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vie pratique - Page 402

  • Prix consommation : hausse février 2011 (22 03 2011)

    Extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note publiée le 18 mars 2011 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=29&date=20110315.html

    En février 2011, hausse des prix à la consommation : +0,5 %

    Évolution mensuelle : +0,5 % ; variation annuelle : +1,7 %

    En février 2011, l’indice des prix à la consommation (IPC) est en hausse de 0,5 %, après une baisse de 0,2 % au mois de janvier. Sur un an, il s’accroît de 1,7 % (+1,8 % en janvier). Hors tabac, l’indice est également en hausse de 0,5 % en février (+1,6 % sur un an). Corrigé des variations saisonnières (CVS), l’IPC augmente de 0,1 % (+1,7 % sur un an).

    La hausse des prix au mois de février provient essentiellement de l’accroissement des prix des produits pétroliers et de ceux des services dus à des augmentations saisonnières ou tarifaires, tandis que les prix des produits manufacturés sont stables.

    Poursuite du renchérissement de l’énergie

    En février 2011, l’énergie renchérit de nouveau (+1,1 %, après +3,7 % en janvier ; +15,0 % sur un an), dans le sillage de la hausse des prix du pétrole brut. Ce renchérissement est visible à la fois sur les prix des carburants (+1,4 % ; 17,3 % sur un an) et sur ceux des combustibles liquides (+3,9 % ; +29,4 % sur un an).

    Forte hausse des prix des services

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  • énergie et logements individuels (15 03 2011)

    Équipement de logements individuels en pompes à chaleur géothermiques ou aérothermiques

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 24 février 2011 su le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ101216452.html

    Question écrite n° 16452 de M. Roland Courteau (sénateur socialiste de l’Aude)

    M. Roland Courteau expose à Mme la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement que la programmation pluriannuelle des investissements de production d'énergie (PPI) retient un objectif de 1 200 ktep de pompes à chaleur individuelles en service en 2012 et 1 600 ktep en 2020.

    Il lui demande quelles initiatives elle compte mettre en œuvre pour favoriser l'équipement de logements individuels en pompes à chaleur géothermiques ou aérothermiques et à combien elle estime le nombre de logements devant être ainsi équipés pour que les objectifs fixés par le PPI soient considérés comme ayant été atteints.

    Réponse du Ministère de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement publiée dans le JO Sénat du 24/02/2011 - page 473

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  • Pollution de l'eau du robinet par l'aluminium (13 03 2011)

    Question orale de sénateur et réponse ministérielle publiées le 16 février 2011 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ10101056S.html

    Question orale sans débat n° 1056S de Mme Anne-Marie Payet (sénateur UC de La Réunion)

    Mme Anne-Marie Payet attire l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur le problème de la pollution de l'eau du robinet par le sulfate d'aluminium.

    Élément métallique le plus abondant dans l'écorce terrestre, l'aluminium est présent presque partout aujourd'hui : dentifrices, conditionnement des boissons, déodorants… À doses régulières, cette substance serait très néfaste pour la santé. De nombreux spécialistes recommandent de ne pas utiliser les produits qui en contiennent, notamment les capsules de café, les pansements gastriques, etc.

    Sauf à Paris, où l'on utilise depuis trente ans le traitement ferrique, les distributeurs d'eau potable ajoutent des sels d'aluminium afin de rendre l'eau plus claire. Selon Guy Berthon, ancien directeur de recherches au laboratoire de chimie du CNRS, « l'aluminium ne sert à rien dans l'organisme humain. Pire, à fortes doses ou à doses régulières, il est toxique. […] En trouver dans l'eau du robinet, c'est criminel. »

    La norme de 200 microgrammes d'aluminium par litre d'eau fixée par l'Organisation mondiale de la santé, l'OMS, est discutable : elle ne constitue qu'une référence de qualité, non une limite ; en l'absence de contrôle, les compagnies des eaux se permettent souvent de la dépasser, sans être tenues d'en informer le consommateur.

    Selon l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments, l'AFSSA, en 2007, 2,7 millions de Français ont bu une eau dont le taux de sels d'aluminium était supérieur à cette norme. Le danger, selon Guy Berthon, est que « si une partie est éliminée naturellement par les urines ou la barrière intestinale, une autre passe à travers ce mur de briques qu'est l'intestin grêle et se retrouve dans le sang puis le cerveau. Là, l'aluminium se dépose, durcit et ne peut plus repartir. »

    Certaines études ont mis en évidence le lien entre une eau potable trop chargée en aluminium et certains cas de démence dont les symptômes rappellent ceux de la maladie d'Alzheimer. En 1976, déjà, des cas de démence, de douleurs articulaires, de décalcification des os, d'anémie étaient apparus chez des insuffisants rénaux sous dialyse.

    L'aluminium est également présent sous forme d'hydroxyde dans les vaccins, dont il est censé renforcer l'action.

    Eu égard à ces éléments, je vous demande de bien vouloir me faire connaître les mesures que le Gouvernement entend prendre afin de remédier à cette situation.

