'allocation personnalisée d'autonomie (APA) ou de l'aide sociale, le conseil général finance ainsi le prix d'une heure d'aide ménagère, calculée en prenant en considération les coûts réellement supportés par ces associations, de façon à ne pas déséquilibrer leur budget.

    Il n'en va pas de même pour les régimes de retraites qui financent aussi de l'aide à domicile pour les personnes âgées ne rentrant pas dans les dispositifs d'aide sociale du conseil général. Les tarifs fixés par la caisse nationale d'assurance vieillesse (CNAV) sont nettement inférieurs et c'est ce qui génère des déficits dans les associations.

    À cela s'ajoute l'arrivée sur le marché des services d'aide à la personne (SAP), initialement créés pour offrir de menus services aux retraités solvables non dépendants, mais qui, attirés par le marché des personnes âgées dépendantes financé sur fonds publics, ont réussi à s'imposer et proposer des tarifs préférentiels.

    Un récent rapport de l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS) souligne que la coexistence de ces deux systèmes est un facteur de crise et qu'une solution doit être recherchée.

    Aussi, il lui demande de bien vouloir préciser quelles mesures entend prendre à cet égard le Gouvernement en considérant non seulement la situation du secteur associatif de l'aide à domicile qui emploie aujourd'hui quelques 300 000 salariés, mais aussi la qualité des prestations qui doivent être servies aux personnes âgées dépendantes bénéficiaires de l'APA.

    Réponse du Secrétaire d'État aux aînés publiée dans le JO Sénat du 28/04/2010 - page 2822

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  • cumul emploi-retraite : synthèse (07 05 2010)

    Extraits d’une Fiche lue le 11 avril 2010 sur le site de La Tribune (cliquer ici pour accéder à la fiche complète texte+tableaux sur le site de La Tribune)

    http://www.latribune.fr/vos-finances/cnav-regimes-retraite/depart-retraite-caisse-calcul/emploi-retraite.html?folder=437876.html

    Le versement de la retraite est normalement subordonné à la cessation de toute activité professionnelle. Cependant, la Loi FILLON et la loi de financement de la sécurité sociale pour 2009 ont instauré de nouvelles règles de cumul emploi retraite et donc de nouvelles possibilités.


    - Il est possible depuis le 1er janvier 2009, dans la plupart des régimes de base, mais aussi dans certains régimes complémentaires, de cumuler une activité avec une pension de retraite sans aucune contrainte de délai et de revenu, dès lors que :

    • vous avez liquidé la totalité de vos retraites personnelles des régimes de base et complémentaires (français et étrangers),
    • vous êtes âgé d’au moins 60 ans et que vous totalisez la durée d’assurance requise pour la retraite au taux maximum,
    • vous êtes âgé d’au moins 65 ans, quelle que soit votre durée d’assurance.

    Dans ce cas, les cotisations « retraite » issues du nouveau revenu d’activité ne génèrent plus de droits.

    - A l’inverse, si vous ne répondez pas aux critères ou si vos régimes complémentaires ne se sont pas alignés sur ces dispositions favorables du cumul emploi retraite, vous serez soumis à certaines contraintes suivant votre régime de reprise.