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santé - Page 200

  • Centres de soins infirmiers : situation (19 08 2013)

     

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 27 juin 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ120700997.html

    Question écrite n° 00997 de M. Bernard Piras (sénateur socialiste de la Drôme)

    M. Bernard Piras attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur la situation financière des centres de soins infirmiers.


    À ce titre, l'IGAS (Inspection générale des affaires sanitaires et sociales) lui a remis un rapport en novembre 2006 qui souligne la réalité et la gravité de cette situation, les nombreux dysfonctionnements et incohérences étant mis en exergue.
     

    Face à cela, l'IGAS avance treize préconisations visant à les résoudre.

    Il lui demande si elle entend rapidement faire aboutir celles-ci, lesquelles devenant très urgentes. 

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 27/06/2013 – p. 1930

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  • La personne de confiance (17 08 2013)

    Fiche publiée le 9 avril 2010 sur le site du ministère de la Santé (cliquer ici pour accéder au site du ministère de la Santé ou pour consulter le texte pdf original de la fiche)

    http://www.sante.gouv.fr/les-fiches-informatives-sur-les-droits-des-usagers.html

    http://www.sante.gouv.fr/IMG/pdf/la_personne_de_confiance.pdf

     

    Vous êtes majeur(e) : vous pouvez, si vous le souhaitez, désigner une « personne de confiance »  que vous choisissez librement dans votre entourage.

    En quoi la personne de confiance peut-elle m’être utile ?

    Votre personne de confiance peut vous être très utile : pour vous accompagner dans vos démarches et assister à vos entretiens médicaux : ainsi pourra-t-elle éventuellement vous aider à prendre des décisions ; dans le cas où votre état de santé ne vous permettrait pas de donner votre avis ou de faire part de vos décisions : le médecin ou éventuellement, en cas d’hospitalisation, l’équipe qui vous prend en charge, consultera en priorité la personne de confiance que vous aurez désignée.

    L’avis ainsi recueilli auprès de la personne de confiance guidera le médecin pour prendre ses décisions.

    Vous pouvez en outre confier vos directives anticipées à votre personne de confiance.

    Quelles sont les limites d’intervention de ma personne de confiance ?

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  • Cosmétique et hygiène : perturbateurs endocriniens (16 08 2013)

     

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 8 aout 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ130405865.html

     

    Question écrite n° 05865 de M. Louis Nègre (sénateur UMP des Alpes-Maritimes)

     

    M. Louis Nègre attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur la présence des perturbateurs endocriniens dans certains produits cosmétiques et d'hygiène.

     

    En effet, l'association de consommateurs UFC-Que Choisir vient de réaliser une enquête qui montre la présence de perturbateurs endocriniens dans un grand nombre de produits. Alors que ces molécules sont susceptibles d'avoir un effet hormonal à des concentrations infimes, certains fabricants continuent à les incorporer dans les cosmétiques. Or l'exposition est accrue lorsque l'on utilise différents produits comportant la même molécule, dont les doses s'additionnent pour atteindre un niveau de risque significatif. Des molécules différentes peuvent également avoir des modes d'action similaires dont les effets se cumulent.

    Alors que l'Organisation mondiale de la santé et le Programme des Nations unies pour l'environnement considèrent les perturbateurs endocriniens comme une menace mondiale pour la santé, du fait de leur impact sur la fertilité ou sur les troubles neurocomportementaux, les résultats de ce test montrent que la plus grande vigilance s'impose.

    Alors que la Commission européenne s'apprête à publier sa stratégie renouvelée sur les perturbateurs endocriniens, il convient qu'elle diligente, sans attendre davantage, des recherches indépendantes pour identifier l'impact précis de ces molécules sur le long terme, et qu'elle prenne des mesures pour assurer la sécurité et l'information des consommateurs. Dans le même sens et au vu de la situation actuelle, le cadre réglementaire européen devrait être renforcé - en prenant en compte « l'effet cocktail » dans l'évaluation de la toxicité des produits - et les molécules ayant des effets de perturbateurs endocriniens avérés ou suspectés retirées des formulations.

    Enfin, une information transparente des consommateurs s'impose par le biais d'un étiquetage local et complet.

    Il lui demande donc de bien vouloir lui indiquer la position du Gouvernement quant à ces propositions de bon sens. 

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 08/08/2013 p. 2345

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  • Vieillir en bonne santé (13 08 2013)

     

    Note publiée le 5 juin 2013 sur le site de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.sante.fr/10000/themes/bien-vieillir/index.asp

    Vieillir en bonne santé

    Dans le cadre de son programme Vieillir en bonne santé, l’Inpes œuvre pour l’acquisition d’aptitudes individuelles de protection de l’autonomie et de prévention des incapacités via des campagnes de communication grand public. L’Institut s’attache également à renforcer les compétences des professionnels médico-sociaux ainsi que celles de l’entourage familial des personnes âgées par des  publications, enquêtes et  partenariats stratégiques.

