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vie pratique - Page 388

  • Rappels de produits (21 11 2011)

    Extraits des rappels récents de produits publiés en septembre, octobre et novembre sur le site du Ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site du Ministère de l’Economie)

    http://www.economie.gouv.fr/dgccrf/securite/alertes/Rappels-de-produits.html

    NDLR : Les rappels en italiques ci-dessous ont été déjà présentés dans notre fiche précédente du 21 octobre dernier

    09/11/11 Avis de rappel du produit « Gnocchi à Poêler » de marque Panzani
    Présence de sachets de gnocchi avec du fromage dans des étuis cartons « Gnocchi à poêler » simples.

    25/10/11 Avis de rappel d’un filet de trampoline de marque Domyos
    Le filet n'est pas suffisamment résistant.

    17/10/11 Avis de rappel d’une tyrolienne par la Société MOTTEZ SAS
    Chaque poignée de la tyrolienne est lestée de l'intérieur par une masse cylindrique en métal. En raison d’une défectuosité de sa fixation, cette masse peut se détacher et tomber sur la tête de l’enfant.

    17/10/11 Avis de rappel de chips de marque Carrefour discount
    Risque de présence de morceaux de verre

    05/10/11 Avis de rappel de deux références de gants de jardinage de marque Casino
    Teneur en Chrome hexavalent trop élevée et susceptible d’entraîner des risques pour la santé des utilisateurs.

    05/10/11 Avis de rappel d’une poussette de marque Bugaboo
    Défectuosité des roulements des roulettes avant pivotantes, pouvant entraîner leur blocage, voire le renversement de la poussette.

    30/09/11 Avis de rappel de kits Grande Cuisine et kits chantilly espuma par les magasins E. Leclerc

    21/09/11 Avis de rappel de Mini crêpière/Mini Wok de marque CARREFOUR HOME
    Risque de brûlure au niveau du manche. Non conformité à la Directive Basse Tension et à la norme européenne EN60335-2-9 A12

    08/09/11 Avis de rappel des conserves fabriquées par la société La Ruche et commercialisées sous les marques « Les Délices de Marie Claire », « Terre de Mistral » et « Le Secret d’Anaïs »

    Présence de toxine botulique de type A.

  • Personnes Agées : maltraitance (18 11 2011)

    Personnes Agées : maltraitance. lutte et prévention

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 1er novembre 2011 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-81198QE.htm

    Question n° 81198 de M. Jacques Remiller (député Union pour un Mouvement Populaire – de l’Isère)

    M. Jacques Remiller appelle l'attention de Mme la secrétaire d'État chargée des aînés sur les actes de maltraitance observés dans certains établissements accueillant des personnes âgées. Au regard du vieillissement de la population, ce phénomène de maltraitances envers les personnes âgées ne peut malheureusement que se développer. Des attitudes sont à modifier, notamment dans le domaine de la prévention.

    Il lui demande quelles mesures sont prises pour faciliter la découverte de ces comportements insupportables à l'égard des personnes âgées et les faire disparaître en sanctionnant les responsables de ces actes.

    Réponse du Ministère des Solidarités et de la cohésion sociale publiée au JO le 14/06/2011 p. 6347

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  • Economie sobre en carbone : 2020-2050 (3/3) (17 11 2011)

    Fin des Extraits (résumé, sommaire, conclusion) d’un rapport (Christian de Perthuis, Johanne Buba, Aurélien Million, Pascale Scapecchi, Olivier Teissier, Elise Martinez et Dominique Auverlot) publié le 7 novembre 2011 sur le site du Centre d’Analyse Stratégique (cliquer ici pour accéder au site du CAS)

    http://www.strategie.gouv.fr/content/trajectoires-2020-2050-vers-une-economie-sobre-en-carbone-rapport.html

     

    Trajectoires 2020-2050 vers une économie sobre en carbone

    NDLR : nous vous proposons sur 3 jours des extraits significatifs d’un rapport long et riche qui porte sur un enjeu majeur de notre siècle : économie et effet de serre

    Résumé (1/3 et 2/3)

    Sommaire (3/3)

    Conclusion (3/3)

     

     

    SOMMAIRE

    Résumé pour décideurs ....................................................................................................................9

    Introduction ................................................................................................................................... 19

    Chapitre 1 - Le contexte et les questions posées.................................................................. 21

    1. Le triple jeu d’engagements déjà pris par la France........................................................ 21

    2. Une déconnexion partielle entre émissions observées et croissance économique,

    bien insuffisante pour atteindre le « facteur 4 » ............................................................... 22

    3. Le « facteur 4 » français et le « facteur 5 » européen sont-ils compatibles ?............ 26

    4. Comment les objectifs européens et français s’intègrent dans la négociation

    climatique internationale ? ............................................................................................................ 28

    5. Quelle trajectoire viser entre aujourd’hui et 2050 ? ......................................................... 29

    6. Le jalon 2020 et les choix politiques à prendre en Europe : faut-il remonter

    l’engagement de – 20 % ? ................................................................................................................. 32

