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finances - Page 127

  • Retraités du privé : pension moyenne (19 05 2015)

    Note de synthèse publiée le 29 avril 2015 sur le site Vie Publique (cliquer ici pour accéder au site Vie Publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/pension-base-retraites-du-prive-1032-euros-moyenne-pour-carriere-complete.html?xtor=EPR-56.html

    Pension de base des retraités du privé : 1032 euros en moyenne pour une carrière complète

    La Caisse nationale d’assurance vieillesse (Cnav) vient de publier les chiffres clés 2014 du régime général de base des salariés de l’industrie, du commerce et des services (hors fonctionnaires, indépendants).

    Au 31 décembre 2014, 13,69 millions de retraités touchent une pension du régime général (pension personnelle ou de réversion), dont 12,86 millions une pension personnelle ("droits directs"). Le montant mensuel moyen de la pension personnelle de base pour une carrière complète passe de 1028 euros en 2013 à 1032 euros en 2014, avec 1123 euros en moyenne pour les hommes et 921 euros en moyenne pour les femmes. L’âge moyen de l’ensemble des retraités du régime général s’établit à 73,6 ans en 2014, avec une moyenne de 72,6 ans pour les hommes et 74,4 ans pour les femmes.

     

    Au cours de l’année 2014, 635 715 personnes ont fait valoir leurs droits à la retraite (pension personnelle). Elles avaient en moyenne 62,3 ans (61,9 ans en moyenne pour les hommes et 62,6 ans pour les femmes). Le nombre de retraites anticipées "carrière longue" est en légère hausse avec 150 281 départs en 2014, contre 147 208 en 2013. Depuis la mise en place de ce dispositif en 2004, ce sont plus d’un million d’assurés qui ont bénéficié d’un départ au titre des carrières longues, sur près de 6,9 millions de départs en retraite personnelle sur cette période.

  • Tarifs des péages autoroutiers (08 05 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 16 avril 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2015/qSEQ150114418.html

    Question écrite n° 14418 de M. Roland Courteau (sénateur de l’Aude)

     

    M. Roland Courteau s'étonne auprès de M. le ministre des finances et des comptes publics de la hausse régulière, depuis la privatisation du secteur autoroutier (2005-2006), des tarifs de péages autoroutiers.

     
    Il observe que les statistiques démontrent que ces augmentations des péages se sont faites, depuis, de façon très importante.

     
    Il lui fait remarquer que, certes, ces sociétés, se doivent d'exploiter, entretenir, voire procéder à l'extension des infrastructures. Pourtant, la rentabilité est telle et les financements dégagés suffisamment importants qu'elles pourraient, dans le même temps, limiter et même réduire les tarifs des péages.

     
    Il lui demande donc de bien vouloir lui faire connaître son sentiment par rapport à cette situation et les mesures qu'il entend prendre pour y mettre un terme. 

     

    Réponse du Secrétariat d'État, auprès du ministère de l'écologie, du développement durable et de l'énergie, chargé des transports, de la mer et de la pêche publiée dans le JO Sénat du 16/04/2015 p. 892

     

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  • Pensions de retraite : retards de paiement (06 05 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 26 mars 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ131109282.html

     

    Question écrite n° 09282 de M. Antoine Lefèvre (sénateur de l’Aisne)

     

    M. Antoine Lefèvre attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur les importants retards de paiement des pensions aux nouveaux retraités, en particulier en Picardie. La cause en serait le décret n° 2012-847 du 2 juillet 2012 relatif à l'âge d'ouverture du droit à pension de vieillesse, entré en application début novembre 2012. Cette possibilité donnée aux salariés d'anticiper leur départ à la retraite aurait surchargé de travail les caisses d'assurance retraite et de la santé au travail (Carsat).

     

    Certains retraités ont vu arriver le premier versement avec plus de quatre mois de retard, et la moyenne serait d'au moins un mois. Or, de nombreuses personnes sont en situation précaire, aggravée par ces retards, entraînant des difficultés financières importantes. Au niveau national, en juin 2013, plus de 200 000 dossiers étaient en attente de traitement. Certains évoquent la réduction des personnels, la complexité du système de collecte des informations, mais aussi celle du décret lui-même.

     
    Aussi, il lui demande de bien vouloir veiller à mettre à disposition de la Caisse nationale de l'assurance vieillesse de travailleurs salariés (CNAVTS) les moyens nécessaires pour résorber au plus vite ce dysfonctionnement, et faire en sorte que tout un chacun reçoive sa pension en temps et en heure. 

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmespubliée dans le JO Sénat du 26/03/2015 p.668

     

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  • Maisons de Retraite : tarification (04 05 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 26 mars 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ140311022.html

     

    Question écrite n° 11022 de M. Christian Cambon (sénateur du Val-de-Marne)

     

    M. Christian Cambon attire l'attention de Mme la ministre déléguée auprès de la ministre des affaires sociales et de la santé, chargée des personnes âgées et de l'autonomie, sur les abus de facturation de services non mentionnés ou non honorés dans des maisons de retraite. 

    La direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) dénonce le manque de transparence des politiques tarifaires constatées dans des maisons de retraite.

