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vie pratique - Page 426

  • télévision en milieu rural (07 08 2009)

    Situation des petites communes face à la disparition de la télévision analogique

     

    Question sénatoriale et réponse ministérielle publiées le 17 juillet 2009 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ09070353G&idtable=q217834|q218083|q218084|q218085|q218086|q218087|q218088|q218089|q218090|q218091&&rch=qs&de=20090715&au=20090804&dp=3+ans&radio=deau&aff=ar&tri=da&off=0&afd=ppr&afd=ppl&afd=pjl&afd=cvn

     

    Question d'actualité au gouvernement n° 0353G de M. Yves Détraigne, sénateur UC de la Marne.

    Ma question s'adresse à M. le ministre de l'espace rural et de l'aménagement du territoire.

    La manière dont sont prévus le déploiement de la télévision numérique et la coupure du signal analogique risque de se traduire, pour plus de un million d'habitants en milieu rural, par la suppression pure et simple de la télévision !

     
    La loi du 5 mars 2007 relative à la modernisation de la diffusion audiovisuelle et à la télévision du futur prévoit, en effet, une obligation de couverture TNT par les chaînes historiques à hauteur de 95 % de la population au niveau national et de 91 % seulement par département.

    De ce fait, seuls 1 626 réémetteurs seront totalement ou partiellement mis aux normes TNT. Près de 2 000 autres réémetteurs, qui diffusent aujourd'hui la télévision analogique sur le territoire métropolitain, ne seront pas systématiquement équipés par les chaînes pour diffuser le numérique.

    Si les habitants desservis par ces réémetteurs – au nombre de plusieurs centaines de milliers répartis sur une quarantaine de départements – veulent continuer à recevoir au moins une partie des dix-huit chaînes gratuites de la TNT, dont les chaînes du service public pour lesquelles ils seront de toute façon obligés de s'acquitter de la redevance, ils devront, soit, à titre individuel, passer par le réseau câblé, par l'ADSL ou par le satellite, soit, à titre collectif, par le biais de leur commune qui en aura la charge, financer la mise aux normes TNT du réémetteur local.

    Ils seront condamnés, en quelque sorte, à une double peine : continuer à payer la redevance pour un service qui aura disparu, financer le maintien de ce service, et parfois à un coût très élevé.

    Or il n'échappe pas à votre vigilance, monsieur le ministre, que les communes qui se trouvent dans cette situation n'ont évidemment pas de réseau câblé ; bien souvent, elles attendent encore l'ADSL ou, lorsqu'elles en disposent, le reçoivent à un débit inférieur à celui que nécessite la TNT. De plus, certains documents d'urbanisme concernant notamment des secteurs protégés et classés auxquels appartiennent une partie des communes concernées interdisent purement et simplement l'installation de paraboles satellitaires.

     
     Nous sommes donc face à un risque avéré de nouveau recul du service public en milieu rural.

    Étant donné la gravité de cette situation, pouvez-vous nous dire, monsieur le ministre, ce que le Gouvernement entend faire pour que le passage au « tout numérique » n'amplifie pas la fracture territoriale ?

     

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  • réflexes canicule (03 08 2009)

    Fortes chaleurs : personne âgée, adulte ou enfant à chaque âge le bon réflexe !

     

    Notice publiée le 12 juin 2009 sur le site de l’INPES (Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé) (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.sante.fr/

    En période de fortes chaleurs, le corps humain a un moyen simple de se maintenir à la bonne température : il transpire. Les nouveaux nés, les enfants et les jeunes adultes transpirent beaucoup. Chez les personnes âgées, qui représentent une population particulièrement vulnérable aux fortes chaleurs, cette fonction est moins efficace : leur corps ne transpire plus assez pour se maintenir à la bonne température. Les gestes à adopter sont donc différents si l’on est un jeune enfant, un adulte ou bien une personne âgée.
    Afin de se protéger des déshydratations ou des "coups de chaleur" il est important de connaître les gestes à mettre en œuvre pour faire face à la chaleur. Le Ministère de la santé et des sports et l’INPES recommandent de suivre quelques conseils pratiques.

     

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  • poeles antiadhésives : avis Afssa (01 08 2009)

    Poêles antiadhésives : l'Afssa répond aux interrogations des consommateurs

    Note publiée le 27 juillet 2009 sur le site de l’Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments (Afssa)(cliquer ci-dessous pour accéder au site de l’Afssa)

    http://www.afssa.fr/

    http://www.afssa.fr/Documents/MCDA2007sa0391.pdf

     

     

    L'utilisation de casseroles, poêles et autres ustensiles de cuisine antiadhésifs menace-t-elle la santé du consommateur ?


    En 2007, l'association de consommateurs « UFC Que Choisir » de Caen a interrogé l'Afssa sur les risques potentiels pour la santé liés à la présence résiduelle d'acide perfluorooctanoïque (PFOA) dans les revêtements antiadhésifs d'ustensiles de cuisson. En effet, la fabrication de ces matériaux nécessite l'utilisation de PFOA, un composé de la classe des produits organiques persistants. Dans l'avis qu'elle rend aujourd'hui, l'Afssa considère ce risque négligeable. Sa conclusion se fonde sur l'expertise collective qu'elle a menée sur le sujet durant deux ans.