    Réponse du Secrétariat d'État chargé de la santé publiée dans le JO Sénat du 16/02/2011 p. 1366

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  • Pétrole : hausse structurelle (11 03 2011)

    Extraits d’un article de Mme Audrey Garric publié le 8 mars 2011 sur le site du Monde (cliquer ici pour accéder au site du Monde)

    http://www.lemonde.fr/economie/article/2011/03/08/la-hausse-du-petrole-plus-structurelle-que-conjoncturelle_1489901_3234.html#ens_id=1466125.html

     

    …/… Une raison structurelle explique ces envolées : le jeu de l'offre et de la demande. "En 2010, la consommation mondiale de pétrole a fortement augmenté, tirée par la demande des pays émergents. Or, comme l'offre ne suit pas, du fait des quotas de production, les prix finissent pas augmenter",…/… Principaux pays concernés : la Chine, deuxième consommateur mondial de brut, dont la demande s'est envolée de 12 % en 2010, le Brésil, avec une hausse de 6 %, ou encore les Etats-Unis…/…

    Les crises tunisienne, égyptienne et libyenne et le risque de contagion à l'ensemble du Moyen-Orient ont renforcé un marché déjà tendu. Car s'il y a bien une chose que les marchés abhorrent, c'est l'incertitude…./…

    "Tant que la situation en Libye ne sera pas réglée, il n'y aura pas de baisse du prix du pétrole. Au mieux, il se stabilisera au cours du prochain trimestre. Mais il peut encore augmenter en cas de révolte dans d'autres pays du Moyen-Orient",…/…

    Au niveau macroéconomique, chaque hausse du pétrole se fait sentir sur le pouvoir d'achat, via les factures des transports et du chauffage, mais aussi de l'inflation des prix des biens de consommation, qu'entraîne la hausse des coûts de production pour les entreprises…./…

    Mais sur le long terme, la volatilité des cours du pétrole, n'étant pas conjoncturelle, n'est pas près de cesser. "Dans le sillage de ce qui a été entrepris à partir de 1973, il faut donc diminuer notre dépendance au pétrole, continuer à investir dans les autres sources d'énergie. La pire des attitudes serait d'attendre des jours meilleurs pour faire 'comme avant' !", conclut un éditorial du Monde…./…

  • prix consommation : janvier 2011 (28 02 2011)

    Note de l’INSEE publiée le 23 février 2011 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=29&date=20110223.html

    En janvier 2011, baisse des prix à la consommation : —0,2 %

    Évolution mensuelle : -0,2 % ; variation annuelle : +1,8 %

    En janvier 2011, l’indice des prix à la consommation (IPC) est en baisse de 0,2 %, après une augmentation de 0,5 % au mois de décembre. Sur un an, il s’accroît de 1,8 %, comme en décembre. Hors tabac, l’indice est également en baisse de 0,2 % en janvier (+1,7 % sur un an). Corrigé des variations saisonnières (CVS), l’IPC augmente de 0,3 % (+1,8 % sur un an).

    Le recul des prix, au mois de janvier, provient en grande partie de celui des prix des produits manufacturés, lié aux soldes d’hiver. Il est atténué par la forte hausse des prix de l’énergie : accroissement des prix des produits pétroliers et hausse des tarifs de l’électricité.

    Les prix des produits manufacturés diminuent

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  • Prix carburants (27 02 2011)

    Extraits d’un article de M. Fabien Piliu publié le 25 février 2011 sur le site de La Tribune (cliquer ici pour accéder au site de La Tribune)

    http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20110224trib000604025/le-prix-du-litre-d-essence-bientot-a-2-euros-.html

    La semaine prochaine, le prix moyen du litre de super sans plomb aura sans doute passé le cap de 1,50 euro. Un record jamais atteint en France. Et qui devrait allègrement être à nouveau battu dans les semaines qui viennent, compte tenu de l'évolution du pétrole brut. Mais à combien faudrait-il que le prix du baril grimpe pour que le litre dépasse les 2 euros ?.../…

    En juin-juillet 2008, le cours du Brent se mit à tutoyer les 150 dollars, provoquant une hausse record du litre de sans plomb à 1,497 €

    .../... en simplifiant un petit peu, on peut parvenir à un calcul simple qui prend en compte le cours du Brent - actuellement proche de 115 dollars le baril - , la marge de raffinage, d'environ 2 centimes selon l'UFC Que choisir, la marge de distribution, de 10 à 12 centimes, toujours selon l'association de consommateurs, la taxe intérieure sur les produits pétroliers (TIPP), de 60,69 centimes par litre, et le taux de TVA (19,6%).

    Sachant qu'un baril de brut contient 159 litres, une augmentation de son cours à 150 dollars ferait grimper le litre de sans plomb à 1,68 euro. S'il grimpe à 200 dollars, le litre passe à 1,96 euro. A 210 dollars, la barre symbolique des 2 euros le litre est franchie…./…