     
    Alors que les familles sont souvent désemparées face au décès de leur parent, l'établissement peut parfois facturer la chambre le mois entier alors que le défunt l'a quittée en début de mois. Il peut également exiger des frais d'assainissement des lieux non mentionnés dans le contrat initial. Les prestations effectuées par des professionnels extérieurs, comme les services d'un coiffeur, d'esthéticienne ou de pédicure-podologue ne sont pas toujours affichées. Les clients découvrent la facture à régler une fois le service effectué.

     
    Lors de l'inscription dans un établissement qui accueille des personnes âgées, le locataire ou son représentant légal doit signer un contrat comprenant la charte des droits et libertés de la personne logée et le règlement du fonctionnement. Ce livret d'accueil est obligatoire mais il n'est pas toujours transmis ou ne mentionne pas tous les tarifs des prestations proposées ou obligatoires. 

    Il lui demande quelles mesures elle souhaite mettre en place pour protéger les personnes âgées et leur famille face à ces abus. 

     

    Réponse du Secrétariat d'État, auprès du ministère de l'économie, de l'industrie et du numérique, chargé du commerce, de l'artisanat, de la consommation et de l'économie sociale et solidaire publiée dans le JO Sénat du 26/03/2015 p. 678

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  • Médecins : dépassements d’honoraires (24 04 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 26 mars 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ141013248.html

     

    Question écrite n° 13248 de M. Michel Le Scouarnec (sénateur du Morbihan)

     

    M. Michel Le Scouarnec attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes sur les dépassements d'honoraires pratiqués par les médecins. En effet, le montant total des dépassements d'honoraires a augmenté de 2,9 % en 2013 pour atteindre 2,7 milliards d'euros. Pourtant, la signature du contrat d'accès aux soins (CAS) entre l'assurance maladie et les médecins pour faire reculer les dépassements d'honoraires devait remédier à cette situation. Un an après son entrée en vigueur, il semblerait que ce contrat soit passé à côté de son objectif. En réalité, ce dispositif aurait ouvert les vannes en autorisant des praticiens jusque-là tenus de respecter les tarifs de l'assurance maladie à pratiquer des dépassements d'honoraires.

     

    Dans un rapport relatif aux relations conventionnelles entre l'assurance maladie et les professions libérales de santé, réalisé à la demande de la commission des affaires sociales du Sénat et rendu public en juin 2014, la Cour des comptes déplorait qu'à l'entrée en vigueur du CAS, « 27 % des signataires provenaient du secteur 1 », signifiant qu'il y avait plus de médecins facturant des dépassements d'honoraires. Certes, conformément à l'accord, ceux-ci sont désormais encadrés et le taux moyen de dépassement s'est stabilisé autour de 56 %. Mais ces deux données ne représentent pas grand-chose au regard de l'afflux de nouveaux médecins appliquant des dépassements. Cette évolution à la hausse va encore compliquer l'accès aux soins. Les patients vont avoir plus de mal à se soigner aux tarifs de l'assurance maladie.

     

    Dans beaucoup de zones du territoire, le choix sera encore plus restreint, laissant craindre que seuls des praticiens appliquant des dépassements d'honoraires seront présents sur un bassin de vie. Or, nombre de nos concitoyens n'ont pas les moyens d'adhérer à une complémentaire santé pouvant prendre en charge ces frais supplémentaires, rompant ainsi l'égal accès aux soins pour tous et partout. L'aggravation prévisible de la situation montre qu'il est urgent d'envisager de nouvelles mesures pour un meilleur plafonnement des dépassements et surtout une revalorisation des tarifs de base des médecins. C'est pourquoi il lui demande les dispositions envisagées en la matière.

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes publiée dans le JO Sénat du 26/03/2015 p. 673

     

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  • Pétrole et matières premières : prix mars 2015 (23 04 2015)

    Nous vous proposons une note d’analyse publiée le 17 avril 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=79&date=20150417.html

    En mars 2015, le prix du pétrole augmente légèrement  Prix du pétrole et des matières premières importées – mars 2015

    Avertissement : Comme chaque année en mars, les coefficients de pondération ont été actualisés pour l’année en cours, conduisant à une révision des indices agrégés depuis le début de l’année.

    En mars 2015, le prix du pétrole en euros croît de nouveau (+1,1 %) mais plus modérément qu’en février (+22,5 %). Il s’établit à 51,6 € en moyenne par baril de Brent. Les prix en euros des matières premières importées hors énergie augmentent (+2,7 %), tant pour les matières premières alimentaires (+2,6 %) que pour les matières premières industrielles (+2,7 %).

    Le prix du pétrole en euros augmente légèrement

    En mars, le prix du baril de pétrole de la mer du Nord (Brent) fléchit en dollars (-3,7 % après +19,6 %) dans un contexte de production mondiale encore abondante et de niveaux de stocks importants aux États-Unis. En euros, la hausse du prix du Brent est plus modérée en mars (+1,1 %) qu’en février (+22,5 %), la monnaie européenne continuant de se déprécier par rapport au dollar (–4,7 % en mars 2015).

    Les prix des matières premières industrielles restent dynamiques

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