    7. Faut-il introduire d’autres jalons intermédiaires et les proposer au plan européen ? ..... 35

    Chapitre 2 - Ce que font nos partenaires européens ................................................................. 37

    1. Les émissions de GES en Europe : des évolutions à géométrie variable........................ 37

    2. Le positionnement des pays par rapport aux objectifs 2020 et 2050 ............................. 40

    3. Les modes de gouvernance de la politique climatique ............................................................. 42

    4. Une panoplie d’instruments pour orienter le secteur électrique vers le bas carbone..... 44

    5. Le lien entre politique climatique, R&D et stratégies industrielles ................................... 45

    6. Les incitations économiques à l’égard du « secteur diffus » ........................................... 47

    7. Les innovations en matière de financement .................................................................... 49

    Chapitre 3 - Construction de trajectoires sectorielles françaises ................................... 51

    1. Hypothèses et limites des trois scénarios étudiés........................................................... 51

    2. Énergie : plusieurs voies possibles vers un système bas carbone.................................. 54

    3. Industrie : poursuivre les gains d’efficacité énergétique et agir sur les filières ............... 59

    4. Bâtiments : l’inertie du parc et le rythme de sa rénovation ............................................. 62

    5. Transports : le rythme de l’électrification, l’organisation des transports urbains

    et la marchandise .............................................................................................................. 65

    6. Vers une agriculture « écologiquement intensive »............................................................... 68

    7. Forêt et puits de carbone : l’enjeu de la préservation du puits forestier ......................... 71

    8. Comparaisons avec les résultats de la feuille de route européenne ............................... 73

    9. Assurer les cohérences spatiales, industrielles et économiques .................................... 75

    Chapitre 4 - Les impacts économiques...................................................................................... 77

    1. Un exercice de modélisation français .............................................................................. 77

    2. La répartition des réductions d’émission dans le temps : les gains de

    l’action précoce..................................................................................................................... 78

    3. Une répartition sectorielle de l’effort qui souligne l’hétérogénéité des secteurs.... 81

    4. Les impacts sur la croissance de l’économie et de l’emploi suivant le mode de

    recyclage de la valeur carbone .............................................................................................. 82

    5. Les ruptures technologiques nécessitent des instruments spécifiques................... 83

    6. La question du financement et son lien avec le prix du carbone ................................ 84

    7. Les conditions sociales de la transition vers une économie sobre en carbone ........ 86

    8. Analyse des impacts pour la France d’un rehaussement de l’objectif européen de

    réduction d’émission en 2020.............................................................................................. 87

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  • Economie sobre en carbone : 2020-2050 (2/3) (16 11 2011)

    Suite des Extraits (résumé, sommaire, conclusion) d’un rapport (Christian de Perthuis, Johanne Buba, Aurélien Million, Pascale Scapecchi, Olivier Teissier, Elise Martinez et Dominique Auverlot) publié le 7 novembre 2011 sur le site du Centre d’Analyse Stratégique (cliquer ici pour accéder au site du CAS)

    http://www.strategie.gouv.fr/content/trajectoires-2020-2050-vers-une-economie-sobre-en-carbone-rapport.html

     

    Trajectoires 2020-2050 vers une économie sobre en carbone

    NDLR : nous vous proposons sur 3 jours des extraits significatifs d’un rapport long et riche qui porte sur un enjeu majeur de notre siècle : économie et effet de serre

    Résumé (1/3 et 2/3)

    Sommaire (3/3)

    Conclusion (3/3)

     

     

    Résumé

    …/…

    3. Les différents scénarios possibles. Dans le cadre du temps qui lui a été imparti, le Comité n’a pas multiplié les travaux de scénarisation mais a étudié trois trajectoires, déclinées par secteur, qui aboutissent toute à une réduction de 75 % des émissions de gaz à effet de serre en 2050. La différence entre ces trois trajectoires est qu’elles passent par trois points différents en 2020, correspondant à trois options possibles au plan communautaire (- 20, - 25 ou - 30 % d’objectifs de réduction) et aboutissent au plan national à des réductions comprises entre 33 et 41 % en 2030 (voir le tableau 2 annexé à ce texte). Si la question du rehaussement de l’objectif européen n’a pas fait l’objet de consensus au sein du comité, les travaux de modélisation et d’analyse réalisés permettent d’évaluer les paramètres à prendre en compte pour la décision :

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  • Economie sobre en carbone : 2020-2050 (1/3) ( 15 11 2011)

    Début des Extraits (résumé, sommaire, conclusion) d’un rapport (Christian de Perthuis, Johanne Buba, Aurélien Million, Pascale Scapecchi, Olivier Teissier, Elise Martinez et Dominique Auverlot) publié le 7 novembre 2011 sur le site du Centre d’Analyse Stratégique (cliquer ici pour accéder au site du CAS)

    http://www.strategie.gouv.fr/content/trajectoires-2020-2050-vers-une-economie-sobre-en-carbone-rapport.html

