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  • Trains d’Equilibre du Territoire (TET) (05 06 2021)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 20 mai 2021 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    https://www.vie-publique.fr/rapport/279955-developpement-nouvelles-lignes-de-trains-d-equilibre-du-territoire-tet#xtor=EPR-526.html 

    cliquer ci-dessous pour accéder au texte (pdf) du rapport (115 p.)

    https://www.vie-publique.fr/sites/default/files/rapport/pdf/279955.pdf

     

    PRESENTATION

    Les Trains d’Équilibre du Territoire (TET) assurent un service de grandes lignes rapide entre les principales villes françaises non reliées par la grande vitesse. Ils permettent également le désenclavement des territoires sur des liaisons interrégionales province-province. Il s’agit de trains de moyenne et de longue distance qui assurent des missions d’intérêt national. L’État est autorité organisatrice des TET. Lors de leur prise en charge le 1er janvier 2011 par l’État dans le cadre de la convention pour l’exploitation signée avec SNCF Mobilités (aujourd’hui SNCF Voyageurs), les différentes lignes TET présentaient une forte hétérogénéité.

     

    L’étude menée par la Direction générale des infrastructures, des transports et de la mer porte sur l’ensemble des services TET, aussi bien de jour que de nuit, en prenant en compte les démarches de schémas directeurs animées par l’État avec ses partenaires (SNCF Réseau, les conseils régionaux, les élus locaux, les chambres consulaires et les associations d’usagers), mais aussi en identifiant de nouvelles lignes potentielles. Ces potentiels de développement sont à analyser en termes de dessertes, incluant les modes d’exploitation et le matériel roulant, d’offre de services. Cette étude a vocation à être un outil d’aide à la décision en vue de l’élaboration du schéma national des services de transport d’intérêt national.

     

    SYNTHÈSE des PRÉCONISATIONS

    4.1. Dessertes TET de jour

    Il est préconisé :

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  • Vélo : stratégies (14 04 2021)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 9 mars 2021 sur le site du ministère de la Transition Ecologique (cliquer ici pour accéder au site du ministère de la Transition Ecologique) 

    https://www.ecologie.gouv.fr/velo-et-marche#scroll-nav__3.html

     

    Le vélo, un mode de déplacement vertueux et avantageux (Mardi 9 mars 2021)

    La marche et le vélo sont des modes de déplacement peu onéreux, rapides, bénéfiques pour la santé et l’environnement. Ils constituent des outils précieux au service de la transition écologique. Pour favoriser leur utilisation, le ministère chargé des transports a mis en place plusieurs initiatives et aides financières.

    • ¼ des déplacements se font exclusivement à pied
    • 45% des trajets effectués en voiture en France font moins de 5 km ; 60% pour les déplacements domicile-travail.
    • 85% des Français sont à moins de 5 km d’un service public ou d’un mode de transport
    • La marche est le mode de déplacement le plus performant pour les trajets de moins d’1 km et le vélo pour les trajets de moins de 5 km et davantage avec un vélo à assistance électrique

    Le plan vélo

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  • Aide à domicile : revalorisation (09 10 2019)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 19 septembre 2019 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2019/qSEQ190912168.html 

    Question écrite n° 12168 de M. Cyril Pellevat (sénateur de Haute-Savoie)

    Cyril Pellevat attire l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la santé sur la profession d'aide à domicile.


    Avec le vieillissement de la population, le maintien à domicile constitue une des solutions inévitables pour les personnes dépendantes les plus âgées, mais en France, il est difficile de trouver du personnel qualifié pour s'occuper des personnes en perte d'autonomie.


    La profession d'aide à domicile est une activité professionnelle actuellement peu valorisée que ce soit financièrement et moralement. Il s'agit d'un métier lié aux soins et pour lequel, l'aide aux plus fragiles est une vocation qui permet notamment de surmonter les difficultés d'une telle profession. S'occuper de personnes dépendantes, c'est ″être leurs bras, leurs jambes et leurs têtes″ confiait récemment une aide à domicile du département de Haute-Savoie.


    Le soutien moral est primordial et il faut tout mettre en œuvre pour que ces personnes qui exercent ce métier difficile soient soutenues et écoutées tout au long de leur parcours professionnel.


    Il faut également mesurer la difficulté financière dans laquelle se trouvent ces professionnels. En effet, avec des salaires bas, les aides à domicile sont à peine indemnisées pour les déplacements, qui leur prennent beaucoup de temps sur leur amplitude horaire de travail, les contraignant parfois à travailler six jours sur sept.


