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santé - Page 140

  • Risques de l’été : prévention (09 08 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 18 juillet 2017 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A11883?xtor=EPR-100.html

    Les risques de l'été : mieux les connaître pour mieux les gérer

    Publié le 18 juillet 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Exposition aux UV, piqûre de méduse ou de guêpe, morsure de vipère, signes d'un coup de chaleur chez un enfant, bonne conservation des aliments en vue d'un pique-nique, consommation excessive d'alcool... En bord de mer ou en balade en forêt, quels sont les bons gestes à adopter cet été ? Le ministère des Solidarités et de la Santé vous donne toute une série de réponses pratiques pour profiter au mieux d'un été sans souci.

    Le ministère revient sur ce qu'il faut savoir quand vous êtes :

    • au bord de l'eau (se protéger du soleil en évitant de s'exposer entre 12h et 16h, se baigner dans les zones surveillées, pêcher à pied là où c'est autorisé et conserver dans de bonnes conditions les coquillages sans risquer une intoxication alimentaire, connaître la qualité des eaux de baignade, savoir réagir à une piqûre de méduse...) ;
    • en forêt ou tout simplement dans votre jardin (se protéger en portant des chaussures et des vêtements couvrants les jambes et les bras, connaître les bons gestes en cas de piqûre de guêpes, d'abeilles, de bourdons, de frelons ou encore de tiques et de moustique voire en cas de morsure de vipère) ;
    • en soirée (limiter la consommation d'alcool, ne pas consommer de substances psychoactives - cannabis, ecstasy...-, se protéger des infections sexuellement transmissibles et des grossesses non désirées) ;
    • à la préparation d'un repas (hygiène des mains, et des ustensiles de cuisine, fraîcheur des aliments, respect de la chaîne du froid avec par exemple l'utilisation d'une glacière lors de toute sortie en pique-nique, cuisson à cœur des viandes et des poissons).

    Le ministère revient aussi sur un certain nombre de conseils à l'adresse des parents pour protéger les enfants contre le soleil et pour savoir reconnaître tous les signes d'un coup de chaleur chez l'enfant (forte fièvre, somnolence, forte agitation, nausées...).

    Pour en savoir plus

    Ministère chargé de la santé

  • Pollution de l’air (03 08 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 24 juillet 2017 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/pollution-air-plans-protection-atmosphere-doivent-etre-revus.html?xtor=EPR-56.html

    Pollution de l’air : les plans de protection de l’atmosphère doivent être revus

    Dans un arrêt du 12 juillet 2017 ("association Les Amis de la Terre France"), le Conseil d’État enjoint au gouvernement de prendre toutes les mesures nécessaires pour réduire la pollution de l’air par le dioxyde d’azote (NO2) et les particules fines (PM10).

    Le non-respect par l’État de la directive du 21 mai 2008 sur la qualité de l’air

    La directive européenne de 2008 fixe des valeurs limites en matière de concentration de polluants, notamment en NO2 et PM10, à ne pas dépasser. Elle prévoit qu’en cas de dépassement de ces valeurs dans des zones et agglomérations données, des plans de la qualité de l’air sont établis par les États membres afin que la période de dépassement soit la plus courte possible.

    Cette directive a été transposée en France dans le code de l’environnement. Ce dernier fixe une valeur limite en moyenne annuelle civile pour le dioxyde d’azote et les particules fines PM10. Il précise, par ailleurs, que dans toutes les agglomérations de plus de 250 000 habitants et dans toutes les zones où les normes sur la qualité de l’air ne sont pas respectées, les préfets élaborent des plans de protection de l’atmosphère (PPA).

    En 2015, devant la persistance de la pollution, l’association Les amis de la Terre France a demandé au gouvernement de réviser les plans de protection de l’atmosphère et de prendre toute mesure pour respecter les seuils européens. Ses demandes ayant été rejetées par le gouvernement, l’association a saisi le Conseil d’État.

    L’injonction faite au gouvernement de réviser les plans de protection de l’atmosphère

    S’appuyant sur un arrêt de la Cour de justice de l’Union européenne de novembre 2014 selon lequel la directive de 2008 fixe une obligation de résultat, le Conseil d’État fait droit à la demande de l’association.

