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vie pratique - Page 429

  • géronto technologies (08 12 2009)

    Les technologies pour l’autonomie : de nouvelles opportunités pour gérer la dépendance ? (publication en 4 volets sur ce blog du 9 au 12 décembre 2009)

     

    Analyse de Mme Virginie Gimbert, Département Questions Sociales du Centre d’Analyse Stratégique publiée dans la Note de veille n° 158 de décembre 2009 et lue le 7 décembre 2009 sur le site du Centre d’Analyse Stratégique (cliquer ici pour accéder au site du CAS)

    http://www.strategie.gouv.fr/IMG/pdf/NoteVeille158.pdf

     

    ( Introduction

    ( L’équation complexe de la dépendance

    ( Des technologies nombreuses pouvant couvrir une large étendue de besoins

     

    ( Apports des technologies pour la prise en charge à domicile et en établissement

    ( Un marché prometteur

    ( Principaux freins au développement des technologies pour l’autonomie

     

    ( Le marché des technologies en France : un problème d’offre et de demande

    ( Des seniors peu enclins à accepter les nouvelles technologies ?

    ( Les professionnels, entre résistances et soutien à ces technologies innovantes

     

    ( Pour un usage raisonné et intégré des technologies pour l’autonomie : Structurer la filière en développant le marché et en soutenant la demande

    ( Intégrer les technologies dans l’organisation du travail et requalifier les emplois

    ( Pour une approche « design for all » des enjeux du vieillissement

    ( Conclusion

     

     

     

     

    Les technologies pour l’autonomie apportent des aides techniques d’ordre médical et social aux

    personnes en perte d’autonomie, aux professionnels de santé et aux aidants. D’un point de vue

    macroéconomique, elles ouvrent potentiellement des perspectives de marché. Un recours accru à ces technologies pourrait constituer une réponse pertinente au problème de prise en charge de la dépendance, à condition que cet usage soit raisonné et respectueux des règles d’éthique. Ces outils devraient pour cela être intégrés aux pratiques de travail des professionnels et être conçus d’emblée pour un usage grand public, ce qui permettrait plus généralement d’envisager des réponses globales aux enjeux du vieillissement.

     

    La prise en charge des personnes âgées en perte d’autonomie représente un véritable défi économique et social. Souffrant en général de polypathologies, de déficiences physiques, mentales et cognitives, ces personnes ont des besoins spécifiques : soins de longue durée et continus, prise en charge médicale et sociale, assistance pour les actes de la vie quotidienne, etc.

     

    Dans les années à venir, la France verra croître le nombre de personnes âgées en situation de perte d’autonomie. Leur prise en charge sera d’autant plus délicate qu’elle s’inscrira dans un contexte marqué par une pénurie prévisible de main-d’oeuvre dans ce secteur et par de fortes contraintes budgétaires pour les pouvoirs publics. Le recours à l’immigration de main-d’oeuvre dans les emplois de service à la personne et/ou l’apport des innovations technologiques sont des solutions qui peuvent être envisagées. Cette note montrera en quoi les « gérontechnologies » peuvent constituer une des réponses pertinentes au problème de la dépendance.

     

    Cette expression renvoie à une multiplicité d’outils techniques, capables d’aider les personnes dépendantes et d’améliorer les pratiques professionnelles. On parle également de « technologies pour l’autonomie », formulation à la fois plus positive et s’adressant à un public plus large – notamment aux personnes handicapées1. D’abord confinées à un cercle d’experts, ces technologies connaissent depuis ces dernières années une véritable « explosion ».

     

    Cette note propose d’évaluer les avantages et les inconvénients liés au développement des

    technologies pour l’autonomie. Si leurs apports semblent considérables, de nombreux freins demeurent. Un usage raisonné et intégré de ces technologies permettrait sans doute de lever, pour partie au moins, ces obstacles : cela suppose de les considérer comme complémentaires de l’intervention humaine

     

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  • alimentation : traquer sel, gras et sucre (07 12 2009)

    Traquer le gras, le sucre et le sel

     

    Article paru dans le numéro 55 (décembre 2009) de la revue Equilibres publié par l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.sante.fr/CFESBases/equilibre/pdf/Lettre55.pdf#decryptage.html

     

    site très intéressant : www.mangerbouger.fr

     

     

    Surpoids, maladies cardiovasculaires, diabète, hypertension, hypercholestérolémie, etc.