    De plus, leur qualification professionnelle d'aide à domicile peut prêter aujourd'hui à confusion. Bien qu'ayant reçu un diplôme d'État, elles ne sont ni aides-soignantes, dont les services sont pris en charge par la Sécurité sociale et dont la formation comprend des connaissances médicales, ni aides-ménagères. Et pourtant de nombreuses personnes les emploient pour ces services.


    Il lui demande ce qu'elle entend faire pour clarifier et revaloriser le métier d'aide à domicile afin qu'il soit ainsi mieux connu et reconnu.

     

    Réponse du Ministère des solidarités et de la santé publiée dans le JO Sénat du 19/09/2019 p. 4808

     

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  • Personnes âgées : logement (09 08 2018)

    Nous proposons aujourd’hui cette question de sénateur et la réponse ministérielle publiées le 2 août 2018 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2017/qSEQ171001721.html

    Question écrite n° 01721 de M. François Grosdidier (sénateur de la Moselle)

    François Grosdidier attire l'attention de M. le ministre de la cohésion des territoires sur la demande croissante de personnes âgées autonomes, souvent à faibles revenus, de pouvoir disposer de logements sociaux, type PLAI (Prêt locatif aidé d'intégration) ou PLUS (Prêt locatif à usage social), et si possible adaptés aux personnes à mobilité réduite, ou facilement adaptables, afin de quitter la maison trop grande ou l'appartement trop haut, dans lequel elles ont souvent vécu la plus grande partie de leur vie. Un tel déménagement ne se fait pas sans douleur ni regret, mais lorsque ces logements sont proposés dans des résidences qui peuvent offrir des services (espaces communs, jardin résidencialisé, concierge ou gouvernante...) ils emportent la décision.

     

    Ce type de logement, sans coûter plus cher à l'État et en coûtant peu aux collectivités territoriales, répond à une forte demande sociale. Il permet de libérer des grands logements sociaux et de les libérer pour des familles. Il permet aussi d'éviter un hébergement prématuré en établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EPHAD).

     

    Après avoir attribué des agréments PLAI et PLUS pour de tels projets, il apparaît que, depuis un an, les services déconcentrés de l'État les refusent au motif de « ne pas créer des ghettos de personnes âgées ». Ces décision sont incompréhensibles si on en juge par le succès des opérations déjà réalisées, souvent insérés dans des opérations plus vastes parfaitement multigénérationnelles.

     

    Cette orientation n'ayant jamais été débattue au Parlement, il lui demande si elle fait bien l'objet d'une directive nationale décidée par le Gouvernement et, si oui, quelle en est la motivation. 

    Réponse du Ministère de la cohésion des territoires publiée dans le JO Sénat du 02/08/2018 - p. 4012

     

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  • Baccalauréat : réforme et organisation du lycée (21 03 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 24 janvier 2018 sur le site de la Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

     

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/reforme-du-baccalaureat-rapport-mathiot-propose-nouvelle-organisation-du-lycee.html?xtor=EPR-56.html

     

    Réforme du baccalauréat : le rapport Mathiot propose une nouvelle organisation du lycée (le 24 01 2018)

    Le ministre de l’Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, a reçu le 24 janvier 2018 le rapport de Pierre Mathiot sur la réforme du baccalauréat à l’horizon 2021. Les propositions présentées répondent à quatre constats : le baccalauréat a perdu de sa crédibilité, il doit rester le premier grade de l’enseignement supérieur, il est structuré par les épreuves finales sur une période limitée, il est devenu "un monstre organisationnel". La transformation proposée pour le baccalauréat entraîne une transformation du lycée.

    La suppression des séries (S, ES, L) du baccalauréat

    La rénovation des épreuves du bac en juin 2021 nécessite de revoir les enseignements en lycée.

    La distinction entre la voie générale et la voie technologique serait maintenue mais avec des passerelles.

    En première, l’élève ne choisirait plus une série mais des "majeures" et des "mineures", qui s’ajouteraient à des enseignements de tronc commun. Les élèves opteraient pour une association de deux majeures (par exemple lettres-langues ou maths-physique), entre une dizaine de combinaisons fixées au niveau national. Localement, les lycées pourraient proposer d’autres couples de majeures. A ces majeures, les élèves y associeraient des mineures (deux ou trois autres disciplines en fonction des majeures choisies).

