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santé - Page 233

  • Journée mondiale de la vue (13 10 2011)

    Extrait d’une fiche publiée sur le site de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

     

    http://www.inpes.fr

    La Journée mondiale de la vue, mise en place par l’OMS le deuxième jeudi d’octobre est célébrée tous les ans pour sensibiliser l’ensemble du monde aux problèmes de la cécité, des déficiences visuelles et de la réadaptation des personnes malvoyantes. En 2011, l’accent est mis sur la santé des yeux et l’égalité d’accès aux soins. Tous les partenaires participant à la prévention des déficiences visuelles et aux soins permettant de recouvrer la vue participent à cette Journée. Elle constitue aussi la principale action de plaidoyer en faveur de la prévention de la cécité et de l’élimination de la cécité évitable de « Vision 2020 : le droit à la vue », initiative mondiale de l’OMS et de l'Organisation mondiale contre la cécité qui durera jusqu’en 2020 dans l’objectif de donner accès à tous au « droit à la vue ».

    Les maladies de la vision affectent la perception visuelle, dans l’un ou plusieurs de ses paramètres : acuité, champ visuel, perception des couleurs et des contrastes. On distingue les maladies 

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  • Maladie d’Alzheimer et médecine générale (2/2) (07 10 2011)

    Extraits (synthèse, introduction, recommandations HAS, discussions) d’une étude publiée le 23 juin 2011 sur le site de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES ou au rapport complet pdf)

     

    http://www.inpes.fr/

    http://www.inpes.fr/Barometres/Barometre-sante-medecins-generalistes-2009/pdf/accompagnement-alzheimer.pdf

     

    Prise en charge de la maladie d’Alzheimer et maladies apparentées (recommandations HAS)

     

    En mars 2008, la Haute Autorité de santé (HAS) a édité des recommandations afin d’homogénéiser les pratiques en matière de diagnostic et de prise en charge des patients ayant une maladie d’Alzheimer ou une maladie apparentée. Ces recommandations abordent entre autres : le diagnostic de la maladie d’Alzheimer et des autres démences les plus fréquentes, le diagnostic précoce et l’annonce du diagnostic, les traitements des symptômes comportementaux et psychologiques des démences, les interventions non médicamenteuses.

    Quelques extraits :

    «  Il est recommandé de poser le diagnostic de la maladie d’Alzheimer dès les premiers symptômes. Ce diagnostic nécessite une évaluation cognitive approfondie, réalisée de préférence dans le cadre d’une consultation mémoire spécialisée. » 

    «  Il est recommandé d’annoncer le diagnostic au patient. […] Si la personne en est d’accord, le diagnostic est communiqué à sa famille ou à la personne de son choix. […] L’annonce du diagnostic est faite en prenant en compte l’histoire de vie du patient, sa représentation de la maladie et ses craintes, ce qui peut nécessiter un travail préalable avec le médecin traitant et la famille. Le médecin qui a établi le diagnostic est responsable de son annonce. L’annonce se fait en coordination entre le spécialiste et le médecin traitant en charge de remplir le protocole de soins au titre d’affection longue durée (ALD). » 

    «  Le diagnostic ne se conçoit que dans le cadre d’un plan de soins et d’aides, qui comprend en fonction du stade de la maladie :

    une prise en charge thérapeutique médicamenteuse et non médicamenteuse ;

    une prise en charge médico-socio-psychologique coordonnée du patient et de son entourage ;

    d’éventuelles mesures juridiques. »

    «  Le suivi recommandé est pluridisciplinaire, piloté par le médecin traitant en collaboration avec un neurologue, un gériatre ou un psychiatre. Sa structuration dépend du contexte local et des ressources disponibles, mais tous les patients devraient bénéficier des dispositions proposées. »

    «  Un suivi rapproché par le médecin traitant est nécessaire, au minimum tous les trois mois, et davantage en fonction du contexte, éventuellement assisté d’un coordinateur paramédical.

    À chaque contact, il est recommandé :

    de s’enquérir du poids, de l’état nutritionnel et des constantes (pouls, tension) ;

    de surveiller attentivement toutes les comorbidités ;

    d’évaluer l’observance, la tolérance et l’efficacité des traitements pharmacologiques et des interventions non médicamenteuses ».

     

    DISCUSSION

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  • Maladie d’Alzheimer et médecine générale (1/2) (06 10 2011)

    Extraits (synthèse, introduction, recommandations HAS, discussions) d’une étude publiée le 23 juin 2011 sur le site de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES ou au rapport complet pdf)

     

    http://www.inpes.fr/

     

    http://www.inpes.fr/Barometres/Barometre-sante-medecins-generalistes-2009/pdf/accompagnement-alzheimer.pdf

     

    SYNTHESE

    L’accompagnement de personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer en médecine générale en 2009.