    Consommés en excès, les matières grasses, le sel et le sucre présentent des risques pour la santé.

    L’objectif de la campagne de communication est double : informer la population sur ces trois éléments parfois présents de manière méconnue dans certains aliments ; lui apporter des solutions concrètes pour bien choisir les produits qu’elle consomme.

    Fers de lance de cette campagne, trois spots TV ont été diffusés du 2 au 22 novembre (voir ci-contre). Des annonces presse et des bannières web complètent le dispositif et renvoient vers le site www.mangerbouger.fr.

    Dans le cadre de la campagne,  l’Inpes a par ailleurs conçu la « Machine À Décoder les Aliments Mystérieux » (MADAM). En ligne sur le site www.mangerbouger.fr depuis le 2 novembre, ce module ludique et interactif permet de comparer une centaine de produits de grande consommation – classés par familles d’aliments – et de connaître leur teneur en gras, en sel ou en sucres.

     

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  • APA : point au 30 juin 2009 (30 11 2009)

    L’allocation personnalisée d’autonomie et la prestation de compensation du handicap au 30 juin 2009

     

    Résumé d’une étude de Mmes Clotilde Debout et Seak-Hy Lo publiées en novembre 2009 sur le site de la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) du Ministère du Travail, des Relations sociales, de la Famille, de la Solidarité et de la Ville -  du Ministère du Budget, des Comptes publics, de la Fonction publique et de la réforme de l’État – et du Ministère de la Santé et des Sports (cliquer ici pour accéder au site de la DREES)

     

    http://www.travail-solidarite.gouv.fr/etudes-recherche-statistiques-drees/publications/etudes-resultats/no-710-allocation-personnalisee-autonomie-prestation-compensation-du-handicap-au-30-juin-2009-.html

     

    Au 30 juin 2009, 1 117 000 personnes bénéficient de l’allocation personnalisée d’autonomie (APA). L’augmentation annuelle, de 2,1 %, est moins marquée que celle observée au cours des années précédentes (+4,4 % de juin 2007 à juin 2008). Le taux d’acceptation des premières demandes d’APA reste stable : trois premières demandes sur quatre d’APA à domicile sont acceptées et neuf sur dix pour l’APA en établissement. 5 % des bénéficiaires vivant à domicile et 6 % des personnes vivant dans un établissement ont cessé de percevoir l’APA ou ont changé de dispositif au cours du 2e trimestre.

    Au 30 juin 2009, 61 % des bénéficiaires de l’APA vivent à domicile et 39 % en établissements d’hébergement pour personnes âgées (EHPA). En un an, la part des bénéficiaires vivant en établissement a ainsi légèrement augmenté (38 % en juin 2008). La part des personnes modérément dépendantes, relevant du GIR 4, est stable par rapport à décembre 2008 (45 %). Leur proportion est toujours nettement plus élevée à domicile (57 %) qu’en établissement (24 %). À domicile, le montant moyen du plan d’aide attribué est de 494 euros par mois (dont 406 euros à la charge des conseils généraux).

    Le montant moyen du tarif dépendance facturé dans les établissements qui ne sont pas sous dotation globale est de 461 euros par mois (dont 307 euros à la charge des conseils généraux). Fin juin 2009, 71 700 personnes ont été payées au titre de la prestation de compensation du handicap (PCH), contre 43 000 à la fin juin 2008 (soit une augmentation de 67 % en un an). La dépense mensuelle moyenne par personne s’est élevée à 980 euros en juin 2009.