    Le tronc commun comprendrait l’éducation physique et sportive, l’histoire-géographie, les langues vivantes, les mathématiques et le français. En terminale, la philosophie remplacerait le français.

    Des heures seraient, par ailleurs, consacrées à l’orientation.

    La spécialisation des lycéens interviendrait dès la seconde avec un premier choix d’options à la fin du 1er semestre. Le rapport recommande d’organiser la seconde en semestres dès la rentrée 2018.

    L’organisation du futur bac : moins d’épreuves, un grand oral, la fin du rattrapage

    Le rapport préconise de remplacer les dix à quinze épreuves actuelles du baccalauréat en terminale par quatre épreuves finales. Deux épreuves, portant sur les deux majeures choisies par le lycéen, seraient organisées au retour des vacances de printemps, afin de pouvoir enregistrer les notes obtenues dans Parcoursup. Les deux autres épreuves portant sur la philosophie et le grand oral se dérouleraient en juin. Ces quatre épreuves finales et les épreuves de français (toujours en fin de première) compteraient pour 60% des points requis pour l’obtention du baccalauréat.

    Parmi les recommandations, figure également un grand oral de 30 minutes auprès d’un jury. Le lycéen y exposerait un projet interdisciplinaire mené dans l’année.

    Pour évaluer les autres matières qui ne seront plus sanctionnées par une épreuve terminale, plusieurs solutions sont avancées : recours au contrôle continu ou à des examens ponctuels en fin de semestre ou un mixte des deux.

    Enfin, les deux épreuves orales de rattrapage seraient remplacées par un examen du livret scolaire.

    Jean-Michel Blanquer ouvrira une concertation avec les syndicats pour décider de l’évolution du baccalauréat.

    Mots clés : Enseignement

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    Sur la toile publique

    Accès à l’université : le plan Étudiants - Focus, 31 octobre 2017, Vie-publique.fr 

  • SNCF : rapport Spinetta (13 03 2018)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 21 février 2018 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2018/qSEQ18020231G.html

     

    Question d'actualité au gouvernement n° 0231G de M. Olivier Jacquin (sénateur de Meurthe-et-Moselle)

     

    Madame la ministre chargée des transports, ma question porte sur le même sujet. Nous attendions tous, avec une certaine impatience, les conclusions du rapport Spinetta, tombées jeudi dernier. 

    Durant cette attente, je songeais à une révolution positive des transports, dans la continuité des propos du Premier ministre qui évoquait « une véritable refondation de la SNCF ». Je songeais au maillage territorial pour tous du XIXe siècle qui aurait été transcendé et adapté aux défis du XXIe siècle et des nouvelles mobilités.

     
    Je songeais à une véritable cure de jouvence pour notre SNCF, ce pilier de notre République, qui a contribué à unifier le territoire. Mais nous en sommes loin !

     
    Il y a bien sûr quelques bonnes idées et bons principes, mais, pour l'essentiel, nous sommes dans les vieilles recettes, et dans un conformisme libéral qui a montré ses limites appliquées au service public. 

    L'exemple type est la transformation en société anonyme de l'EPIC SNCF Réseau et Mobilités, au motif d'un endettement trop important, qui n'a évidemment pas été provoqué par les cheminots mais bien par les choix d'investissement de l'État. Dans cette société anonyme, le statut des cheminots ne pourra être amené à évoluer que par la négociation, et non par des effets d'annonce.

     
    Madame la ministre, à la suite de ce rapport, dans lequel la place de l'usager n'est encore que trop peu prise en compte, je vous pose plusieurs questions au nom du respect de la parole donnée. Souhaitez-vous maintenir cette approche française de la structuration du territoire par les mobilités ?  Pouvez-vous confirmer que les haltes TGV existantes ne seront pas supprimées alors même que certaines ont été cofinancées par les collectivités territoriales, comme dans ma région Grand Est ?

     

    Enfin, quels moyens seront dégagés pour financer les investissements pour les fameuses lignes à faible trafic prévus dans les contrats de plan État-région ? Quels types de financements peut-on imaginer afin de donner un avenir à ces lignes ?

     

    Réponse du Ministère auprès du ministre d'État, ministre de la transition écologique et solidaire, chargé des transports publiée dans le JO Sénat du 21/02/2018 p. 1577

     

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