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finances - Page 188

  • déremboursement médicaments : projet (28 02 2010)

    déremboursement 200 médicaments

    Extraits d’un article de M. Vincent Collen publié le 25 février 2010 sur le site des Echos (cliquer ici pour accéder au site des Echos)

    http://www.lesechos.fr/info/sante/300412788-pres-de-200-medicaments-seront-moins-bien-rembourses-a-partir-du-mois-d-avril.htm

    Le gouvernement a arrêté la liste des produits dont le taux de remboursement par la Sécurité sociale va passer de 35% à 15%. Il s'agit de médicaments jugés peu efficaces par la Haute Autorité de santé, comme le Tanakan d'Ipsen, un traitement des troubles de la mémoire chez les personnes âgées. Economie attendue : 145 millions d'euros en 2010.  

    Les vignettes orange, qui avaient disparu en 2008, sont de retour sur les boîtes de médicaments. Pour près de 200 produits dont la liste vient d'être arrêtée, le taux de prise en charge par la Sécurité sociale va passer de 35% à 15%. Il y aura donc quatre taux de remboursement différents désormais (cf. infra) …./…

    Tous ces médicaments sont considérés comme peu efficaces. La Haute Autorité de santé a jugé le service médical qu'ils rendent " faible " dans toutes leurs indications ou même "insuffisant".

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  • décès et cloture PEA (27 02 2010)

    Clôture d'un plan d'épargne en actions pour cause de décès du titulaire

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 18 février 2010 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2008/qSEQ081206466.html

    Question écrite n° 06466 de M. André Trillard (député UMP de Loire-Atlantique)

    M. André Trillard expose à M. le ministre du budget, des comptes publics et de la fonction publique qu'en application de la règlementation en vigueur, un plan d'épargne en actions (PEA) doit être obligatoirement clos en cas de décès du titulaire.

    Or, dans l'hypothèse d'une alimentation du PEA concerné par des deniers de communauté et eu égard à l'existence d'un contrat de mariage de communauté avec clause d'attribution universelle à l'époux survivant, le décès du titulaire du plan n'entraine aucune mutation de propriété et ne se traduit pas par la perception d'un produit financier, aucune liquidation du plan n'étant effectivement réalisée à l'occasion du décès.

    Il lui demande donc de bien vouloir lui confirmer que la clôture d'un PEA du fait du décès du titulaire n'entraîne aucune imposition au titre de l'impôt sur le revenu, sur la plus-value apparue sur le relevé PEA arrêté au jour du décès, ou au titre des prélèvements sociaux (CSG, CRDS, etc ... ), en l'absence de tout produit financier effectivement perçu en raison du caractère commun des deniers et du contrat de mariage du titulaire du compte.

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  • services à la personne : difficultés (24 02 2010)

    Services à la personne et aide à domicile : difficultés

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 3 février 2010 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ09120738S.htm

    Question orale sans débat n° 0738S de M. Martial Bourquin (sénateur socialiste du Doubs)

    Le secteur des services à la personne et d'aide à domicile connaît une croissance très dynamique de près de 10% par an. Les personnes âgées dépendantes, mais aussi les personnes handicapées ou en situation de handicap temporaire font de plus en plus appel à ces professionnels qui leur permettent de rester plus longtemps chez elles, ce qui constitue un confort de vie appréciable.

    Ce secteur représente deux millions de personnes, pour la plupart des femmes, au travers d'une vingtaine de métiers différents. Depuis plusieurs années, ces structures d'aide à la personne « autorisées » se sont engagées vers une plus grande professionnalisation et la pérennité de leurs emplois. Il est rassurant pour les bénéficiaires de ces prestations, déjà fragilisés par la vie, de savoir que leur aide à domicile dispose d'une formation de qualité et pourra être pleinement efficace à leurs côtés.

    Cette exigence de qualité a bien évidemment un coût, qui n'a plus rien à voir avec le tarif fixé par la caisse nationale d'assurance vieillesse.

    Aujourd'hui, ces structures ayant fait le choix de la qualité, d'une attention particulière pour leurs personnels, se trouvent pénalisées par une situation financière catastrophique. Le collectif franc-comtois regroupant des associations d'aide à domicile m'indique devoir faire face à un déficit cumulé de 2,4 millions d'euros, qui menace sérieusement non seulement la suite de l'activité, mais aussi la qualité de la présence sur le territoire. En Seine-et-Marne, 490 licenciements ont déjà eu lieu, et plus de 3 000 bénéficiaires restent sans aide à domicile.

    Cette situation est due à deux raisons principales.