     

    Trajectoires 2020-2050 vers une économie sobre en carbone

     

    NDLR : nous vous proposons sur 3 jours des extraits significatifs d’un rapport long et riche qui porte sur un enjeu majeur de notre siècle : économie et effet de serre

    Résumé (1/3 et 2/3)

    Sommaire (3/3)

    Conclusion (3/3)

     

     

    Résumé (1/3)

    Les informations en provenance de la communauté scientifique appellent à un changement rapide de trajectoires des émissions de gaz à effet de serre (GES) dans le monde pour éviter un réchauffement moyen de la planète supérieur à 2°C : d’après les scénarios du Groupement intergouvernemental des experts sur le climat (GIEC), une division par deux des émissions mondiales à l’horizon 2050, soit une réduction de 80 à 95 % au sein des pays développés. Les travaux du Comité ont exploré les meilleures voies pour y contribuer en France.

    Les orientations à prendre doivent tenir compte d’une double donne. D’une part, les négociations internationales menées dans le cadre des Nations Unies, malgré des avancées techniques, ont peu de chance d’aboutir à échéance rapide à un accord international ambitieux. D’autre part, l’économie n’a pas connu de reprise forte à la suite de la violente récession de 2008-2009, alors même que la situation financière des États s’est affaiblie et qu’un doute s’est installé à l’égard des dettes souveraines au sein de la zone Euro.

    Dans un tel contexte, les travaux du Comité ont suivi un fil conducteur : rechercher les voies d’une politique climatique qui conjugue ambition élevée sous l’angle de la réduction des émissions de gaz à effet de serre et impacts positifs sur la croissance économique, la compétitivité industrielle et l’emploi. Une action ambitieuse face au changement climatique pourra contribuer au redressement de notre économie et à la constitution de nouveaux avantages comparatifs dans la compétition internationale si deux conditions sont réunies :

    - intégrer beaucoup plus directement que par le passé la politique climatique à une stratégie conjuguant politique de développement des filières industrielles, effort de recherche et développement et diffusion de l’innovation au sein du tissu économique ;

    - crédibiliser les instruments de l’action publique en construisant une gouvernance qui rende prévisibles à long terme les objectifs fixés aux agents économiques et les incitations économiques qui les aideront à les atteindre, notamment grâce à une généralisation de la tarification du carbone dans l’économie. Ces orientations d’ensemble se déclinent suivant quatre axes : l’analyse du contexte européen, la construction de trajectoires sectorielles françaises, le diagnostic des scénarios envisageables et l’identification des instruments à mettre en place.

     

    1. Le contexte européen

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  • Virus de l’Hiver (12 11 2011)

    Note publiée le 24 octobre 2011 sur le site de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.fr/.html

     Les bons gestes pour limiter la transmission des virus de l’hiver

    Ils s’invitent chaque année aux premiers frimas et envahissent notre système respiratoire ou digestif… Ce sont les virus saisonniers de l’hiver, responsables de rhumes, rhinopharyngites, grippes, bronchites, bronchiolites et gastro-entérites. Comment se propagent-ils, comment s’en protéger ? Cet automne, l’Inpes met l’accent sur les « gestes barrières » comme le lavage des mains. L’Institut rediffusera du 2 au 29 novembre à la télévision et au cinéma « Avec ou sans les mains ? », un spot humoristique mettant en scène des activités de la vie quotidienne comme faire ses courses, lire une carte de restaurant, retirer de l’argent à un distributeur automatique ou porter ses enfants avec… les coudes.

    Chaque année la grippe touche environ 2,5 millions de personnes et la gastro-entérite une personne sur douze. Les virus respiratoires se transmettent par :

    ·    les postillons, les éternuements, la toux, la salive et les mains des personnes infectées

    ·    le contact d’objets (jouets, doudous, tétines, boutons d’ascenseur, couverts, etc.) contaminés

    ·    ou simplement par l’air confiné, lorsque le malade occupe une pièce fermée (chambre, salle d’attente, etc.).

    La gastro-entérite peut-être d’origine bactérienne ou virale. Dans le cas des gastro-entérites aiguës inflammatoires, ce sont des bactéries qui pénètrent dans la muqueuse de l'intestin. Les gastro-entérites non inflammatoires sont dues à des bactéries type staphylocoque doré ou à des virus comme le rotavirus ou l'adénovirus. Ces derniers sont ingérés avec des aliments contaminés ou par contact avec des surfaces ou des objets contaminés. Une fois dans l'organisme, les germes se multiplient et perturbent le fonctionnement de l'intestin. Généralement anodins chez l'adulte, ces virus sont très courants chez l'enfant, spécialement les enfants âgés de 4 mois à 3 ans qui fréquentent des garderies ou des crèches. Chez le nourrisson, les diarrhées peuvent entraîner une déshydratation sévère pouvant nécessiter une hospitalisation.

    Adopter les « gestes barrières »

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