    En 2009, 92 % des médecins généralistes interrogés déclarent avoir suivi au cours des douze derniers mois au moins un patient atteint de la maladie d’Alzheimer, et 31 % déclarent en avoir accompagné plus de dix. Les médecins hommes, les  plus âgés, les médecins exerçant en secteur 1, déclarant vingt actes médicaux ou plus par jour, passant  de cinq à sept jours à leur cabinet, ne pratiquant qu’occasionnellement ou jamais un mode d’exercice particulier, mettant en œuvre systématiquement ou souvent des activités éducatives sont plus susceptibles d’avoir suivi au moins un patient atteint de la maladie d’Alzheimer au cours de la dernière année.

    Parmi les médecins comptant dans  leur patientèle des malades d’Alzheimer, quatre médecins sur cinq (81 %)  s’estiment suffisamment formés à la  communication avec les familles,  67 % à la communication avec les  patients, 60 % à l’annonce du diagnostic  et 51 % aux traitements non  médicamenteux de la maladie. L’âge, le sexe et le nombre de patients  Alzheimer suivis par an influencent  significativement la perception des médecins concernant leur niveau  de formation. Enfin, 41 % des médecins  déclarent connaître les recommandations  de la Haute Autorité de  santé (HAS) concernant le diagnostic et la prise en charge des patients  atteints de la maladie d’Alzheimer. Le niveau de formation perçu ainsi que la connaissance des recommandations influencent significativement les pratiques des médecins à  l’égard de l’annonce du diagnostic, de l’orientation des patients vers les spécialistes ou les services paramédicaux ou médico-sociaux.

    Parmi ces praticiens, 71 % estiment qu’ils annoncent systématiquement le diagnostic à la famille de  leurs patients, 8 % à leurs patients ;  32 % déclarent ne jamais annoncer le diagnostic à leurs patients. Les  médecins les plus jeunes et ceux qui  s’estiment suffisamment formés à  différents aspects de l’accompagnement  de la maladie d’Alzheimer sont  plus susceptibles d’annoncer le diagnostic  à leurs patients.

    Quatre médecins généralistes sur cinq (81 %) déclarent orienter systématiquement leurs patients atteints  de la maladie d’Alzheimer vers un  spécialiste, 36 % vers un service d’aide et de soins à domicile et 18 % vers un centre local d’information  et de coordination gérontologique (Clic). Ces deux derniers types de pratiques sont significativement corrélés entre eux.

    Un médecin sur cinq (22 %) ayant  suivi au cours de la dernière année des malades d’Alzheimer s’estime mal à l’aise avec ces patients. Près  de sept généralistes sur dix (68 %)  déclarent qu’il est facile de prendre en charge les comorbidités, 55 %  qu’il est facile de donner des informations sur les aides sociales disponibles,  52 % qu’il est facile de  coordonner les soins et les aides, et  26 % qu’il est facile de prendre en charge les troubles comportementaux.

    INTRODUCTION

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  • alzheimer : troubles du comportement (27 09 2011)

    www.francealzheimer-pyreneesatlantiques.org

    FRANCE ALZHEIMER PYRENEES ATLANTIQUES organise une réunion d'information sur le thème :

    "TENTER DE COMPRENDRE LES TROUBLES DU COMPORTEMENT

    DES PERSONNES ATTEINTES DE LA MALADIE D'ALZHEIMER OU D'UN TROUBLE APPARENTE"

    Mercredi 19 octobre 2011, de 18h00 à 19h30,

    A la salle de réunion de FAPA, au 100 avenue du Loup à Pau.

    Entrée gratuite et ouverte à tous, dans la limite des places disponibles. 

    Cette rencontre et le débat qui suivra, seront animés par Philippe GUILLAUMOT, Psychiatre.