    Le désengagement de l'État, tout d'abord : l'État a réduit sa participation à l'APA de 50 % à 30 %, ce qui conduit mécaniquement les conseils généraux à chercher le moindre coût.

    Par ailleurs, dans le secteur social que je pensais plus épargné par ce phénomène, la concurrence est rude. En 2005, le plan Borloo pour les services à la personne a créé à côté des structures « autorisées » des structures dites agréées. Or ces dernières se sont majoritairement implantées dans des niches urbaines, permettant la rentabilité de court terme au mépris d'une politique salariale de qualité. Pour survivre, les associations ayant fait le choix de la qualité envisagent de diminuer leur présence dans le monde rural, le week-end, et de réduire les formations ainsi que la rémunération proposée aux personnels.

    Madame la ministre, je ne me résous pas à attendre sans rien faire qu'une sélection naturelle s'opère et que des structures disparaissent dans l'année, faute d'un soutien actif à ces secteurs porteurs d'emplois non délocalisables, à la ruralité mais aussi à la lutte contre les exclusions. Je vous demande quelles mesures vous entendez prendre maintenant pour soutenir ces associations et en particulier pour soutenir la mise en place d'un fond d'urgence.

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  • téléphone, numéros spéciaux, tarifs (15 02 2010)

    téléphone : numéros spéciaux (tarifs)

    Question sénatoriale et réponse ministérielle publiées le 31 janvier 2010 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ090809981&idtable=q218792&_nu=09981&rch=qs&de=20070201&au=20100201&dp=3+ans&radio=dp&aff=sep&tri=da&off=0&afd=ppr&afd=ppl&afd=pjl&afd=cvn.htm

    Question écrite n° 09981 de M. Roland Courteau (sénateur soc. de l’Aude)

    M. Roland Courteau indique à M. le ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l'État qu'en réponse à sa question écrite n° 8133, il a bien voulu lui faire savoir que soucieux de garantir une totale transparence sur le coût effectif des appels vers les numéros spéciaux émis à partir des opérateurs mobiles et Internet, il avait demandé le 11 mars 2009, au Président de la Fédération française des télécoms, que ces opérateurs intègrent dans les plus brefs délais, dans leurs forfaits, les communications vers les numéros en 08, facturés au prix d'un appel local ou ceux qui sont gratuits.

    Il lui demande de bien vouloir, lui faire connaître si cette demande a bien été suivie d'effet.

     

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  • déficit public : propos (02 02 2010)

    Déficits et règles d'argent

    Extraits d’un éditorial de M. Dominique SEUX publié le 29 janvier 2020 sur le site des Echos (cliquer ici pour accéder au site des Echos)

    http://www.lesechos.fr/journal20100129/lec1_idees/020337669854-deficits-et-regles-d-argent.htm

    Il est évidemment tentant d'ironiser sur les résultats de la conférence qu'a organisée hier à l'Elysée Nicolas Sarkozy sur les déficits publics : un rapport de diagnostic … (qui ressemblera comme un frère à celui rédigé il y a cinq ans par Michel Pébereau) ; un groupe de travail … (« règle d'équilibre » entre les recettes et les dépenses collectives) … ; deux autres missions … (dépenses locales et d'assurance-maladie) ; le tout, a indiqué le chef de l'Etat, devant permettre à la France de viser un déficit « structurel » zéro (hors fluctuations liées à la conjoncture) en… 2020. « Verba volent »

    …/…

    Ce vrai-faux Grenelle de la dette a eu, en creux, un dernier mérite : rappeler qu'avant de légiférer sur le déficit zéro, l'Etat aura l'occasion dans les prochains mois de confirmer ses orientations : le non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux partant à la retraite et la fixation d'objectifs serrés d'évolution des dépenses. Avant de rêver d'une règle d'or, il devra tenir bon sur ces règles d'argent.

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  • péages autoroute : hausse (01 02 2010)

    Faible hausse des tarifs autoroutiers prévue en 2010

    Extraits d’un article publié le 27 janvier 2010 sur le site de La Tribune (cliquer ici pour accéder au site de La Tribune)

    http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20100127trib000467393/faible-hausse-des-tarifs-autoroutiers-prevue-en-2010.html

    Les tarifs des péages autoroutiers en France devraient augmenter en moyenne de 0,5% cette année, a annoncé le président d'Eiffage. La hausse des tarifs autorisée par l'Etat est calculée sur la base des tendances d'inflation, qui demeure relativement faible. …/…

    "L'inflation ayant été extrêmement faible en 2009, l'augmentation devrait être limitée en 2010 au pourcentage lié aux investissements". …/…

    Les péages augmenteront pratiquement partout dans l'Hexagone le 1er février, une première depuis 2003. …/…