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vie pratique - Page 395

  • Soleil : protection (21 07 2011)

    Fiche d’information publiée sur le site de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.prevention-soleil.fr/dangers-soleil.html

    SE PROTEGER DU SOLEIL, C’EST PROTEGER SA SANTE

    POURQUOI LES DANGERS DU SOLEIL SONT LES ULTRAVIOLETS ?

    PARCE QUE LES DANGERS DU SOLEIL SONT LES ULTRAVIOLETS

    Le rayonnement ultraviolet est totalement invisible pour l’œil humain et ne procure aucune sensation de chaleur. On est exposé sans s’en rendre compte.

     

    PARCE QU’IL Y A DEUX TYPES DE RAYONNEMENT ULTRAVIOLETS

    On distingue deux sortes d’UV : les UVA pénètrent profondément dans la peau et accélèrent son vieillissement. Cela accentue l’apparition et le développement des rides et taches brunes. Les UVB agissent au niveau de l’épiderme en stimulant la production de mélanine, ce qui donne le teint halé.

     

    PARCE QU’ILS PROVOQUENT DES COUPS DE SOLEIL

    Ce sont les UVA et les UVB qui, en trop forte dose, provoquent des coups de soleil et, à terme, peuvent causer des dommages irréversibles sur la santé. Même bronzé, il faut continuer de se protéger.

     

    PARCE QUE L’EXPOSITION INTENSE AUX UV PEUT AUSSI PROVOQUER DES LESIONS OCULAIRES TRES SERIEUSES

    Les ultraviolets sont absorbés par le cristallin, contribuant à accélérer la formation de cataractes, c’est-à-dire l’opacification du cristallin qui va progressivement empêcher la lumière d’atteindre la rétine, jusqu’à l’aveuglement.

    PARCE QU’ON PEUT DÉCLENCHER DES CANCERS CUTANES

    Il y a 2 types de cancers résultant de l’exposition aux rayonnements UV : les carcinomes, cancers qui touchent la couche superficielle de l'épiderme, et les mélanomes, tumeurs malignes qui se développent sur les mélanocytes, que l’on trouve dans la peau, les muqueuses, mais aussi les yeux.

     

    POURQUOI SE PROTEGER DES RAYONS DU SOLEIL ?

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  • Ambroisie : plante allergène (19 07 2011)

    Fiche publiée le 29 juin 2011 sur le site du Ministère de la Santé (cliquer ici pour accéder au site du Ministère de la Santé)

    http://www.sante.gouv.fr/l-ambroisie-plante-tres-allergisante-doit-etre-eliminee-avant-le-demarrage-de-sa-floraison.html

    L’ambroisie, plante très allergisante, doit être éliminée avant le démarrage de sa floraison

    L’ambroisie est une plante annuelle dont le pollen est très allergisant pour l’homme. Il suffit de quelques grains de pollen par mètre cube d’air pour que les symptômes apparaissent chez les sujets sensibles. Les plus courants sont : rhinite survenant en août-septembre et associant écoulement nasal, conjonctivite et symptômes respiratoires tels que la trachéite, la toux, et parfois urticaire ou eczéma. Dans 50% des cas, l’allergie à l’ambroisie peut entraîner l’apparition de l’asthme ou provoquer son aggravation.

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  • Détecteurs de fumée : habitat collectif(18 07 2011)

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 31 mai 2011 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-94566QE.htm

    Question n° 94566 de M. Rudy Salles (député Nouveau Centre des Alpes-Maritimes)

    M. Rudy Salles attire l'attention de M. le secrétaire d'État auprès de la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement, chargé du logement, sur la prévention des incendies dans les parties communes des immeubles.

    En effet, la loi n° 2010-238 du 9 mars 2010 visant à rendre obligatoire l'installation de détecteurs de fumée dans les lieux d'habitation ne prévoit rien pour les parties communes (escaliers, caves ou encore ascenseurs) des immeubles. Or les départs de feu se font souvent dans ce type de lieux.

    Il lui demande l'avis du Gouvernement sur l'extension du dispositif de prévention des incendies aux parties communes des immeubles.

    Réponse du Ministère du Logement publiée au JO le 31/05/2011 p. 5849

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  • Algues vertes (15 07 2011)

    Extraits d’un article de M. Grégoire Allix fondé sur un entretien avec M. Alain Menesguen, directeur de recherche à l'Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (Ifremer), publié le 14 juillet 2011 sur le site du Monde (cliquer ici pour accéder au site du Monde).

    http://www.lemonde.fr/planete/article/2011/07/14/algues-vertes-une-fuite-en-avant-qui-ne-s-attaque-pas-a-l-origine-du-mal_1548638_3244.html

    …/… L'appui du monde agricole vaut-il 1 ou 2 marées vertes ? …/… Nicolas Sarkozy, s'exprimant sur le sujet des algues vertes lors d'une visite à Crozon (Finistère), refusait "de désigner des coupables, de montrer du doigt les agriculteurs", et dénonçait les "intégristes" de l'écologie. …/… Le chef de l'Etat a affirmé 2 priorités pour enrayer le phénomène : ramassage des algues et développement de la méthanisation, qui transforme en biogaz le lisier riche en azote.

