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décès - Page 7

  • Hommage à Monsieur Claude-Guy Charlotte (31 08 2016)

    Disparu jeudi dernier 25 août, à l’âge de 82 ans, entouré des siens, notre collègue Claude-Louis Charlotte fut un directeur d’hôpital dynamique et éminent (CH de Pau, CHU de Reims puis de Strasbourg).

    Débordant de vitalité et de générosité, il a participé activement à la vie paloise (adjoint au maire), et à sa retraite, il s’impliqua dans plusieurs associations (dont la nôtre) et sociétés savantes (Académie du Béarn).

    Sa cordialité et sa gentillesse nous avaient frappés lors de sorties communes (repas en cidrerie par exemple) quand on mesure la densité et le niveau des responsabilités qu’il a exercées et illustrées. Sa conférence sur l’histoire de l’hospitalisation à Pau restera dans nos mémoires par sa verve et sa richesse documentaire.

    Au revoir et merci, Monsieur Charlotte !

  • Hommage au docteur Louis Mouton

    Association Nationale des Hospitaliers Retraités (section Pyrénées-Atlantiques)

    Hommage au docteur Louis Mouton

    Disparu lundi 11 juillet 2016 à l’âge de 86 ans, le docteur Louis Mouton nous laisse un souvenir ému et admiratif.

    Chef du service de neurologie au centre hospitalier de Pau, ce praticien hospitalier frappait les esprits, non seulement par sa compétence et sa haute conscience professionnelles, mais aussi par son exigence du meilleur service dû aux patients. A ce titre, il exerça aussi les fonctions complexes de président de la commission médicale d’établissement, représentant la collectivité médicale auprès de la direction.

    En plus de cette forte implication dans la vie et l’organisation hospitalières, nous eûmes, au sein de la section départementale 64 de l’Association Nationale des Hospitaliers Retraités (ANHR), la chance de le côtoyer en tant que simple collègue pendant de nombreuses années, vice-président de l’équipe dirigée par Louis Séval. Ici, encore, son caractère bien trempé, ses initiatives et ses valeurs ont nourri nos activités, nos sorties et notamment nos permanences et réunions.

    Nous garderons comme un principe fondateur, son attente d’une équipe attachée à entretenir un lien, une vigilance, une solidarité constants avec les retraités isolés, discrets et parfois en situation de maladie ou de pré-dépendance.

    Au revoir et merci, monsieur Mouton !

  • Démographie France : décès 2013 (28 10 2014)

     

    569 200 personnes décédées en France en 2013, un nombre de décès de nouveau très élevé

    Extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note d’analyse de Mme Vanessa Bellamy, division Enquêtes et études démographiques, Insee, publiée le 23 octobre 2014 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?ref_id=if13.html

    Résumé

    En 2013, 569 200 personnes sont décédées en France. Ce niveau, le plus haut depuis 30 ans, s’explique par la structure de la population : les générations aux âges de forte mortalité sont un peu plus nombreuses que par le passé. Les décès sont les plus nombreux à 87 ans pour les hommes et 92 ans pour les femmes.

    La moitié des défunts sont morts dans leur département de naissance et 60 % dans leur région de naissance. Une personne sur deux décède par ailleurs dans sa commune de résidence. 70 % des décès surviennent en établissement de santé ou maison de retraite et 25 % au domicile du défunt.

    Sommaire

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  • Incinération : dispersion des cendres, identité du défunt (19 03 2014)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 26 décembre 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ130506623.html

     

    Question écrite n° 06623 de M. Jean-Pierre Sueur (sénateur socialiste du Loiret)

     

    M. Jean-Pierre Sueur rappelle à Mme la ministre de la réforme de l'État, de la décentralisation et de la fonction publique que les parlementaires ont,

    - d'une part, décidé qu'en cas de dispersion des cendres d'un défunt en pleine nature à la suite d'une crémation, « la personne ayant qualité à pourvoir aux funérailles en fait déclaration à la mairie de la commune de naissance du défunt » et que « l'identité ainsi que la date et le lieu de la dispersion de ses cendres sont inscrites sur une registre créé à cet effet » (article 16 de la loi n° 2008-1350 du 19 décembre 2008 relative à la législation funéraire), et,

    - d'autre part, que, lorsque la dispersion des cendres a lieu dans un jardin du souvenir, « le site cinéraire destiné à l'accueil des cendres des personnes décédées […] comprend un espace aménagé pour leur dispersion et doté d'un équipement mentionnant l'identité des défunts » (article 15 de la même loi).