     

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  • bien dormir : guide INPES (31 07 2009)

    Bien dormir, mieux vivre : un guide pratique pour mieux dormir

     

    Notice publiée le 23 juin 2009 sur le site de l’Institut national de Prévention et d’Education pour la Santé (INPES) (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.sante.fr/

    Guide téléchargeable (32 pages) à l’adresse suivante :

    http://www.inpes.sante.fr/CFESBases/catalogue/pdf/1215.pdf

     

    L’Inpes lance le premier guide pratique grand public « Bien dormir, mieux vivre » qui vise à aider les Français à développer un sommeil de meilleure qualité en donnant des conseils adaptés à chaque profil de dormeur.

    98 % des Français ont une représentation positive du sommeil et 86 % l’associent à un moment de plaisir, selon un sondage mené en 20071. Si la plupart d’entre eux a l’intuition que le sommeil est bon pour la santé, 45 % estiment ne pas dormir assez ; 17 % sont d’ailleurs en dette chronique de sommeil et 12 % insomniaques.

    Bien dormir relève parfois du défi… Nos styles de vie et nos horaires de travail impliquent souvent des temps de repos irréguliers. Quand s’ajoutent à cela la naissance d’un enfant, le stress, le bruit, etc., bénéficier des bienfaits d’un sommeil récupérateur n’est pas si simple. Or, dormir bien et suffisamment permet de faire face à chaque nouvelle journée. Le sommeil est une fonction biologique vitale dans laquelle nous puisons notre énergie. C’est un facteur majeur d’équilibre physique et psychologique, il est indispensable pour réduire le stress.

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  • acompte, arrhes, avoir : précisions (28 07 2009)

    Acompte, arrhes, avoir

    Fiche juridique et pratique lue le 28 juillet 2009 sur le site de la DGCCRF (direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes) (pour accéder au site de la DGCCRF, cliquer ci-dessous)

    http://www.dgccrf.bercy.gouv.fr/documentation/fiches_pratiques/fiches/acompte_arrhes.htm

    Les acomptes comme les arrhes sont des sommes d’argent versées à l’occasion d’une commande, d’un contrat de vente ou de prestation de service, à valoir sur le prix.
    Mais, selon la qualification donnée à la somme remise au vendeur, la situation n’est pas la même et des difficultés et l’incompréhension peuvent apparaître entre le consommateur et le vendeur.

    Les arrhes et les acomptes sont des sommes versées à l'occasion d'une commande ou d'un contrat de vente.

     

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  • pédiatrie : limite d'âge (22 07 2009)

    Limite d’âge des patients en pédiatrie

     

    Circulaire du 23 juin 1998 (texte interne de la Caisse Nationale d’Assurance Maladie) lue le 10 juillet 2009 sur le site AMELI (Assurance Maladie (cliquer ici pour accéder au site AMELI)

    http://www.mediam.ext.cnamts.fr/cgi-ameli/aurweb/ACIRCC/FICHEA?OBJ=+LIMITE+D%27AGE&aur_offset_rec=2&FIC=CC9806/980623-D.ASC&TYPRECH=MULTI&SEL=O

     

    http://www.mediam.ext.cnamts.fr/ameli/cons/CIRCC/CC9806/980623-D.PDF

     

    N/REF : ENSM n° 32/98 DGR n° 66/98

    OBJET : - Limite d'âge des patients dans l'exercice de la pédiatrie.

     

    Il n'existe pas de réponse législative ou réglementaire à la question : Y a t-il une limite d'âge des patients dans l'exercice de la pédiatrie ?

    La Direction Générale de la Santé et la Direction des Hôpitaux dans une circulaire relative à l'amélioration des conditions d'hospitalisation des adolescents du 16 Mars 1988 préconisent une approche pragmatique du choix du lieu d'hospitalisation des adolescents.

    Une enquête réalisée en 1996-1997 a montré que la limite d'âge de 15 ans n'était plus appliquée que par 6% des services de pédiatrie hospitalière.

    L'Organisation Mondiale de la Santé définit comme adolescent tout individu de 10 à 19 ans.

    Aux Etats-Unis les pédiatres incluent dans leur pratique les patients jusqu'à l'âge de 21 ans.

    En Afrique du Sud et en Suède l'âge de 18 ans a été retenu.

     

    La Section Exercice Professionnel de l'Ordre des Médecins a étudié les limites données à l'exercice pédiatrique dans différents pays et a conclu qu'il était souhaitable de donner aux adolescents la possibilité d'un suivi pédiatrique adapté, et que l'âge de 18 ans paraissait une limite conforme à la réalité psychologique de l'individu et à la réalité de l'exercice médical.

     

    A la lumière de ces éléments, on peut considérer que les Caisses d'Assurance Maladie peuvent prendre en charge les actes réalisés par les pédiatres pour des patients jusqu'à l'âge de 18 ans.

    Cette limite d'âge peut être levée en cas de handicap, de maladie chronique ou de retard de maturation.

    En conséquence, la notification d'un refus de prise en charge fondé sur le dépassement de la limite d'âge ne peut intervenir que lorsque le Contrôle Médical, compétent pour apprécier les circonstances particulières, s'est prononcé en faveur du refus.