    …/… Dopée par les rejets d'azote dus à l'agriculture et à l'élevage et par une météo favorable, la prolifération des algues vertes s'est accentuée cette saison : fin juin, 25 000 m3 avaient été ramassés en Bretagne, le double de juin 2010.

    La responsabilité de l'agriculture est-elle une certitude ? « …/… On a longtemps accusé les eaux urbaines, les stations d'épuration, les rejets de phosphate, …/… Pourtant, nos travaux ont démontré, depuis 1988, qu'il faut trois conditions pour obtenir une marée verte : de la lumière, donc des eaux peu profondes ; des courants faibles ; enfin, beaucoup d'azote, dont se nourrissent ces algues…./… Les recherches ont prouvé que de 90 % à 99 % des apports azotés venaient du lessivage des terres agricoles…./…

    Le ramassage des algues est-il une solution durable ? … /… c'est une fuite en avant qui ne s'attaque pas à l'origine du mal. …/….

    La méthanisation du lisier peut-elle réduire les rejets d'azote ? Non, absolument pas. .../...

    Quelle réduction dans les taux de nitrate est nécessaire à l'éradication des marées vertes ?  Les scientifiques estiment à 2 ou 3 mg/l la quantité "naturelle" de nitrate dans les rivières bretonnes. …/… Aujourd'hui on atteint 30 mg/l en moyenne. …/… Cela demande un effort considérable. »

  • Prix en grande distribution : juin 2011 (14 07 2011)

    Extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note publiée le juillet 2011 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=103&date=20110712

    En juin 2011, les prix des produits de grande consommation augmentent : +0,4 %

    Dans la grande distribution, les prix des produits de grande consommation augmentent de 0,4 % en juin 2011, après une hausse de 0,7 % en mai.

    Sur un an, les prix s’accroissent de 2,2 %

    En juin 2011, les prix sont supérieurs de 2,2 % à ceux de l’an dernier. En juin 2010, ils étaient inférieurs de 0,1 % par rapport à ceux de juin 2009.

    La hausse des prix se poursuit dans les hypermarchés et les supermarchés

    Dans les hypermarchés, les prix des produits de grande consommation sont de nouveau en hausse sensible en juin 2011 (+0,4 %), après un accroissement de 0,6 % en mai.

    Sur un an, les prix des produits de grande consommation dans les hypermarchés augmentent de 2,4 %. En juin 2010, leur variation annuelle était de —0,2 %.

    Dans les supermarchés, les prix des produits de grande consommation sont également en hausse sensible en juin 2011 (+0,6 %), après un accroissement de 0,7 % en mai.

    Sur un an, les prix des produits de grande consommation dans les supermarchés augmentent de 2,0 %. En juin 2010, leur variation annuelle était de 0,1 %.

    Dans les autres formes de vente, les prix augmentent de 0,3 %

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  • La voiture de demain (04 07 2011)

    Extraits (Introduction, Sommaire et Propositions) de la Note de synthèse n° 227 de Mme Johanne Buba et MM. Étienne Beeker, Dominique Auverlot, Département Développement durable, Centre d'analyse stratégique et Philippe Hirtzman (CGIET) sous la direction de Jean Syrota, publiée le 15 Juin 2011 sur le site du Centre d’Analyse Stratégique (cliquer ici pour accéder au site du CAS)

     

    http://www.strategie.gouv.fr/content/la-voiture-de-demain-note-de-synthese-227-juin-2011-0

    Dans un contexte tendu, entre la perspective du changement climatique et des pressions géopolitiques croissantes sur les ressources pétrolières, le véhicule électrique peut apparaître comme une solution d’avenir.

    N’émettant aucune pollution au niveau local, il est même souvent qualifié de véhicule “zéro émission”, de manière exagérée cependant puisque cette expression ne prend en compte le contenu en carbone ni de l’électricité qu’il utilise, ni de son cycle de vie. L’intérêt écologique se double de considérations de sécurité énergétique, mais les bénéfices pour la collectivité s’accompagnent de contraintes qui pèsent en premier lieu sur les particuliers : recharges fréquentes et longues, autonomie limitée. Si les consommateurs semblent prêts à reconsidérer leur vision de la mobilité, le prix restera pour beaucoup une variable très importante dans la décision d’achat : la rentabilité du véhicule électrique dépendra principalement du prix de la batterie ainsi que de la distance annuelle parcourue.

    Compte tenu des différences actuelles de coûts, le véhicule électrique ne sera probablement pas moins cher que le véhicule thermique dans les prochaines années : il ne faut donc pas s’attendre à une irruption du tout-électrique sur le marché. Si l’on se fixe l’objectif de réduire notre dépendance au pétrole (ce qui conduit de facto à diminuer également les émissions de dioxyde de carbone), il faut poursuivre l’amélioration des véhicules thermiques, dont les marges de progrès sont importantes : une réduction de 50 % des consommations unitaires par rapport à 2007 est raisonnablement possible à terme. L’électrification progressive des véhicules thermiques et le développement à grande échelle des véhicules hybrides rechargeables permettraient d’aller encore plus loin et constituent des voies d’amélioration prometteuses.

    Au sommaire :

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