     

    Il souligne que ces parlementaires ont marqué, comme en attestent les débats, leur attachement à ce que, dans les deux cas, une trace du défunt subsiste après la crémation et la dispersion des cendres. Il lui confirme que, par ses questions écrites, il n'entendait nullement proposer la création de nouvelles normes mais simplement obtenir l'application de la loi en vigueur. Il s'étonne que, dans les réponses, elle annonce, s'agissant du premier cas, que « ces dispositions et les dispositions qui s'y rattachent seront rappelées aux préfets dans une prochaine circulaire », alors que rien de tel n'est annoncé dans le second cas. Il lui demande, en conséquence, de bien vouloir lui confirmer que la prochaine circulaire aux préfets rappellera les deux obligations susmentionnées, inscrites aux articles 15 et 16 de la loi précitée.

     

    Il appelle, en outre, son attention sur le fait que l'article 16 prévoit explicitement que le site cinéraire est « doté » d'un « équipement mentionnant l'identité des défunts » et qu'il ne paraît pas conforme à la loi de substituer à cet équipement un registre car, si tel était le cas, le législateur aurait choisi le terme de registre plutôt que celui d'équipement. Il lui demande de bien vouloir l'informer sur ce point des dispositions qu'elle prendra en vue d'une exacte application de la loi.

     

    Réponse du Ministère de la réforme de l'État, de la décentralisation et de la fonction publique publiée dans le JO Sénat du 26/12/2013 p. 3730

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  • Déclaration de succession : délai de dépôt (18 10 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 2 octobre 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ13070529S.html

    Question orale sans débat n° 0529S de Mme Catherine Procaccia (sénateur UMP du Val-de-Marne)

    Mme Catherine Procaccia interroge M. le ministre délégué auprès du ministre de l'économie et des finances, chargé du budget, sur le délai de dépôt des déclarations de succession. 

    L'article 641 du code général des impôts dispose que les délais pour l'enregistrement des déclarations pour les héritiers est de six mois à compter du jour du décès. Passé ce délai, un paiement d'intérêts de retard est adressé aux héritiers, dans l'attente de la confirmation successorale. 

    Alors que l'administration fiscale avait toujours fait preuve de tolérance dans l'application de cet article, notamment dans le cas où seulement une partie des héritiers est connue et qu'il est donc nécessaire d'avoir recours à un généalogiste pour déterminer le reste des héritiers, il semble que cela ne soit plus le cas.

    Le comité de contentieux de la chambre des notaires de Paris a, en effet, remarqué qu'au cours des derniers mois, cette pratique de tolérance était remise en cause. 

    Cette nouvelle interprétation soulève une inégalité de traitement entre les héritiers. Sans avoir connaissance de leur situation, certaines personnes doivent s'acquitter de pénalités de retard pour non paiement de frais de succession alors qu'ils ne se savaient pas encore héritiers. 

    De plus, lorsqu'un généalogiste intervient, les notaires ne sont pas toujours informés des avancées de leurs recherches et n'en découvrent l'issue que le jour de la remise du tableau généalogique à date unique, alors que le délai de succession court à l'égard de chacun des héritiers. 

    Enfin, du fait de leur degré de taxation élevée, puisqu'ils ont, pour la plupart, un lien éloigné avec la personne décédée, et des intérêts de retard qui peuvent s'étaler sur plusieurs années avec cette nouvelle application de l'article 641, les bénéficiaires pourront être conduits à abandonner la succession.

    Elle souhaite savoir s'il entend ou non continuer à demander aux services fiscaux d'adapter l'article 641 aux diverses situations précitées et s'il envisage prendre des mesures pour que l'interprétation de cet article soit uniforme sur le territoire. 

    Réponse du Ministère chargé de l'économie sociale et solidaire et de la consommation publiée dans le JO Sénat du 02/10/2013 – p. 8768

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  • Caisses d’Allocations Familiales : prestations décès (18 01 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 29 novembre 2012 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ121002561.html

    Prise en compte des situations de veuvage et d'orphelinat précoces

    Question écrite n° 02561 de M. Roland Courteau (sénateur socialiste de l’Aude)

    M. Roland Courteau attire l'attention de Mme la ministre déléguée auprès de la ministre des affaires sociales et de la santé, chargée de la famille, sur la nécessité d'intégrer dans la prochaine convention d'objectifs et de gestion (COG) 2013-2016 de la branche famille de la Caisse nationale d'allocations familiales, les situations de veuvage et d'orphelinat précoces.

     Il lui indique que la convention d'objectifs et de gestion actuelle se termine, sans avoir pris en compte la spécificité de telles situations, ce qui a eu pour conséquence de limiter considérablement l'accès à des aides spécifiques. Or de nombreuses personnes se retrouvent veuves avant 55 ans et donc dans des situations parfois très préoccupantes.

    Il lui demande donc de bien vouloir lui faire connaître les décisions que compte prendre le Gouvernement afin que cette convention prenne en compte les situations de veuvages et d'orphelinat.

    Réponse du Ministère chargé de la famille publiée dans le JO Sénat du 29/11/2012 p. 2747

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