Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

santé - Page 234

  • Bactérie E.coli : point (04 06 2011)

    Extraits d’un article publié le 3 juin 2011 sur le site de La Tribune (cliquer ici pour accéder au site de La Tribune)

    http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20110603trib000626560/la-bacterie-e.coli-identifiee-continue-de-faire-des-victimes.html

    La bactérie tueuse en Europe a été identifiée jeudi soir par des scientifiques comme étant résistante et très toxique, elle continue de faire des victimes. Des cas ont été signalés aux Etats-Unis…./…

    Des scientifiques chinois, qui ont analysé le génome de la souche qui a fait 17 morts et contaminé 1.500 personnes dans une dizaine de pays européens, ont noté qu'il contenait des gènes qui rendent la souche résistante à certaines classes d'antibiotiques…./…

     

    Pointée du doigt dans un premier temps par l'Allemagne avant que ses concombres ne soient mis hors de cause, l'Espagne a demandé des dédommagements pour le préjudice subi par les producteurs de fruits et légumes…/…

    Les experts de la santé recommandent aux personnes vivant en Allemagne ou y voyageant d'éviter de consommer des tomates, des concombres ou des salades crus. "Toute personne revenant d'Allemagne avec une maladie, dont une diarrhée sanglante, doit faire l'objet de toute urgence d'une attention médicale", a indiqué l'agence nationale britannique de protection de la santé…./…

  • Téléphonie mobile : perception des risques (03 06 2011)

    Téléphonie mobile : perception des risques

    Synthèse d’un rapport de MM. Nguyen-Thanh V., et Richard J.-B. intitulé « Les connaissances, perceptions et comportements des Français vis-à-vis des risques liés à la téléphonie mobile ». (Saint-Denis : INPES, Novembre 2009 : 77 p) publié le 07 avril 2010 sur le site de l’INPES (cliquer ici pour accéder au site de l ‘INPES et au texte intégral pdf du rapport)

    http://www.inpes.fr/

    http://www.inpes.fr/10000/themes/sante_environnement/pdf/perception-risques-telephonie-mobile.pdf

    Les connaissances, perceptions et comportements des Français vis-à-vis des risques liés à la téléphonie mobile

    La question des éventuels risques sanitaires liés à la téléphonie mobile fait l’objet d’une vive controverse largement relayée dans les médias. Qu’en retiennent les Français et comment leur perception de ces potentiels risques se traduit-elle dans leur comportement vis-à-vis de la téléphonie mobile ?

    Le public est le témoin de controverses entre experts sur l’impact sanitaire potentiel des ondes électromagnétiques, en particulier celles provenant des téléphones mobiles et de leurs antennes relais. Le caractère invisible et impalpable de ces ondes ajoute probablement à l’inquiétude et favorise les fantasmes. Pour faire face à cette inquiétude, et aider le public à s’y retrouver dans les débats scientifiques, les pouvoirs publics ont décidé d’amplifier l’information du public. Dans le cadre de la préparation de cette campagne d’information, l’INPES a réalisé entre avril et  novembre 2009 une étude sur les connaissances, perceptions et comportements des Français vis-à-vis des risques liés à la téléphonie mobile. Une enquête quantitative auprès d’un échantillon représentatif de 1 505 personnes construit selon la méthode des quotas, une étude qualitative et une analyse du traitement du sujet par les médias (presse et Internet) ont été réalisées.

    Un très fort attachement au téléphone portable, une perception des risques qui s’accroît

    Lire la suite

  • Douleur : évaluation de la prise en charge (2/2) (311 05 2011)

    Suite et fin de la Synthèse du rapport du Haut Conseil de la Santé Publique publié en mars 2011 sur le site du HCSP (cliquer ici pour accéder au site du HCSP ou au rapport complet pdf)

    http://www.hcsp.fr/explore.cgi/avisrapportsdomaine?ae=avisrapportsdomaine&clefdomaine=6&clefr=211&ar=a&menu=09

    http://www.hcsp.fr/docspdf/avisrapports/hcspr20110315_evaldouleur20062010.pdf

     

    Appréciation générale

    Le comite d’évaluation a réparti les mesures du plan en 2 catégories : les mesures visant à améliorer les conditions de prise en charge de la douleur (formation, élaborations de recommandations, études épidémiologiques) et les mesures concernant plus directement lamélioration de la prise en charge de la douleur proprement dite (structures, personnels, médicaments ou techniques antalgiques, etc). La plupart des avancées ont porté sur la première catégorie de mesures.

    Sur le plan financier, 21,4 millions € (sur les 26,7 millions € prévus) ont été engagés. Il ny pas eu de soutien à la création de nouveaux réseaux. Il na pas été possible d’établir si les crédits visant à financer la mise en place du groupe homogène de séjour (GHS) douleur ont été utilisés, au regard de la faible incitation liée au codage. Il savère que les sommes inscrites au titre du plan, mais financées par des crédits «  ordinaires »  de lAssurance.