    Il constate notamment qu’en 2015 les valeurs limites en NO2 ont été dépassées dans 12 zones administratives de surveillance de la qualité de l’air et que celles en PM10 ont été franchies dans les zones Rhône-Alpes, Paris Ile-de-France et Martinique.

    Jugeant insuffisants les plans de protection de l’atmosphère adoptés dans ces zones, le Conseil enjoint donc au gouvernement de les réviser au plus vite et de les transmettre à la Commission européenne avant le 31 mars 2018.

    Dans un communiqué du 13 juillet 2017, le ministre de la transition écologique et solidaire et la ministre de la santé ont indiqué qu’ils échangeront prochainement avec les préfets concernés pour élaborer des feuilles de route opérationnelles sur la qualité de l’air dans le respect du droit européen.

    Sur la toile publique

  • Calendrier CIAPA (Août 2017) (02 08 2017)

    Nous proposons volontiers pour les lecteurs du département des Pyrénées Atlantiques (et limitrophes) le riche calendrier des actions du Comité départemental d’intervention et d’Animation pour l’Autonomie (CIAPA 64) (cliquer ici pour accéder au site du CIAPA)

    http://ciapa.fr/

     

     

    CALENDRIER MENSUEL DES ACTIONS DE LA GERONTOLOGIE ET DU HANDICAP DANS LES PYRENEES ATLANTIQUES : Août 2017 »

     

                                                    Focus                                                  

    Seniors Connect 64

     

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  • Tiques, maladie de Lyme : application smartphone (29 07 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 18 juillet 2017 sur le site de l’Agence nationale de sécurité sanitaire, de l’alimentation, de l’environnement et du travail (cliquer ici pour accéder au site de l’ANSES)

    https://www.anses.fr/fr/content/une-application-smartphone-pour-pr%C3%A9venir-la-maladie-de-lyme-et-les-autres-maladies.html

    Une application smartphone pour prévenir la maladie de Lyme et les autres maladies transmissibles par les tiques

    Signalement-Tique ! Cette application est disponible dès maintenant par téléchargement gratuit pour les smartphones iOS et Android. L’Inra et l’Anses, avec le ministère des Solidarités et de la Santé, font appel aux volontaires qui souhaitent participer aux recherches pour la lutte contre les tiques et les maladies qu’elles transmettent. 

    Comment ? En permettant une collecte d’informations sans précédent : déclarer sa piqûre ou celle de son animal domestique, la géolocaliser, transmettre une photo et même envoyer les tiques aux équipes scientifiques... Les citoyens et les chercheurs se mobilisent ensemble pour collecter des données indispensables à l’acquisition des connaissances, pour mieux comprendre et prévenir la maladie de Lyme et les autres maladies transmissibles par les tiques. 

    Les tiques sont le premier vecteur de maladies animales dans le monde, le deuxième pour les maladies humaines après le moustique. Chez l’homme, elles transmettent notamment les bactéries responsables de la maladie de Lyme, provoquant environ 27 000 nouveaux cas par an en France.

    Depuis les années 2000, l’Anses, l’Inra et l’Ecole nationale vétérinaire d’Alfort mènent des travaux de recherche sur les tiques, au sein du Laboratoire de Santé animale de Maisons-Alfort de l’Anses et du Laboratoire Tous Chercheurs du Centre Inra Grand Est Nancy. Cette recherche, allie études fondamentales et recherche participative impliquant les citoyens. Les études développées permettent de mieux connaître les agents pathogènes transmissibles par les tiques et donc de mieux les combattre. 

     

    Dans le cadre d’un projet appelé CITIQUE, les chercheurs ont développé avec les partenaires scientifiques, notamment le centre national d’expertise des vecteurs et le centre national de référence de Borrélia, ainsi que le ministère des Solidarités et de la Santé, un site web et une application smartphone appelés Signalement-Tique. L’application peut être téléchargée sur les plateformes AppStore et PlayStore. 

     

    Avec l’appli Signalement-Tique, un outil pratique et interactif, les promeneurs peuvent disposer d’informations sur la prévention ou comment enlever une tique où qu’ils soient. Elle permettra de fournir des cartes de présence de tiques qui serviront aux actions de prévention. 

