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santé - Page 239

  • médecine de ville : quelles nouvelles pratiques ? (21 12 2010)

    Médecine de ville : quelles nouvelles pratiques pour quels gains d’efficience ?

    Extraits (introduction, plan, conclusions d’une étude menée par Mme Virginie Gimbert et M . Sylvain Lemoine, du département des Questions sociales du Centre d’Analyse Stratégique et publiée dans la note d’Analyse n° 204 de décembre 2010 et sur le site du CAS (cliquer ici pour accéder au site du CAS et au texte intégral pdf du rapport)

     

    http://www.strategie.gouv.fr/article.php3?id_article=1302

     

    http://www.strategie.gouv.fr/IMG/pdf/NA204Medecine_de_ville2010-12-20.pdf

     

    PLAN

    Introduction

    Propositions

    Les Enjeux

     

    RÉGULATION DES DÉPENSES EN MÉDECINE DE VILLE EN FRANCE : UN BILAN EN DEMI-TEINTE MAIS ENCOURAGEANT

    Des outils de régulation de l’offre de soins au bilan contrasté

    Des outils pour encadrer les pratiques des professionnels aux effets progressivement mesurables

     

    RELATION DIRECTE ENTRE ASSUREURS ET PATIENTS : QUEL IMPACT SUR LES MÉDECINS ?

     

    VERS UNE RÉORGANISATION DE L’OFFRE DE SOINS ?

    Vers une nouvelle répartition des tâches entre les professionnels de santé ?

    Vers un premier niveau de réponse médicale dématérialisé ?

    Vers une généralisation des outils de télémédecine ?

     

    Conclusion

     

     

    INTRODUCTION

    Dans un contexte marqué par l’importance croissante des maladies chroniques, par la modification des attentes des patients et des nouvelles générations de médecins, et par des tensions accrues sur les finances sociales, la régulation des dépenses en médecine de ville est au coeur des enjeux. Elle implique avant tout un encadrement équilibré des pratiques des professionnels de santé. Par ailleurs, on constate que l’assurance maladie se positionne

    de plus en plus comme un accompagnateur pour le professionnel de santé, mais aussi pour le patient.

    Cela pose la question des modalités de coopération optimales entre assureurs (public et privé) et professionnels. Enfin, la réorganisation de l’offre de soins elle-même peut permettre d’accroître l’efficience globale des dépenses de santé, comme en témoignent plusieurs expérimentations à l’étranger. Il conviendrait alors d’examiner dans quelle mesure elles peuvent nourrir les réflexions sur l’avenir du système français en matière de médecine de ville.

     

    PROPOSITIONS

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  • prévention cardio-vasculaire (17 12 2010)

    Prévention cardio-vasculaire : vers une évolution de la prescription des statines

    Note publiée dans la lettre n° 24 de novembre-décembre 2010 de la Haute Autorité de Santé (cliquer ici pour accéder au site de la Haute Autorité de Santé)

    http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_990431/prevention-cardio-vasculaire-vers-une-evolution-de-la-prescription-des-statines.html

    Les traitements de l’hypercholestérolémie, dont l’objectif principal est la prévention de la mortalité et de la morbidité cardio-vasculaire, sont les médicaments les plus prescrits en France. Leur remboursement représente 1 milliard d’euros pour l’Assurance maladie. À la demande du ministère de la Santé, la HAS a donc réalisé une évaluation médico-économique de ces traitements. Elle s’est penchée en particulier sur les statines (rosuvastatine, atorvastatine, pravastatine, simvastatine et fluvastatine), qui sont les traitements médicamenteux de première intention en prévention primaire comme secondaire des décès et événements cardio-vasculaires. Elles réduisent la mortalité toutes causes de 10 % et les événements cardio-vasculaires de 15 à 23 % en fonction du type d’événement.

    « Notre analyse met en évidence que toutes ces molécules n’ont pas la même efficience [rapport coût/efficacité] en fonction des profils de patients », explique Fabienne Midy, chef de projet au service évaluation économique et de santé publique de la HAS. Aujourd’hui, les pratiques de prescriptions ne tiennent pas compte de cette notion médicale et économique. Deux types de statines sont majoritairement prescrites par les médecins, quel que soit le profil des patients : la rosuvastatine et l’atorvastatine. « Ces deux molécules, plus récentes que les autres, sont les plus puissantes pour réduire les taux de LDL-c*. Mais elles devraient être réservées aux cas les plus sévères, qui nécessitent une réduction du taux de LDL-c supérieure ou égale à 40 %, précise Emmanuelle Cohn-Zanchetta, chef de projet au service évaluation des médicaments de la HAS.
    En deçà de 40 %, si un traitement est jugé nécessaire, la simvastatine et la pravastatine suffisent. Et ce, à moindre coût. Surtout sous leur forme générique. »

    * LDL-c : Low-density lipoprotein cholesterol. 

  • mutuelles : financement (02 12 2010)

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 6 juillet 2010 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-70205QE.htm

    Question n° 15341 dM. Jacques Desallangre (député Gauche démocrate et républicaine de l’Aisne)

    M. Jacques Desallangre rappelle à Mme la ministre de la santé, de la jeunesse et des sports la situation des mutuelles de France, alerté par le président de la mutuelle des cheminots picards.