    Selon les données financières transmises via le système informatique « ARBUST MIGAC » par les agences régionales dhospitalisation (ARH) à la Direction générale de loffre de soins (DGOS), le flux financier associé à la douleur est passé de 51,7 millions dEuros en 2006 à 62,6 millions en 2009, soit une progression de 10,9 millions dEuros. Avec ces chiffres, ne peut-on pas prétendre que la prise en charge de la douleur a été financée bien au-delà de ce que le programme national prévoyait, dans la mesure où les dotations des structures ont augmenté pendant la durée du programme ? Pourtant, en termes de ressources humaines, les témoignages émanant du terrain font plutôt état de la diminution des postes que de la création demplois, ce qui laisse penser (sous réserve dun bilan réel de lutilisation des crédits) que cet argent a probablement été utilisé à dautres fins au sein des établissements de santé.

    On peut alors conclure que le 3e plan a eu un impact important sur le milieu professionnel hospitalier en termes danimation ou dencouragement à linnovation, mais est passé à côté de son objectif damélioration de la prise en charge pour navoir pas assez pris en compte les contraintes exogènes que sont :

    -       L’organisation et le financement de lhôpital public ;

    -       les limites des incitations en direction de lindustrie pharmaceutique pour développer des nouvelles formes galéniques dantalgiques et demander des AMM ;

    -       le relatif isolement de la médecine libérale ;

    -       les conditions de rémunération imposées par lassurance maladie aux professionnels médicaux et non médicaux : des expérimentations de prises en charge forfaitaires, décidées par les centres antidouleur, et qui incluraient la prise en charge libérale, permettraient le développement dune filière de soins utile aux malades, la rémunération des psychologues et dautres professionnels non médicaux, létablissement dun lien pédagogique entre soignants avec une plus grande disponibilité des centres antidouleur.

    Lire la suite

  • Douleur : évaluation de la prise en charge (1/2) (30 05 2011)

    Début de la Synthèse du rapport du Haut Conseil de la Santé Publique publié en mars 2011 sur le site du HCSP (cliquer ici pour accéder au site du HCSP ou au rapport complet version pdf)

    http://www.hcsp.fr/explore.cgi/avisrapportsdomaine?ae=avisrapportsdomaine&clefdomaine=6&clefr=211&ar=a&menu=09

    http://www.hcsp.fr/docspdf/avisrapports/hcspr20110315_evaldouleur20062010.pdf

     

    Évaluation du plan d’amélioration de la prise en charge de la douleur 2006 – 2010

    Synthèse

    Le HCSP a été saisi le 7 mai 2010 par le ministère chargé de la santé pour mener l’évaluation du plan douleur 2006-2010. Un comite d’évaluation a été constitué, compose de 2 membres du HCSP, de 5 personnalités extérieures et de 3 personnes du secrétariat général du HCSP. La mission a travaillé par auditions : 35 personnes ont été auditionnées et 16 personnes ont remis des contributions écrites.

    Le niveau et les modalités de réalisation des 25 mesures du plan déclinant ses 4 priorités ont dans un premier temps été étudiés. La mission a ensuite réalisé une évaluation générale de la structuration et du déroulement du plan et a conclu sur une série de recommandations pouvant servir de base à la construction dun nouveau plan douleur. A lissue du travail dévaluation, les constats et appréciations suivants peuvent être énoncés.

    Priorité 1 : Améliorer la prise en charge des douleurs des populations les plus vulnérables

    Enfants et adolescents

    L’élaboration de recommandations sur le bon usage des médicaments de la douleur chez lenfant réalisée par lAgence francaise de sécurite sanitaire et des produits de santé (Afssaps) est une avancée importante. Cest un document de référence pour guider les professionnels dans leur pratique quotidienne. Toutefois, ces recommandations mériteraient dêtre mieux diffusées auprès des professionnels de santé.

    De gros efforts ont été faits dans la prise en charge et la prévention des douleurs aigües, en particulier liées aux soins. Mais il persiste de vraies difficultés pour accéder à des avis spécialisés dans la prise en charge de la douleur chronique, qui ne se limite pas au cancer (céphalées, rhumatologie, douleur neuropathique, handicap moteur) : le nombre de spécialistes et de structures spécialisées est très inférieur aux besoins, avec un accès très insuffisant aux techniques non pharmacologiques, en particulier psychocomportementales. Lutilisation en pédiatrie des médicaments existants en médecine adulte reste à développer, alors même que pour certains de ces médicaments lautorisation de mise sur le marché (AMM) pédiatrique existe dans dautres pays, mais pas en France.

    Linformation aux familles et aux enfants doit être plus largement diffusée. Enfin, dune manière générale, limpact des mesures prévues par les plans douleur sur la douleur des patients est insuffisamment mesuré, incitant à développer des études épidémiologiques.

    Personnes âgées

    Un état des lieux sur la prise en charge de la douleur des personnes âgées a été réalisé, mais antérieurement au plan et sa diffusion, limitée au milieu gériatrique, reste insuffisante.