  • tarifs EDF (26 11 2009)

    Augmentation des tarifs d’EDF

     

    Question sénatoriale et réponse ministérielle publiées le 13 novembre 2009 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

     

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ090709828&idtable=q217697|q217867|q218174|q218311|q218642|q218762|q218784|q218849|q218860|q219052&ct=3_7_10_14_15_16_23_24_25_26_30_31_32&rch=qb&de=20091114&au=20091120&dp=1+an&radio=deau&date=dateJORep&aff=ar&tri=da&off=30&afd=ppr&afd=ppl&afd=pjl&afd=cvn.htm

     

     

    Question écrite n° 09828 de M. Roland Courteau (Aude - SOC) publiée dans le JO Sénat du 30/07/2009

    M. Roland Courteau attire l'attention de Mme la ministre de l'économie, de l'industrie et de l'emploi sur la récente demande d'EDF d'augmenter de 20 % ses tarifs sur trois ans.

    Il lui précise que le conseiller spécial de l'Elysée a fait part, récemment, de sa réaction en indiquant que « ce n'est pas EDF toute seule qui décide des hausses de tarifs », et il ajoutait « qu'il serait anormal de faire payer au consommateur français, des erreurs d'investissement à l'étranger… ».

     
    Il lui fait en effet remarquer qu'EDF a souhaité racheter l'opérateur nucléaire British Energy, hypothéquant ainsi l'équilibre et la santé financière du groupe, alors que les centrales nucléaires de British Energy relèvent d'une technologie dépassée et devraient être déclassées dans les dix prochaines années.

     
    Il lui rappelle, à cet effet, sa précédente question d'actualité du 27 novembre 2008, par laquelle il lui demandait de stopper de telles opérations ruineuses, et de consacrer ces milliards d'euros à lutter contre la pauvreté énergétique des 5 millions de foyers français.

     
    Il lui demande donc quelle analyse elle fait d'une telle situation et quelles suites elle entend réserver à la demande d'augmentation des tarifs d'électricité formulée par EDF.

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  • produits d'entretien : achat et usage (25 11 2009)

    Produits d'entretien : conseils d’achat et d’usage

     

    Note lue le 24 novembre sur le site de l’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie (cliquer ici pour accéder au site de l’ADEME)

    http://ecocitoyens.ademe.fr/mes-achats/bien-acheter/produit-d%E2%80%99entretien.html

    Les produits d’entretien sont souvent dans les premiers incriminés quand on parle de la pollution des eaux. 50 % des phosphates rejetées dans les eaux françaises proviennent des produits d'entretien des ménages. Beaucoup de ces produits contiennent des substances chimiques qui nuisent à l’environnement mais aussi à la santé (irritation des yeux, problèmes respiratoires, allergies…). Vous trouverez ci-dessous quelques informations et conseils pour vous y retrouver.

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  • prestations familiales : nouveau calcul (24 11 2009)

    Calcul des prestations familiales : nouveau mode de calcul

     

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 13 novembre 2009 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ090308073.html

     

    Question écrite n° 08073 de Mme Samia Ghali (sénateur socialiste des Bouches-du-Rhône)

     

    Mme Samia Ghali attire l'attention de M. le ministre du travail, des relations sociales, de la famille, de la solidarité et de la ville sur les difficultés rencontrées par les familles en raison du nouveau mode de calcul des prestations familiales versées par les caisses d'allocations familiales (CAF). Ainsi, l'année de référence (n-1) retenue pour l'évaluation des ressources permettant de calculer le montant des prestations familiales (AAH, allocation logement...) a été modifiée depuis la suppression de la déclaration de ressources annuelles aux CAF.

     

    Cette évaluation, qui intervenait chaque 1er juillet sur la base des ressources perçues l'année civile précédente (n-1), est désormais réalisée sur la base des ressources perçues au cours de l'avant-dernière année civile (n-2). Il s'ensuit un décalage trop important entre la situation financière actuelle des allocataires concernés et le montant des prestations octroyées. À titre d'exemple, une personne handicapée divorcée bénéficiait d'une allocation aux adultes handicapés partielle et d'une prestation compensatoire. Le 1er janvier 2008, cette prestation compensatoire ne lui a plus été versée. Elle se retrouve malgré tout privée d'AAH à taux plein durant deux années (2008 et 2009, jusqu'à production en janvier 2010 de l'avis d'imposition 2008).

     

    Compte tenu des difficultés financières que génère un tel dispositif auprès d'un public déjà fragilisé, elle lui demande quelles mesures il compte prendre pour apporter une réponse concomitante aux besoins réels des allocataires concernés.

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