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santé - Page 239

  • Soleil : protection (21 07 2011)

    Fiche d’information publiée sur le site de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.prevention-soleil.fr/dangers-soleil.html

    SE PROTEGER DU SOLEIL, C’EST PROTEGER SA SANTE

    POURQUOI LES DANGERS DU SOLEIL SONT LES ULTRAVIOLETS ?

    PARCE QUE LES DANGERS DU SOLEIL SONT LES ULTRAVIOLETS

    Le rayonnement ultraviolet est totalement invisible pour l’œil humain et ne procure aucune sensation de chaleur. On est exposé sans s’en rendre compte.

     

    PARCE QU’IL Y A DEUX TYPES DE RAYONNEMENT ULTRAVIOLETS

    On distingue deux sortes d’UV : les UVA pénètrent profondément dans la peau et accélèrent son vieillissement. Cela accentue l’apparition et le développement des rides et taches brunes. Les UVB agissent au niveau de l’épiderme en stimulant la production de mélanine, ce qui donne le teint halé.

     

    PARCE QU’ILS PROVOQUENT DES COUPS DE SOLEIL

    Ce sont les UVA et les UVB qui, en trop forte dose, provoquent des coups de soleil et, à terme, peuvent causer des dommages irréversibles sur la santé. Même bronzé, il faut continuer de se protéger.

     

    PARCE QUE L’EXPOSITION INTENSE AUX UV PEUT AUSSI PROVOQUER DES LESIONS OCULAIRES TRES SERIEUSES

    Les ultraviolets sont absorbés par le cristallin, contribuant à accélérer la formation de cataractes, c’est-à-dire l’opacification du cristallin qui va progressivement empêcher la lumière d’atteindre la rétine, jusqu’à l’aveuglement.

    PARCE QU’ON PEUT DÉCLENCHER DES CANCERS CUTANES

    Il y a 2 types de cancers résultant de l’exposition aux rayonnements UV : les carcinomes, cancers qui touchent la couche superficielle de l'épiderme, et les mélanomes, tumeurs malignes qui se développent sur les mélanocytes, que l’on trouve dans la peau, les muqueuses, mais aussi les yeux.

     

    POURQUOI SE PROTEGER DES RAYONS DU SOLEIL ?

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  • Obésité : prévention (20 07 2011)

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 24 mai 2011 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-38215QE.htm

    Question n° 38215 de M. Denis Jacquat (député Union pour un Mouvement Populaire de Moselle)

    M. Denis Jacquat attire l'attention de Mme la ministre de la santé, de la jeunesse, des sports et de la vie associative sur les propositions exprimées dans le rapport sur la prévention de l'obésité. Le rapport préconise de lutter contre les discriminations à l'égard des personnes obèses. À cet effet, il est notamment recommandé de demander à la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité de se mobiliser sur le thème de l'obésité. Il serait très heureux de connaître son avis à ce propos.

    Réponse du  Ministère du Travail, de l’emploi et de la santé publiée au JO le 24/05/2011 p. 5563

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    Lien permanent Catégories : santé
  • Ambroisie : plante allergène (19 07 2011)

    Fiche publiée le 29 juin 2011 sur le site du Ministère de la Santé (cliquer ici pour accéder au site du Ministère de la Santé)

    http://www.sante.gouv.fr/l-ambroisie-plante-tres-allergisante-doit-etre-eliminee-avant-le-demarrage-de-sa-floraison.html

    L’ambroisie, plante très allergisante, doit être éliminée avant le démarrage de sa floraison

    L’ambroisie est une plante annuelle dont le pollen est très allergisant pour l’homme. Il suffit de quelques grains de pollen par mètre cube d’air pour que les symptômes apparaissent chez les sujets sensibles. Les plus courants sont : rhinite survenant en août-septembre et associant écoulement nasal, conjonctivite et symptômes respiratoires tels que la trachéite, la toux, et parfois urticaire ou eczéma. Dans 50% des cas, l’allergie à l’ambroisie peut entraîner l’apparition de l’asthme ou provoquer son aggravation.

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  • Maladies rares : plan national n°2 (11 07 2011)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 9 juin 2011 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2010/qSEQ101015691.html

     

    Question écrite n° 15691 de Mme Patricia Schillinger (sénateur socialiste du Haut-Rhin)

                                        
    Mme Patricia Schillinger attire l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur l'hypophosphatasie, maladie génétique osseuse et dentaire rare. Jusqu'à aujourd'hui, le plan national maladies rares (PNMR) a donné des résultats très positifs. Malgré ce bilan positif, l'annonce du second plan national maladies rares II, qui devait prendre le relais du 1er plan, se fait attendre. Annoncé initialement pour février 2010 puis repoussé à juin 2010, il n'est toujours pas rendu public à ce jour.