    La promotion de la santé est basée sur une prise en compte des facteurs socio-environnementaux. Cette démarche participe au vieillissement actif des personnes et au développement des liens intergénérationnels. Dans les publications grand public de l’Inpes, les plus de 55 ans trouveront des informations et des conseils pour être acteur de leur santé dans des domaines variés tels que l’activité physique, l’alimentation, les fonctions cognitives, le sommeil, la vie affective, les accidents de la vie courante, les dépistages, etc. Ces thèmes sont aussi développés par différents sites grand public gérés par l’Inpes tels quewww.mangerbouger.fr et www.prevention-maison.fr, sans oublier les dispositifs d’aide à distance associant des lignes téléphoniques et des sites Internet.

    L’Inpes met à la disposition des professionnels médico-sociaux qui travaillent avec les personnes âgées, des outils de prévention et d’éducation pour la santé consacrés entre autres à la prévention des chutes, à l’alimentation, aux risques climatiques. L’Institut développe également des supports pour accompagner la pratique professionnelle tels l’ouvrage  Les sessions de préparation à la retraite, la brochure de formation pour les aides à domicile (à paraître) ou des livrets d’accompagnement pour intervenir auprès d’un public en particulier, dont les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer. 

     

    Enfin, l’Inpes mène des enquêtes, organise des journées de la prévention consacrées au bien vieillir et élabore, dans le cadre de partenariats, des dispositifs particuliers s’inscrivant dans la charte d’Ottawa et le modèle écologique de la promotion de la santé des aînés. Toutes les publications qui en sont issues sont gratuites et accessibles. Elles sont indexées dans le catalogue.

  • Médicaments génériques (02 08 2013)

     

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 27 juin 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ13040454S.html

    Question orale sans débat n° 0454S de M. Philippe Leroy (sénateur UMP de la Moselle)

    Je souhaite attirer une nouvelle fois l'attention de Mme Touraine sur les garanties qui accompagnent le remplacement, par un médicament dit « générique », d'un médicament prescrit par un médecin. À la fin de l'année dernière, je l'avais déjà interrogée à ce propos, mais ma question est demeurée sans réponse.

    Ce remplacement est effectué par le pharmacien, qui, placé sous le contrôle administratif de l'assurance maladie, doit chercher à diminuer les dépenses d'achat de médicaments. Ce praticien s'expose à des sanctions dans le cas où son « efficacité » en matière de substitution ne serait pas jugée suffisante. À l'inverse, le pharmacien « vertueux » se voit récompensé par des primes versées par l'assurance maladie.

    Les logiques économiques propres au marché du médicament sont encore compliquées par des systèmes de marges évolutives, quelquefois particulièrement avantageux pour les génériques. Il serait utile qu'une plus grande transparence règne dans le « business » de ce grand marché.

    Tout en approuvant, sur le principe, cette recherche d'économies, je m'étonne de l'ampleur de la responsabilité laissée au pharmacien, qui peut, sans concertation, modifier la prescription d'un médecin. Cela soulève des questions d'ordre éthique et modifie profondément les relations de confiance entre le patient, le médecin et le pharmacien. 

    En outre - c'est le nœud du problème -, la comparaison entre la fiche descriptive d'un médicament et celle de son générique ne garantit pas toujours que les deux préparations sont parfaitement similaires. On parle de bioéquivalence, sans que cette notion soit toutefois parfaitement définie sur les plans scientifique ou juridique. Cette incertitude n'a rien de rassurant pour le patient qui, ayant connu de bons résultats avec un médicament prescrit par son médecin, se voit imposer un générique qui n'est pas en tous points semblable au médicament jusqu'alors efficace.

    De nombreux exemples illustrent l'existence d'un décalage sérieux entre la fiche descriptive d'un médicament et celle de son générique. La similitude chimique entre les deux préparations n'est pas assurée, et aucune garantie n'est apportée quant à leur égale efficacité. Les différences entre le médicament princeps et son générique peuvent porter sur la nature de la substance active et sur celle des excipients. Il serait important de disposer d'expertises visant à encadrer et à garantir la sécurité des autorisations de mise sur le marché. 

    En conséquence, vous serait-il possible de rassurer les patients ? Garantir l'égalité d'action entre les médicaments et leurs génériques est le seul moyen d'assurer la pérennité d'une politique d'économies que nous approuvons tous.

    Réponse du Ministère publiée dans le JO Sénat du 19/06/2013 p. 5912

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  • Noyades : le danger de l’été (30 07 2013)

     

    Note publiée le 4 juillet 2013 sur le site de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.fr/70000/cp/13/cp130704-noyades.asp

    En mer, en rivière, en lac ou en piscine, la saison estivale est souvent synonyme d’activités nautiques. Pour que la baignade reste un moment de détente et de loisirs, l’important est de rester prudent.

    A l’approche de l’été, quels réflexes adopter pour que le plaisir de la baignade ne tourne pas au drame ? Quelles précautions prendre pour se baigner en sécurité ?

    Pour que chacun profite au mieux de l'été et des plaisirs aquatiques, l’Inpes propose une brochure « Mode d’emploi de la baignade », téléchargeable sur www.inpes.sante.fr. Des conseils concernant particulièrement les piscines sont en ligne sur www.prevention-maison.fr.

     

    Prévenir les noyades : une priorité

     

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