    Le plan de financement 2006 pose nombre de problèmes aux mutuelles : le parcours de soins devient un véritable parcours tarifaire ; les contrats responsables où des actes de prévention sont mis à la charge entière des mutuelles génèrent de fortes contraintes ; la possibilité donnée à des médecins de pratiquer des dépassements tarifaires à la charge des mutuelles les plonge dans de grandes difficultés. Déjà plus de la moitié des mutuelles ont disparu, la situation est devenue critique pour un certain nombre de celles qui restent.

    Il l'interroge sur ce qu'il compte mettre en oeuvre pour empêcher cette hécatombe, s'il compte plafonner les dépassements tarifaires, s'il compte mettre fin à la diminution des cotisations sociales, surtout des cotisations employeurs, et s'il compte revoir le financement de la sécurité sociale à partir de la valeur ajoutée des entreprises, comme le demande la fédération des mutuelles de France.

    Réponse du Ministère de la Santé et des sports publiée au JO le 06/07/2010 p. 7659

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  • SIDA : lutte et prévention (point) (01 12 2010)

    SIDA : lutte et prévention (point)

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 16 novembre 2010 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-85913QE.htm

    Question de  M. Jean-Luc Pérat (député socialiste du Nord)

    M. Jean-Luc Pérat attire l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur le projet de plan national VIH/Sida- IST 2010-2014 (PNLS).

    La Conférence nationale de santé et le Conseil national du sida se sont prononcés sur les futures orientations stratégiques du PNLS, sur la méthode de construction et sur la gouvernance du plan à partir d'un document stratégique. Il apparaît qu'en l'état du projet, le plan ne définit pas une politique publique efficace face aux défis actuels de la lutte contre le VIH et les IST.

    Il ne répond que de façon très insuffisante aux enjeux essentiels que sont la politique de dépistage et d'accès précoce au traitement, la mise en cohérence des différentes politiques publiques et l'engagement international de la France dans la lutte contre la pandémie.

    Il lui demande donc si une révision en profondeur du projet de plan national va être mise en oeuvre afin de remédier à ces faiblesses.

    Réponse du Ministère de la Santé et des sports publiée au JO le 16/11/2010 p. 12514

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  • tabac : consommation en hausse (29 11 2010)

    La consommation de tabac augmente

    Note publiée dans la brochure EQUILIBRES n° 65 de novembre 2010 de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.fr/CFESBases/equilibre/pdf/Lettre65.pdf#page1

    Les premiers résultats de l’enquête Baromètre santé 2010 concernent la consommation de tabac. Celle-ci a augmenté depuis 2005, chez les femmes, en particulier dans la génération des 45 à 64 ans, et de manière plus forte, chez les personnes sans emploi.

    Ces résultats devront aider à réorienter les actions de prévention à venir.

     

    Depuis 1976, plusieurs mesures législatives et réglementaires ont été mises en place avec succès pour diminuer la consommation de tabac en France. L’interdiction de fumer dans les lieux publics a constitué une étape décisive dans la lutte contre le tabagisme passif. Cette mesure est en vigueur dans les lieux professionnels depuis le 1er février 2007 et dans les lieux de convivialité depuis le 1er janvier 2008.

     

    Les résultats du Baromètre santé 2010 montrent que la baisse du tabagisme masculin, enregistrée depuis les années 70, semble désormais enrayée, que la prévalence du tabagisme féminin a augmenté entre 2005 et 2010, et que les inégalités sociales face au tabagisme se maintiennent, voire se creusent.

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  • régimes amaigrissants : risques (28 11 2010)

    Régimes amaigrissants : des pratiques à risque

    Synthèse d’un rapport publié le 25 novembre 2010 sur le site de L'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (cliquer ici pour accéder au site de l’ANSES)

    http://www.afssa.fr/

    L'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) publie ce jour un rapport d'expertise sur l'évaluation des risques liés aux pratiques alimentaires d'amaigrissement. La quête de la minceur et le foisonnement de régimes qu'il est possible de suivre seul, sans avis médical, amènent en effet les pouvoirs publics à s'interroger sur les risques liés à ces pratiques. Ce travail va être mis en consultation auprès des parties prenantes, en vue d'établir des recommandations dans un avis à paraitre début 2011.

    Le surpoids et l'obésité, qui touchent respectivement 32 % et 15 % des personnes de plus de 18 ans en France, constituent un véritable problème de santé publique qui nécessite la prise en charge par un professionnel de santé et peut justifier, la mise en œuvre d'un régime alimentaire sous contrôle médical. Mais, dans de nombreux cas, des pratiques alimentaires d'amaigrissement sont adoptées en l'absence de surpoids ou de toute indication médicale, pour des raisons essentiellement esthétiques.

     L'Anses a été saisie par le ministère chargé de la santé pour évaluer les risques qu'engendrent ces pratiques. L'évaluation conduite s'inscrit dans le cadre global de la problématique de « l'image du corps », prévue par le Programme National Nutrition Santé (PNNS 2 : 2006-2010).

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