    Aujourd'hui, les associations sont très inquiètes à propos du plan national maladies rares II (2010-2014). En effet, celui-ci semble menacé. Il est capital pour l'ensemble des malades et leurs familles que ce second PNMR soit solide, complet et doté d'un budget à la hauteur des besoins.

    La France étant un exemple au niveau européen et international dans le domaine des maladies orphelines, elle lui demande si l'État envisage de reprendre la proposition détaillée du plan national maladies rares II déposé en juillet et s'il envisage d'intégrer la lutte contre l'hypophosphatasie dans ce nouveau plan.

     

    Réponse du Secrétariat d'État chargé de la santé publiée dans le JO Sénat du 09/06/2011 - page 1541

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  • sécu : économies pour 2012 (07 07 2011)

    Assurance-maladie : comment réaliser 2,2 milliards d'euros d'économie en 2012

    Extraits d’un article de M. Patrick Coquidé publié le 6 juillet 2011 sur le site de La Tribune (cliquer ici pour accéder au site de La Tribune)

    http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20110706trib000634399/assurance-maladie-comment-realiser-22-milliards-d-euros-d-economie-en-2012.html

    La Caisse nationale d'assurance-maladie vient de proposer des pistes d'économies afin que les dépenses de santé remboursables n'augmentent pas de plus 2,8% l'an prochain

    …/… baisser les tarifs de certains médicaments (.../… anticholestérols ou anti-ulcéreux) et de produits de santé (prothèses).

    …/… mieux encadrer les prescriptions médicales (comme les séances de kinésithérapie), …/… accroître les contrôles sur les arrêts de travail.

    …/… faire plus rapidement converger les tarifs des hôpitaux publics et des cliniques privées pour les aligner sur les moins coûteux.

    …/… mettre systématiquement à contribution les compagnies d’assurance des responsables d’accidents afin qu’elles remboursent les frais médicaux engagés par la Sécu pour les victimes

  • Ampoules à basse consommation : risques (30 06 2011)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 22 juin 2011 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2011/qSEQ11031247S.html


    Question orale sans débat n° 1247S de Mme Patricia Schillinger (Haut-Rhin - SOC)

    Destinées à remplacer d'ici à la fin de 2012 les ampoules incandescentes, les lampes fluocompactes pourraient être dangereuses pour la santé. Ces lampes, dont l'utilisation est affichée comme l'une des solutions les plus emblématiques de la politique européenne de réduction de la consommation d'énergie, pourraient présenter un risque important en termes de teneur en mercure et de niveau d'émission d'ondes électromagnétiques. Ces ondes peuvent perturber le bon fonctionnement des implants auditifs ou cardiaques en cas d'exposition prolongée à moins de trente centimètres, comme le révèle un récent rapport de la Commission de la sécurité des consommateurs, la CSC.

    Selon l’étude menée par la CSC, tant que le mercure reste confiné dans l'ampoule, il n'y a pas de problème ; mais si la lampe se casse, on mesure des taux de mercure dans l'air importants, pouvant atteindre 100 microgrammes par m3, voire 250 microgrammes dans les 5 premières minutes.  La teneur importante en mercure, le métal lourd le plus toxique, de ces lampes fluocompactes induit de facto un risque certain de pollution aggravée pour l'environnement. Madame la ministre, quelles mesures le Gouvernement entend-il prendre pour réduire la teneur en mercure de ces lampes ? Est-il possible de confiner ce métal dans l'ampoule ?

    En outre, la CSC relève que la réglementation en vigueur ne définit pas la teneur en mercure de l'air considérée comme dangereuse pour le public, quelle que soit la durée d'exposition. Il semble donc nécessaire de déterminer des valeurs maximales d'exposition aux vapeurs de mercure acceptables pour l'ensemble de la population, y compris les individus les plus fragiles.

    La question de l'information optimale des consommateurs et des obligations pesant sur les fabricants en vue de préserver la sécurité des utilisateurs doit être étudiée avec la plus grande attention. Madame la ministre, quelles sont les actions envisagées par le Gouvernement afin d'assurer la protection des consommateurs au regard de l'utilisation de ces ampoules à basse consommation ? Peut-on les utiliser sans crainte ? Comment se procurer des ampoules qui ne diffusent aucune onde et qui n'aient pas d'effet sur la santé humaine ?

    Réponse du Ministère de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement publiée dans le JO Sénat du 22/06/2011 - page 5030

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