    Isabelle DIAZ
    FRANCE ALZHEIMER PYRENEES ATLANTIQUES
    100 av. du Loup 64000 PAU
    Tél.: 05 59 80 16 37 - Fax : 05 59 84 34 03
    www.francealzheimer-pyreneesatlantiques.org

    Lien permanent Catégories : santé
  • Visiteurs médicaux : avenir (24 09 2011)

    Extraits d’un article de M. Thomas Monnerais publié le 20 septembre 2011 sur le site du Monde (cliquer ici pour accéder au site du Monde)

    http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/09/20/les-deputes-se-penchent-sur-l-activite-des-visiteurs-medicaux_1575017_3224.html

    Mardi 20 septembre, la commission des affaires sociales de l'Assemblée nationale examine pour la deuxième fois le projet de loi relatif au renforcement de la sécurité sanitaire du médicament et des produits de santé…/…

    Si le texte est voté en l'état, les visiteurs médicaux devront s'adresser à un collège de médecins et non plus à un seul praticien, en face à face. Une mesure expérimentale, qui ne sera tentée qu'en milieu hospitalier pendant deux ans, les médecins de ville n'étant pas concernés pour le moment…/…

    Réforme ou pas, le nombre de visiteurs médicaux décroît inexorablement. Ils étaient 25 000 en 2004, ils ne sont plus que 18 000 en 2011. En cause, la multiplication des médicaments génériques, la signature d'une charte encadrant leur profession et les fusions entre laboratoires…/…

     

  • Rougeole : mobilisation (22 09 2011)

    Note extraite de la lettre Equilibres n° 74 de septembre 2011 publiée sur le site de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.fr/

     

    Vaccination : Mobilisation contre la rougeole  (voir aussi dans ce blog la note du 4 avril 2011)

    Une épidémie de rougeole sévit en France. Plus de 20 000 cas ont ainsi été déclarés entre 2008 et juin 2011, contre 44 en 2007. Dans ce contexte, la Direction générale de la santé (DGS), en lien avec la Direction générale de l'enseignement scolaire (DGESCO) et la Direction générale de l’enseignement et de la recherche (DGER), lance avec le concours de l’Inpes et pour la deuxième année consécutive, une opération de sensibilisation à la rougeole avec la vérification du statut vaccinal des élèves de sixième et de terminale. Parallèlement, un site d’information dédié – www.info-rougeole.fr – a été créé.

     

    L’épidémie de rougeole est en constante progression depuis 2008 : plus de 14 000 cas ont déjà été notifiés au cours du premier semestre 2011 suivant les données de l’Institut de veille sanitaire (InVS). Des chiffres d’autant plus inquiétants que cette maladie infectieuse, contagieuse et parfois mortelle, n’est plus seulement une maladie infantile. Aujourd’hui, elle touche principalement les nourrissons de moins d’un an, les adolescents et les jeunes adultes, tranches d’âge chez qui les complications (pneumopathies et encéphalites notamment) sont plus fréquentes et qui nécessitent le plus souvent une hospitalisation.

    L’enjeu est donc de taille : il s’agit de mobiliser les professionnels de santé et de sensibiliser les parents, les élèves et les jeunes adultes. En effet, si plus de 95 % de la population née depuis 1980 était correctement vaccinée (deux doses de vaccin recommandées), la rougeole pourrait être éliminée. C’est pourquoi, elle était, pour la troisième année consécutive, la priorité nationale de la Semaine de la vaccination.

    Le milieu scolaire se mobilise

    En août 2011, pour accompagner l'opération de sensibilisation à la rougeole par la vérification des antécédents de vaccination ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole) des élèves de sixième et de terminale, l’Inpes a mis en place un plan de diffusion de supports d’information dans les collèges et lycées. Ainsi, dès la mi-septembre, près de 12 000 établissements recevront des exemplaires des affiches Épidémie de rougeole en France - Êtes-vous protégé ? et Calendrier vaccinal 2011 simplifié, ainsi que le dépliant Vaccination... Le point sur la rougeole – trois documents édités par l’Institut et destinés au personnel éducatif et aux infirmières scolaires. Par ailleurs, 2,5 millions d’exemplaires du dépliant Vaccination. Rougeole-Oreillons-Rubéole. 5 bonnes raisons pour se faire vacciner seront adressés aux établissements pour remise aux élèves et à leurs parents.

     Objectif de cette opération : informer sur la forte recrudescence de la rougeole en France, rappeler l’importance de la vaccination ROR et, en vérifiant le carnet de vaccination, inciter les parents à protéger leurs enfants s’ils ne le sont pas encore correctement.

    Internet et les réseaux sociaux au service de la vaccination

    Pour sensibiliser le plus grand nombre, l’Inpes a conçu le site dédié www.info-rougeole.fr, en partenariat avec la DGS, l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) et l'InVS. Opérationnel depuis août, ce site a pour vocation d’informer sur les modes de transmission de la rougeole, les symptômes, les complications ou encore la vaccination. Fonctionnel et accessible, il propose un contenu fiable, scientifiquement validé. Il comprend également une rubrique « Questions/Réponses » et renvoie vers des documents utiles. Enfin, il permet un partage de l’information via les réseaux sociaux ou par messagerie électronique.