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retraiteshospitaliers64 - Page 1038

  • alzheimer : carte de soins (09 05 2008)

    La carte de soins et d'urgences pour les malades : première mesure du plan anti-Alzheimer avec de nombreuses initiatives

    Note lue le 6 mai 2008 sur le site Seniorscopie

    http://www.seniorscopie.com/articles/premiere-mesure-du-plan-anti-alzheimer-avec-de-nombreuses-initiatives.html

    Alors que les critiques continuent de pleuvoir sur le plan anti-Alzheimer, les spécialistes de la santé et de la maladie ne cessent de travailler pour répondre aux besoins des malades et de leurs proches. De nombreuses initiatives voient le jour et la carte de soins et d'urgences pour les malades, première mesure du plan, vient d'être lancée.

    La maladie d'Alzheimer est aujourd'hui un véritable enjeu de santé publique. Après le plan Ménard, remis le 8 novembre 2007 à Nicolas Sarkozy, les acteurs de la santé se mobilisent plus que jamais pour trouver et mettre en place des solutions. Conscients des difficultés de la mise en oeuvre des dix mesures-phares énoncées le 1er février par le président de la République, les spécialistes continuent à faire avancer le dossier. Où est-on aujourd'hui ? La première mesure du plan vient d'être lancée, de nombreuses initiatives voient le jour.

     

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    Lien permanent Catégories : santé
  • dette publique : problème ? (08 05 2008)

    Une analyse à contresens : de quoi exercer notre jugement

     

    La dette publique : où est le problème?

     Chronique de M. Philippe Brossard, économiste lue le 25 avril sur le site du Monde

    http://www.latribune.fr/info/ID33599C4166A99DD6C125743500336E6C

     

    La dette publique française fait l'objet d'une dramatisation politique croissante. Certains n'ont pas hésité à déclarer la France "en faillite". Qu'en est-il? Examinons d'abord l'argument des contempteurs les plus virulents de la dette publique: l'État devrait être géré comme le compte d'un simple individu, ou celui d'une entreprise, et ne jamais dépenser plus qu'il ne gagne.

     

    Cette doctrine, au premier abord pleine de bon sens, repose sur un présupposé irréaliste: les ménages et les entreprises dépensent souvent plus qu'ils ne gagnent. Sinon, il n'y aurait plus besoin de banques ni de marchés financiers. Les individus comme les entreprises s'endettent régulièrement, pour des durées plus ou moins longues. C'est une bonne chose pour la croissance, tant qu'une certaine mesure n'est pas dépassée.  

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  • réforme du permis de construire (07 05 2008)

    Le gouvernement interpellé sur la réforme du permis de construire
    lu dans le Journal du Sénat le 6 mai 2008
    http://www.senat.fr/journal_du_senat/focus.html
    Issue de l’ordonnance du 8 décembre 2005, la réforme du permis de construire et des autorisations d’urbanisme est entrée en vigueur le 1er octobre 2007. Elle concerne 600 000 permis de construire et 1 400 000 autorisations d’urbanisme par an, et vise à simplifier les formalités comme à apporter des garanties aux usagers quant aux délais d’instruction des dossiers.

     

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  • ONU, prix alimentaires (06 05 2008)

    ONU : fin de la nourriture à bas prix (06 04 2008)

    Entretien avec M. De Schutter par Philippe Bolopion lu le 4 mai 2008 sur le site du Monde http://www.lemonde.fr/organisations-internationales/article/2008/05/02/m-de-schutter-predit-la-fin-de-la-nourriture-a-bas-prix_1040496_3220.html

    La communauté internationale a été prise de court par les émeutes de la faim de façon "inexcusable", estime Olivier de Schutter dans un entretien au Monde. Ce professeur de droit belge, secrétaire général depuis 2004 de la Fédération internationale des ligues des droits de l'homme a été nommé, le 26 mars, rapporteur spécial des Nations unies sur le droit à l'alimentation par le Conseil des droits de l'homme, basé à Genève.

     

    Quelle sera votre première initiative pour faire face à la crise alimentaire ?

    Je vais recourir à "l'option nucléaire", en demandant une session spéciale du Conseil des droits de l'homme. Symboliquement, il s'agit de mettre les droits économiques et sociaux à égalité avec les droits civils et politiques, invoqués pour saisir le Conseil sur la situation au Darfour, en Birmanie, ou dans les territoires palestiniens. Le Conseil ne peut rester silencieux. J'espère qu'il trouvera sur ce dossier l'unité qui fait défaut ailleurs.

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  • accès internet en France (05 05 2008)

    Un foyer sur deux a accès à Internet en France

     

     

    Article AFP lu le 2 mai 2008 sur le site du Monde

     

    http://www.lemonde.fr/technologies/article/2008/04/30/un-foyer-sur-deux-a-acces-a-internet-en-france_1040334_651865.html#ens_id=824668

     

     

     

    La  part des foyers connectés à Internet en France a dépassé pour la première fois la barre des 50 % au premier trimestre 2008, alors qu'ils étaient moins d'un tiers il y a trois ans, selon les derniers chiffres de Médiamétrie. Au total, 13,5 millions de foyers (52 %) sont désormais connectés, soit une augmentation de 15 % en un an

     

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  • salarié à domicile : fiscalité (04 05 2008)

    Iniquité du dispositif d'aide pour l'emploi d'un salarié à domicile

     

     

    Lu le 25 avril 2008 sur le site du Sénat

     

    http : //www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ080203476

     

    Question écrite n° 03476 de M. Philippe Labeyrie (Landes –soc)

     

     

    M. Philippe Labeyrie appelle l'attention de M. le ministre du travail, des relations sociales et de la solidarité sur l'iniquité du dispositif d'aide pour l'emploi à domicile tel qu'il résulte de l'article 199 sexdecies du Code Général des Impôts.

     


    A compter de l'imposition des revenus de 2007, l'avantage fiscal lié aux dépenses de services à la personne prend la forme, selon le cas, d'un crédit d'impôt ou d'une réduction d'impôt.

    Or seules les personnes qui exercent une activité professionnelle ou sont inscrites comme demandeurs d'emploi sont susceptibles de bénéficier d'un crédit d'impôt.

    Cette mesure apparaît particulièrement inéquitable pour les personnes âgées retraitées, non imposables. L'ensemble des personnes répondant à cette situation ne sont pas obligatoirement en situation de dépendance et ne bénéficient donc pas toutes d'une aide d'une caisse assurance vieillesse ou de l'APA, leur permettant de trouver une solution financière pour répondre à l'ensemble de leurs besoins.

     


    D'autre part, celles bénéficiant d'aides demandent parfois à avoir un complément d'heures à leur charge, du fait de besoins concrets au-delà de ce qui leur est attribué. Pourquoi ce public déjà souvent fragile est-il exclu du bénéfice du crédit d'impôt.

     

     

     

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