     

    Grâce à l’appli Signalement-Tique, une collecte de données sans précédent attendue

    Les données collectées serviront à l’avancée des connaissances scientifiques nécessaires pour mieux comprendre et donc mieux prévenir les maladies transmissibles par les tiques, notamment par la mise au point de modèles d’estimation des risques. Les citoyens participants au projet joueront un rôle décisif et permettront d’apporter des éléments de réponse à de nombreuses questions : peut-on se faire piquer en hiver et en été alors que les périodes propices sont le printemps et l’automne ? Y a-t-il des heures où les tiques sont plus actives et piquent davantage ? Est-ce qu’on se fait plutôt piquer dans les forêts, dans les parcs urbains ou dans nos jardins ? Quels sont les agents pathogènes les plus présents chez les tiques ? Dans quelles régions ? Les utilisateurs auront ainsi accès à des informations pratiques et à des conseils sur la conduite à tenir lors d’une piqûre de tique.

     

    L’appli Signalement-Tique, c’est permettre aux citoyens d’être mieux informés des risques de contamination par les tiques, tout en les impliquant activement dans la recherche.

     

    EN SAVOIR PLUS

  • Burn out – Repérage et prise en charge (2/2) (28 07 2017)

    Nous proposons sur 2 jours cette note d’analyse publiée le 22 mai 2017 sur le site de la Haute Autorité de Santé (cliquer ici pour accéder au site de la HAS)

    https://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_2754961/fr/burnout-reperage-et-prise-en-charge.html

     

    Le syndrome d’épuisement professionnel, ou burn out, peut toucher toutes les professions. Il frappe autant les femmes que les hommes. Il est en 2e position dans les affections d’origine professionnelle. Explications de Karine Petitprez*, du service des bonnes pratiques professionnelles à la HAS. 

    La HAS a publié une fiche mémo sur le syndrome d’épuisement professionnel ou burn out, quels sont les objectifs de celle-ci ?

    Ces recommandations visent à définir le syndrome d’épuisement professionnel de façon à améliorer son repérage, sa prise en charge et l’accompagnement des personnes lors de leur retour à l'activité professionnelle. Ce travail se limite au volet clinique du thème : l’action sur le milieu et sur l’organisation du travail est exclue du champ de ces recommandations.

     

    Sommaire

    - Comment peut-on définir le burn out ?

    - Quelle démarche diagnostique adopter face à une victime de ce syndrome ?

    - Quelles sont les manifestations cliniques du burn out ?

    - Existe-t-il des facteurs de risque ?

    - Comment repérer une personne susceptible d’être touchée par ce syndrome ?

    - Quelle prise en charge proposer ?

    - Comment le retour à la vie professionnelle est-il envisagé ?

    - Soignants, une population exposée au risque de burnout

     

    …/…

    Comment repérer une personne susceptible d’être touchée par ce syndrome ?

     

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  • Burn out – Repérage et prise en charge (1/2) (27 07 2017)

    Nous proposons sur 2 jours cette note d’analyse publiée le 22 mai 2017 sur le site de la Haute Autorité de Santé (cliquer ici pour accéder au site de la HAS)

    https://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_2754961/fr/burnout-reperage-et-prise-en-charge.html

     

    Le syndrome d’épuisement professionnel, ou burn out, peut toucher toutes les professions. Il frappe autant les femmes que les hommes. Il est en 2e position dans les affections d’origine professionnelle. Explications de Karine Petitprez*, du service des bonnes pratiques professionnelles à la HAS. 

    La HAS a publié une fiche mémo sur le syndrome d’épuisement professionnel ou burn out, quels sont les objectifs de celle-ci ?

    Ces recommandations visent à définir le syndrome d’épuisement professionnel de façon à améliorer son repérage, sa prise en charge et l’accompagnement des personnes lors de leur retour à l'activité professionnelle. Ce travail se limite au volet clinique du thème : l’action sur le milieu et sur l’organisation du travail est exclue du champ de ces recommandations.

     

    Sommaire

    - Comment peut-on définir le burn out ?

    - Quelle démarche diagnostique adopter face à une victime de ce syndrome ?

    - Quelles sont les manifestations cliniques du burn out ?

    - Existe-t-il des facteurs de risque ?

    - Comment repérer une personne susceptible d’être touchée par ce syndrome ?

    - Quelle prise en charge proposer ?

    - Comment le retour à la vie professionnelle est-il envisagé ?

    - Soignants, une population exposée au risque de burnout

     

    Comment peut-on définir le burn out ?

     

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