    Un effort très important a été mené en matière de formation des soignants dans une logique systémique pour améliorer le repérage et la prise en charge de la douleur, la prescription de psychotropes, pour favoriser la bientraitance et mieux prendre en compte la souffrance psychique des personnes âgées, et enfin pour sensibiliser le personnel des institutions gériatriques à la démarche palliative. Le dispositif mis en place repose en grande partie sur le projet Mobiqual, via la création et la diffusion de kits de formation de formateurs. Les évaluations disponibles sont réalisées par les promoteurs du projet sur la base des retours de questionnaires remplis par les professionnels ayant utilisé les kits. Etant donné lambition du projet et son montant financier (1 million €), une évaluation indépendante et professionnelle aurait été hautement souhaitable. Il nen reste pas moins quun effort réel a été fait pour diffuser des recommandations et créer une « culture douleur ». Leffort a été très centré sur les institutions gériatriques et très peu a été fait pour les personnes âgées vivant à domicile ; or 90 % des personnes de plus de 75 ans vivent à domicile et une personne sur deux se plaint de douleur. Des formations destinées aux médecins généralistes et soignants intervenant à domicile (infirmières, kinésithérapeutes), voire aux aides de vie, sont indispensables pour une meilleure utilisation des antalgiques, une connaissance de liatrogénèse et une utilisation des techniques non médicamenteuses.

    Autres personnes vulnérables : handicap et psychiatrie

    Les handicapés et personnes atteintes de maladies mentales ont été les oubliés du plan. Très peu de mesures ont concerné les premiers, aucune les seconds, alors que ces populations sont très concernées par la douleur : dans une enquête récente du centre antidouleur de lhôpital St Jean de Dieu à Lyon « un jour donné », 60 % des 245 patients hospitalisés se plaignent de douleur et seuls 14 % ont été évalués par un soignant. Un travail sur le type dinstrument de mesure adapté aux différentes pathologies psychiâtriques est indispensable.

    Priorité 2 : Formation

    Lire la suite

  • lunettes : renouvellement (07 05 2011)

    Lunettes de vue : modalités de renouvellement

    Communiqué de presse publié le 14 avril 2011 sur le site de la Haute Autorité de Santé (cliquer ici pour accéder au site de la Haute Autorité de Santé)

    http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1046277/renouvellement-des-lunettes-de-vue-quelles-modalites

    Depuis 2007, la réglementation autorise les opticiens-lunetiers à adapter, dans le cadre d'un renouvellement de verres correcteurs, les prescriptions médicales initiales datant de moins de 3 ans. Cependant, les ophtalmologistes peuvent s’y opposer et les opticiens, dans certaines conditions, peuvent avoir à réorienter la personne vers l’ophtalmologiste avant la délivrance de lunettes. La Haute Autorité de Santé (HAS), saisie par le Ministère chargé de la santé et la Caisse Nationale d’Assurance Maladie des Travailleurs Salariés (CNAM-TS), publie une recommandation afin de préciser ces situations.

    Une adaptation de la réglementation pour optimiser le renouvellement des lunettes

    La loi* permet aux opticiens-lunetiers, dans le cadre d'un renouvellement, d’adapter les prescriptions médicales initiales de verres correcteurs datant de moins de 3 ans à l'exclusion de celles établies pour les personnes âgées de moins de 16 ans et sauf opposition du médecin. Les recommandations publiées aujourd’hui par la HAS précisent la coopération entre professionnels de santé de la filière visuelle et s’inscrivent dans un objectif visant à faciliter l’accès aux lunettes de vue.

    Renouvellement avec adaptation : une évaluation au cas par cas

    Lire la suite

  • Prévention et aide à distance en santé (30 04 2011)

    Prévention et aide à distance en santé

    Notice publiée le 21 février 2011 sur le site de l’INPES (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.fr/

    L’Inpes finance à ce jour 17 dispositifs d’aide à distance associant des lignes téléphoniques et des sites internet qui offrent au public des réponses personnalisées à leurs questions de santé.

    Ces dispositifs portent sur des champs variés en matière de prévention : addictions (tabac, alcool, cannabis, drogues, dépendance aux jeux), mal-être et suicide, santé des jeunes, VIH/sida et hépatites, maladies rares, asthme et allergies. Complémentaires des activités de l’Inpes, ces services sont intégrés aux programmes de prévention qui accompagnent les plans nationaux de santé publique. En 2010, les lignes ont enregistré plus de 1,2 millions d’appels et les sites internet associés plus de 4 millions de visites. Un projet de réorganisation et de modernisation engagé en 2010 par l’Institut est en cours. Il s’agit de renforcer la qualité de service offerte aux usagers, aussi bien en termes d’accessibilité que d’offres de services, pour être en adéquation avec l’évolution des besoins du public d’une part et des objectifs de prévention en santé publique d’autre part.

    COORDONNEES UTILES DES 17 DISPOSITIFS D’AIDE A DISTANCE EN SANTE FINANCES PAR L’INPES

    Lire la suite